lundi, 01 juin 2015
Consommer 400 mg de caféine par jour
La caféine est un stimulant présent dans un grand nombre de boissons et de produits alimentaires, dont le chocolat et le thé. Les boissons énergisantes peuvent en contenir de 70 à plus de 400 mg par litre. La Commission européenne doit proposer d'éventuelles mesures de précaution sanitaire. Les boissons énergisantes pourraient se retrouver en ligne de mire. Le café a des effets protecteurs quand il est consommé avec modération. Rien n'indique des effets nocifs du café sur la santé avec une consommation modérée, définie comme inférieure ou égale à 500 mg par jour", avaient ainsi conclu en février 2015, un comité d'experts indépendants des Etats-Unis.
Source : francetvinfo.fr
05:44 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alimentation, café, cafeine, santé, consommation, chocolat, thé
mercredi, 06 mai 2015
Moins d'un quart des déchets est recyclé
Le coût de la gestion des déchets des ménages est passé de 5,25 à 6,5 milliards d'euros par an entre 2008 et 2012 (+24 %). Le recyclage au niveau de l'ensemble des filières des déchets ne suit pas : seuls 23% des déchets seraient recyclés, selon l'enquête de l'UFC-Que Choisir. 39 % des Déchets Ménagers et Assimilés (DMA) selon l'ADEME. Ainsi, sur cette période, la part du recyclage sur l'ensemble des traitements n'est passée que de 17 % à 23 %, faisant de la France un des mauvais élèves européens (l'Allemagne recycle 47 % de ses déchets, la Belgique 36 %). "Si aucun effort supplémentaire n'est fait, l'objectif de recyclage de 50% d'ici à 2020, fixé par l'Union européenne, restera hors d'atteinte", s'inquiète l'association de consommateurs qui pointe les profondes lacunes de l'organisation du tri et du recyclage des déchets en France, et, alors que le projet de loi Transition énergétique est toujours en discussion.
Source : notre-planete.info
05:25 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ufc-que choisir, déchets, recyclage, consommation, europe, pollution, ademe
lundi, 30 mars 2015
Végétarien ou pas
La nourriture végétale est très bien adaptée à la couverture des besoins nutritionnels. Seuls les produits végétaux, surtout ceux qui sont riches en amidon, permettent de satisfaire nos besoins très élevés en glucose dont le cerveau fait un usage majeur. Une consommation suffisante de glucides lents et complexes nous permet ainsi d’assurer une régulation presque parfaite de la glycémie. Les dégâts des régimes hyperprotéinés sont bien connus et la possibilité de faire du glucose à partir des acides aminés des protéines animales, même si elle existe chez l’homme, est plutôt la caractéristique des espèces carnivores strictes. En plus de son rôle indispensable dans la fourniture des glucides, une alimentation majoritairement végétarienne est d’une très grande efficacité pour la couverture des besoins en protéines et en acides gras essentiels. Finalement, en réservant une si grande place aux produits animaux, nous mangeons trop de protéines (90g/jour en moyenne, alors que 50 à 60 g suffisent). La question d’une moindre qualité biologique des protéines végétales ne se pose même pas si la diversification alimentaire est suffisante ; elle n’est pertinente que pour des régimes totalement monotones à base de riz, de maïs ou de mil.
On peut l'article complet de Christian REMESY Nutritionniste et directeur de recherches à l'Inra sur le site liberation.fr
05:15 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alimentation, santé, nutrition, végétarien, consommation, protéines végétales, protéines, nourriture, glucose
mercredi, 19 novembre 2014
Des coupures d'électricité en hiver ?
