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mercredi, 03 juin 2015

Une forme d'énergie inconnue emplit tout l'univers

En reconstituant une partie de l'histoire de l'expansion, il a pu être établi qu'une forme d'énergie inconnue en laboratoire emplissait tout l'univers. C'est même la forme d'énergie la plus abondante qui existe aujourd'hui. Cette mystérieuse forme d'énergie possède des propriétés très atypiques, totalement inconnues en laboratoire. Faute d'explication satisfaisante, elle est appelée énergie noire.

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Aucune observation ne peut déterminer à elle seule les abondances relatives d'énergie noire et de matière. Par contre, leur combinaison est en mesure de le faire. L'analyse de la luminosité de certaines supernovae (des explosions d'étoiles peu massives) permet ainsi de contraindre la différence entre les densités de matière et d'énergie noire, mais pas leurs valeurs individuelles. L'observation du rayonnement fossile permet, elle, de déterminer la somme de ces densités d'énergie. En combinant ces mesures, on peut déterminer ces deux densités, la densité de matière étant à son tour contrainte de façon relativement indépendante par l'analyse de l'évolution au cours du temps des populations d'amas de galaxies.

Source : public.planck.fr

mercredi, 19 novembre 2014

Des coupures d'électricité en hiver ?

Les deux rapports, la 16e édition annuelle de l’Observatoire européen des marchés de l’énergie publiée le 27 octobre par la société Capgemini et le Bilan 2014 publié en septembre par le Réseau de transport d’électricité (RTE), mettent en garde certains pays européens, dont la France, contre le risque de black-out électrique durant les prochains hivers. Notamment, dès l’hiver 2016-2017, en cas de pic de consommation, il pourrait manquer à la France environ 2000 méga-watts (MW), soit l’équivalent de la production de deux réacteurs nucléaires. Des coupures sont donc à craindre dont l’étendue et la durée dépendraient du manque net d’électricité mais aussi de son effet déstabilisateur sur l’ensemble de réseaux électriques interconnectés.

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De fait, la distribution de l’électricité est problématique car elle ne peut pas être stockée. Elle doit donc être produite au moment où elle est nécessaire, grâce à des centrales très réactives. Comme un réseau électrique, national ou transnational, est constitué d’une multitude de producteurs et de consommateurs, le paramètre essentiel d’une bonne distribution est l’équilibre : à tout moment il faut injecter dans les réseaux assez d’électricité, sinon c’est le black-out, mais il ne faut pas en injecter trop, au risque de surcharger des réseaux parfois au bord de la vétusté (black-out également. Or selon les rapports de Capgemini et de RTE, le risque de manque s’est accru ces dernières années pour atteindre aujourd’hui un seuil critique. Le résultat d’une addition de multiples facteurs, comme l’augmentation constante de la consommation d’électricité (+1,2% par an) et la grand variabilité de la demande et des usages en pleine mutation à cause de la révolution numérique.

Pour en savoir plus : science-et-vie.com

dimanche, 20 avril 2014

Eruption solaire

Les clichés pris par la sonde SDO, Solar Dynamics Observatory, dévoilent les flux d'énergie secouant la surface du Soleil. Cette éruption, capturée par SDO le 2 avril 2014 est classée dans la catégorie M; le classement indique l'intensité en watts par mètre carré (W/m2) des rayons X produits par ce phénomène survenant dans l'atmosphère du Soleil.


Eruption solaire photographiée le 2 avril 2014 par la sonde SDO de la Nasa. Les rayonnements, qui surgissent dans les longueurs d'onde de l'ultraviolet, ont été représenté en rouge et en jaune. NASA/SDO/Goddard Space Flight Center.

Source : sciencesetavenir.fr

samedi, 19 octobre 2013

Les nanoparticules, des bombes à retardement

Les nanotechnologies permettraient de fabriquer des appareils plus petits, plus rapides, plus légers et moins coûteux, tout en utilisant moins de matières premières et en consommant moins d'énergie. Cependant, leur impact sur la santé et sur l'environnement est peu connu et fait débat.

