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jeudi, 12 juin 2014

Une station sous-marine au large de la Floride

Fabien Cousteau, le petit-fils de l'explorateur des océans Jacques-Yves Cousteau, passe 31 jours à étudier l'océan avec cinq autres scientifiques dans une station sous-marine au large de la Floride, aux États-Unis. Les activités de recherche portent sur le changement climatique et les modifications inhérentes à ce phénomène dans l'acidification de l'océan, mais aussi sur l'impact de la pollution par les plastiques ou encore sur la surconsommation des ressources et le déclin de la biodiversité.

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Une étude sera focalisée sur la performance physiologique d'une espèce d'éponges de 2000 ans, appelée baril de rhum (Xestospongia muta), en fonction des fluctuations de l'environnement. Ces procédés ne sont pas seulement essentiels pour la survie de l'animal : ils affectent également la quantité d'énergie disponible pour le reste du récif. L'espèce, par ses capacités de filtration, transforme la matière organique dissoute en une forme utilisable par d'autres.

Source : futura-sciences.com

mercredi, 11 juin 2014

Dans les secrets du ciel

Hubert Reeves, pourquoi la science a-t-elle besoin de passeurs comme Matthieu Vidard ?
H.R. :Certaines recherches scientifiques obtiennent des résultats dont l'intérêt dépasse de beaucoup le domaine de la science. Lorsque Galilée regarde la Lune puis la Terre, constate qu'il y a des montagnes sur les deux, que les deux sont des astres et qu'il en conclut que la terre n'est pas le centre du monde, il fait une conclusion révolutionnaire pour l'époque. Une découverte qui va influencer toute la pensée humaine après coup. Ces découvertes ont besoin d'être connues par l'ensemble de l'humanité. Le rôle de personnes comme Matthieu Vidard est de permettre aux gens de prendre conscience de découvertes qui les concernent directement.
Matthieu Vidard, pourquoi le public a-t-il besoin de scientifiques comme Hubert Reeves ?
M.V. : Notre préoccupation première quand nous préparons l'émission La Tête au carré (1), c'est de recevoir des scientifiques qui ont cette capacité immédiate de partager et de faire connaître leurs recherches au plus grand nombre. Sinon, c'est l'échec immédiat. Hubert est une de ces figures emblématiques du scientifique qui a compris qu'il devait faire un effort de vulgarisation pour toucher les gens.

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Matthieu Vidard, « L'origine de l'univers relève plus de la métaphysique que de la physique fondamentale » , dites-vous dans votre dernier livre "Dans les secrets du ciel". Cette dualité est-elle un moteur ou une limite ?
M.V. : Je ne pense pas qu'il y ait de dualité entre la science et la rationalité d'un côté et les questionnements de l'autre. Je pense qu'il faut savoir laisser la science et les croyances là où elles sont et qu'il faut surtout veiller à ne pas mélanger les deux. Il est du devoir des scientifiques et des médias de bien dire aux gens ce qui est du domaine de la science et ce qui est du domaine de la croyance.
H.R. : Cela me rappelle une discussion que j'ai eu un jour avec un scientifique qui me disait : « Le Big Bang, c'est bon, c'est derrière nous. Darwin, c'est fait. La nucléosynthèse c'est bon : finalement, on a tout compris. » J'étais stupéfait d'entendre que, parce qu'on avait de bonnes théories, on avait tout compris au sens de la réalité profonde. Or, notre univers reste très mystérieux. Comme le disait le scientifique anglais John Eccles : « Le monde est non seulement plus étrange que nous l'imaginons, mais beaucoup plus étrange que ce que nous sommes en mesure d'imaginer. »

Pour lire la suite de l'interview : guadeloupe.franceantilles.mobi

mardi, 10 juin 2014

Ah le vélo !

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"Ah le vélo !", s'exclame Sempé. "C'est un tel symbole de liberté pour moi que lorsque j'ai dû travailler sur Liberté Egalité Fraternité, il n'était pas possible de penser à autre chose qu'à un vélo", a confié à l'AFP l'illustrateur du "Petit Nicolas", également connu pour ses dessins de presse humoristiques. "J'ai d'ailleurs fait un livre dont le titre était 'Simple question d'équilibre' et qui résume bien mon amour pour la bicyclette", ajoute Sempé.

