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samedi, 25 octobre 2014

Les miels sont contaminés par des microplastiques

Fin 2013, une étude allemande révélait que du miel vendu outre-Rhin incorporait des particules de plastique, d’une taille de 0,01 à 9 mm selon les résidus. S’agit-il d’un problème propre à l’Allemagne ou bien d’une contamination plus globale ? 60 Millions de consommateurs a voulu en avoir le cœur net en passant au crible le contenu de douze pots de miel, achetés en France mais contenant du miel de provenances diverses. Les résultats plaident pour l’hypothèse d’une contamination globale. Quels que soient leur origine et leur mode de production (conventionnel ou bio), tous les échantillons sont contaminés par des microplastiques.

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Les miels les plus pollués affichent jusqu’à 265 microrésidus par kilo, soit trois fois plus que les références les mieux notées. Les analyses ont mis en évidence trois types de microplastiques présents dans le miel : des fibres, qui pourraient être d’origine textile ; des fragments, dont on peut supposer qu’il s’agit de produits de dégradation de plastiques plus volumineux ; et des granules, qui pourraient provenir de cosmétiques ou de rejets industriels. Les chercheurs allemands ont détecté des microparticules dans l’eau de pluie, dans l’atmosphère et dans certaines fleurs. Dispersées dans la nature, elles seraient collectées par les abeilles en même temps que le pollen, rapportées à la ruche, puis intégrées au miel.


Source : 60millions-mag.com

lundi, 30 juin 2014

Les orchidées sont suprenantes

Les orchidées sont surprenantes par leur beauté, leurs couleurs vives, leurs pétales délicats mais aussi leurs formes insolites. Certaines orchidées ressemblent à de petits bonshommes nus comme l'orchidée Orchis Italica.

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De nombreuses autres variétés semblent s'être inspirées de la nature : oiseaux majestueux, petits insectes farceurs, anges, danseuses que de formes artistiques.

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L’orchidée Phalaenopsis ressemblant à un oiseau

Source : planet.fr

mercredi, 21 mai 2014

Prendre la protection des abeilles au sérieux

Après 2013, année noire pour les apiculteurs avec une récolte au plus bas, les épandages de pesticides seront bientôt totalement interdits en fin de journée pendant les périodes de floraison. 3 raisons de prendre la protection des abeilles au sérieux.

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La population des abeilles est en chute libre. Pourtant selon une étude de Greenpeace publiée en avril 2013, il n'existe aucune donnée précise pour connaître la situation des pollinisateurs dans le monde .
Les abeilles pollinisent les fleurs et elles sont considérées comme "les meilleurs pollinisateurs". Leur disparition pourrait se révéler dramatique pour l'environnement.
Le rôle des abeilles dans la nature ne rapporte pas que des fleurs et du miel, selon Greenpeace, l'apport du travail des abeilles dans le monde se chiffre à 265 milliards d'euros par an. A titre de comparaison, c'est près de 10% du PIB de la France en 2013.


Source : lexpress.fr

mercredi, 01 mai 2013

Treize clochettes portent bonheur

Dans le langage des fleurs le muguet signifie "retour du bonheur". On l'offre traditionnellement le 1er mai pour porter bonheur. Plus il y a de clochettes, plus la chance sourit à celui qui les reçoit. Pour certains même, seuls les brins de muguet ayant naturellement treize fleurs portent bonheur.

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Les Romains célébraient déjà, au début du mois de mai, les Floralia (Florales), en l'honneur de Flora, la déesse des fleurs. On organisait en son honneur de grands jeux floraux afin qu’elle offre au peuple de bonnes récoltes pour l’année. En Grèce la tradition existe toujours : on suspend des couronnes de fleurs à l'entrée des maisons. D’après Ovide, Flore, nymphe des îles Fortunées, était dotée d’une incroyable beauté, au point de séduire Zéphyr, dieu du vent de l’Ouest. Après l’avoir enlevée, celui-ci l’épousa et lui offrit pour domaine l’empire des fleurs et le printemps éternel.

Source : teva.fr

jeudi, 07 mars 2013

Sensibles aux champs électriques des fleurs

Les scientifiques de l'université de Bristol viennent de découvrir chez le bourdon une nouvelle modalité perceptive autre que la couleur, les motifs, la forme, l'odeur, le degré d'humidité, la température : les champs électriques naturels entourant les fleurs et d'utiliser cette signature pour butiner plus efficacement dans les massifs proches de son nid. Les biologistes savent depuis plus de trente ans que les insectes volants, tout comme les fleurs, sont électriquement chargés. Les premiers ont un potentiel électrique positif, tandis que les secondes sont chargées négativement. Cette différence favorise le transfert du pollen entre la plante et les insectes. Mais jusqu'alors le rôle de ces champs électriques très minimes dans le repérage des fleurs n'avait pas été étudié. C'est ce que viennent de faire les scientifiques de l'université de Bristol.

