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lundi, 08 juin 2015

1 personne sur 9

1 personne sur 9 victime de la faim dans le monde, d'après la dernière édition du rapport annuel des Nations Unies L'État de l'insécurité alimentaire dans le monde 2015 (SOFI). Dans les régions en développement, la prévalence de la sous-alimentation – qui mesure la proportion de personnes privées de la nourriture indispensable pour mener une vie saine et active – est tombée à 12,9 pour cent de la population, par rapport aux 23,3 pour cent enregistrés il y a un quart de siècle.

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72 pays sur 129 qui font l'objet d'un suivi par la FAO, ont atteint la cible de l'Objectif du Millénaire pour le Développement (OMD), consistant à réduire de moitié la prévalence de la sous-alimentation d'ici 2015. Les régions en développement dans leur ensemble, quant à elles, l'ont manquée de peu. Par ailleurs, 29 pays ont réalisé l'objectif plus ambitieux énoncé au Sommet mondial de l'alimentation en 1996 : diviser par deux le nombre absolu de personnes sous-alimentées d'ici 2015.

Source : notre-planete.info

vendredi, 08 mai 2015

Les e-dechets augmentent

La quantité de déchets électriques et électroniques jetés a atteint 41,8 millions de tonnes en 2014. Un nouveau record, selon le rapport de l’Université des Nations unies (UNU). En 2013, la quantité d’e-déchets s’élevait à 39,8 millions de tonnes. Ces déchets sont constitués pour l’essentiel d’équipements qui meublent les cuisines et salles de bain, du four à la machine à laver, de l’aspirateur au sèche-cheveux. Téléphones, imprimantes et ordinateurs n’ont constitué que 7% de ces déchets.

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Mais, au-delà de ce chiffre, l'UNU souhaite surtout pointer le fait que moins d’un sixième de ces équipements est recyclé. Or, déplore David Malone, sous-secrétaire général des Nations unies et recteur de l’UNU, «au niveau mondial, les e-déchets constituent une précieuse mine urbaine, un large réservoir potentiel de matériaux recyclables» d’une valeur de 48 milliards d’euros. L’an dernier, selon le rapport, ce sont 16 millions de tonnes de fer, près de 2 millions de tonnes de cuivre ou encore 300 tonnes d’or qui ont été jetés. David Malone rappelle aussi qu’en 2014, ces e-déchets ont généré «2,2 millions de tonnes de composants dangereux, comme le mercure, le cadmium ou le chrome, une mine toxique qui doit être gérée avec une attention extrême».

Source : liberation.fr

jeudi, 16 avril 2015

Futurs objectifs de développement durable

17 propositions d'ODD (objectifs de développement durable)
1 : Eliminer la pauvreté sous toutes ses formes et partout dans le monde
2 : Eliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l'agriculture durable

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15 : Préserver et restaurer les écosystèmes terrestres, en veillant à les exploiter de façon durable, gérer durablement les forêts, lutter contre la désertification, enrayer et inverser le processus de dégradation des terres et mettre fin à l'appauvrissement de la biodiversité
16 : Promouvoir l'avènement de sociétés pacifiques et ouvertes aux fins du développement durable, assurer à tous l'accès à la justice et mettre en place, à tous les niveaux, des institutions efficaces, responsables et ouvertes
17 : Revitaliser le partenariat mondial du service du développement soutenable et renforcer les moyens de ce partenariat
Pour connaître les 17 ODD : un.org

samedi, 11 avril 2015

Qu'est-ce qu'une COP ?

Au sommet de la Terre de Rio, en 1992, l’ONU s’est doté d’un cadre d’action de lutte contre le réchauffement climatique au sigle imprononçable : la CCNUCC, pour convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques. Cette convention réunit la quasi-totalité des pays du monde, désignés comme des «parties». Les représentants des parties, ainsi que des ONG et des scientifiques, se réunissent une fois par an depuis 1995 lors des Conferences of the Parties, les COP donc. La prochaine a lieu à Paris, en décembre.

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C'est lors de la troisième COP, en 1997, qu'a été signé le protocole de Kyoto. Le sommet de Copenhague en 2009, la COP 15, n'a accouché d'aucun accord global. La dernière COP, à Lima en décembre 2014, a rédigé une feuille de route pour la conférence de Paris, qui laisse encore énormément de points essentiels à régler.