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"J'étais très flatté, avoue-t-il, que la Monnaie de Paris me demande de créer ces pièces. Cela m'amuse évidemment d'imaginer que mes dessins sont utilisés pour symboliser les valeurs de la République". Il se souvient : "Et puis, j'ai beaucoup pratiqué la gravure, c'est une technique que j'aime. J'ai édité, parfois en même temps qu'un album, quelques dessins réalisés en gravure. J'ai notamment travaillé longtemps avec les ateliers Lacourière, puis (le graveur d'art) René Tazé. J'aurais aimé faire une exposition, un jour, de toutes mes gravures", relève Sempé, qui a publié un savoureux album, "Bourrasques et accalmies", en 2013.

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Source : culturebox.francetvinfo.fr

06:09 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vélo, liberté, bd, humour, histoire, livre

lundi, 09 juin 2014

Mini mother is watching you

Mini mother is watching you est le principe de la matriochka connectée créée par l'entreprise française Sen.se. Connectée par wifi à des puces baptisées "Motion cookies" installées sur des objets du quotidien, elle scrute les petits détails de la vie de tous les jours. Les capteurs, posés sur une brosse à dent, vérifient par exemple si les enfants se sont bien lavé les dents, collés à une boîte de médicaments, ils signalent que le traitement a bien été pris, placés sur un lit, ils évaluent la qualité du sommeil.

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Il serait possible d'intégrer des capteurs directement dans des produits comme des bouteilles d'eau ou des machines à café qui enverront directement des informations à l'application sur Android ou IOS. Le but: commander automatiquement les recharges de capsules ou prévenir si on ne boit pas suffisamment d'eau. En tout 24 capteurs dotés d'une capacité de mémoire de 10 jours et d'une pile censée durer un an peuvent être connectés simultanément sur une même poupée "mère". Les données collectées peuvent ensuite être visionnés sur une application. Des alertes par mail, téléphone ou sms sont programmables.

Source : latribune.fr

dimanche, 08 juin 2014

La Vienne à Chinon

samedi, 07 juin 2014

Diffuser de la musique avec son ampoule

Avec l'ampoule AwoX StriimLIGHT™ Color Wi-Fi 13 Watts , on peut diffuser sur son ampoule non seulement de la musique, mais aussi choisir la couleur lumineuse dont on a envie pour accompagner ses chansons favorites. Plus de 16 millions de combinaisons (réglage des couleurs, intensité et température de la lumière) sont à portée de doigt, toutes les fonctionnalités se pilotent très facilement depuis la télécommande ou l’application gratuite iOs & Android AwoX SmartCONTROL.

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- Ecouter les musiques contenues dans son smartphone/tablette, ordinateur
- Compatible avec les fichiers MP3, AAC, WAV, PCM, FLAC.
- Accès aux radios internet via la connexion Wi-Fi à son réseau personnel.
- Lecture synchronisée entre plusieurs StriimLIGHT Wi-Fi.
- Télécommande pour le contrôle de l’intensité de la lumière et du volume.
- Ampoule: LED, 100-240v, pour les culots E27.
- Haut-parleur: 10 Watts, 200Hz-20KHz.

Pour en savoir plus : awox.com





vendredi, 06 juin 2014

Année internationale des petits Etats insulaires

« Au sein d’une communauté internationale se basant sur l’État de droit, ainsi que sur les valeurs universelles d’égalité, des droits de l’homme et de dignité, il est certainement injuste pour de petites communautés vulnérables de souffrir des actions d’autres pays riches en ressources et plus puissants, actions sur lesquelles ils n’ont aucun contrôle et peu ou pas de protection. » Maumoon Abdul Gayroom, ancien président de la République des Maldives.

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Dans sa résolution A/RES/67/206 du 21 décembre 2012, l’Organisation des Nations unies (ONU) a proclamé 2014 « Année internationale des petits Etats insulaires en développement (PEID) ». Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) est l’un de ceux qui ont démontré scientifiquement la vulnérabilité des PEID aux effets des changements climatiques (1). Les spécialistes des migrations estiment par ailleurs que l’environnement et le climat sont parmi les facteurs déterminants de déplacements massifs de populations dans le monde.

