mardi, 16 juin 2015
Le réveil tant attendu
La réserve dont il dispose n’est que de 24 watts. Un niveau destiné à croître au fil du temps et à mesure que la comète 67P Tchourioumov-Guérassimenko va continuer de se rapprocher du Soleil. Aussi les communications actuelles du robot ont-elles encore une durée très limitée : deux minutes samedi dont 40 secondes consacrées à l'envoi de données. Désormais, toutes les 12 heures 30 environ, une nouvelle connexion sera tentée pour récupérer les informations déjà emmagasinées par Philae depuis son réveil. Toutefois, il faudra attendre que ces communications puissent atteindre une durée d’environ un quart d’heure pour pouvoir être en mesure de lui donner des ordres et de le remettre véritablement au travail.
Source : lepoint.fr
06:51 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : comètes, astronomie, univers, sciences, philae
lundi, 15 juin 2015
Dans un gramme d"ADN
Face à cette augmentation exponentielle de la quantité de données produites, notre civilisation numérique a de plus en plus de peine à suivre en matière de stockage informatique de masse. En 30 ans, la capacité de stockage des disques durs a été multipliée par un million (passant de 5Mo et 5 To) mais on se heurte à des limites liées aux lois de la physique. Les chercheurs explorent de nombreuses pistes pour concevoir des outils de stockage plus performants et plus sobres en énergie, plus fiables sur la durée et moins coûteux à fabriquer. Leur source d’inspiration est ce que la nature a fait de mieux dans le domaine, à savoir l’acide désoxyribonucléique, ou ADN. Une macromolécule biologique composée de deux brins appelés polymères. 2 longues chaînes de petites molécules différentes accrochées les unes aux autres dans un ordre précis et qui permettent d’encoder ainsi toute l'information génétique nécessaire au développement et au fonctionnement d’un être vivant. Une équipe britannique dirigée par le généticien George Church de l'Université d'Harvard, a fait sensation en 2012 en réussissant à encoder sous forme de 55 000 minuscules brins d’ADN, un livre de 300 pages, comportant 53 326 mots et une dizaine d'illustrations. Grâce à ces travaux, Church montra qu’il était possible de stocker un bit par paire de bases. Un extraordinaire saut technologique quand on sait qu’avec seulement un gramme d’ADN, il est théoriquement possible de stocker jusqu’à 700 To de données, soit l’équivalent de 14 336 disques Blu-ray actuels de 50 Go.
Plus récemment, des chercheurs de l'Université Harvard, du laboratoire européen d’Heidelberg et de l'Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich ont réussi à stocker sur un fragment d’ADN la Charte fédérale suisse de 1921 et la méthode des théorèmes mécaniques d'Archimède. Ces chercheurs ont ensuite placé ce fragment d’ADN dans une microbille de verre mesurant 150 nanomètres de diamètre. Ils ont enfin soumis l’ensemble à des conditions physiques et thermiques extrêmes, afin de simuler un vieillissement accéléré de plusieurs milliers d’années, et ont apporté la preuve que ces données restaient parfaitement lisibles, même après ce test. Selon ces chercheurs le stockage massif de données sur ADN sera suffisamment fiable et bon marché pour être utilisé à grande échelle dans une dizaine d’années.
Pour en savoir plus : rtflash.fr
07:10 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : informatique, inventions, internet, communications, adn, biologie, sciences
jeudi, 11 juin 2015
les sélénologues simulent
Reiner Gamma est une étrange formation brillante située sur la Lune et déjà repérée par le découvreur de la diffraction, le physicien et astronome Francesco Maria Grimaldi (1618-1663). Pendant longtemps, les astronomes pensaient, tout comme lui, qu'il s'agissait d'un cratère. Ils n'avaient que partiellement raison car le site serait en fait né de l'effet du souffle d'un impact de comète sur le sol lunaire.