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Le projet NANO-ECOTOXICITY fait partie des projets financés par l'UE pour essayer d'éclaircir la situation. Il s'est intéressé aux nanoparticules de métaux, constatant qu'elles s'accumulaient dans les sols et que l'on manquait de données fiables sur leur consommation par les organismes du sol et leurs effets potentiels. Coordonnée par le Dr Claus Svendsen, l'équipe a conduit des tests de toxicité pour évaluer l'effet de nanoparticules d'oxyde de zinc (ZnO) et d'argent (Ag) sur des vers de terre. Les organismes exposés aux nanoparticules d'argent lors d'études à court terme accumulent plus d'argent que face à une même concentration massique d'ions argent. Cependant, ils souffrent de moins d'effets toxiques. Cette observation contredit l'hypothèse que la concentration interne est directement reliée à la concentration chimique sur le site cible, et donc à sa toxicité. Ce que l'on ignore encore c'est si l'accumulation des nanoparticules d'argent peut devenir toxique à long terme (par exemple par dissolution et libération d'ions) dans les cellules et les tissus où elles sont stockées. Dans ce cas, les concentrations accumulées plus élevées conduiraient à une toxicité à long terme supérieure des nanoparticules par rapport aux formes ioniques. Ces nanoparticules accumulées seraient donc des « bombes à retardement » internes, importantes pour les effets et la toxicité à long terme.

Source : notre-planete.info

mardi, 24 septembre 2013

Les sciences du climat

Les climatologues du GIEC se réunissent cette semaine à Stockholm autour d'un document de travail de 2014 pages et porte sur les sciences du climat. C’est une revue de toutes les connaissances en matière de climat et de son évolution accumulées depuis le précédent rapport paru en 2007.

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Hausse du niveau des mers, fonte des calottes glaciaires et des glaciers, températures globales des terres et des océans, archives paléo-climatiques font partis des sujets abordés. Les modèles climatiques sont aujourd’hui beaucoup plus sûrs et leurs résultats ont permis d’élaborer quatre scénarios d’évolution du climat pour construire des simulations pour chaque région du monde sur des périodes de dix ans. Le GIEC évalue 9200 études menées dans le monde entier et publiées dans les revues scientifiques. Après le groupe de travail 1 sur les sciences du climat, deux autres rapports sont prévus pour 2014. Le groupe de travail 2 sur la vulnérabilité des activités humaines et leur adaptation au changement climatique rendra son rapport du 25 au 29 mars 2014 à Yokohama au Japon. Le groupe de travail 3 sur les mesures à prendre pour atténuer les impacts du réchauffement climatique rendra son rapport du 7 au 11 avril 2014 à Berlin en Allemagne. Le rapport global de synthèse sera publié fin octobre 2014 à Copenhague au Danemark.

Source : sciencesetavenir.nouvelobs.com

jeudi, 07 juin 2012

Les thons transportent des radionucléides de Fukushima

Selon des chercheurs de l'Université de Stanford aux Etats-Unis, des thons rouges du Pacifique pêchés près des côtes californiennes en août 2011 transportaient des radionucléides échappés de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima-Daiichi. Ils ont trouvé des taux de césium 134 et de césium 137 plus élevés que dans les thons rouges du pacifique prélevés avant le séisme du 11 mars 2011 et la catastrophe de Fukushima-Daiichi. Par comparaison, ils n’ont trouvé aucun changement des taux de radionucléides chez des thons jaunes, ou albacore, qui avaient grandi dans l’Est de l’océan Pacifique. Les thons rouges ont eux passé un ou deux ans dans les eaux japonaises avant de migrer vers l’Est.

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Les taux décelés restent inférieurs à des taux d’isotopes radioactifs naturellement présents dans le thon comme le potassium-40, et cela ne rend donc pas les poissons impropres à la consommation. Ces résultats montrent comment une contamination radioactive peut voyager avec des espèces dans l’océan.

