Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 06 janvier 2015

La Louve, coopérative alimentaire participative

Deux américains à Paris, Tom Boothe et Brian Horihan, gastronomes attentifs à la qualité et au prix de ce qu’ils mangent, se sont lancés en 2010 dans le projet de La Louve : une coopérative alimentaire d’un genre nouveau en France soutenue et inspirée par la Park Slope Food Coop à New-York, le plus grand supermarché coopératif et participatif américain.

coopérative,gastronomie,alimentation,alimentation biologique,agriculture durable,producteurs,locavore,environnement,paysan,paris


La Louve est une coopérative alimentaire participative. Elle s’efforce de proposer à ses membres une alimentation de qualité à prix réduit, en donnant la priorité aux producteurs locaux, aux circuits courts et aux produits de saison. Garantissant l'excellence des produits sélectionnés grâce à une exigence gustative, nutritionnelle et sanitaire élevée, elle promeut le développement d’une agriculture durable, à la fois favorable aux paysans et respectueuse de l'environnement.

Pour mieux connaître La Louve, coopérative alimentaire participative

mardi, 28 octobre 2014

La Russie s'oppose aux OGM

La Russie rejoint donc la liste des pays qui s'opposent aux OGM après les reculs notables des deux poids lourds démographiques mondiaux : la Chine et l'Inde. Et pourtant, le Service international pour l'acquisition d'applications agro-biotechnologiques (ISAAA) a indiqué dans son rapport annuel que « plus de 18 millions d'agriculteurs de 27 pays avaient planté des cultures biotechnologiques en 2013, ce qui constitue une augmentation de cinq millions d'hectares – ou 3 % – des cultures biotechnologiques au niveau mondial. »

russie,ogm,usa,agriculture,politique,chine,inde


Les Etats-Unis demeurent les leaders mondiaux de la plantation de cultures transgéniques, avec 70,1 millions d'hectares, soit 40 % de la superficie agricole mondiale. Depuis deux ans, les pays en développement plantent plus d'hectares de cultures transgéniques que les pays industrialisés, ce qui montre l'influence voire la pression des pays riches sur ces pays. La position de la Russie sur la question des OGM est une véritable bouffée d'oxygène dans un monde où les intérêts économiques dictent la politique à tenir.

Source : notre-planete.info

vendredi, 18 juillet 2014

AB, bénéfices pour la santé

343 études sur les différences de composition entre les cultures biologiques et conventionnelles ont permis aux chercheurs de constater que le passage à une consommation de fruits, légumes et céréales bio, et d'aliments à base de ces produits, pourraient fournir un complément en antioxydants équivalent à une consommation supplémentaire de 1 à 2 portions de fruits et légumes par jour. Ces études ont mis en évidence des concentrations en antioxydants tels que les polyphénols, de 18 à 69 % plus élevées dans les cultures biologiques. Or, de nombreuses études ont établi un lien entre les antioxydants et une réduction du risque de certaines maladies chroniques.

ab,agriculture biologique,agriculture intensive,agricul,antioxydants,santé,métaux lourds,cadmium,alimentation,alimentation biologique


Ces études mettent en évidence des niveaux significativement plus faibles de métaux lourds toxiques dans les cultures en AB. Le cadmium, qui est l'un des trois seuls contaminants métalliques avec le plomb et le mercure pour lesquels la Commission Européenne a institué des concentrations maximales admissibles dans les aliments, a été retrouvé à des concentrations près de 50 % (48 % de moins en moyenne) inférieures dans les cultures biologiques que dans les cultures conventionnelles. Les concentrations en azote ont également été trouvées significativement réduites dans les cultures biologiques. Les concentrations en azote total, en nitrate et en nitrite, étaient respectivement 10 %, 30 % et 87 % plus faibles dans les cultures issues de l'AB que dans celles de l'agriculture conventionnelle. Enfin, les étude ont aussi constaté que des résidus de pesticides étaient quatre fois plus susceptibles de se retrouver dans les cultures conventionnelles qu'en AB.