Source : monde-diplomatique.fr

jeudi, 05 juin 2014

Des espaces verts sans pesticides

La France s’est dotée d’une loi interdisant les pesticides dans les espaces verts publics à partir de 2020. Le texte bannit les produits phytosanitaires pour l’entretien des espaces verts, promenades, forêts. L’entretien de la voirie, des terrains de sports et des cimetières n’est pas concerné par cette loi.

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Selon l’agence chargée de la biodiversité en Ile-de-France, Natureparif, près de 10% des communes franciliennes ont déjà totalement renoncé à l’usage de pesticides, soit plus de 120 communes. Une interdiction des épandages de produits phytosanitaires à moins de 200 mètres des écoles est en préparation. Début mai, une vingtaine d’enfants et une enseignante d’une école primaire de Gironde avaient été pris de malaises après l’épandage d’un fongicide sur des vignes situées à proximité de l’établissement. La préfecture du département a relevé une utilisation du produit dans des conditions inappropriées.

Source AFP

mercredi, 04 juin 2014

Un potager collectif, le Pot’col

A Dijon, 6 hectares promis à l’urbanisation sont occupés depuis quatre ans. Un paysage hybride et apaisant, une zone plus bucolique qu’horticole parsemée de haies, d’arbres et de chemins sinueux. Le «quartier libre des Lentillères» est composé d'un potager collectif, le Pot’col, un hectare de terre pour cultiver ensemble fraises, patates, choux, radis, épinards.

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Selon Yannick Sencébé, sociologue du monde rural à l’Inra de Dijon, qui a fait du potager des Lentillères son terrain d’études, on vient autant pour le lien social que pour la production, à partir, d’une posture de participation observante, chacun choisit sa parcelle et se l’approprie. Vient ensuite «l’espace des maraîchers», grande parcelle horticole, dont la production permet d’alimenter un marché à prix libres, chaque jeudi soir, où se pressent de plus en plus de Dijonnais. Antoine, l’un des maraîchers, vit sur place et partage son temps de travail entre les Lentillères et d’autres terres à 30 kilomètres de là. «Monomaniaque du jardin», il a «découvert ici l’autogestion, le collectif», une expérience qu’il espère valoriser au sein d’une ferme collective.

Pour en savoir plus sur ce projet, on peut consulter le site liberation.fr

mardi, 03 juin 2014

Un essai d’histoire marchée

Le 6 septembre 2009, Antoine de Baecque se lance sur le GR5, un sac de dix-sept kilos sur le dos, pour un mois de randonnée solitaire à travers les Alpes, depuis le lac Léman jusqu’à la Méditerranée : six cent cinquante kilomètres, trente mille mètres de dénivelé, sept à neuf heures de marche quotidienne. De cette aventure, il a tiré un exercice d’histoire expérimentale mêlant études savantes sur les Alpes et l’aménagement de la montagne et recherche personnelle, "par les pieds", attentive au corps.

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L’auteur raconte la genèse du GR5, tantôt chemin de pèlerinage, tantôt sentier commercial ou de contrebande, draille de la transhumance ou voie militaire. Il fait le récit au jour le jour de cette grande traversée des Alpes. Il résulte de cette expérience un essai d’histoire marchée. Née de l’avancée du randonneur, celle-ci rend compte de la progression le long d’un sentier et de l’histoire même des circulations alpines passées.

lundi, 02 juin 2014

Permettre à la biodiversité de s'exprimer partout

Selon la biologiste de la conservation Anne-Caroline Prévot, les réalisateurs et dessinateurs de dessins animés ont une connaissance de la nature qui se modifie. Ces derniers ont peut-être grandi dans des environnements plus urbains et ont, dès lors, une vision spontanée plus pauvre qu'avant. C'est pour étudier cela que l'étude a choisi comme variable la nature en tant que décor et non la nature active dans les films. Nous nous sommes intéressés à l'implicite. Est-ce que les créateurs du dessin animé voient un intérêt à faire passer un papillon dans le champ de la caméra? Quand ils dessinent deux oiseaux, est-ce qu'ils les imaginent identiques ou différents?