Pour en savoir plus, on peut lire l'article publié sur le site sciencesetavenir.fr

samedi, 10 mars 2012

Apporter le l'eau au moulin... de sa voiture

De nombreuses recherches ont été menées pour utiliser de l'eau dans dans la carburation des moteurs mais aucun produit jusqu’alors n’avait apporté de solution fiable. Un système a été développé et breveté par des ingénieurs français, reprenant les éléments positifs des travaux précédemment réalisés mais en améliorant leurs concepts et en intégrant de nouveaux procédés que les technologies actuelles ont rendus accessibles. Il permet une réduction de la consommation en carburant et une diminution  des émissions de gaz polluant. Ce système ne nécessite aucune modification du moteur, s’installe en 1 heure et ne demande que peu d’eau de pluie ou déminéralisée pour fonctionner. Sa conception le rend compatible à tout type de moteur, diesel ou essence.

Voici une présentation promotionnelle de l'Econokit est le fruit d’une étude approfondie :

mardi, 24 janvier 2012

Les activités Bois Energie de l'O.N.F.

Dans le cadre du développement de ses activités bois énergie, l'ONF a fait réaliser un film promotionnel sur la production et la commercialisation de bois bûche sous le label ONF Energie Bois.

L'objectif principal du film proposé sur YouTube par l'O.N.F. est de montrer que la production de bois bûche s'est aujourd'hui fortement modernisée et offre des produits de qualité constante, issus de forêts gérées durablement.

mercredi, 11 janvier 2012

Paris fait fausse route

Selon les Amis de la Terre, en ville la mobilité se conjugue en collectif et doit s’organiser autour des transports collectifs et circulations douces. Avec, le projet Autolib’, lancé le 5 décembre 2011, la Ville de Paris va mettre en circulation 3 000 voitures supplémentaires, dans une ville à l’espace public saturé par ce moyen de transport individuel omniprésent et étouffant qu’est la voiture.

Pour les Amis de la Terre Paris, les modes de déplacements en ville doivent être analysés et arbitrés en tenant compte de tous les impacts : climat, énergie, pollutions locales, dégradations environnementales, nuisances, cadre de vie et partage de l’espace public. Dans ce cadre, Autolib’ ne répond pas à la nécessaire remise en cause des déplacements en voiture au profit des transports en commun, du vélo et de la marche.

Pour en savoir plus sur ce point de vue, on peut consulter le site des Amis de la Terre

mercredi, 04 janvier 2012

La méthanisation pour limiter les gaz à effets de serre

L'appel à projet de la Région Limousin  pour favoriser l’émergence de petites unités de méthanisation dans les exploitations agricoles, est terminé.

L’agriculture et la sylviculture constituent une part importante de l’économie limousine. Mais ces activités émettent des gaz à effet de serre contre lesquels la Région Limousin cherche à lutter, tout en cherchant à renforcer une économie agricole durable. La méthanisation, en proposant une voie de traitement des effluents mais aussi de gestion des apports organiques, apporte une réponse à cette question.

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La méthanisation consiste en la dégradation de la matière organique telle que les effluents d’élevage ou les résidus de cultures par des microorganismes, en conditions contrôlées et en l’absence d’oxygène. Cette dégradation s’effectue au sein d’une cuve appelée « digesteur » et aboutit à la production d’un produit humide, le « digestat », riche en matière organique partiellement stabilisée et susceptible d’être épandu sur des terres agricoles, après éventuellement une phase de compostage et de maturation, de biogaz, mélange gazeux composé d’environ 50% à 70% de méthane, qui, épuré et enrichi, peut être valorisé sous différentes formes (électricité, chaleur, carburant) en tant qu’énergie renouvelable. Une tonne d’effluents d’élevage permettrait de produire 100 à 300 kWh2.

Pour plus d'information, on peut consulter le site region-limousin.fr

mercredi, 15 juin 2011

La bourse ou la vie

Ce soir, sur France 3, dans l'émission  Pièces à conviction présentée par Elise Lucet : Alimentation, la bourse ou la vie.