Source : notre-planete.info

samedi, 24 mai 2014

Pour avoir des oeufs biologiques

Pour avoir des oeufs biologiques, il faut que la poule qui les pond mange au moins 95% de grains issus de l'agriculture biologique. Or si la consommation d'oeufs bios est en hausse en France, plus 16% en moyenne par an sur 5 ans, selon l'Institut Technique de l'Aviculture (ITAVI), la production de céréales certifiées bio, elle, ne suit pas. En 2012, la barre des 20.000 hectares de céréales certifiées bio a été franchie (et même 25.000 en comptant les hectares en conversion), mais les céréaliers bio ne produisent pas que pour les volailles.

oeufs,poulet,alimentation biologique,bio,consommation,consommer autrement,céréales,agronomie


Selon l'agronome et industriel Pierre Weill, une poule mange des grains, mais on n'en produit pas assez en France, il faut donc faire appel aux importations. Il raconte avoir importé un chargement de graines de lin bio d'Italie. "On est passé par un courtier suisse sérieux et elles sont arrivées certifiées... Et puis récemment j'ai reçu un courrier du ministère italien de l'agriculture annonçant, navré, qu'après enquête il s'agissait en fait de lin de Moldavie, pas bio du tout".


En savoir plus sur lexpress.fr

vendredi, 19 octobre 2012

L'avenir du Bio

Même si les pionniers de l'agriculture bio ont été suivis par l'industrialisation et l'arrivée des gros distributeurs, et alors que certains partisans du bio avaient cru à une chance historique avec l'augmentation de la demande (qui a finalement donné du poids à la grande distribution), parallèlement, une nouvelle génération de petits producteurs pratiquant la vente directe dans le respect des principes des fondateurs connaît un vif essor, notamment en raison de la relative prise de conscience des populations des effets néfastes du système alimentaire dominant sur la santé, l'environnement et le climat.

bio,agriculture biologique,producteurs,alimentation biologique,jardiner bio


Mue par l'objectif d'arriver à une souveraineté alimentaire, la relocalisation alimentaire rencontre beaucoup de succès, jusqu'à développer des jardins urbains (comme à Detroit) et prôner une « démocratie alimentaire ».

Pour en savoir plus, on peut consulter le site larevuedesressources.org

jeudi, 14 juin 2012

Avril et mai, les mois de pleine saison

Avril et mai, sont normalement des mois de pleine saison pour le maraîchage. Or, les pluies répétées et les températures nocturnes basses de ces derniers temps provoquent des pertes de plantes et des retards dans les récoltes. En Gironde, au mois de mai les nuits ont été froides, la température est même descendue jusqu’à 0 °C, dans la première quinzaine ». Les plantes en ont souffert et certaines, parmi lesquelles des radis et des salades, se sont noyés. Les semis de carottes ont aussi dû être refaits. Le basilic a gelé et les fèves ont trois semaines à un mois de retard. Seule la pomme de terre d’Eysines a bien résisté.

alimentation,alimentation biologique,amap,maraîchage,maraicher,pluie,potager,gironde

Le système d’Amap engage les gens par contrats pour certaines quantités et protège un maraîcher de ce type d'aléas. Mais certains Amapiens risquent de ne pas comprendre  le manque de diversité des produits proposés dans les paniers hebdomadaires et quittent le circuit à la fin du contrat.

Source l'artcile d'Elsa Provenzano du journal 20 minutes

samedi, 21 janvier 2012

La coexistance non OGM et OGM est-elle possible ?