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Le sujet intéresse les biologistes de la conservation. Pour défendre la biodiversité, conserver des réserves naturelles ne suffit pas. Il faut permettre à la biodiversité de s'exprimer partout. Dès lors, chacun doit accepter la nature dans sa complexité. L'éducation à l'environnement ne suffit pas. Il ne faut pas une simple connaissance intellectuelle de la nature, mais une connaissance intime, personnelle, partagée avec des gens qu'on aime et, de préférence, acquise pendant l'enfance. C'est au plus jeune âge que se crée notre carte mentale du monde.

Source : lexpress.fr

dimanche, 01 juin 2014

Nasa Global Selfie

La Nasa dévoile son "selfie global", une mosaïque de la Terre faite d'autoportraits.

06:18 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nasa, photographie, photos, terre, arts

samedi, 31 mai 2014

Les professionnels de la rénovation thermique

Une enquête de l'UFC-Que choisir sur des prestations de professionnels de la rénovation thermique a été présentée ce mardi 27 mai. Seuls huit rapports d'évaluation thermique exhaustifs ont été remis aux consommateurs sur 29 professionnels contactés, 15 devis ont été distribués. 6 professionnels n'ont rien remis. "Une des explications réside dans la manière dont se déroule la visite, seulement 58% des prestataires ont analysé l'ensemble des lieux, déplore Alain Bazot. Pour faire une évaluation exhaustive, il faut pourtant regarder l'enveloppe du bâtiment, la ventilation, le système de production de chaleur". Au final, seuls 3% des analyses prennent en compte ces trois critères. Concernant les propositions de travaux, seul un professionnel sur les 23 a adressé des recommandations écrites cohérentes sur les 3 critères exigés.

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Selon l'association UFC-Que choisir, il faudrait renforcer la formation, développer une filière "d'architectes énergéticiens" : des experts indépendants capables de coordonner les travaux et d'accompagner le consommateur tout au long de sa démarche de rénovation énergétique. Enfin, les aides et financements doivent être conditionnés à la performance, selon elle. "Il est indispensable de rendre plus forte l'incitation à une meilleure performance : introduire une progressivité pour les dispositifs Eco-PTZ et crédit d'impôts en fonction des économies réalisées, assure Alain Bazot, président de l'UFC-Que choisir, il faudrait également envisager un cumul des deux dispositifs pour les rénovations les plus ambitieuses".

Pour en savoir plus sur cette enquête, on peut consulter le site actu-environnement.com


vendredi, 30 mai 2014

Exploiter les gaz de schistes en Patagonie

La Patagonie argentine, connue pour la beauté de ses paysages et ses étendues sauvages, est devenue un nouvel enjeu pour les multinationales pétrolières. La formation de Vaca Muerta contient d’immenses réserves potentiellement exploitables d’hydrocarbures non conventionnels, au deuxième rang mondial pour le gaz et quatrième pour le pétrole. Total, présent en Argentine depuis 1978, et deuxième opérateur de gaz du pays, a acquis des permis dès 2010, avant toutes les autres compagnies.

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Selon Diego di Risio de l’Observatorio Petrolero Sur, les compagnies pétrolières avancent à grande vitesse, sans que les populations locales n’aient jamais été consultées ni même informées. Le développement des hydrocarbures non conventionnels a lieu sur les terres de communautés mapuche et de petits paysans, entrant en concurrence avec l’élevage de petit bétail. Les entreprises agissent en toute impunité car il y a une absence totale de contrôle de la part des gouvernements national et provincial, qui, au contraire, ont déroulé le tapis rouge pour attirer ces nouveaux investissements.


Pour en savoir plus, on peut consulter le site des amisdelaterre.org

jeudi, 29 mai 2014

La stévia additif naturel ?