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Les chercheurs ont effectué des mesures sur des pétunias. Ils ont constaté que la visite d'un bourdon modifie le potentiel électrique de la fleur de 25 millivolts pendant environ 100 secondes. Ils ont testé la capacité des bourdons à différencier des fleurs artificielles. Certaines de ces fleurs contenaient du sucrose et présentaient un potentiel électrique de 30 V en courant continu, d'autres proposaient une solution amère et étaient reliées électriquement à la terre. Rapidement, les bourdons montraient une préférence pour les premières, mais quand celles-ci étaient reliées à la terre ils visitaient indifféremment les deux types de fleurs, comme s'ils avaient perdu un précieux indice. La découverte de cette sensibilité aux champs électriques permet de mieux comprendre les informations prises en compte par les bourdons et cela pose la question de l'impact potentiel des champs électromagnétiques artificiels issus de l'activité humaine, comme les téléphones et les lignes à haute tension, sur le comportement des bourdons et des autres insectes pollinisateurs.

Source : lemonde.fr

jeudi, 14 février 2013

Mignonne, allons voir si la rose

Mignonne, allons voir si la rose

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Qui ce matin avait déclose
Sa robe de pourpre au soleil,
A point perdu cette vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au votre pareil.
Las ! voyez comme en peu d'espace,
Mignonne, elle a dessus la place,
Las, las ses beautés laissé choir !
O vraiment marâtre Nature,
Puisqu'une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !
Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que vôtre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez votre jeunesse :
Comme à cette fleur, la vieillesse
Fera ternir votre beauté.
Poème de Ronsard, 1524.

05:30 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poème, poésie, fleurs

jeudi, 31 janvier 2013

Ne pas utiliser le laurier-rose comme combustible

Le laurier-rose est un arbuste uniquement destiné à la décoration. Toutes les parties de cette plante sont toxiques, qu'il s'agisse des feuilles, des fleurs ou encore des branches. Le principe toxique du laurier-rose est une toxine cardiaque, l'oléandrine, très proche de la digitaline, qui provoque tout d'abord des troubles digestifs, particulièrement de violentes nausées, puis des convulsions et l'asphyxie mortelle. La sève du laurier-rose est notamment utilisée dans la composition de la mort-aux-rats, et l'on estime que l'ingestion d'une seule de ses feuilles peut empoisonner mortellement un adulte s'il n'est pas pris en charge aussitôt.

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Le laurier-rose ne doit surtout pas être utilisé comme combustible pour cuire des grillages sur un barbecue: le principe toxique va se dégager de la plante et imprégner les aliments, qui deviendront à leur tour toxiques. De plus, le fait d'inhaler les fumées émanant de la combustion d'un tel bois s'avère également dangereux. Le mieux est donc de n'utiliser en aucun cas le laurier-rose.

jeudi, 23 août 2012

L’Aconit Napel, la plante la plus toxique de notre flore

L'Aconit Napel ou Casque de Jupiter est une plante vivace de 50 cm à 2 m de haut, remarquable par son feuillage et ses fleurs bleues en casque, formant souvent d’importantes colonies. La tige est dressée, rigide, très feuillée, simple ou rameuses. Les feuilles sont alternes, pétiolées, profondément divisé en lobes étroits, vert foncé. Les fleurs sont bleu foncé, parfois violacées, irrégulières, composées de 5 sépales pétaloïdes ( le supérieur en forme de casque ) et de 5 pétales. Les fleurs sont réunies en grappe allongées à pédoncules dressés. La floraison a lieu de fin juin à septembre. L'Aconit colonise les près et les bois humides fumés par le bétail, surtout en montagne, presque toute l’Europe.


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L’aconitine est mortelle pour l’homme à la dose de 5 mg, ce qui représente 2 à 4 g de racine. L’aconit napel est donc la plante la plus toxique de notre flore. Toute les autres espèces d’aconit sont également dangereuses. Le simple fait de cueillir la plante suffit à provoquer des dermites, voir des intoxications si son suc pénètre par des écorchures au niveau des bois. Le suc d’aconit servait à empoisonner les pointes des flèches et des lances.