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Après l'envolée des cours du pétrole et de l'énergie, c'est au tour des denrées alimentaires de battre des records. Depuis 2007, et la crise des subprimes, on spécule sur le blé, le maïs, le riz, le colza, l'orge, le soja. En 2008, la population du Mozambique a envahi les rues de Maputo se révoltant contre la famine. L'état est propriétaire de 36 millions d'hectares de terres cultivables. Pourtant le pays a préféré privilégier les agrocarburants et importe la quasi totalité de la nourriture.
Les équipes de «Pièces à conviction» ont enquêté en France, en Afrique et en Amérique du Sud sur les raisons de la crise alimentaire. Au programme : - «Agrocarburants : de la nourriture dans nos réservoirs» - «Brésil : haro sur les terres agricoles» - «Céréales : la nouvelle guerre économique» - «Eleveurs : le cauchemar des vaches maigres» - «Le monde impitoyable de l'industrie du poulet».

lundi, 25 octobre 2010

Une solution d'avenir pour les villes

Le bâtiment, situé rue de Londres à Ixelles en Belgique, est caractéristique des nouvelles surélévations bioclimatiques d'immeuble en ville. Trois étages en ossature bois surplombent l'immeuble existant. Panneaux solaires, panneaux thermiques, pompe à chaleur et puits thermique de 80 mètres, assurent l'autonomie énergétique du nouveau bâtiment où logent quatre ménages.


Rue de Londres - Maison des cyclistes (2005)
envoyé par Eco-Habitat. - Découvrez plus de vidéos de mode.
Concepteur-Promoteur: Claude Rener
Architecte: Jean-Paul Hermant

jeudi, 14 octobre 2010

BP a abusé des produits dispersants

Philippe Cousteau a plongé au cœur de la marée noire. Je voulais absolument filmer ce que les gens ne pouvaient pas voir parce qu’on ne leur montrait que des images de la catastrophe en surface. Je savais que cela pouvait être dangereux en raison de la toxicité du pétrole, mais j’étais équipé d’un scaphandre professionnel. Je sentais que je devais le faire, notamment en mémoire de mon grand-père et de mon père. S’ils étaient vivants, ils auraient certainement voulu, eux aussi, témoigner de l’impact sous-marin de cette catastrophe. 

 

maree-noire-BP.jpg

 

Une sensation horrible. J’étais entouré par une sorte de nuage toxique, une soupe chimique de couleur rougeâtre où se mélangeaient pétrole et produits dispersants. Il y avait des poissons morts autour de moi. Cela a permis de montrer que les hydrocarbures n’étaient pas concentrés uniquement en surface, mais qu’ils se répandaient aussi en profondeur. BP a abusé des produits dispersants pour masquer la marée noire, «out of sight is out of mind» (ce qui ne se voit pas n’existe pas). Les agences gouvernementales les ont autorisés en espérant que cela ralentirait l’arrivée du pétrole sur les plages.

Pour en savoir plus, on peut relire l'interview dans Le Parisien ou regarder Envoyé Spécial ce jeudi soir.

 

dimanche, 10 octobre 2010

E=mc², la formule la plus célèbre de la physique

E=mc² est la formule la plus célèbre de la physique. Étienne Klein, physicien au CEA, nous explique devant son tableau blanc à quel point elle a révolutionné la connaissance des rapports entre masse et énergie.


E=mc2
envoyé par universcienceTV. - Vidéos des dernières découvertes technologiques.

La brillance du soleil est une illustration de cette formule E=mc²


EINSTEIN - 1905 année lumière (3_3)
envoyé par einstein-rosen-podolsky. - Vidéos des dernières découvertes scientifiques.

05:47 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : énergies, energie, sciences

dimanche, 18 avril 2010

L'énergie solaire, une opportunité à saisir

Bertrand Piccard estime qu'avec le projet Solar Impulse une nouvelle ère de l'aviation est en train de s'ouvrir.



"L'énergie solaire, une opportunité à saisir!"
envoyé par lefigaro.

Mercredi 7 avril 2010, la "libellule" de Bertrand Piccard a réussi son premier vol.