Autorisé à la consommation dans l’Union européenne depuis novembre 2011, la Stévia est un additif extrait des feuilles d’une plante, Stevia rebaudiana Bertoni, membre de la famille des Compositae, qui poussait à l’origine en Amérique du sud, Paraguay et Brésil. Les pouvoirs édulcorants de la plante sont connus depuis très longtemps, et ses feuilles renferment au moins dix glycosides différents dont le stévioside et le rebaudioside A. Les préparations commerciales sont donc, par simplification, dénommées « Stévia » ou « Stévioside » ou « Rébaudioside » et ont des compositions différentes.

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Avant d’être autorisé, l’édulcorant issu de la plante a suivi un parcours de plus de 20 ans d’évaluation par les agences de santé. Ce n’est qu’à partir de 2007 que l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) a émis des avis sur les glycosides de stéviol et le rébaudioside conduisant à une autorisation nationale provisoire de deux ans du rébaudioside pur à plus de 97 %, dans des conditions d’utilisation restrictives. Enfin, le 10 mars 2010, le panel sur les additifs alimentaires et les sources de nutriments (ANS) de l’Autorité européenne de sécurité alimentaire (AESA) adopte pour les glycosides de stéviol une DJA (dose journalière admissible) relativement prudente. L’origine « naturelle » de l’édulcorant, son utilisation traditionnelle par certaines populations au Japon, au Paraguay et au Brésil ne l’a pas exempté d’une caractérisation du risque complète, comme pour tout additif alimentaire et en dépit de l’impatience des utilisateurs potentiels. C’est ainsi qu’il aura fallu presque 25 ans pour arriver à l’autorisation d’un produit purifié. De nombreuses étapes ont été nécessaires pour isoler le produit consommable sans risque. Cependant, la Commission Européenne, dans son avis d’autorisation, souligne le risque de dépassement de la DJA fixé à 4mg/kg de poids corporel. Ceci est à mettre en parallèle avec la DJA actuelle de l’aspartame qui est de 40mg/kg.

Pour en savoir plus, on peut lire l'article publié sur le site pseudo-sciences.org

mercredi, 28 mai 2014

Les piscines naturelles, véritable écosystème

Les piscines naturelles s'appuient sur le développement d'un véritable écosystème qui va maintenir à l'équilibre la qualité de l'eau, grâce à la technique du lagunage. Ces bassins sont composés de trois zones différentes : Une zone de baignade représentant un tiers de la surface totale, une zone périphérique, de régénération, moins profonde, où des plantes aquatiques sont chargées de la filtration, une zone d'oxygénation et désinfection avec des plantes oxygénantes ou une chute d'eau, permettant l'exposition de l'eau aux UV naturels. L'eau circule lentement entre les trois zones grâce à une petite pompe puis par gravité.

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Les plantes d'une piscine naturelle sont indispensables pour conserver une qualité d'eau. Les plantes sont utilisées pour réaliser une filtration naturelle. Les plantes épuratives : ce sont les plantes qui jouent le rôle de filtration naturelle, leur action permet d'absorber les métaux présents dans l'eau, responsables de la prolifération des algues : phragmites, élodées, carex… Les plantes oxygénantes apportent de l'oxygène à l'eau et favorisent ainsi le développement de bactéries : potamot, myriophylle aquatique, renoncule aquatique,… Les plantes flottantes et décoratives permettent de lutter contre la prolifération des algues car elles cachent le soleil aux algues, ainsi freinées dans leur développement : nymphaea, ...

Source : notre-planete.info

mardi, 27 mai 2014

L'olinguito, entre l'ours et le chat

Qu'ont en commun l'olinguito, mammifère carnivore de deux kilos, entre l'ours et le chat, vivant dans la forêt des Andes, et un escargot sans yeux vivant à plus de 900 mètres sous terre en Croatie ? Les deux figurent parmi les dix nouvelles espèces les plus étonnantes découvertes en 2013. Cette liste est établie par un comité international de taxonomistes et d'autres experts, réunis par l'Institut international de l'exploration des espèces.

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La liste est publiée le 23 mai pour l'anniversaire de Carl von Linné né en 1707. Ce botaniste suédois estconsidéré comme le fondateur de la taxonomie moderne. Constituée chaque année depuis 2008, cette liste vise à rappeler que les chercheurs continuent à découvrir de nouvelles espèces. Près de 18 000 ont été identifiées en 2013, s'ajoutant aux deux millions déjà connues de la science.


