mercredi, 23 janvier 2013
Découverte majeure pour l'astrophysique ?
La galaxie d'Andromède et les galaxies naines qui gravitent aux alentours sont connues depuis longtemps par les astrophysiciens. Mais jusqu'à présent les chercheurs pensaient que les galaxies naines étaient des restes de galaxies plus vastes qui ont peu à peu été englouties par leurs voisines. Ainsi, chacune serait indépendante de ces voisines. Or, Niel Ibata aurait montré que ces petites galaxies sont en grande majorité organisées entre elles, en une gigantesque structure aplatie de plus d'un million d'années-lumière de long, en rotation sur elle-même. Cette découverte remettrait en cause un pan de l'astrophysique moderne. Selon son père, soit on se trompe sur la formation de la galaxie, soit sur celle de la gravité et la physique d'Einstein et Newton ne serait pas exactement correcte.
Derrière la médiatisation de cette découverte, quelle est sa teneur scientifique ? Voici la conclusion d'un article publié sur le site de l'Université Paris VII qu'il faut prendre le temps de consulter : La théorie de la relativité générale, à l'instar de sa grande soeur (la théorie Newtonienne), moins parfaite, est entrée dans la phase où les justifications expérimentales s'accumulent, et où à chaque fois, la théorie d'Einstein passe brillamment le test. En dépit de ses grands succès, la relativité générale, présente un inconvénient majeur : elle est incompatible avec la mécanique quantique. Or, pour décrire les premiers instants de l'univers il faut absolument posséder une théorie unifiée de la gravitation et de la mécanique quantique, ce qui n'est fait encore qu'imparfaitement à l'heure actuelle. Les théories actuelles prévoient l'existence d'une particule, vecteur de l'interaction gravitationnelle, appelée le graviton (de spin 2) qui pour l'instant ne peut pas être détectée dans les accélérateurs. L'avenir nous dira ce qu'il en est. Y aura-t-il une troisième théorie de la gravitation ?
Source : quoi.info
05:49 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sciences, astronomie, planète, einstein
mardi, 22 janvier 2013
Nourrir les hommes
Quand l’agriculture céréalière est-elle née ? Comment s’est-elle transformée avec la mécanisation et la mondialisation ? Pourquoi le maïs est-il la céréale la plus cultivée au monde ? Comment nourrir la planète en 2050 en privilégiant des modes de culture durable ? Pour s'informer Cap Sciences Bordeaux propose une exposition et des ateliers du 12 janvier 2013 au 1er septembre 2013.
05:44 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alimentation, mais, blé, céréales, agriculture, semences, planète, sciences
lundi, 21 janvier 2013
Des mangeurs optimistes de fruits et légumes
Pour arriver à ces conclusions, l'équipe de chercheurs a évalué les taux de neuf antioxydants, dont les caroténoïdes comme la bêta-carotène mais aussi la vitamine E, dans le sang de 1 000 hommes et femmes américains âgés de 25 à 74 ans. Les participants devaient alors remplir un questionnaire sur leur comportement dans la vie de tous les jours tout en fournissant des échantillons de leur sang. Les scientifiques révèlent que les individus les plus optimistes avaient un taux de caroténoïdes jusqu'à 13% plus élevé dans leur sang. Ils expliquent que la relation entre optimisme et niveaux élevés de caroténoïdes s'explique en partie par le fait que les personnes optimistes ont tendance à avoir des comportements plus sains et consomment donc plus de fruits et légumes.
En savoir plus sur atlantico.fr
05:49 Publié dans légumes et fruits | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : légumes, fruits, antioxydants, bêta-carotène, sciences
vendredi, 11 janvier 2013
Les Grosses têtes au carré
Daniel Fiévet a invité, vendredi dernier sur France Inter, 4 confrères journalistes pour évoquer les événements qui ont marqué la science en 2012 et leurs intuitions pour 2013.
Aline Richard, directrice de la rédaction du magazine La Recherche, présente les apports des cellules souches sur notre cerveau ainsi qu'une découverte du sens de l'orthographe chez certains singes. Marie-Odile Monchicourt, journaliste scientifique à France Info, évoque la découverte du Boson de Higgs. Sandrine Cabut, journaliste scientifique au cahier "Sciences & Techno" du Monde du week-end, décrit la crise du médicament, traversée en 2012. Philippe Hénarejos, rédacteur en chef du magazine Ciel et Espace, donne des nouvelles de Curiosity, le robot qui s'est posé sur Mars en août, et revient sur le transit de Vénus.
05:28 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sciences, information, cerveau, planète, astronomie
lundi, 07 janvier 2013
8750 géocroiseurs découverts à ce jour
2011 AG5 passera à seulement 1,6 millions de km de la Terre en février 2023, puis repassera en 2028 à environ 16,7 millions de km de la Terre. La NASA estime que ces passages successifs à proximité de la Terre pourront modifier la course de l'astéroïde, à cause de l'influence de la gravité terrestre. Résultat : le 5 février 2040, 2011 AG5 pourrait bien s'écraser sur Terre, avec un risque actuellement évalué à 1 sur 625.