Selon les chercheurs de l’université de Brown aux États-Unis, Reiner Gamma est le résultat d’impacts de comètes survenus il y a 100 millions d’années. Les sélénologues ont réalisé des simulations numériques de ces impacts de comètes, prenant en compte les propriétés du sol lunaire. Ces simulations soutiennent parfaitement l’hypothèse avancée en 1980 par Peter Schultz qui lui avait été inspirée en constatant l’effet sur ce sol des gaz des modules lunaires du programme Apollo. Il en avait déduit que l’atmosphère gazeuse d’une comète, c'est-à-dire sa chevelure, encore appelée coma, pouvait avoir le même effet sur les particules du régolithe, à savoir, souffler la couche superficielle assombrie par le vent solaire pour mettre à jour un nouveau sol plus clair.
source : futura-sciences.com
05:38 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : astronomie, sciences, lune, espace, comètes
mercredi, 10 juin 2015
L'odeur des vieux livres
Andy Brunning, professeur de chimie en Grande-Bretagne, explique que l'odeur des vieux livres est produite par les composants du papier, de l'encre et de la colle. Le papier par exemple contient de la cellulose et de la lignine. La lignine des arbres permet de lier les fibres de cellulose ensemble, assurant la solidité du tronc. C'est aussi ce composant qui est responsable du jaunissement du papier lors de la réaction d'oxydation.
L'odeur des vieux livres provient de la dégradation chimique des composants, l'hydrolyse acide, qui produit un grand nombre de composants volatiles organiques. Ceux que l'on perçoit le mieux sont le benzaldéhyde, qui donne un arôme d'amande, la vanilline, l'éthylbenzène et le toluène qui donnent une odeur douce et le 2-ethyl hexanol, qui a une odeur plutôt florale. D'autres aldéhydes et alcools participent également au mélange complexe et reconnaissable entre tous lorsque l'on entre dans une bibliothèque.
05:30 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : livres, sciences, odeur, bibliotheque, chimie, bois
jeudi, 04 juin 2015
Représentation mathématique de l'espace et du temps
L'espace-temps comporte quatre dimensions : trois pour l'espace, x, y, et z, et une pour le temps, t multiplié par la constante c (célérité de la lumière dans le vide). Un évènement se positionne dans le temps et l'espace par ses 4 coordonnées qui dépendent du référentiel. Le temps n'est pas le même suivant le référentiel dans lequel on le mesure, de même pour l'espace : la longueur d'un objet peut être différente selon le référentiel de mesure. Dans l'état actuel des connaissances, seul l'espace-temps comme concept unifié, est invariant quel que soit le référentiel choisi, tandis que ses composantes d'espace et temps en sont des aspects qui dépendent référentiel. Ce qui unifie espace et temps dans une même équation, c'est que la mesure du temps peut être transformée en mesure de distance (en multipliant t, exprimé en unités de temps, par c), et t peut donc de ce fait, être associé aux trois autres coordonnées de distance dans une équation où toutes les mesures sont en unités de distance. On peut dire que le temps, c'est de l'espace. La culture inca ne distingue pas l'espace et le temps ; l'espace-temps est appelé « pacha », en quechua.
Source : fr.wikipedia.org
05:35 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sciences, espace, temps, physique, mathématiques
mercredi, 03 juin 2015
Une forme d'énergie inconnue emplit tout l'univers
Aucune observation ne peut déterminer à elle seule les abondances relatives d'énergie noire et de matière. Par contre, leur combinaison est en mesure de le faire. L'analyse de la luminosité de certaines supernovae (des explosions d'étoiles peu massives) permet ainsi de contraindre la différence entre les densités de matière et d'énergie noire, mais pas leurs valeurs individuelles. L'observation du rayonnement fossile permet, elle, de déterminer la somme de ces densités d'énergie. En combinant ces mesures, on peut déterminer ces deux densités, la densité de matière étant à son tour contrainte de façon relativement indépendante par l'analyse de l'évolution au cours du temps des populations d'amas de galaxies.
