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vendredi, 18 juillet 2014

AB, bénéfices pour la santé

343 études sur les différences de composition entre les cultures biologiques et conventionnelles ont permis aux chercheurs de constater que le passage à une consommation de fruits, légumes et céréales bio, et d'aliments à base de ces produits, pourraient fournir un complément en antioxydants équivalent à une consommation supplémentaire de 1 à 2 portions de fruits et légumes par jour. Ces études ont mis en évidence des concentrations en antioxydants tels que les polyphénols, de 18 à 69 % plus élevées dans les cultures biologiques. Or, de nombreuses études ont établi un lien entre les antioxydants et une réduction du risque de certaines maladies chroniques.

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Ces études mettent en évidence des niveaux significativement plus faibles de métaux lourds toxiques dans les cultures en AB. Le cadmium, qui est l'un des trois seuls contaminants métalliques avec le plomb et le mercure pour lesquels la Commission Européenne a institué des concentrations maximales admissibles dans les aliments, a été retrouvé à des concentrations près de 50 % (48 % de moins en moyenne) inférieures dans les cultures biologiques que dans les cultures conventionnelles. Les concentrations en azote ont également été trouvées significativement réduites dans les cultures biologiques. Les concentrations en azote total, en nitrate et en nitrite, étaient respectivement 10 %, 30 % et 87 % plus faibles dans les cultures issues de l'AB que dans celles de l'agriculture conventionnelle. Enfin, les étude ont aussi constaté que des résidus de pesticides étaient quatre fois plus susceptibles de se retrouver dans les cultures conventionnelles qu'en AB.

Source : notre-planete.info

jeudi, 29 septembre 2011

Planter une forêt en Ile de France

En accord avec les agriculteurs concernés, le département du Val d'Oise prévoit de commencer à planter, en 2017, un millier d'hectares de forêt. Aucune forêt de cette envergure n'a été plantée depuis Colbert. Elle permettra de dépolluer la plaine de Pierrelaye gorgée de métaux lourds pour avoir été utilisée comme déversoir pour les eaux usées de la capitale. Elle participera à la lutte contre le réchauffement climatique et constituera un maillon de la ceinture verte de l’Ile-de-France entre les forêts domaniales de Saint-Germain dans les Yvelines et de Montmorency dans le Val d’Oise.

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Aux franges de la forêt seront construits près de 8 000 logements. Il faudra surmonter de nombreux obstacles, dépenser 20 millions d'euros et attendre 30 ans pour obtenir cette forêt au nord-ouest de Paris.

Pour en savoir plus, on peut lire l'interview du maire de Saint Ouen l'Aumône sur vonews.fr