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mercredi, 24 juillet 2013

L'agroécologie en 12 points

Un travail du sol qui ne bouleverse pas sa structure, son ordonnancement vital entre surface et profondeur, entre terre arable, siège de micro-organismes aérobies, et terre profonde et souvent argileuse, siège de micro-organismes anaérobies.
Une fertilisation organique fondée sur les engrais verts et le compostage.
Une gestion plus efficace des éléments nutritifs en recyclant la biomasse et en ajoutant régulièrement des résidus agricoles.
Des traitements phytosanitaires aussi naturels que possible et utilisant des produits qui se dégradent sans dommage pour le milieu naturel.
Le choix judicieux des variétés les mieux adaptées aux divers territoires avec la mise en valeur des espèces traditionnelles locales.
L’augmentation de la couverture avec du fumier et des engrais verts.

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L’économie et l’usage optimum de l’eau. L’irrigation peut être accessible lorsqu’on a compris l’équilibre entre terre et eau
Le recours à l’énergie la plus équilibrée, d’origine mécanique ou animale selon les besoins mais avec le souci d’éviter tout gaspillage ou suréquipement couteux.
Des travaux anti-érosifs de surface pour tirer parti au maximum des eaux pluviales.
La constitution de haies vives pour protéger les sols des vents.
Le reboisement des surfaces disponibles et dénudées avec diversité d’espèces.
La réhabilitation des savoir-faire traditionnels conforme à une gestion écologique économique du milieu.

Source : agrisud.org

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