Faire coexister des cultures de plantes conventionnelles avec celles qui ont été génétiquement modifiées est possible, selon le Haut conseil des biotechnologies moyennant plusieurs conditions au premier rang desquelles des distances d'isolement entre les champs. (dépêche de l'AFP)

La législation française avait fixé en 2008 deux seuils de taux de contamination aux transgènes: 0,1% pour les filières d'agriculture sans OGM, y compris le bio, et 0,9%, seuil fixé par l'Union européenne depuis 2003 et au-delà duquel le produit doit être étiqueté "contient des OGM".

alimentation,ogm,alimentation biologique,agriculture bio,semences,variétés locales

Selon les scientifiques du Haut conseil, "pour respecter 0,9%, les mesures techniques proposées peuvent ne pas être très différentes des conditions de production actuelles". Par contre, si l'on veut réduire le taux de transgène dans les cultures non OGM à 0,1%, des "mesures contraignantes" comme notamment l'obligation de respecter des distances entre les types de cultures et des mesures pour assurer la pureté variétale vont s'imposer. Il ne pourra pas y avoir de cohabitation à des distances inférieures à 1km.

Selon les écologistes, le nouveau mode de mesure des contaminations du comité scientifique est basé sur la parcelle, avec comptage des plantes contaminées, alors qu'avant on calculait le pourcentage d'ADN transgénique dans l'ADN total de la plante. Cette nouvelle méthode diminue le taux de contamination mesuré. De plus, une semence re-contaminée chaque année à un taux de 0,1% dépassera très vite le seuil de 0,9% déclenchant l'obligation d'étiquetage OGM et les agriculteurs devront abandonner leurs variétés locales.

Pour en savoir plus, on peut consulter le site sciencesetavenir.fr

vendredi, 13 mai 2011

Des antibiotiques pour favoriser la croissance

 En France, depuis 1999, un suivi des ventes de médicaments vétérinaires contenant des antibiotiques a été mis en place. Pour l' année 2009, le rapport de l'ANMV vient d'être publié et mentionne que la France est le deuxième plus gros consommateur d'antibiotiques en Europe. 44% des ventes d'antibiotiques sont destinés aux élevages porcins, 22% pour les volailles et 16% pour les bovins. Dans ces élevages, les antibiotiques sont prescrits par un vétérinaire si un animal est malade, mais certains antibiotiques sont aussi ajoutés à faibles doses dans l'alimentation des animaux sains pour favoriser leur croissance. Les éleveurs constatent que les animaux ont moins besoin de manger et grandissent plus vite .

alimentation,alimentation biologique,élevage,santé,médecine,bactéries

 Cependant, les bactéries des animaux peuvent devenir résistantes aux antibiotiques et se transmettre à l'homme. Ces bactéries peuvent ensuite être transmises à l'homme par l'alimentation. Elles peuvent aussi être rejetées dans l'environnement avec les excréments animaux, être présentes dans l'eau, contaminer la viande lors de l'abattage et se retrouver dans les assiettes si la température de cuisson est insuffisante pour les détruire.

Pour en savoir plus, on peut lire l'article publié sur le site notre-planete.info

vendredi, 29 octobre 2010

Les semences de pays s’adaptent aux terroirs

La fédération Bio d’Aquitaine et l’association CIVAM Bio 40 de développement de l’agriculture biologique dans les landes organise la 5ième édition de la Fête de la Biodiversité cultivée qui aura lieu demain samedi 30 Octobre 2010 à Préchacq les bains.

 

biodiversite-landes-2010.png

Cette journée a pour objectif de sensibiliser le monde agricole et rural aux multiples intérêts des semences de pays qui permettent des économies d’eau en grandes cultures, plus d’autonomie technique et économique des agriculteurs et par la diminution des charges de culture (intrants, semences) la sélection à la ferme des semences, et leur ressemis. De plus ces semences de pays s’adaptent aux terroirs et permettent d’en valoriser leur typicité à tous les maillons de la chaine alimentaire.

 

Pour en savoir plus, on peut contacter le Civam Bio des landes au 05 58 98 71 92

mardi, 27 juillet 2010

Faire le plein de vitamines naturelles

Toutes les vitamines sont indispensables pour se maintenir en bonne santé. La vitamine C est la plus connue mais toutes les autres ont un rôle très important dans le maintien de la santé.

 

vitamines.jpg

La vitamine A est présente dans les huiles de poisson, le foie, les oeufs, le beurre, le lait... Les provitamines A sont aussi présentes dans ces aliments mais aussi dans les produits d'origine végétale comme les carottes, tomates, épinards, endives, melons, pêches, abricots...