Pour en savoir plus, on peut consulter le site planete.org

mardi, 12 avril 2011

Les fleurs au potager

 Potager et fleurs au jardin sont indissociables. En introduisant des fleurs parmi les légumes, on apporte naturellement une touche de beauté, de couleur, et plus si affinités. Car certaines fleurs ont des effets très positifs sur les légumes.

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Très méllifère, la Bourrache permet une meilleure pollinisation au verger et au rucher. Elle repousse les mollusques et étouffe les mauvaises herbes.
Les racines de Tagetes sécrètent une substance qui empêche le développement des nématodes. A utiliser en culture associée avec tomates, concombres, melons, poireaux.
La Tanaisie est une plante sauvage qui nettoie et assainit le sol, convient à tous types de sol. Elle a un effet tonique et vermifuge sur l´organisme et un effet insecticide contre les puces et punaises.
La Phacélie est une hydrophyllacée qui étouffe les mauvaises herbes, le chiendent et lutte contre les nématodes grâce à sa végétation abondante et à son système radiculaire très développé, convient à tous types de sol. Pour que la phacélie ne se ressème pas spontanément, on peut la faucher à la fin de la floraison, la sécher et l’enfouir. Elle fournira ainsi de la matière organique à tous les légumes qui en sont gourmands : courges, légumes fleurs, choux, céleris, poireaux...
Les Capucines Major produisent de belles masses végétales très colorées qui couvrent facilement les coins à cacher au jardin. De plus, elles attirent les pucerons et servent donc de ”plante-piège”.
Des plantes aromatiques, comme le thym serpolet ou le basilic, intercalées entre les rangs de légumes, éloigneront avec leur parfum les mouches qui attaquent les carottes.

Pour en savoir plus, on peut se connecter sur le site fermedesaintemarthe.com

 

mercredi, 16 mars 2011

Un an de tournage en pleine nature

Sortie du film Pollen, réalisé par Louis Schwartzberg et produit par Disneynature, ce mercredi 16 mars : un an de tournage en pleine nature, avec l’aide de scientifiques, pour raconter par l’image une aventure extraordinaire : celle de la pollinisation.

Il y a bien des millions d’années, des végétaux et des animaux ont fourni de la nourriture en échange du transport du pollen. La Terre s’est couverte de fleurs et peuplée de butineurs en tout genre. Les insectes sont souvent très spécialisés parfois une espèce de papillon peut seul accéder au nectar  que la fleur lui réserve alors que lui-même ne saura trouver aucune autre source de nourriture.

Les hommes perturbent le déroulement de la pollinisation en faisant disparaître des forêts ou des prairies, pour y planter des villes ou des céréales, en coulant des rubans de bitume ou en dispersant des pesticides.

Alors que 30 % environ de l’agriculture mondiale dépend des pollinisateurs, cette activité biologique prend aujourd’hui une valeur économique autant qu’écologique, alors que l’on se demande toujours pourquoi les abeilles se raréfient.

Pour en savoir plus, on peut consulter le site futura-sciences.com

jeudi, 07 octobre 2010

Adopter une Cardère des Villes

La Cardère des villes  était cultivée autrefois pour les besoins de l'industrie textile. Elle était utilisée comme outil, employée à peigner les draps de laine, les feutres, les lodens. Ses crochets acérés, à la fois durs et élastiques, étaient irremplaçables pour tirer délicatement les fils de la trame, donnant à l’étoffe son aspect moelleux, ou feutré.

 

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Mais la Cardère des villes est aussi une superbe fleur. Les papillons et bourdons sont attirés par son nectar lors de la floraison, les chardonnerets se nourissent de ses graines à la mauvaise saison. La cardère n’est pas envahissante, malgré ses piquants et son allure, ce n’est pas un chardon. C'est la plante idéale pour les bouquets séchés.

L'équipe de la revue La Hulotte, découvrant les toutes dernières graines, les a semées et multipliées pour ses lecteurs, qui aujourd'hui la cultivent dans toute la France.

On peut demander gratuitement un petit sachet de Cardères des Villes sur le site du journal lahulotte.fr

samedi, 04 septembre 2010

Heureux celui qui peut

Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse,
S'élancer vers les champs lumineux et sereins !
Celui dont les pensées, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor
Qui plane sur la vie et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes.

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Charles Baudelaire.