Source : liberation.fr

dimanche, 22 mars 2015

Vive le bonheur

A l'occasion de la Journée internationale du bonheur, le Secrétaire général Ban Ki-moon rejoint la campagne #happysoundslike et vous dit « Vive le bonheur » dans les six langues officielles de l'ONU.

05:34 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bonheur, video, clip, onu

vendredi, 09 janvier 2015

2015, année internationale de la lumière

2015 a été désignée par les Nations Unies comme l’Année internationale de la lumière et des techniques utilisant la lumière. Les travaux de Niels Bohr et Albert Einstein ont changé notre vision de la lumière, de la matière et de leurs interactions. Ils ont mené directement au principe de l'effet laser et plus tard aux lasers eux-mêmes qui ont bouleversé les avancées de la science et de la technologie. © Ehrenfest, Wikipédia

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Les technologies de communications reposent sur la lumière, que ce soit grâce à l’utilisation des ondes radio ou bien grâce aux fibres optiques. La lumière laser est aussi très présente dans nos vies sans oublier le rôle des rayons X en médecine. Via ses interactions avec la matière, la lumière est aussi au cœur des technologies de l’image, comme en témoignent, par exemple, les capteurs CCD. La plus grande révolution que pourraient apporter les sciences de la lumière au XXIe siècle sera peut-être le moyen de se passer des énergies fossiles. Cela deviendra une réalité s'il s'avère possible d’exploiter facilement et à faible coût, tout en respectant l’environnement, l’énergie du Soleil au moyen d’une nouvelle génération de cellules photovoltaïques.

Source : futura-sciences.com

vendredi, 06 juin 2014

Année internationale des petits Etats insulaires

« Au sein d’une communauté internationale se basant sur l’État de droit, ainsi que sur les valeurs universelles d’égalité, des droits de l’homme et de dignité, il est certainement injuste pour de petites communautés vulnérables de souffrir des actions d’autres pays riches en ressources et plus puissants, actions sur lesquelles ils n’ont aucun contrôle et peu ou pas de protection. » Maumoon Abdul Gayroom, ancien président de la République des Maldives.

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Dans sa résolution A/RES/67/206 du 21 décembre 2012, l’Organisation des Nations unies (ONU) a proclamé 2014 « Année internationale des petits Etats insulaires en développement (PEID) ». Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) est l’un de ceux qui ont démontré scientifiquement la vulnérabilité des PEID aux effets des changements climatiques (1). Les spécialistes des migrations estiment par ailleurs que l’environnement et le climat sont parmi les facteurs déterminants de déplacements massifs de populations dans le monde.

Source : monde-diplomatique.fr

mercredi, 09 avril 2014

S'adapter aux 2°C, voire aux 3°C ou 4°C

Les températures ont déjà augmenté d’environ 0,8°C depuis 1900 et devraient dépasser le plafond de 2°C si elles suivent les tendances actuelles dans les décennies à venir, d’après ce que montre un rapport de l’ONU. « La fenêtre d’opportunité se ferme rapidement sur l’objectif des 2°C » a déclaré Johan Rockstrom, directeur du Centre de Résilience de Stockholm, et expert sur les risques des canicules, inondations, sécheresses et l’augmentation du niveau des mers.

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« Le débat dérive sur « peut-être que nous pouvons nous adapter aux 2°C, voire aux 3°C ou 4°C » a déclaré Johan Rockstrom, qui fait partie de l'équipe de rédaction du rapport. De telles augmentations feraient considérablement augmenter les risques pour les approvisionnements en eau et en nourriture, et pourraient provoquer des dommages irréversibles, tels qu’une fonte de la glace du Groenland, d’après les rapports de l’ONU. Des scientifiques internationaux sont rassemblés à Berlin du 7 au 12 Avril pour relire le rapport de 29 pages qui estime également que le passage nécessaire aux énergies à faible taux carbone coûtera entre deux et six pour cent du PIB mondial d’ici 2050.

mardi, 25 février 2014

Les progrès ne profitent qu'à une infime minorité

Le «Rapport mondial, au-delà de 2014» du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) rassemble des données de 176 pays, fait le point 20 ans après la Conférence internationale sur la population et le développement qui s'était tenue au Caire en 1994. Il souligne que les inégalités croissantes risquent de remettre en cause les progrès accomplis depuis cette date dans des domaines comme la santé, l'éducation et la lutte contre la pauvreté.