La vitamine D est présenté dans l'huile de foie de morue, les oeufs, sardines, lait, germes de blé...

La vitamine E est présente dans les huiles végétales, le foie, les graines germées, les légumes verts, les oeufs, lait et beurre.

La vitamine K est active dans les choux, épinards, pommes de terre, carottes, petits pois, fruits rouges, foie, lait et oeufs.

Les 15 vitamines du groupe B sont présentes dans les céréales et la levure de bière mais aussi dans les légumes comme la vitamine B3 ou PP présente dans les lentilles, soja, choux, carottes, tomates, oignons, épinards, et dans les poissons comme la vitamine B2 présente dans les poissons gras, sardines, saumon, anchois...

La qualité des aliments est de première importance car les cultures intensives, les méthodes de conservation et le mûrissement forcé modifient le potentiel nutritionnel des aliments. Les aliments doivent être consommés rapidement après avoir été récoltés car le temps détruit la valeur vitaminique de l'aliment.

lundi, 26 juillet 2010

Consommer davantage d'aliments crus

Profiter de l'été pour consommer davantage d'aliments crus.

Pendant la cuisson, des modifications de la structure des aliments se produisent en fonction de la température. Entre 45° et 60° les enzymes sont détruits, entre 60° et 75° on constate une destruction de la vitamine C, à partir de 100° il y a une précipitation des minéraux et des oligo-éléments et à 120° toutes les vitamines disparaissent.

 

crus.jpg

Chaque repas devrait contenir des aliments crus non transformés. Pour préserver au maximum les qualités nutritionnelles des aliments crus, il faut s'assurer qu'ils ont été fraîchement cueillis, il est donc fortement conseillé de consommer des aliments provenant de sa région pour limiter les temps de transport. La consommation d'aliments crus doit être adaptée aux possibilités digestives de chaque personne et introduite progressivement dans les menus quotidiens. On peut aussi faire cuire légèrement les légumes à l'étuvée pour limiter la montée en température et les manger croquants. L'été est la saison idéale pour augmenter progressivement la quantité d'aliments crus dans sa consommation quotidienne.

vendredi, 09 juillet 2010

Définir une politique publique de l’alimentation

Le projet de loi de modernisation de l'agriculture et de la pêche est actuellement examiné par le parlement. Le premier chapitre s'intitule "Définir et mettre en œuvre une politique publique de l’alimentation".

rapportCNA-juin2010.png


Un rapport du CNA (Conseil national de l'alimentation), instance consultative regroupant l'ensemble des acteurs du monde de l'alimentation, contient près de 50 recommandations portant entre autres sur le renforcement de la qualité de l’offre alimentaire dans la restauration collective, le développement des outils d’information du consommateur sur les qualités et l’histoire des produits qu’ils consomment, y compris par l’affichage environnemental, le développement de l’éducation alimentaire (renforcement et développement des ateliers de cuisine dans le cadre scolaire, le développement de la promotion du patrimoine alimentaire et culinaire, une concertation sur l’évaluation des risques économiques, sociaux, éthiques et environnementaux liés à l’application des nouvelles technologies à l’alimentation, comme les nanotechnologies, une action immédiate pour la réduction des gaspillages alimentaires ; l’élaboration d’outils permettant de mesurer les impacts d’une variation éventuelle de la consommation de produits animaux (viandes, lait, œufs…) dans la ration alimentaire sur les enjeux de la durabilité (économie, santé, environnement).

Selon ce rapport, l'objectif est de préserver le "modèle alimentaire français", fondé sur des produits qualitatifs associés aux saisons et issus de la tradition des terroirs, des savoir-faire construits dans le temps, transmis et renouvelés en permanence grâce à des pratiques innovantes, et enfin un savoir-être qui véhicule des valeurs symboliques fortes et partagées (convivialité des repas, humanisme de la table, symbolique alimentaire, harmonie des mets et des vins) contribuant à la cohésion sociale et familiale.