Pour découvrir cette liste : esf.edu

Source : planet.fr

lundi, 26 mai 2014

Les deux pins sur un rocher

Les deux pins sur un rocher de Frédéric Cubas-Glaser, artiste peintre

Dans les montagnes Pyrénéennes entre Cerdagne et Capcir, le climat était si rude, le vent âpre fouettait si fort les joues, que les arbres étaient une bénédiction pour les villages Catalans alentours.
Ils apportaient chaleur, pendant l’hivernage et travail pour les hommes dès les fontes.
En 1939 deux graines de pin-parasol, venant du versant Espagnol, furent déposées sur un rocher, tout près du lac de Matemale.
Et même si le gel, la sécheresse, avait tout fait pour les en empêcher, en quelques années , embrassant le minéral, deux arbres juvéniles, avaient réussi à y pousser, si profondément entrelacés l’un dans l’autre, que l’œil humain n’aurait pu les dissocier.
Il fallait les voir, amoureusement noués, s’élancer pour boire les ciels d’été, la cime tournée vers le Cambre d’Aze.

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Leur beauté avait attiré deux jeunes Catalans qui venaient chaque jour renouveler, promesses et serments. Ces deux amants y avaient depuis le début de l’été, trouvé au pied de ces quatre éléments, à la fois un refuge mais aussi un symbole pour leur aventure.
Le jeune homme, chaque jour s’ouvrait un peu plus à sa future compagne. Joan ressentait en lui, une envie de Nord, de sonder le murmure des plaines, une vraie envie de ville, un frémissement à l’idée des bruits de machines et des désirs de richesse bien illusoires.
Monserrat, de ses grands yeux de braise pressentait qu’il lui fallait profiter de chaque souffle de cet amour comme le fer s’enflamme et profite de la forge.


Pour lire la suite cubas-glaser.fr

dimanche, 25 mai 2014

Idée déconcertante pour les non-mathématiciens

L’idée qu’il puisse exister un lien profond entre l’activité d’un mathématicien et celle d’un artiste est généralement déconcertante pour les non-mathématiciens. Nombreux sont ceux qui ne retiennent des mathématiques que l’idée d’une pratique technique et aride, où le raisonnement logique domine. Cela semble n’avoir rien en commun avec l’émotion, la créativité et la beauté, toutes choses que le poète, le musicien, le peintre ou d’autres artistes mettent en avant quand ils parlent de leurs travaux.


Pourtant, les mathématiciens témoignent d’expériences émotionnelles intenses parfaitement comparables à celles qu’éprouve un artiste. Le besoin de faire des mathématiques, la fascination esthétique qu’elles engendrent, qu’elles soient pures ou appliquées aux sciences comme la physique théorique, sont aussi impérieux et irrésistibles que ceux à l’origine des œuvres d’artistes comme Hölderlin, Léonard de Vinci ou Bach.

Source : futura-sciences.com

samedi, 24 mai 2014

Pour avoir des oeufs biologiques

Pour avoir des oeufs biologiques, il faut que la poule qui les pond mange au moins 95% de grains issus de l'agriculture biologique. Or si la consommation d'oeufs bios est en hausse en France, plus 16% en moyenne par an sur 5 ans, selon l'Institut Technique de l'Aviculture (ITAVI), la production de céréales certifiées bio, elle, ne suit pas. En 2012, la barre des 20.000 hectares de céréales certifiées bio a été franchie (et même 25.000 en comptant les hectares en conversion), mais les céréaliers bio ne produisent pas que pour les volailles.

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Selon l'agronome et industriel Pierre Weill, une poule mange des grains, mais on n'en produit pas assez en France, il faut donc faire appel aux importations. Il raconte avoir importé un chargement de graines de lin bio d'Italie. "On est passé par un courtier suisse sérieux et elles sont arrivées certifiées... Et puis récemment j'ai reçu un courrier du ministère italien de l'agriculture annonçant, navré, qu'après enquête il s'agissait en fait de lin de Moldavie, pas bio du tout".


En savoir plus sur lexpress.fr