Source : notre-planete.info
07:04 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : astronomie, planète, sciences
jeudi, 27 décembre 2012
Et si on mangeait les emballages
Wikiyaourt à la peau rouge
La peau des Wikicells est élaborée avec trois sortes de composants entièrement naturels : des particules naturelles, comme la framboise séchée ou le chocolat en poudre, qui sont gélifiées par du calcium ou du magnésium et agrégées avec un troisième composant mineur, des molécules consommables d'alginate ou de chitosan. Plusieurs obstacles doivent encore être franchis pour assurer le succès des Wikicells. A commencer par les habitudes de consommation et les questions d’hygiène, qui reviennent majoritairement dans les craintes exprimées à l’équipe du professeur. Mais selon David Edwards, en allant vers la nature, il faut accepter les règles de la nature.
Source : alternatives.blog.lemonde.fr
05:57 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : alimentation, gastronomie, emballage, déchets, recyclage, consommer autrement, sciences
mercredi, 26 décembre 2012
Compétition et émulation ?
Quelle distinction faites-vous entre compétition et émulation ?
La compétition, c'est « je ». Je cours contre vous, vous courez plus vite que moi. Cela me désole. Comme je veux arriver premier, j'en prends tous les moyens, y compris la tricherie. C'est cela, la compétition. C'est vouloir l'emporter sur l'autre, ce que fait presque sans y penser la société d'aujourd'hui.
L'émulation, c'est je cours avec vous, vous arrivez plus vite que moi et loin d'en être désolé, j'en suis tout heureux car vous avez des leçons à me donner sur ma façon de courir. L'émulation, c'est être content d'être dépassé par l'autre dans l'espoir qu'il vous ouvre des possibilités nouvelles. C'est l'exact opposé de la compétition.
Tout le reste découle de cette distinction. Ce que je cherche, ce n'est pas d'être meilleur que l'autre, ce qui n'a aucun intérêt, mais d'être meilleur que moi-même, ce qui est merveilleux.
Pour lire l'article complet sur le site terresacree.org
05:40 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sport, sciences humaines, sciences
jeudi, 20 décembre 2012
Que va-t-il se produire le 21 décembre 2012 ?
Depuis des mois, les médias et internet se font l’écho d’une fin du monde annoncée dans le calendrier des Mayas. Jean-Michel Hoppan du CNRS, archéologue, épigraphiste et spécialiste de l’écriture maya, explique qui sont les Mayas et leur système d'écriture et de calcul. En décrivant le fonctionnement complexe du calendrier maya, le film permet de comprendre que la date « 4 ahau 3 kankin » est la date de fin d’un grand cycle qui correspond, pour certains spécialistes, au 21-12-2012 de notre calendrier grégorien et marque le début d’une nouvelle ère pour les mayas…
Les Mayas, le calendrier et le 21-12-2012 par CNRS
Un film de Hervé Colombani et Didier Ozil, produit par CNRS Images (2012, 14 min)
Conseiller scientifique : Jean-Michel Hoppan (CNRS) | Structure et Dynamique des Langues (SEDYL – CNRS / IRD / Inalco Paris)
En savoir plus sur le film : videotheque.cnrs.fr
05:24 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amérique, histoire, cnrs, archéologie, sciences
mercredi, 19 décembre 2012
Sauvons les grands arbres
Le chêne de Tronjoly, à Bulat-Pestivien en France, âgé d'environ 1700 ans © Michel Lefranq, Wikipédia
Dans un rapport publié dans Science, des scientifiques signalent une alarmante accélération du taux de mortalité des grands arbres de 100 à 300 ans au cours du siècle dernier. Selon David Lindenmayer, premier auteur du rapport, ce déclin a été observé dans les forêts suédoises et confirmé par une étude de 30 ans sur les Eucalyptus d'Australie. Les vieux arbres disparaissent en masse dans les feux de forêt mais le taux de mortalité reste 10 fois plus important que la normale, les années sans feux. Ces observations s’étendent au monde entier. Ce déclin est dû aux défrichage, pratiques agricoles, feux de forêt, exploitation forestière, utilisation du bois, attaques d'insectes, changements climatiques.
Un appel est lancé par la communauté scientifique, il y a urgence dans le monde entier à sauver les grands arbres. Il faut enquêter pour évaluer l'ampleur de la perte des grands arbres, et identifier les domaines où ils ont une meilleure chance de survie.
Source : futura-sciences.com
05:46 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : environnement, changements climatiques, foret, bois, sciences, arbres, écosystème, biodiversité
mardi, 18 décembre 2012
La treegonometry, calculs pour Noël
Pour déterminer le nombre de boules nécessaires, il suffit de diviser par 20 la racine carrée de 17, puis de multiplier le résultat par la taille du sapin en centimètres.