Source : public.planck.fr
05:20 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : univers, energie, sciences, astronomie, expériences, galaxie, matière
mardi, 02 juin 2015
Le mystère de la matière noire
La matière noire est une mystérieuse composante matérielle probablement constituée de particules élémentaires mais en aucun cas de matière normale, c'est-à-dire de protons, neutrons et électrons, et que l’on suppose répartie dans tout l’univers observable. Sans charge électrique et n’interagissant que très faiblement avec la matière normale, elle se signale par son attraction gravitationnelle.
Percer les mystères de l'univers sombre par AstrophysiqueTV
On a de nombreuses preuves concordantes de la présence de la matière noire, que ce soit au niveau des galaxies, des amas de galaxies mais également en ce qui concerne la naissance des galaxies via le rayonnement fossile. Ces preuves sont toutefois indirectes. On aimerait pouvoir fabriquer ces particules non baryoniques en accélérateur, les détecter avec des expériences.
Source : futura-sciences.com
05:58 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sciences, expériences, astronomie, galaxie, matière, physique
samedi, 30 mai 2015
L'emmental manque de trous ?
C'est la disparition du seau traditionnel, placé sous le pis de la vache, et remplacé par des techniques plus modernes et plus hygiéniques, qui était à l'origine de la disparition des trous. Un lait trop propre est synonyme de manque de trous.
Source : francetvinfo.fr
06:29 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fromages, suisse, alimentation, sciences, expériences, vache
samedi, 23 mai 2015
Les maths sont une disposition d'esprit
Les mathématiques sont appréhendées, dès la petite section de maternelle avec des fiches. Colorier des formes identiques, colorier un nombre donné de formes, pourtant les enfants de trois à quatre ans apprennent principalement avec leurs corps et leurs sens, en manipulant, en expérimentant ce que préconisaient Pierre-Gilles de Gennes, Georges Charpak et « La main à la pâte ».
Lire l'article de Pierre Duriot sur atlantico.fr
06:13 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mathématiques, éducation, enfants, école, sciences
mardi, 19 mai 2015
Les briques élémentaires de la vie
Cette découverte confirme que les conditions qui ont donné naissance à la Terre et au Soleil ne sont pas uniques dans l'Univers. Les comètes conservent la primauté pour le développement d'une chimie dans le Système Solaire, à l'époque de la formation planétaire. Les comètes et les astéroïdes des bordures du Système Solaire sont supposés avoir ensemencés la jeune Terre avec de l'eau et des molécules organiques, aidant ainsi à créer les conditions pour le développement de la vie primordiale. Cette chimie existe ailleurs dans l'Univers, dans des régions qui peuvent former des systèmes solaires pas forcément différents du notre. Selon les astronomes, ce qui est particulièrement intriguant, c'est que jusqu'à présent les molécules trouvées dans MWC 480 n'avaient été observées dans des concentrations similaires que dans les comètes du Système Solaire.
Source : notre-planete.info
17:44 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : astronomie, vie, chimie, biologie, espace, sciences, comètes, planète, système solaire
lundi, 18 mai 2015
Des virus cruciaux pour le cerveau
Une nouvelle étude révèle que certains de ces rétrovirus endogènes joue un rôle crucial dans le fonctionnement cérébral : ils auraient une activité de régulation sur les gènes qui s'expriment dans le cerveau, par exemple en activant tel ou tel gène, ou encore en lui indiquant quand il doit s'exprimer. En d'autres termes, ces rétrovirus endogènes joueraient un rôle important dans les facultés cérébrales. L'activité de ces rétrovirus endogènes expliquerait notamment pourquoi les cellules du cerveau sont capables d'avoir un comportement aussi dynamique et multiforme.
Source : journaldelascience.fr
05:53 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cerveau, sciences, biologie, médecine, virus, adn
samedi, 16 mai 2015
Pourquoi l'oxygène est-il si rare dans l'espace ?