De fait, la distribution de l’électricité est problématique car elle ne peut pas être stockée. Elle doit donc être produite au moment où elle est nécessaire, grâce à des centrales très réactives. Comme un réseau électrique, national ou transnational, est constitué d’une multitude de producteurs et de consommateurs, le paramètre essentiel d’une bonne distribution est l’équilibre : à tout moment il faut injecter dans les réseaux assez d’électricité, sinon c’est le black-out, mais il ne faut pas en injecter trop, au risque de surcharger des réseaux parfois au bord de la vétusté (black-out également. Or selon les rapports de Capgemini et de RTE, le risque de manque s’est accru ces dernières années pour atteindre aujourd’hui un seuil critique. Le résultat d’une addition de multiples facteurs, comme l’augmentation constante de la consommation d’électricité (+1,2% par an) et la grand variabilité de la demande et des usages en pleine mutation à cause de la révolution numérique.
Pour en savoir plus : science-et-vie.com
06:14 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : électricité, consommation, hiver, energie, énergies, énergies renouvelables
samedi, 25 octobre 2014
Les miels sont contaminés par des microplastiques
Les miels les plus pollués affichent jusqu’à 265 microrésidus par kilo, soit trois fois plus que les références les mieux notées. Les analyses ont mis en évidence trois types de microplastiques présents dans le miel : des fibres, qui pourraient être d’origine textile ; des fragments, dont on peut supposer qu’il s’agit de produits de dégradation de plastiques plus volumineux ; et des granules, qui pourraient provenir de cosmétiques ou de rejets industriels. Les chercheurs allemands ont détecté des microparticules dans l’eau de pluie, dans l’atmosphère et dans certaines fleurs. Dispersées dans la nature, elles seraient collectées par les abeilles en même temps que le pollen, rapportées à la ruche, puis intégrées au miel.
Source : 60millions-mag.com
06:14 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : abeilles, apiculture, miel, plastique, pollution, pollen, consommation, fleurs
samedi, 18 octobre 2014
Intérêts de la technologie des LED
L’un de ses intérêts majeurs de la technologie des diodes électroluminescentes (Light-Emitting Diode, LED) est sa faible consommation en électricité. Contrairement aux lampes à incandescence, qui produisent beaucoup de chaleur, l’utilisation de semi-conducteurs dans les Led permet une conversion quasiment directe de l’électricité en lumière. On pouvait donc imaginer, par exemple, remplacer l’éclairage des villes par des Led. Mais il fallait pour cela pouvoir produire de la lumière blanche. Or, pendant longtemps, les Led ne permettaient de produire que de la lumière rouge ou verte. Une solution pour obtenir de la lumière blanche était bien sûr évidente : utiliser conjointement des Led rouges, vertes et bleues. Plus facile à dire qu'à faire. La mise au point de ces Led bleues s’est en effet révélée très ardue. Akasaki, Amano et Nakamura y sont finalement parvenus en utilisant du nitrure de gallium-indium.
Source : futura-sciences.com
06:11 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sciences, électricité, consommation, ville, urbanisme
mardi, 22 juillet 2014
Interdire les sacs plastiques
L'amendement rappelle que la consommation de sacs plastiques distribués dans les grandes surfaces en France est passée de 10,5 milliards à 700 millions en 2002 à 2011. Mais pointe qu'encore "près de 5 milliards de sacs de caisse en matière plastique à usage unique et plus de 12 milliards de sacs dits 'fruits et légumes' sont encore distribués dans les commerces" chaque année. Ces derniers n'avaient jamais fait l'objet de mesures spécifiques pour réduire leur consommation.
En savoir plus sur expansion.lexpress.fr
05:54 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : recyclage, pollution, déchets, environnement, biodiversité, plastique, consommation, consommer autrement
mercredi, 16 juillet 2014
6% des requins sont dangereux
Les Hommes tuent de 40 à 100 millions des squales des océans par an pour les consommer ou pour d'autres usages, maroquinerie, cosmétique notamment. Ils sont parfois aussi maintenus en captivité, pris accidentellement dans les filets de pêche ou bien victimes d'opérations d'extermination de leur espèce. Le shark finning, pêche aux ailerons en anglais, s'intéresse à récupérer cet appendice. Il ne représente que 5 % de son corps, les 95 % restants, jugés inintéressants, étant rejetés en mer. Parfois, l'animal amputé mais encore vivant coule à pic et subit une longue agonie.
source : futura-sciences.com
08:54 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : requin, gaspillage, poisson, consommation, pêche, océans, environnement
mercredi, 02 juillet 2014
En ai-je vraiment besoin ?