Pour en savoir plus, on peut consulter le site http://www.mescoursespourlaplanete.com/

lundi, 31 mai 2010

Percer les mystères de la biodiversité du sous-sol

Percer les mystères de la biodiversité du sous-sol

Dans le cadre du projet de l'ONU « Conservation et gestion durable de la biodiversité souterraine », des chercheurs du Brésil, de la Côte d'Ivoire, d'Inde, d'Indonésie, du Kenya, du Mexique et d'Ouganda, ont découvert que la présence de bactéries et de champignons dans le sol combinée avec des engrais, peut faire doubler les rendements des principales cultures tel que le haricot. Des études menées au Kenya indiquent que l'inoculation de bactéries de type Rhizobia ont augmenté les rendements des cultures de soja de 50%, sans l'utilisation d'engrais.
Ces résultats ont été annoncés au Centre mondial d'agroforesterie ce 17 mai 2010 lors de l'ouverture de la conférence qui a pour but d'informer et de faire comprendre les mécanismes de fonctionnement des organismes du sous-sol et comment ils pourraient être extraits du sol et déplacés pour travailler la terre dans les exploitations agricoles ou dans d'autres écosystèmes.
Les conclusions des 70 experts réunis lors de cette conférence sont susceptibles d'avoir des implications très importantes en ce qui concerne la sécurité alimentaire, les moyens de subsistance des agriculteurs et leurs revenus.

La réduction des engrais et des pesticides,la transition vers une agriculture biologique pourraient se révéler particulièrement précieuse pour les agriculteurs, puisqu'on observe une augmentation de la demande et une hausse des primes pour les commandes de produits biologiques sur les marchés mondiaux. Les réductions des coûts pour les agriculteurs sont importants, les organismes présents dans le sol aidant à améliorer l'absorption des éléments nutritifs et une optimisation de l'utilisation de l'eau.

brgm.png
De son côté, dans le cadre de l’Année internationale de la biodiversité en 2010, le BRGM intervient sous l’angle de la géodiversité et des liens entre géologie et biologie. Géosystèmes et écosystèmes sont ainsi étroitement liés. Le BRGM prend une part active à l’inventaire national du patrimoine géologique lancé en 2007.

vendredi, 14 mai 2010

Le petit guide vert des Bio-bébés

Françoise Caron et Catherine Fauquet, psychologues en maternité, l’Association Santé Environnement France, qui réunit plus de 2 500 professionnels de santé, l’association “Bébé Vert”, publient le petit guide vert des Bio-bébés pour apporter des réponses aux questions que se posent les mamans ou futures mamans sur l’impact de l’environnement sur la santé de son bébé. La grossesse et les premiers mois de la vie sont des périodes déterminantes pour la santé du futur adulte. Or, nous sommes tous exposés chaque jour à diverses pollutions (air, eau, alimentation, etc.). Le foetus, puis le nourrisson, sont particulièrement vulnérables à celles-ci. Des études ont prouvé que des substances chimiques toxiques étaient déjà présentes dans le sang du cordon ombilical notamment du fait de la multiplication des substances de ce type dans nos biens de consommation. L’objectif de ce petit guide de 7 pages est des solutions pour pouvoir adopter des gestes simples, utiles pour son bien-être et celui du bébé.

guide-bio-bebe01.png

Voici par exemple la recommandation pour nourrir son bébé après 6 mois : l’idéal est de préparer soi-même ses repas avec de la viande, du poisson et des légumes et fruits frais de préférence bio. Cela est particulièrement important jusqu’à la fin de la première année. En effet, les produits frais, soigneusement lavés, favorisent la formation d’une bonne flore intestinale donc, du système immunitaire. Les préparations peuvent être congelées ou conservées 2 jours au frigidaire dans une boite fermée. La première année, il est recommandé de ne pas ajouter de sel, de sucre ou d’épices. Il faut également éviter les produits exotiques qui peuvent provoquer des allergies.