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Selon le directeur général du Fonds, Babatunde Osotimehin, les progrès ne profitent qu'à une infime minorité : «le rapport met en lumière les inégalités persistantes et la discrimination qui menacent de ralentir le développement». Ainsi, plus de la moitié des revenus supplémentaires générés entre 1988 et 2008 est allée aux 5% de la population mondiale les plus riches et rien aux 10% les plus pauvres. «Notre plus grand défi réside dans le fait que nos progrès (..) sont de plus en plus inégalement répartis, ce qui menace le développement, l'environnement et notre avenir commun», souligne le rapport. «Les inégalités croissantes sont perturbatrices et très préjudiciables pour le développement durable». En revanche, ajoute-t-il, «des recherches suggèrent que des femmes mieux éduquées et des familles en bonne santé ont un effet positif sur la croissance du PNB».

Source : affaires.lapresse.ca

lundi, 09 décembre 2013

Le niveau trophique de l'homme est 2,21

Selon une étude, visant à mesurer l'impact de la consommation humaine sur les écosystèmes, publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences ce lundi 2 décembre, l'homme ne se situe pas au sommet dans la chaîne alimentaire, ce n'est pas un super prédateur. Une équipe conjointe de l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer), de l'Institut de recherche pour le développement (IRD) et d'Agrocampus-Ouest a utilisé un outil classique en écologie, jamais été appliqué à l'homme auparavant : le niveau trophique, qui permet de positionner les différentes espèces dans la chaîne alimentaire.

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La valeur 1 correspond aux plantes et au plancton, les herbivores relèvent du deuxième niveau, les carnivores, prédateurs se nourrissant d'herbivores, sont eux rattachés au troisième niveau, un orque, un requin ou un ours polaire, qui mangent d'autres carnivores, atteignent le niveau maximal de 5,5. Pour situer l'homme, les scientifiques ont utilisé les données de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) sur la consommation humaine pour la période 1961-2009. Résultat : le niveau trophique obtenu est de 2,21, soit au niveau des anchois et des cochons. Pas si étonnant, en réalité, dans la mesure où l'homme est omnivore.

Source : ecologie.blog.lemonde.fr

vendredi, 22 novembre 2013

Là où sont mes pieds, je suis à ma place

Plaidoirie de Tiphaine DE LA FOREST D’ARMAILLE du Lycée Jean Giraudoux de Châteauroux en 2011

Mesdames, mesdemoiselles, messieurs,
L’Amazonie, poumon de la planète, recèle des trésors millénaires que l’avidité des hommes ne cesse d’exploiter. Cette cupidité les a poussés à un acte inadmissible : la violation des droits de l’homme.
Car les industries venues abuser des ressources du sol amazonien, ont oublié un simple détail : les 250000 amérindiens vivant dans cet Eden en péril. Détail gênant, que l’on préfère ignorer ! Que sont ces quelques hommes face aux milliards de dollars que représentent l’or et le pétrole ? Que peuvent-ils bien faire, eux qui sont dispersés en tribus à travers toute la jungle face aux exploitations intensives du bois, et aux plantations destructrices du soja ? Un proverbe amérindien dit, « Là où sont mes pieds, je suis à ma place ». Et où est leur place, sinon dans la forêt amazonienne ?


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... Chateaubriand l’a dit, « les forêts précèdent les peuples, les déserts les suivent ». Cependant, il est encore temps de modifier cette phrase, et ne pas oublier, que des hommes vivent encore en harmonie avec la nature. Nous tous, dans cette salle, avons le pouvoir d’améliorer leur condition de vie. Nous devons simplement suivre certaines règles comme éviter les produits à base de soja, ne pas oublier qu’une simple table en acajou peut être cause de mort. Bien évidemment, il faut donner aux victimes le droit de parole, médiatiser leurs conditions de vie afin que le monde sache ce que leur fait subir la mondialisation, ce que nous leur faisons subir, et leur apporter le soutien financier nécessaire à leur défense. Nous devons soutenir les Etats qui créent des réserves et les ONG comme Survival, qui tentent de les protéger. Ce qui se passe en Amazonie, se produit également en Afrique et en Indonésie. N’oublions pas, que les derniers hommes libres, doivent être respectés dans leur intégrité sociale, culturelle et intellectuelle.

