Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 15 mai 2015

Un ordinateur plus petit qu'un grain de riz

Une équipe d’ingénieurs, aux États-Unis, a créé le plus petit ordinateur au monde, plus petit qu'un grain de riz. Le Micro Mote mesure à peine deux millimètres de diamètre et sa batterie est alimentée grâce à une cellule photovoltaïque. Pensé pour l’Internet des objets, il peut être équipé d’un appareil photo ou d’autres capteurs afin de moduler ses fonctionnalités selon les besoins et servir à un grand nombre d’applications.

robotique,innovations,sciences,informatique,internet


Le Michigan Micro Note, surnommé M3 est si petit que l’on peut faire tenir 150 exemplaires dans un dé à coudre, il n’a pas les performances d’un ordinateur classique mais il en a les principales caractéristiques techniques, à savoir la capacité de recevoir des données via ses capteurs, de les stocker, de les traiter pour accomplir la tâche adéquate et enfin de transmettre l’information via une liaison sans fil. L’architecture du Micro Mote repose sur un empilement de couches qui correspondent chacune à une fonction : le processeur et sa mémoire, le stockage, la batterie, la puce radio, la cellule photovoltaïque, un capteur dédié. Le processeur Phoenix consomme en moyenne 500 picowatts. Cette faible consommation est l’une des clés du concept car elle permet d’utiliser une batterie tout aussi miniaturisée.

Source : futura-sciences.com

jeudi, 14 mai 2015

La taille ne fait pas la force

Les robots miniatures de l’université de Stanford ne pèsent pour que quelques milligrammes, mais ils sont capables de tracter, même sur une surface verticale, des objets qui peuvent peser jusqu’à 100 fois leur poids. Ces MicroTugs ont été mis au point par une équipe du Biomimetics and Dexterous Manipulation Lab, qui a créé trois modèles de mini-robots. Le premier MicroTug pèse 12 grammes et produit une force de traction horizontale de 40 newtons. Dans cette vidéo publiée sur YouTube, on voit le petit engin tirer derrière lui une tasse à café pleine dont le poids total est de 600 grammes.<./br>

Les MicroTug ont en commun un système de pattes adhésives dont la conception est directement inspirée des geckos. L'effet ventouse pour grimper aux murs a été découvert en 2002 et modélisés l’année dernière. La surface des pattes des geckos est formée de lamelles portant des millions de micropoils, chacun portant des poils encore plus petits, d'environ 200 nanomètres de long. La patte ne colle pas à proprement parler, l’adhérence provient des forces dites de van der Waals, qui apparaissent entre molécules et sont de nature électromagnétique. Chez le gecko, cette adhérence se crée lorsque ces poils s’étalent sur la surface selon un angle oblique, avec une force d'autant plus élevée que les poils sont proches de la parallèle à la surface. Le phénomène s'interrompt à l’instant où le lézard lève la patte et que les micropoils reprennent leur position perpendiculaire. C’est ainsi que le gecko peut coller et décoller ses pattes en l’espace d’une seconde et évoluer sur pratiquement tout type de surfaces et dans tous les angles.

Source : futura-sciences.com

mardi, 17 février 2015

Spot, le chien du futur

Spot, le nouveau robot quadrupède de Boston Dynamics, a de quoi surprendre. Non seulement il monte les marches et trotte avec aisance au côté de son maître mais, surtout, il encaisse des coups sans tomber. Une performance technique qui montre les progrès accomplis par l’entreprise depuis son robot-mulet AlphaDog.


Spot, un nouveau robot quadrupède chez Boston... par Futura-Sciences

Source : futura-sciences.com

jeudi, 05 février 2015

11 ans sur Mars

La semaine dernière, le rover de la mission MER, Opportunity vient de fêter ses onze ans sur Mars. Il a déjà parcouru plus de 41 km. Un record pour un véhicule qui roule sur une autre planète que la Terre.

espace,astronomie,mars,expédition,robotique,photographie,photos

Opportunity (« opportunité, occasion » en anglais) est la deuxième astromobile de la mission Mars Exploration Rover de la NASA. Elle a atterri sur la planète Mars le 25 janvier 2004 dans la région équatoriale de Terra Meridiani. Conçu pour analyser géologiquement le sol martien, le robot était programmé pour ne fonctionner que pendant 90 sols. Or, le 25 janvier 2015, date du onzième anniversaire de son atterrissage, il est toujours opérationnel, ayant parcouru 41,8 km en 3908 sols. La durée du jour solaire martien, souvent nommé « sol », est d'environ 24 h 40 min. (Source : wikipedia)

espace,astronomie,mars,expédition,robotique,photographie,photos


Le rover Opportunity se porte bien et nous offre en cadeau d’anniversaire une carte postale panoramique très impressionnante de toute la région qu’il embrasse de ses yeux électroniques sur 245 °, en direction de l’Est, Nord-Est. Après une ascension de quelque 135 m depuis Botany Bay, le rover a atteint voici trois semaines le site nommé Cape Tribulation, au sommet de la crête ouest des remparts du cratère martien Endeavour.