08:16 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : fleurs, poème, poésie

samedi, 28 août 2010

Des bulbes d'automne bio, la démarche est assez nouvelle

Un nouveau site unefleurunjardin.com pour mettre en avant la diversité des fleurs, source d'équilibre avec l'accueil de la faune nécessaire au jardin.

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Des semences de fleurs bio, la démarche est assez nouvelle. Jusqu'à aujourd'hui, le bio était intéressant dans la mesure où il pouvait améliorer la santé humaine et préserver les saveurs des aliments. La question de la santé de la terre était laissée de côté pour les générations futures. Les choses changent tout doucement.

Dans un premier temps, ce site propose une diversité importante de bulbes d'automne en attendant une soixantaine de références de graines de fleurs bio supplémentaires pour le printemps prochain. C'est l'occasion de soutenir ces producteurs qui se sont engagés dans cette démarche.

mercredi, 21 juillet 2010

"Une année de foin est une année de bien"

En montagne, la senteur et la couleur des près en fleurs sont un enchantement pour tous les randonneurs. La période des foins a débuté. Au vu des pâturages, la récolte semble assez bonne cette année car il a suffisamment plu au printemps après des neiges relativement abondantes. L'herbe et les fleurs coupées embaument les chemins. La montagne reste par excellence terre d'élevage. Ce foin servira à nourrir les bêtes durant le long hiver. Il faut compter autant de tonnes de fourrage que de bêtes à nourrir. Les prés sont alors parsemés de rouleaux de foins. C'est la course pour rentrer la récolte avant les orages si fréquents en fin d'après midi.

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Le foin de montagne, le plus parfumé de tous, est particulièrement apprécié par le bétail des plaines.

jeudi, 13 mai 2010

Les vrais parfums de Courson

Rendez-vous au domaine de Courson les vendredi 14, samedi 15 et dimanche 16 Mai 2010, les Journées des Plantes du Printemps 2010.

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Peu avant 1900, dans les laboratoires des parfumeurs, une drôle de révolution va bouleverser non seulement l’histoire de la Parfumerie française,mais aussi le sens même de l’odorat. La mise au point de produits de synthèse permet d’obtenir des essences plus vraies que nature. Au cours des années 1970, les services marketing de la grande distribution en quête de renouvellement font disparaître l’odeur du savon de Marseille, de l’eau de Javel, des shampoings de berlingots, des lessives que l’on faisait bouillir sur les gazinières… Odeurs devenues trop rustres pour la finesse de nos nez en quête désormais de parfums suggestifs et recherchés, reconstitués par la magie de la chimie. Alors on vit fleurir des champs de lavande dans les adoucissants, s’exhaler des parfums de pommes vertes des flacons de shampoings, apparaître des extraits de citron pour lessiver les carrelages. Aussi, histoire de renouer avec les vrais parfums, les exposants pépiniéristes de Courson acceptent de partager leurs émotions olfactives ressenties au contact de certains de leurs végétaux, palette d’impressions ordonnée selon les univers suggestifs des aromatiques, des fruits, des fleurs.

Pour en savoir plus, on peut consulter le site domaine-de-courson.fr

jeudi, 15 avril 2010

Laissons pousser les fleurs sauvages

Dès ce jeudi 15 avril, dans le cadre de l'opération « Laissons pousser! », on est invité à semer des fleurs sauvages pour observer la biodiversité dans la rue pleine de fleurs des champs.

En cette année 2010, déclarée année internationale de la biodiversité, 15 collectivités et organismes d'Ile de France verront leurs espaces urbains délaissés se muer en mini-prairies de fleurs sauvages. Toutes ces collectivités se sont inscrites dans l'opération Laissons Pousser ! menée en partenariat avec Natureparif, l’Agence régionale pour la nature et la biodiversité en Ile-de-France.

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55 000 sachets sont disponibles, au Clos des Blancs-Manteaux Paris 4e, à la maison de l'air Paris 20e, à la maison des 5 sens Paris 13e, au jardin naturel Paris 20e, à la maison des oiseaux Paris 5e, à la maison du jardinage Paris 12e, dans les centres de loisirs, dans les locaux associations animant les jardins partagés, dans les structures du Parc Naturel du Vexin... Des marguerites, des coquelicots, de la vipérine, du millepertuis, de la mauve, de la camomille sauvage… Ces sachets contiennent 17 espèces sauvages sélectionnées par un comité technique de naturalistes. On peut ouvrir ces sachets et laisser pousser les fleurs sauvages dans les jardinières des fenêtres, aux pieds des arbres, dans les jardins partagés du réseau Main Verte, dans les jardins pédagogiques des écoles, sur les ronds points, sur les bords des routes, en bas de chez soi et dans tous les endroits délaissés des villes. Chaque sachet permet d'ensemencer 1m².