Pour lire la plaidoirie dans son intégralité

vendredi, 06 septembre 2013

Pensez. Mangez. Préservez

" Pensez. Mangez. Préservez ", une nouvelle campagne mondiale pour réduire le gaspillage alimentaire lancée par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE). Le site Internet de la campagne, www.thinkeatsave.org, fournit des conseils simples à suivre aux consommateurs pour tenir des engagements relatifs au gaspillage alimentaire. Il propose une plateforme d'échanges d'idées et favorise une culture globale de consommation durable des aliments.

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Acheter intelligent: Planifiez vos repas, utilisez une liste des courses, évitez les achats impulsifs et ne succombez pas aux incitations commerciales qui vous amène à acheter plus de nourriture que nécessaire.

Acheter de drôles de fruits: de nombreux fruits et légumes sont jetés en raison de leur taille, de leur forme ou de leur couleur jugées non adéquates. Acheter ces fruits qui sont parfaitement comestibles, au marché ou ailleurs, permet d'éviter qu'ils soient jetés.

Comprendre les dates d'expiration: les dates indiquées « de préférence avant » représentent généralement des suggestions indiquant le pic de qualité du produit. La plupart des aliments peuvent sans danger être consommés après ces dates. La date importante est « à consommer avant » - consommer les aliments avant cette date ou vérifier si vous pouvez les congeler.

Profitez de tout ce que vous avez dans votre réfrigérateur: des sites Internet tels que le site de WRAP www.lovefoodhatewaste.com fournissent aux consommateurs des recettes créatives leur permettant de consommer les aliments qui pourraient être avariés à court terme.

D'autres actions incluent: la congélation d'aliments, demander de plus petites portions aux restaurants, consommer les restes - qu'ils soient cuisinés à la maison, au restaurant ou à emporter - composter les aliments et distribuer la nourriture aux banques alimentaires locales, aux soupes populaires, dans des garde-mangers ou dans des foyers.


See more at: unep.org

mardi, 27 novembre 2012

Les réserves de céréales dangereusement basses

La sécheresse qui a sévi cet été aux Etats-Unis, la pire depuis plus d'un demi-siècle, n'est pas étrangère à la menace des prochaines restrictions alimentaires. Cette sécheresse nord-américaine et le grave déficit en pluies qui a touché la Russie et toute la région de la mer Noire ont déjà favorisé un emballement des cours du maïs et du soja. Cette hausse des denrées alimentaires de première nécessité engendrera très probablement des troubles et des conflits armés dans plusieurs contrées du monde, celles les plus sensibles en matière de souveraineté alimentaire, avertit l'ONU.

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« Les réserves mondiales de céréales sont si dangereusement basses que les phénomènes météorologiques les plus extrêmes des États-Unis ou d'autres pays exportateurs d'aliments pourraient déclencher une crise alimentaire majeure au cours de l'année prochaine ». Ce niveau n'avait jamais été aussi bas depuis 1974, a indiqué Abdolreza Abbassian, économiste senior de la FAO, l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture.

Source : notre-planete.info

samedi, 15 septembre 2012

Un symptôme, pas la maladie

Selon José Graziano da Silva, directeur général de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), Kanayo F. Nwanze, président du Fonds international pour le développement agricole (Fida), et Ertharin Cousin, directrice exécutive du Programme alimentaire mondial (PAM), la situation régnant sur les marchés alimentaires mondiaux, caractérisée par une forte hausse des cours du maïs, du blé et du soja, a suscité la crainte de voir se reproduire la crise alimentaire de 2007-2008. Cependant, une intervention rapide et coordonnée à l'échelle internationale peut empêcher sa répétition.

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Les trois agences onusiennes dénoncent le rôle joué par la conversion croissante des cultures vivrières en agrocarburants et la spéculation financière dans la hausse des niveaux de prix et leur volatilité. Car même lors des années où le climat est clément, la production céréalière mondiale suffit à peine à satisfaire les demandes croissantes de nourriture, d'alimentation animale et de combustible. Partant du principe que les prix alimentaires élevés sont un symptôme, et non la maladie, la FAO, le PAM et le Fida affirment qu'il appartient à la communauté internationale de prendre des mesures préventives pour empêcher des hausses excessives.

