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mardi, 29 octobre 2013

mille milliards de fourmis

On pense que les fourmis ont eu très tôt (il y a au moins 100 millions d'années) une reine. Et que leur organisation était la même qu'aujourd'hui. Vers quoi vont-elles évoluer ? Vers plus de socialité? En la matière les fourmis ont atteint le sommet de l'évolution. Ou alors "régresser" aboutir à un état solitaire.

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Il existe des espèces de fourmis sans reines. Chez elles, la reine est remplacée par une ouvrière capable de s'accoupler. Ces espèces sont apparues secondairement, à partir d'espèces qui, au départ avait une reine . Est-ce une étape vers les fourmis solitaires? On en est loin, car il y a toujours un partage des fonctions entre des individus qui pondent et des individus qui ne pondent pas.

Les fourmis sont apparues il y a 120 millions d’années
1 million de milliards d’individus vivent à chaque instant sur notre globe
Il existe 14 095 espèces
Elles représentent en biomasse 30 % du poids de tous les insectes
90 % des individus restent dans le nid
20 % des fourmis sont inactives
Une micro colonie de 20 fourmis tient dans un gland
Les fourmis ont un champ de vision à 300° maximum mais une très faible acuité : basique mais robuste

mercredi, 24 juillet 2013

L'agroécologie en 12 points

Un travail du sol qui ne bouleverse pas sa structure, son ordonnancement vital entre surface et profondeur, entre terre arable, siège de micro-organismes aérobies, et terre profonde et souvent argileuse, siège de micro-organismes anaérobies.
Une fertilisation organique fondée sur les engrais verts et le compostage.
Une gestion plus efficace des éléments nutritifs en recyclant la biomasse et en ajoutant régulièrement des résidus agricoles.
Des traitements phytosanitaires aussi naturels que possible et utilisant des produits qui se dégradent sans dommage pour le milieu naturel.
Le choix judicieux des variétés les mieux adaptées aux divers territoires avec la mise en valeur des espèces traditionnelles locales.
L’augmentation de la couverture avec du fumier et des engrais verts.

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L’économie et l’usage optimum de l’eau. L’irrigation peut être accessible lorsqu’on a compris l’équilibre entre terre et eau
Le recours à l’énergie la plus équilibrée, d’origine mécanique ou animale selon les besoins mais avec le souci d’éviter tout gaspillage ou suréquipement couteux.
Des travaux anti-érosifs de surface pour tirer parti au maximum des eaux pluviales.
La constitution de haies vives pour protéger les sols des vents.
Le reboisement des surfaces disponibles et dénudées avec diversité d’espèces.
La réhabilitation des savoir-faire traditionnels conforme à une gestion écologique économique du milieu.

Source : agrisud.org

vendredi, 28 juin 2013

Accès universel à des services énergétiques modernes

Le leader mondial sur le marché des énergies renouvelables en 2012 reste la Chine, avec une augmentation de 22% équivalent à des investissements de 67 milliards de dollars en 2012, majoritairement dans les technologies solaires. Ailleurs dans le monde l'Afrique du Sud, le Maroc, le Mexique, le Chili et le Kenya ont connu des augmentations rapides du secteur renouvelable. La région du Moyen Orient et de l'Afrique du Nord a enregistré une augmentation de 228% et un investissement total de 12 milliards de dollars. Ce développement est particulièrement encourageant en vue du triple engagement du Secrétariat des Nations Unies d'un accès universel à des services énergétiques modernes, d'un doublement de l'amélioration de l'efficacité énergétique et de la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique global d'ici à 2030 avec l'initiative Energie Durable pour Tous.

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L'électricité éolienne représente environ 39% de l'ajout en 2012, suivi par les énergies hydraulique et solaire photovoltaïque qui représentaient chacune 26%. Au final, l'énergie hydraulique reste la première énergie renouvelable en terme de capacité installée avec 990 GW, puis vient l'énergie solaire (357,5 GW dont 100 GW de photovoltaïque), l'énergie issue de la biomasse (350 GWh) et l'éolien (283 GW). En Chine, la production d'électricité éolienne a augmenté plus rapidement que celle provenant du charbon, et a dépassée l'électricité nucléaire pour la première fois.

Source : notre-planete.info

dimanche, 31 janvier 2010

Le JT du solaire

Voici le premier JT du solaire :

Comment fonctionne une cellule photovoltaïque?
Une cellule photovoltaïque est un composant électronique qui, exposé à la lumière (photons), génère de l’électricité. C’est l’effet photovoltaïque qui est à l’origine du phénomène. Lorsque les photons (des ''grains de lumière'') heurtent une surface mince de ces matériaux, ils transfèrent leur énergie aux électrons de la matière. Ceux-ci se mettent alors en mouvement dans une direction particulière, créant ainsi un courant électrique qui est recueilli par des fils métalliques très fins. Ce courant peut être ajouté à celui provenant d’autres dispositifs semblables de façon à atteindre la puissance désirée pour un usage donné : ainsi plusieurs cellules photovoltaïques forment un module et plusieurs modules forment un champ photovoltaïque.
Une cellule individuelle, unité de base d’un système photovoltaïque, ne produit qu’une très faible puissance électrique, typiquement de 1 à 3 W avec une tension de moins d’un volt. Pour produire plus de puissance, les cellules sont assemblées pour former un module (ou panneau).