Source : futura-sciences.com

jeudi, 13 novembre 2014

Philae sur la comète

A 9h30 : à 510 millions de kilomètres de la Terre, la sonde spatiale Rosetta a largué, ce mercredi 12 novembre, le robot atterrisseur Philae, qu’elle transporte depuis 2004, sur la comète Churyumov-Gerasimenko ainsi baptisée en 1969, du nom de ses découvreurs ukrainiens, Churyumov-Gerasimenko. C'est une comète binaire, qui possède deux lobes et un noyau central. Elle mesure environ 4 kilomètres sur 3,5. Située dans l’orbite de Jupiter, elle tourne sur elle-même en 12,4 heures.
Sept heures de chute libre pour se poser tranquillement à la vitesse d’un mètre par seconde sur le «site J» qui a été retenu
à 18h04: Les harpons n'auraient pas fonctionné aussi bien que prévu sur le robot Philae. Les scientifiques vérifient l'arrimage du robot sur la comète Choury. En effet, Philae pèse 100 kg sur Terre, son poids est ramené à un gramme sur la comète, en raison de l'absence de gravité.

à 18h15: l'Agence spatiale européenne confirme que les harpons n'ont pas fonctionné comme prévu. Le robot Philae aurait rebondi plusieurs fois. Les experts tentent de comprendre pourquoi et surtout de savoir s'ils peuvent, une nouvelle fois, les déclencher afin que le robot s'ancre à la surface de la comète.



Rosetta: Philae s'est posé sur la comète... par 20Minutes

En sondant le sol de la comète grâce au robot Philae, les scientifiques espèrent retrouver les macromolécules de carbone qui ont «ensemencé» les océans de la Terre juste après la formation du sytème solaire. C’était il y a 4,6 milliards d’années...

Source : la21e.20minutes.fr

lundi, 09 septembre 2013

Mars, la planète semble tout près

Mars, la planète semble tout près. On y envoie rouler des robots, on envisage même d’y envoyer des humains… Mais elle a beau être la plus proche planète de la Terre, la planète Rouge se trouve à 55 700 millions de kilomètres contre 384 400 km pour la Lune.

planète,robotique,mars,terre,astronomie,sciences,animation,film d'animation


C’est pas la porte à côté mais difficile de se faire une idée. C’est pourquoi David Paliwoda a eu l’idée de faire sentir cette distance, grâce à une animation. Cliquer ici pour la voir.

mercredi, 04 septembre 2013

Concevoir des racines robotisées

Des scientifiques de l’Institut de technologie de Gênes, en Italie, développent depuis un an le projet Plantoid visant à concevoir des racines robotisées. Ces racines, capables de simuler la croissance d’une plante, permettront d’observer la capacité d’adaptation des racines et la façon dont elles explorent, se nourrissent, grandissent, se multiplient et se déploient en réseau.

sciences,robotique,intelligence,végétalisation,plantes,racines,sols


Pour arriver à mimer ces organismes vivants, les chercheurs ont dû faire face à toute une série d’obstacles. Il fallait en effet parvenir à créer un appendice à la fois souple, capable de réduire la friction, en mesure de croître (en longueur et en volume) et capable de reproduire le mécanisme de pénétration dans le sol des racines ainsi que leur déploiement dans différentes directions. De plus, ces racines robotiques devaient être en mesure de détecter les éléments biologiques qui composent le sol. La chose est d’autant plus complexe que la croissance des racines est déterminée par les stimuli chimiques et physiques que rencontrent les plantes. Plantoid poursuit deux objectifs principaux. Premièrement, analyser, comprendre et synthétiser à l’aide de ces racines les principes qui permettent aux plantes de s’adapter à leur environnement souterrain. Deuxièmement, élaborer et tester des hypothèses et des modèles sur le fonctionnement et le système adaptatif des racines durant des phases de croissance.


En savoir plus: maxisciences.com
Copyright © Gentside Découvertes

En savoir plus: http://www.maxisciences.com/plantoid/projet-plantoid-des-racines-robotisees-capables-de-simuler-la-croissance-d-une-plante_art30538.html
Copyright © Gentside Découvertes

mardi, 18 juin 2013

Explorer les possibilités des calculateurs quantiques

Un calculateur quantique utilisant 512 qubits était en cours d’installation dans un laboratoire hébergé par le Ames Research Center de la Nasa et équiperait le Quantum Artificial Intelligence Lab de Google. En optant pour le D-Wave Two, la Nasa confirme qu’elle espère bien explorer les possibilités des calculateurs quantiques pour résoudre plus efficacement qu’avec des ordinateurs classiques divers problèmes, tels que le trafic aérien, la planification de missions ou d’autres relevant de la robotique et de la recherche d’exoplanètes. Pour sa part, Google compte sur le potentiel des calculateurs quantiques pour optimiser la recherche dans des bases de données, la reconnaissance vocale, mais surtout l'apprentissage automatique.


L’apprentissage automatique est l’un des champs d'étude de l'intelligence artificielle concerné par le développement, l'analyse et la mise en œuvre de méthodes automatisables qui permettent à une machine d'évoluer grâce à un processus d'apprentissage. On ne peut s’empêcher de penser que la fondation du Quantum Artificial Intelligence Lab par Google n’est pas sans relation avec son recrutement récent de Ray Kurzweil, expert du transhumanisme.