On parle souvent dans les médias et les réseaux sociaux de Boyan Slat un étudiant hollandais de 20 ans qui a présenté en octobre 2012, un concept de navire équipé de barrages flottants qui pourraient filtrer les déchets dans l'océan. Des dizaines d'ingénieurs travaillent à la réalisation d'un prototype qui laisserait passer le plancton et bloquerait les micro-plastiques. Si c'est une première réponse louable, elle reste limitée aux macro-déchets qui entrent dans les océans, avant qu'ils n'atteignent les gyres mais ce n'est pas une solution pour le plastique déjà accumulé dans les gyres actuels.
Les tendances de production, les modes d'utilisation et les changements démographiques devraient entraîner une utilisation accrue du plastique. Chaque achat doit être réfléchi : "en ai-je vraiment besoin ?", "ne pourrait-on pas me le prêter par ailleurs ?", "pourrais-je en trouver un d'occasion à très bas prix ?". Nous devons être particulièrement vigilants en ce qui concerne les déchets : les mettre aux ordures et les trier, quelque soit l'environnement dans lequel nous nous trouvons.
Source : notre-planete.info
05:47 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pollution, plastique, déchets, environnement, océans, consommation, consommer autrement, pétrole
mardi, 24 juin 2014
Pour manger avec son ventre
Il y a chez l'être humain une envie d'en avoir toujours plus et cela se constate dans beaucoup de domaines. Nous sommes traversés par la crainte du manque. Même si nous n'en avons pas besoin, le fait d'en avoir plus rassure la plupart d'entre-nous. Si on ne fait pas confiance à la sensation de faim, on fera confiance à ce désir d'en avoir plus.
Pour manger avec son ventre, il faut pouvoir se défaire de l'angoisse de manquer. C'est l'inverse de tous les régimes actuels dans lesquels on se met en restriction. La réalité des tailles actuelles pour les femmes, c'est du 42 et on est conditionnée pour mettre du 38. On n'est pas dans la réalité. L'idéal est totalement fabriqué, on ne s'occupe pas de notre faim mais d'un idéal avec paradoxalement des sollicitations permanentes pour la consommation. C'est un paradoxe qui rend les gens très éloignés de leur sensation de faim.
Pour lire l'article complet : atlantico.fr
05:53 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alimentation, consommer autrement, consommation, santé, nourriture, faim
vendredi, 13 juin 2014
Pourtant, elles n’ont plus de goût.
Ce fruit originaire d’Amérique du Sud, de la famille des solanacées comme la pomme de terre, a commencé à être cultivé sous serre, toute l’année, y compris dans des pays du nord de l’Europe. Selon Mathilde Causse, qui se préoccupe du goût de la tomate à l’Inra depuis 15 ans, les variétés ont été adaptées aux conditions de culture sous abri et avec moins de lumière, or la chaleur et la lumière sont déterminantes pour le goût. Un autre palier a été franchi dans les années 80 : des sélectionneurs israéliens ont mis sur le marché une variété –Daniela- pouvant se conserver 3 semaines après récolte, grâce à une mutation sur le gène rin. Le fruit est plus ferme et mûrit moins vite. De plus, les tomates sont cueillies avant maturité, lorsqu’elles sont orange en France ou encore vertes aux Etats-Unis, alors que les arômes se dégagent dans les dernières phases de maturité. Ensuite il y a le transport, le stockage, puis la conservation chez le consommateur. Lorsqu’on les met dans le réfrigérateur, elles perdent leurs arômes. Il faudrait les sortir au moins 24h avant de les servir en salade pour récupérer leur saveur. La génétique fera peut-être progresser le goût des tomates adaptées à des circuits de production et de distribution de masse, mais le chemin le plus court vers une tomate savoureuse est le suivant: s’approcher au plus près d’un pied de tomate bien exposé au soleil et cueillir le fruit à maturité.