On peut télécharger ce guide sur le site de l'association ASEF

vendredi, 19 mars 2010

Des producteurs respectueux de l'environnement

Salon Vivre Autrement

ecobat1.png

vivre-autrement-2.png400 exposants et producteurs respectueux de la nature et des hommes, pour découvrir des produits écologiques et sains dans tous les domaines du quotidien : la gastronomie et les vins, la beauté et la mode, la santé et la forme, la maison et le jardin, le tourisme… Des produits durables pour bâtir la planète des éco-citoyens.

Des ateliers-conférences pour mieux comprendre l’environnement et les méthodes naturelles de santé.

Vendredi 19 mars
11h30 (Atelier 2)
Alimentation séchée : une recette ancestrale et future. Philippe BOURGOIS, Olivier MÜGLER, Nadia MARCHAND
14h30 (Atelier 3) Comment choisir la meilleure eau selon votre terrain. Philippe BLANCHEMAISON
15h30 (Atelier 2) La propolis et la prévention de la grippe. Patrice PERCIE DU SERT
17h30 (Atelier 3) Vivre centenaire en forme : graines germées, jus crus de légumes et d'herbe de blé. Kit DAVIDSON

Samedi 20 mars
11h30 (Atelier 3) Est-il encore possible de sauver les océans ? Paul WATSON et Lamya ESSEMLALI
12h30 (Atelier 3) Toilettes sèches et phyto-épuration : Pourquoi pas chez moi ? Vincent et Yvain BROCHOT
13h30 (Atelier 1) Un exemple de protéines : les purées de fruits secs oléagineux. Genevieve HERVÉ
16h30 (Atelier 2) Les secrets de l'eau. Pierre-Alexandre NICOLAS

Dimanche 21 mars
11h30 (Atelier 3)
La biodiversité planétaire et les nécro-carburants. Jocelyn MOULIN
12h30 (Atelier 2) Comment mieux se nourrir, en mangeant moins ? Marie-Hélène BÉGON, Philippe BOURGOIS, Nadia MARCHAND
13h30 (Atelier 3) Les oméga et votre devenir santé. Ludmilla DE BARDO
14h30 (Atelier 2) Commerce équitable et environnement. Sébastien WOLF
16h30 (Atelier 1) L'Energie des arbres. Patrice BOUCHARDON
17h30 (Atelier 3) Compostage ou lombri-compostage : Quelle méthode choisir ? Jean-Jacques FASQUEL et Grégory PRYBYS

Lundi 22 mars
11h30
(Atelier 1) La guérilla jardinière. Richard REYNOLDS
13h30 (Atelier 2) Tout sur la fève de cacao. Laurence ALEMANNO
14h30 (Atelier 2) Pollutions électromagnétiques au XXIème siècle. Pierre NICOLAS
15h30 (Atelier 3) Traitements des pollutions telluriques et électromagnétiques.

samedi, 11 juillet 2009

Le poisson bio de méditerranée

Depuis 1989, l'entreprise Provence Aquaculture élève des Loups (bars) et des Daurades royales en mer près de Marseille. Elle a le statut d'Installation Classée pour la Protection de l'Environnement. Ce classement fait suite au programme de suivi de l'impact de l'exploitation qui démontre le respect de l'environnement.

aquaculturebio01.png

Cette ferme marine occupe une calanque de 2.2 hectares sur le domaine public maritime à 3 miles nautiques de Marseille, à l’est de l’île de Pomègues, dans l’Archipel du Frioul. La calanque est protégée de la pleine mer au sud par une digue nommée " Petite Bouche ", construite au XVII ème siècle. La situation de la calanque préserve la ferme aquacole des tempêtes tout en assurant un bon renouvellement des eaux grâce à sa large ouverture à l'est.

aquaculturebio03.png

Cette zone est sans activité industrielle ni agricole et l'activité urbaine demeure faible, elle est donc faiblement exposée aux risques de pollutions.

aquaculturebio04.jpgTrois années d'élaboration ont été nécessaires pour aboutir au cahier des charges concernant l'aquaculture biologique. Son homologation a été établie par arrêté ministériel le 30 août 2000.
L'exploitation est contrôlée régulièrement par un organisme certificateur indépendant (Qualité France). Depuis juillet 2002 , la ferme élève les premiers poissons "Certifiés Bio" de méditerranée.