L’oxygène (O), est l’un des éléments les plus répandus dans l’Univers, avec l’hydrogène et l’hélium. Pourquoi alors l’oxygène respirable (O2), dit "dioxygène" ou encore "oxygène moléculaire" par les chimistes, n'a-t-il été détecté jusqu'à présent que très rarement dans l’espace ? Selon des chercheurs américains, c'est parce qu'il y serait tout simplement très peu fréquent. Une pénurie qui serait due à l’association des grains de poussière avec les atomes d’oxygène, ce qui empêcherait la liaison des atomes d’oxygènes entre eux pour former de l’oxygène respirable. Selon cette étude, l’oxygène (O2) associé à la poussière tend plutôt à se lier à l’hydrogène pour former des molécules d’eau (H2O), dont on sait qu'elles peuvent prendre part à la composition des astéroïdes, des comètes et des planètes.
Source : journaldelascience.fr
05:45 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chimie, oxygène, eau, sciences, hydrogènene, espace
vendredi, 15 mai 2015
Un ordinateur plus petit qu'un grain de riz
Le Michigan Micro Note, surnommé M3 est si petit que l’on peut faire tenir 150 exemplaires dans un dé à coudre, il n’a pas les performances d’un ordinateur classique mais il en a les principales caractéristiques techniques, à savoir la capacité de recevoir des données via ses capteurs, de les stocker, de les traiter pour accomplir la tâche adéquate et enfin de transmettre l’information via une liaison sans fil. L’architecture du Micro Mote repose sur un empilement de couches qui correspondent chacune à une fonction : le processeur et sa mémoire, le stockage, la batterie, la puce radio, la cellule photovoltaïque, un capteur dédié. Le processeur Phoenix consomme en moyenne 500 picowatts. Cette faible consommation est l’une des clés du concept car elle permet d’utiliser une batterie tout aussi miniaturisée.
Source : futura-sciences.com
05:34 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : robotique, innovations, sciences, informatique, internet
jeudi, 14 mai 2015
La taille ne fait pas la force
Les robots miniatures de l’université de Stanford ne pèsent pour que quelques milligrammes, mais ils sont capables de tracter, même sur une surface verticale, des objets qui peuvent peser jusqu’à 100 fois leur poids. Ces MicroTugs ont été mis au point par une équipe du Biomimetics and Dexterous Manipulation Lab, qui a créé trois modèles de mini-robots. Le premier MicroTug pèse 12 grammes et produit une force de traction horizontale de 40 newtons. Dans cette vidéo publiée sur YouTube, on voit le petit engin tirer derrière lui une tasse à café pleine dont le poids total est de 600 grammes.<./br>
Les MicroTug ont en commun un système de pattes adhésives dont la conception est directement inspirée des geckos. L'effet ventouse pour grimper aux murs a été découvert en 2002 et modélisés l’année dernière. La surface des pattes des geckos est formée de lamelles portant des millions de micropoils, chacun portant des poils encore plus petits, d'environ 200 nanomètres de long. La patte ne colle pas à proprement parler, l’adhérence provient des forces dites de van der Waals, qui apparaissent entre molécules et sont de nature électromagnétique. Chez le gecko, cette adhérence se crée lorsque ces poils s’étalent sur la surface selon un angle oblique, avec une force d'autant plus élevée que les poils sont proches de la parallèle à la surface. Le phénomène s'interrompt à l’instant où le lézard lève la patte et que les micropoils reprennent leur position perpendiculaire. C’est ainsi que le gecko peut coller et décoller ses pattes en l’espace d’une seconde et évoluer sur pratiquement tout type de surfaces et dans tous les angles.
Source : futura-sciences.com
06:18 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : robotique, innovations, sciences, gecko, vidéo
jeudi, 07 mai 2015
Le gulf Stream s'essouffle, s'arrêtera-t-il ?
Si la circulation s'affaiblit trop, elle peut même complétement s'arrêter, or la dérive nord-atlantique est considéré comme un élément possible du basculement du système terrestre. Cela se traduirait par un changement relativement rapide et difficile à enrayer. Les derniers rapports du Intergovernmental Panel on climate Change (IPCC) estiment qu'il y a une chance sur dix pour que cela se produise déjà au cours de ce siècle.