Source : sciencesetavenir.fr
06:17 Publié dans légumes et fruits | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tomates, génétique, gênes, goût, fruits et légumes, sciences, inra, consommation
jeudi, 29 mai 2014
La stévia additif naturel ?
Avant d’être autorisé, l’édulcorant issu de la plante a suivi un parcours de plus de 20 ans d’évaluation par les agences de santé. Ce n’est qu’à partir de 2007 que l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) a émis des avis sur les glycosides de stéviol et le rébaudioside conduisant à une autorisation nationale provisoire de deux ans du rébaudioside pur à plus de 97 %, dans des conditions d’utilisation restrictives. Enfin, le 10 mars 2010, le panel sur les additifs alimentaires et les sources de nutriments (ANS) de l’Autorité européenne de sécurité alimentaire (AESA) adopte pour les glycosides de stéviol une DJA (dose journalière admissible) relativement prudente. L’origine « naturelle » de l’édulcorant, son utilisation traditionnelle par certaines populations au Japon, au Paraguay et au Brésil ne l’a pas exempté d’une caractérisation du risque complète, comme pour tout additif alimentaire et en dépit de l’impatience des utilisateurs potentiels. C’est ainsi qu’il aura fallu presque 25 ans pour arriver à l’autorisation d’un produit purifié. De nombreuses étapes ont été nécessaires pour isoler le produit consommable sans risque. Cependant, la Commission Européenne, dans son avis d’autorisation, souligne le risque de dépassement de la DJA fixé à 4mg/kg de poids corporel. Ceci est à mettre en parallèle avec la DJA actuelle de l’aspartame qui est de 40mg/kg.
Pour en savoir plus, on peut lire l'article publié sur le site pseudo-sciences.org
05:45 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : stevia, sucre, alimentation, santé, consommation, plantes, additifs
samedi, 24 mai 2014
Pour avoir des oeufs biologiques
Selon l'agronome et industriel Pierre Weill, une poule mange des grains, mais on n'en produit pas assez en France, il faut donc faire appel aux importations. Il raconte avoir importé un chargement de graines de lin bio d'Italie. "On est passé par un courtier suisse sérieux et elles sont arrivées certifiées... Et puis récemment j'ai reçu un courrier du ministère italien de l'agriculture annonçant, navré, qu'après enquête il s'agissait en fait de lin de Moldavie, pas bio du tout".
En savoir plus sur lexpress.fr
06:05 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : oeufs, poulet, alimentation biologique, bio, consommation, consommer autrement, céréales, agronomie
samedi, 12 avril 2014
Ecolabel Européen et tourisme
87 % des voyageurs sont prêts à faire confiance à un label garantissant que leur voyage respecte les principes du tourisme durable, 56 % des Français sont prêts à payer plus cher leurs vacances vers une destination plus écologique, 50 % des voyageurs prennent en compte la certification dans leur choix d’un hébergement touristique, 30 % des écolabellisés notent un impact important voire très important du label sur le taux d’occupation.
05:30 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : label bio, camping, tourisme, consommation, vacances, développement durable
jeudi, 03 avril 2014
Une île 100% autonome
La centrale hydraulique et le parc éolien ont une capacité de 11,5 mégawatts chacun, soit plus que la consommation de l'île qui est de huit mégawatts en heures de pointe. Le gouvernement a calculé qu'il peut économiser 80 millions d'euros en vingt ans grâce à cette centrale. elle permettra à l'île, qui fait partie de la réserve mondiale de la biosphère de l'Unesco, d'éviter chaque année l'émission de 18700 tonnes de CO2 et la consommation de 6000 tonnes de fuel.