laissons-pousser.jpgEn particulier, le 11 mai, on est invité à semer les graines de Laissons Pousser, lors d’une balade plantée, le long du canal Saint Denis. L’idée est de relier le Parc de la Villette du 19e arrondissement au quartier de la Villette à Aubervilliers, avec des fleurs.
L’association Laissons Pousser ! a été créée par Emmanuelle Vibert et Hélène Binet, deux journalistes engagées. Elle est soutenue par Natureparif. Le site laissonspousser.com fédère toutes les initiatives. Pour en savoir plus, on peut aussi se rendre ce jeudi 15 avril 2010 à 10h30 à Natureparif, 84 rue de Grenelle, Paris 7e, pour le lancement officiel de l'opération.

lundi, 02 novembre 2009

Des graines pour attirer les papillons dans les jardins

Semer des graines pour attirer les papillons dans les jardins, un geste pour maintenir la biodiversité dans nos jardins. Noé Conservation et Radis & Capucine se sont associés pour créer un mélange de graines favorables aux papillons, composées de graines issues de l'Agriculture Biologique.

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Une salière de 30 à 50g de graines mélangées à du sable blanc. Cette salière permet de facilement saupoudrer des graines de fleurs en mélange dans son jardin. Des fleurs nectarifères pour attirer les papillons ou les oiseaux. Le sable intégré dans le mélange évite le surdosage de la quantité de graines à semer. Cette culture permettra d'observer des papillons et des oiseaux dans son jardin, tout en facilitant la pollinisation et une production de graines plus conséquente pour l'année suivante.
Ces graines peuvent être semées par toute saison, toute l'année car la salière contient des fleurs annuelles et bisannuelles qui s'épanouissent entre 2 et 4 mois après l'ensemencement. En les semant à l'automne, les graines profiteront du froid de l'hiver, bénéfique pour la germination à la belle saison.

Pour en savoir plus on peut consulter le site radisetcapucine.com

mardi, 14 juillet 2009

La flore des talus est à préserver

La flore des talus est à préserver

En Suisse, dans le cadre de l’inventaire des talus à la biodiversité remarquable, des dizaines de naturalistes bénévoles, amateurs ou professionnels, ont signalé 300 talus remarquables des bords de routes, autoroutes, chemins de fer et canaux. Ces talus ont une valeur inestimable pour la nature, car ils représentent les derniers refuges pour bon nombre de plantes et d’insectes.

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En effet, les prairies traditionnelles riches en sauges, marguerites, esparcettes et orchidées ont quasi disparu au profit d’herbages surengraissés, fauchés tôt et plusieurs fois dans l’année, et terriblement pauvres en espèces. Dénués d’intérêt économique, les talus de route ont échappé à cette tendance, ou presque, car ils sont souvent pour des questions de sécurité, fauchés avant que les fleurs aient bouclé leur cycle vital.

Pour en savoir plus se connecter sur le site www.pronatura.ch

dimanche, 21 juin 2009

une jachère fleurie pour favoriser la biodiversité

Fleurir une jachère est un geste important pour favoriser la biodiversité. On sème des espèces indigènes en évitant absolument d'introduire des plantes invasives.

Vidéo proposée par le SMICTOM Centre Alsace qui a en charge la collecte et la valorisation des ordures ménagères par le tri des matériaux recyclables et le compostage des ordures ménagères.

vendredi, 15 mai 2009

Salade fleurie

Il faut prévoir 1 laitue, 1 salade feuille de chêne, 2 poignées de fleurs de roquette, 1 bouquet de ciboulette fleurie, quelques brins de persil, 4 tranches de pain bio, quelques noix, 2 cuillères à soupe d'huile de colza, 4 cuillères à soupe de vinaigre de cidre, 1 cuillère à café de moutarde, 1 échalote, 2 gousses d'ail.

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Faire griller les tranches de pain avant de les couper en dés. Mélanger les 2 salades avec les fleurs de roquette, les noix concassées, la ciboulette et le persil ciselés. Préparer la sauce d'assaisonnement avec l'huile de colza, le vinaigre de cidre, la moutarde, l'échalote et l'ail émincés.

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Pour le service, ajouter la sauce à la salade, remuer délicatement et parsemer les dés de pain bio grillés.