Source : lemonde.fr

vendredi, 17 août 2012

Les écosystèmes les plus vulnérables

Le Secrétaire Général Ban Ki-moon a lancé le 12 Août une nouvelle initiative pour protéger les océans et les populations qui en dépendent, et a appelé les pays à travailler ensemble pour permettre une gestion plus durable de cette ressource précieuse et pour répondre aux menaces auxquelles ils sont actuellement confrontés. « Les mers et les océans accueillent certains des écosystèmes les plus vulnérables et les plus importants sur Terre, mais la diversité de la vie qu’ils accueillent est sous une pression qui croît sans cesse » a déclaré Ban Ki-moon lors d’un évènement organisé dans la ville de Yeosu en République de Corée, pour commémorer le 30ème anniversaire de l’inauguration de la signature de la Convention des Nations Unies sur la Loi de la Mer. Pour en savoir plus, on peut consulter le site http://www.actualites-news-environnement.com/28958-ONU-oceans-Oceans-Compact.html

mardi, 12 juin 2012

Au sommet de Rio

Dans une semaine, du 20 au 22 juin, au sommet de Rio, 50 000 participants fixeront de nouveaux objectifs concernant sept thèmes essentiels, dont la sécurité alimentaire, l'eau et l'énergie. Le rapport GEO-5, principal diagnostic élaboré par l'ONU sur l'état de la planète, appelle les gouvernements à s'assigner des objectifs plus ambitieux ou à renforcer ceux qui existent déjà et qui, pour la plupart, n'ont pas été atteints. Selon le dernier rapport du Programme des Nations unies pour l'environnement qui sera présenté durant ce sommet de Rio, sur les 90 objectifs les plus importants en matière d'environnement, quatre seulement connaissent des progrès sensibles dont la préservation de la couche d'ozone et le développement de l'accès à l'eau potable. Par contre pour la lutte contre les changements climatiques, la reconstitution des ressources halieutiques et la lutte contre la désertification peu de progrès, voire aucun, n'ont été constatés.

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Ce rapport recommande aux États de se concentrer sur les aspects à l'origine des changements climatiques, notamment la croissance démographique et l'urbanisation, les énergies fossiles et la mondialisation des échanges. Les scientifiques établissent une corrélation entre la combustion d'énergies fossiles et l'accélération des changements climatiques, comme les sécheresses et les inondations. La modification du climat a aussi un coût économique. Les dégâts économiques annuels infligés par ces changements sont évalués entre 1 et 2 % du PIB mondial d'ici à 2100, si la hausse des températures se situe autour de 2,5 °C.

Source AFP

mercredi, 30 mai 2012

La sécurité alimentaire

La sécurité alimentaire existe lorsque tous les êtres humains ont, à tout moment, la possibilité physique, sociale et économique de se procurer une nourriture suffisante, saine et nutritive leur permettant de satisfaire leurs besoins et préférences alimentaires pour mener une vie saine et active. On estime à plus d’un milliard, soit un être humain sur six, le nombre de personnes exposées au risque de sous-alimentation. Le Comité de la sécurité alimentaire mondiale (CSA) sert de tribune, au sein du Système des Nations Unies, pour l’examen et le suivi des politiques en matière de sécurité alimentaire mondiale. Il s’intéresse également aux questions ayant une incidence sur la situation alimentaire mondiale.

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A la mi-mai, le Comité des Nations unies sur la Sécurité Alimentaire Mondial est réuni au cours d’une session spéciale visant à l’adoption formelle des Directives sur les régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale, qui ont été récemment adoptées. Ces nouvelles directives pourraient constituer un petit, mais important, pas vers la réforme des politiques qui sont à l’origine de la crise alimentaire.

Chapître 68 du CADRE STRATÉGIQUE MONDIAL POUR LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE ET LA NUTRITION :
Selon les Directives volontaires relatives au droit à une alimentation adéquate, les pays devraient favoriser un accès durable, non discriminatoire et garanti aux ressources et la possibilité de les exploiter, et protéger les moyens de production grâce auxquels les populations assurent leur subsistance. Ils sont également appelés à respecter et protéger les droits des particuliers concernant des ressources telles que la terre, l’eau, les forêts, les pêches et le bétail et ce, sans aucune discrimination. Le cas échéant, les pays devraient mettre en oeuvre des réformes foncières et autres politiques de réforme, pour garantir un accès rationnel et équitable à la terre et renforcer la croissance au bénéfice des populations démunies. Une attention particulière doit être portée à certains groupes de population, comme les éleveurs et les peuples autochtones, et aux rapports qu’ils entretiennent avec les ressources naturelles.