Source : futura-sciences.com
05:25 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : énergies renouvelables, éoliennes, espagne, ile, biosphère, co2, hydraulique, consommation
lundi, 31 mars 2014
Faire mieux avec moins
Jugaad est un terme hindi qui désigne le fait d’improviser des solutions efficaces à partir de ressources très limitées. En d’autres termes : “faire plus avec moins”. L'innovation Jugaad, ou frugale, apporte plus de valeur aux consommateurs tout en utilisant moins de ressources. Ce concept, né en Inde, s'est peu à peu exporté dans d'autres pays en voie de développement, mais aussi en Europe. On peut y voir l'espoir d'une société moins individualiste.
05:25 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : consommer autrement, consommation, recyclage, chauffage, énergies, inde, inventions, environnement
jeudi, 06 février 2014
Les conflits d'intérêts faussent les études
18 études est un nombre limité mais elles confirment les résultats des travaux antérieurs. Comment expliquer cette différence d'appréciation entre les études financées par les industriels et les autres ? La différence peut s'expliquer par une différence d'interprétation des données, malgré tout, les conflits d'intérêts doivent être mis en évidence pour tenir compte des conclusions de ces différentes études.
Source : NouvelObs 2228
05:30 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alimentation, population, santé, sciences, industrie, consommation
vendredi, 27 décembre 2013
Economie circulaire, repenser le modèle de développement
L'économie circulaire, c'est repenser notre modèle de développement. La raréfaction des ressources annonce des crises prochaines. L'enjeu est de réduire la consommation alors que la démographie et la croissance du niveau de vie mondial font exploser les besoins. Ainsi, la Chine, qui compte 1,4 milliard d'habitants et dont le niveau de vie est en hausse constante, a inscrit l'économie circulaire depuis plus de cinq ans dans une loi : 262 villes ont été identifiées comme étant en crise par rapport à leurs difficultés d'accès aux ressources. Il est nécessaire de s'inspirer d'une telle réflexion afin d'éviter des crises liées aux ruptures de production, telles que celle révélée par le tsunami de 2004 en Asie avec les disques durs.
L'économie circulaire ne se limite donc pas au recyclage, croire que le recyclage est une panacée est une erreur, car il présente deux défauts majeurs. D'une part, on perd de la matière au cours des processus de recyclage. D'autre part, on recycle des volumes du passé pour un besoin futur d'une toute autre dimension. Même si le recyclage était généralisé, on ne couvrirait que 10 à 20% des besoins actuels. Donner des consignes de tri, apposer un logo sur les produits recyclables, c'est très bien, mais ce serait encore mieux d'être dans une société où il serait inutile de délivrer ces consignes.
05:49 Publié dans actu & écologie, Les bons gestes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : recyclage, développement durable, économie, écologie, consommation, consommer autrement, ressources, planète, société
lundi, 09 décembre 2013
Le niveau trophique de l'homme est 2,21
La valeur 1 correspond aux plantes et au plancton, les herbivores relèvent du deuxième niveau, les carnivores, prédateurs se nourrissant d'herbivores, sont eux rattachés au troisième niveau, un orque, un requin ou un ours polaire, qui mangent d'autres carnivores, atteignent le niveau maximal de 5,5. Pour situer l'homme, les scientifiques ont utilisé les données de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) sur la consommation humaine pour la période 1961-2009. Résultat : le niveau trophique obtenu est de 2,21, soit au niveau des anchois et des cochons. Pas si étonnant, en réalité, dans la mesure où l'homme est omnivore.
Source : ecologie.blog.lemonde.fr
06:13 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sciences, animaux, homme, onu, fao, consommation, alimentation, anchois
dimanche, 08 décembre 2013
L'obsolescence programmée des smartphones
Quand l'iPhone ou tout autre smartphone entretient l'obsolescence programmée, il devient l'iDiot.
En produisant trop rapidement des nouvelles générations de smartphones, les fabricants poussent à la surconsommation. C'est une réalité qui coûte cher à la fois au consommateur mais aussi pour l'environnement qui doit délivrer toujours plus de ressources pour des produits de plus en plus futiles mais aussi assimiler les déchets générés par les anciens modèles, pas si vieux que ça.
06:27 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : consommation, consommer autrement, environnement, déchets, internet, économie