 

Un poisson bio est nourri de farines de poissons issues de pêches gérées par quotas pour préserver les ressources naturelles et dont la qualité est contrôlée et certifiée, de végétaux issus de l'agriculture biologique et garantis sans OGM, de vitamines, de minéraux et sans aucun produit d'animaux terrestres

Un poisson bio est élevé avec des techniques d'élevage respectueuses de l'animal et de son environnement, des faibles charges d'élevage et des eaux de première qualité.

L'élevage du poisson bio est peut-être une solution pour éviter la surpêche et respecter les quotas nécessaires à la survie des espèces de poissons les plus menacées.

mardi, 18 novembre 2008

Festival du Livre et de la Presse d'Ecologie

La sixième édition du Festival du Livre et de la Presse d’Ecologie se tiendra le week-end du 22 et 23 novembre 2008.


festival-livre-presse-ecologie-2008.jpgManger sain, un droit pour tous.
Chaque année le Festival du Livre et de la Presse d'écologie rassemble des éditeurs, des auteurs et illustrateurs, des magazines et des associations autour de l'écologie.
Au programme cette année : le Festival Jeune Public (contes, jeux, ateliers et librairie), les rencontres avec les auteurs et illustrateurs qui dédicacent leurs livres, la Carte blanche aux éditions Terre Vivante, le forum de la presse thématique en matière d’écologie, des conférences et des débats, le Prix de l’Alliance pour la planète qui distingue un livre ou une fiction ou un documentaire traitant d’environnement, et le prix Jeunesse du Festival...

 

Samedi 22 novembre de 13h à 19h30
* de 13h30 à 19h00 : espace jeunesse, atelier dessin pour les petits.
* à 13h30 : Conférence d’ouverture « Les changements nécessaires pour assurer notre sécurité alimentaire et environnementale » avec Edgar Pisani, ministre sous de Gaulle et Mitterrand.
* à 15h00 au Comptoir des métiers « Les métiers de l’alimentation biologique »
* à 15h30, espace débats Remise du Prix de l’Alliance pour la Planète et espace jeunesse, l'atelier cuisine sur le goût
* à 16h15 projection et débat « Le monde selon Monsanto »
* à 16h30 au Comptoir des métiers « S’installer comme agriculteur en amap » avec Terre de Liens et le cfppa du lycée agricole de Brie-Comte-Robert et à l'espace jeunesse, l'atelier cuisine sur la saisonnalité.

 

Dimanche 23 novembre de 11h à 19h15
* de 11h00 à 19h00 : espace jeunesse, atelier dessin pour les petits.
* à 11h00 Conférence :« L'avenir de la planète et de l'espèce humaine » avec Jérôme Bindé, directeur du Bureau de la prospective à l'Unesco
* à 12h15 débat « Le plaisir est-il dans notre assiette ? »
* à 14h00 Carte blanche aux éditions Terre vivante
* à 15h00 au Comptoir des métiers « Travailler dans l’environnement : des opportunités ? des difficultés ? », table animée par Frédérique Basset avec Nicolas Leroux, conseiller c2ie
* à 16h30 au Comptoir des métiers « Les métiers des énergies renouvelables »
* à 17h00 Remise du Prix Jeunesse du festival.
* à 17h45 débat « L’agriculture aujourd’hui et demain ».

 

festival-livre-presse-ecologie02.jpg

Entrée libre et gratuite, petite restauration bio sur place.
104, rue d’Aubervilliers et 5, rue Curial 75019 Paris
M° Stalingrad (ligne 2 et 5) ou M° Riquet (ligne 7)

Pour plus d'information appeler le 09.71.37.10.93
Email : flpe@orange.fr
Site internet : festival-livre-presse-ecologie.org