On peut lire tous les articles de ce document sur le site fao.org

mercredi, 21 mars 2012

Nos systèmes alimentaires créent des gens malades

Le Rapporteur spécial de l'ONU pour le droit à l'alimentation, Olivier De Schutter, a averti que les systèmes alimentaires mondialisés et la propagation du style de vie à l'occidentale ont créé une catastrophe en matière de santé publique avec plus d'un milliard de personnes au monde qui souffrent de malnutrition et un autre milliard de personnes qui souffrent de surpoids ou d'obésité.

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« Nos systèmes alimentaires créent des gens malades », a déclaré M. De Schutter lors de la présentation de son rapport annuel au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies  àGenève. « Le droit à l'alimentation signifie non seulement un accès à une quantité adéquate de nourriture, mais aussi bénéficier d'un régime alimentaire équilibré », a-t-il ajouté en exhortant les gouvernements à assurer le droit de leurs citoyens à une alimentation saine.
Dans son rapport, M. De Schutter a identifié cinq priorités pour réintroduire le souci nutritionnel dans les systèmes alimentaires aussi bien dans les pays développés que dans les pays en développement. Il s'agit selon lui d'augmenter la taxe sur les produits malsains, de réguler les aliments riches en graisses saturés, en sel, en sucres, d'introduire une régulation plus restrictive pour la publicité sur les aliments malsains, de revoir les politiques agricoles qui subventionnent la production d'ingrédients malsains, et enfin de soutenir la production alimentaire locale.

Pour plus de renseignements, on peut lire le bulletin quotidien de l'ONU daté du 7 mars 2012.

samedi, 11 février 2012

L'accès à l'eau, un droit fondamental

Cette année le concours "Les trophées de l'eau" est ouvert à toute personne résidant sur le territoire de l’Agence de l’eau Adour-Garonne.

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Tout participant doit réaliser avant le 20 février 2012 une production créative et artistique fondée sur le message transmis par la résolution de l’ONU, résumé en la phrase : « L’accès à l’eau est un droit fondamental de l’humanité ».

7 trophées seront attribués dans 7 catégories  :

  • Film vidéo (NB ou couleur) court métrage 3mn
  • Expo photo (NB ou couleur) 20 clichés
  • Objet (dans une matière éco-responsable)
  • Bande dessinée (pour enfant ou adulte) (NB ou couleur) 2 planches A4
  • Conte pour enfant (dactylographié) 8 pages A4
  • Slam (3 minutes)
  • Graffiti (graff) (toile format 1,5 x 2m)

Les œuvres devront être envoyées au plus tard le 23 Février 2012. En Semaine 9 les nominés seront sélectionnés et en Semaine 10, le jury se réunira pour désigner les lauréats du concours. Début mars, les lauréats seront contactés pour réaliser le film de valorisation de leur production.

Pour en savoir plus, on peut se connecter sur le site du SIGES Aquitaine

mercredi, 08 février 2012

L'énergie durable pour tous

Reconnaissant l'importance de l'énergie pour le développement durable, l'Assemblée générale des Nations Unies a proclamé dans sa résolution 65/151, l'année 2012, Année internationale de l'énergie durable pour tous.

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Cette Année internationale de l'énergie durable pour tous est l'occasion de sensibiliser à l'importance d'améliorer l'accès durable à l'énergie, l'efficience énergétique, et l'énergie renouvelable au niveau local, régional et international. Les services énergétiques ont un effet profond sur la productivité, la santé, l’enseignement, les changements climatiques, la sécurité alimentaire et la sécurité de l’approvisionnement en eau ainsi que les services de communications.

C'est pourquoi l’absence d’accès à une énergie propre, abordable et fiable entrave le développement humain, social et économique et constitue un obstacle majeur à la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement. Pourtant, 1,4 milliard de personnes n’ont pas accès à une énergie moderne, tandis que trois milliards de personnes dépendent de la « biomasse traditionnelle » et du charbon comme source principale de combustible.