Source : notre-planete.info
05:37 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : changements climatiques, gulf stream, océans, groenland, climat, sciences
mardi, 05 mai 2015
Vigie-Nature, un réseau qui fait avancer la science
En s'appuyant sur des protocoles simples et rigoureux, il propose à chacun de contribuer à la recherche en découvrant la biodiversité qui nous entoure. Initié il y a plus de 20 ans avec le Suivi Temporel des Oiseaux Communs (STOC) créé en 1989, le programme Vigie-Nature s’est renforcé depuis avec le suivi de nouveaux groupes : les papillons, chauves-souris, escargots, insectes pollinisateurs, libellules, plantes sauvages des villes…. En offrant aux scientifiques des données de terrain essentielles, dans toute la France, les observateurs volontaires participent ainsi à l’amélioration des connaissances sur la biodiversité ordinaire et sur ses réponses face aux changements globaux (urbanisation, changement climatique…).
Pour devenir un observateur de la biodiversité : vigienature.mnhn.fr
05:41 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sciences, musée, naturalistes, biodiversité, participation, cooperation
jeudi, 02 avril 2015
Les colons martiens auront besoin d’électricité
Les sondes Mars Reconnaissance Orbiter et Mars Global Surveyor ont permis la découverte de ravines causées par des écoulements de liquides périodiques. Ces liquides ne sont très probablement pas de l’eau mais proviendraient de la fonte de glace sèche, la forme solide du gaz carbonique à basse température. Sur Terre on l’obtient en refroidissant du CO2 à une température de -78 °C. Sur Mars, on sait que cette glace carbonique existe et qu’elle est proche de son point de sublimation ce qui veut dire qu’il n’y a pas besoin de la chauffer beaucoup pour qu’elle passe à l’état gazeux. C'est une source potentielle d’énergie relativement abondante et facilement utilisable.
Source : futura-sciences.com
05:23 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mars, co2, chimie, énergies renouvelables, solaire, sciences, espace
samedi, 21 mars 2015
Un pneu capable de produire de l’électricité
La marque allemande Audi mène des recherches semblables. Son département de R&D explore la possibilité d’utiliser les amortisseurs de la voiture pour produire de l’électricité. À l’instar d’un système de récupération de l'énergie cinétique (SREC), l’idée est de capter la chaleur produite par l’échauffement de la suspension qui, selon Audi, peut atteindre entre 100 et 125 °C. Audi aurait mis au point un amortisseur incorporant un générateur synchronisé avec le mouvement mécanique de la pièce.
Source : futura-sciences.com
05:39 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : électricité, transport, énergies, voiture, énergies renouvelables, inventions, sciences
samedi, 14 mars 2015
Grâce au stress
Le stress est souvent dénoncé comme un fléau du monde moderne. Mais heureusement qu’il existe. En déclenchant une production d’hormones en cascade, du cerveau aux reins, il permet à notre organisme de réagir aux menaces. Ce mécanisme s’arrête de lui-même quand le danger disparaît. Il peut toutefois se dérégler dans certaines conditions, provoquant alors anxiété, dépression ou addictions. Comment soigner ces pathologies ? Des études en cours aident à mieux comprendre les modifications de notre cerveau associées à de tels troubles. Elles ouvrent ainsi la voie à de nouvelles thérapies.
Pour feuilleter la publication de mars du journal "La recherche"
05:42 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : stress, cerveau, santé, médecine, sciences
mercredi, 11 mars 2015
Trois générations d'explorateurs
Depuis plus d’un siècle, cette étonnante famille suisse s’emploie à repousser les limites du connu et du possible, dans un subtil alliage de rigueur scientifique, de goût de l’innovation et de soif d’exploration. Ces trois hommes ont, l’un après l’autre, préfiguré les grands défis de leur temps, portés par un bel humanisme et sensibilisés à la nécessité de préserver la planète.
Pour en savoir plus : bertrandpiccard.com
06:04 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : expédition, exploration, sciences, aventure, technologie