Les infos des enfants du 8 avril 2010
envoyé par MonQuotidien. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

mercredi, 14 avril 2010

Solar Impulse, voler sans carburant

La semaine dernière, l'avion propulsé à l'énergie solaire, Solar Impulse, a décollé pour son premier vol qui a duré 89mn. Cet avion a l'envergure d'un Airbus A340 mais ne pèse guère plus qu'une voiture. Les ailes de l'appareil sont recouvertes de quelques 12000 cellules photo-voltaïques qui alimentent en énergie les quatre moteurs électriques et permettent de recharger ses batteries. Le pilote d'essai a évalué son comportement en vol qui est inhabituel étant donné son envergure et son poids. Bertrand Piccard avoue la très grande émotion qu'il a ressentie lors du décollage. En 2013, il tentera de réaliser le tour complet de la planète en 20 à 25 jours dans cet avion dont la seule source d'énergie est le soleil. Ce premier vol est le vrai coup d'envoi du projet qui a déjà réclamé 11 ans de préparation.

avion-solaire.jpg

Selon Bertrand Piccard, ce projet permettra avant tout de montrer ce qu'on peut faire avec les énergies renouvelables. Voler sans carburant a toujours été considéré comme impossible. C’est pourtant le but de cet avion, propulsé uniquement avec l’énergie captée par des cellules solaires montées sur les ailes. Cette énergie captée pendant la journée servira non seulement à propulser l’avion, mais également à recharger des batteries pour assurer le vol de nuit. Le pilote aura donc la nécessité absolue de se retrouver chaque soir avec des batteries pleines et d’économiser au maximum l’énergie à disposition pour tenir l’air jusqu’au lever de soleil suivant. Durant ce vol, sur un site internet, on pourra observer en direct le niveau de charge des batteries et le temps décompté avant le lever du soleil.

dimanche, 07 mars 2010

Solaire, mode de vie

Près d'Annecy, à l’Institut national de l’énergie solaire (CEA), des chercheurs testent en vraie grandeur de nouveaux systèmes de production d’énergie solaire. Avec l'objectif que maison et automobile puissent un jour s’alimenter l’une l’autre…
Réalisation : Bernard David-Cavaz
Production : Cité des sciences et de l’industrie 2009


Solaire, mode de vie
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dimanche, 28 février 2010

La tache sur un toit brûlant

De plus en plus de collectivités françaises font appel à la thermographie infrarouge aérienne pour repérer les déperditions de chaleur des maisons et des bâtiments publics. Un outil qui révèle les défauts d’isolation et permet de sensibiliser les habitants aux économies d’énergie. Réalisation : Jean-Pierre Courbatze et Laurianne Geffroy Production : Cité des sciences et de l’industrie 2009
La tache sur un toit brûlant
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dimanche, 21 février 2010

Quand les oies nous éclairent

Dans le Périgord, une ferme d’élevage d’oies (environ 6000 bêtes) expérimente la production de biogaz à partir des excréments. Une partie de la production d’énergie est ensuite revendue à EDF... Réalisation : Audrey Mikaelian Production : Cité des sciences et de l’industrie 2009
Quand les oies nous éclairent
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dimanche, 31 janvier 2010

Le JT du solaire

Voici le premier JT du solaire :

Comment fonctionne une cellule photovoltaïque?
Une cellule photovoltaïque est un composant électronique qui, exposé à la lumière (photons), génère de l’électricité. C’est l’effet photovoltaïque qui est à l’origine du phénomène. Lorsque les photons (des ''grains de lumière'') heurtent une surface mince de ces matériaux, ils transfèrent leur énergie aux électrons de la matière. Ceux-ci se mettent alors en mouvement dans une direction particulière, créant ainsi un courant électrique qui est recueilli par des fils métalliques très fins. Ce courant peut être ajouté à celui provenant d’autres dispositifs semblables de façon à atteindre la puissance désirée pour un usage donné : ainsi plusieurs cellules photovoltaïques forment un module et plusieurs modules forment un champ photovoltaïque.
Une cellule individuelle, unité de base d’un système photovoltaïque, ne produit qu’une très faible puissance électrique, typiquement de 1 à 3 W avec une tension de moins d’un volt. Pour produire plus de puissance, les cellules sont assemblées pour former un module (ou panneau).