Pour connaître la longueur idéale des guirlandes électriques, il faut multiplier π par la taille du sapin. Concernant les guirlandes ordinaires, il faut multiplier π par 13, diviser le résultat par 8 et ensuite multiplier par la hauteur de l’arbre.
Pour savoir quelle taille d’étoile convient le mieux pour le haut de votre sapin, il suffit de diviser la taille de l’arbre par 10.
Nombre de boules = ( √17 x Hauteur de l'arbre ) / 20
Longueur de guirlandes = ( 13 x Pi x Hauteur de l'arbre ) / 8
Longueur de guirlandes électriques = Pi x Hauteur de l'arbre
Hauteur de l'étoile ou fée ( en cm ) = Hauteur de l'arbre / 10
Un arbre de 180 cm nécessitera 37 boules, 919 cm de guirlandes, 565 cm de guirlandes lumineuse et une étoile de 18 cm.
Voici un calculateur en ligne : shef.ac.uk
05:24 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : sciences, mathématiques, noel
dimanche, 16 décembre 2012
La machine qui défie la gravité
Une machine de Rube Goldberg qui défie la gravité :
Rube Goldberg a dessiné des schémas annotés de machines complexes réalisant des tâches simples d'une manière particulièrement confuse. Appelées Machines de Rube Goldberg, elles ont eu jusqu'à aujourd'hui une longue postérité, notamment cinématographique.
Cette machine de Rube Goldberg défie la loi de la gravité. En effet, cette structure renversante parait totalement impossible à réaliser. Pourtant, cet enchaînement incroyable est bien sorti du studio 2D House, installé au Canada.
05:22 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vidéos, humour, sciences
mercredi, 12 décembre 2012
La survie du propocole
Le Climate Action Tracker, outil créé par les chercheurs du Potsdam Institute for Climate, qui traduit le cumul des engagements en élévation de la température moyenne global d'ici à la fin du siècle n'a pas marqué de progrès au cours de la négociation. Selon les chercheurs, cette deuxième période d'engagement est un pas très important pour la continuité, en particulier pour le système de comptabilité des émissions de GES et le mécanisme de développement propre, mais elle n'aura que très peu d'impact sur les émissions d'ici 2020. En cause, un nombre de participants et des engagements trop faibles.
Pour en savoir plus sur cet accord, on peut lire l'article publié sur le site actu-environnement.com
05:52 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gaz à effets de serre, changements climatiques, environnement, sciences, planète
dimanche, 02 décembre 2012
Que dit Darwin ?
Les organismes vivants sont en perpétuelle évolution, grâce notamment au phénomène de sélection naturelle qui fait qu’au sein d’une même espèce, les individus les plus adaptés à leur milieu se reproduisent davantage que les autres. Et que toutes les espèces (l’homme n’est pas exclu de ce schéma) descendent d’un ou de plusieurs ancêtres communs. Un bouleversement dans la vision traditionnelle chrétienne qui prévaut alors, et pour laquelle les créatures en tout genre qui peuplent la planète sont des créations divines, immuables et indépendantes les unes des autres.
Source : science.gouv.fr
Evolutionisme par hoptv
05:21 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour, darwin, évolution, sciences, vidéos
samedi, 01 décembre 2012
Indispensable inventaire de la biodiversité
Cet inventaire de la biodiversité est indispensable car selon Philippe Bouchet et Olivier Pascal, tout ce qui n'a pas d'identité n'existe pas. C'est valable dans les sociétés humaines, dans les bibliothèques, pour les éléments chimiques. On ne peut pas faire de la gestion de biodiversité si l'on ne sait pas ce que l'on a à gérer. Les stratégies de recherche et de conservation ne sont pas les mêmes si l'on a une biodiversité à un million ou à dix millions d'espèces.
On peut lire l'interview des scientifiques sur le site lemonde.fr
06:05 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : biodiversité, sciences, musée, biologie, environnement, écosystème
jeudi, 22 novembre 2012
Toutes les sciences sont humaines
" Toutes les sciences sont humaines parce que faites par des humains. Je dis souvent que les mathématiques partent de questionnements qui nous sont naturels mais leur appliquent un mode de raisonnement qui l'est moins. Les êtres humains sont faits pour fonctionner à base d'émotions, parce qu'elles sont plus efficaces que le raisonnement pour assurer la survie face au danger. Il faut faire un effort - un effort qui s'apprend -pour conduire un raisonnement logique qui peut être très complexe. Ce travail de structuration est au coeur de la démarche scientifique. On voit souvent la science comme une accumulation sans fin de faits. Mais, il y a cent ans, Henri Poincaré le disait déjà : « On fabrique la science avec des faits comme une maison avec des pierres, mais la science n'est pas plus un amas de faits que la maison un amas de pierres. "
05:41 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mathématiques, sciences, recherche, humanisme, sciences humaines
lundi, 19 novembre 2012
La société Maya face aux changements climatiques
Des précipitations inhabituelles seraient tombées sur les Basses-Terres mayas entre 450 et 660 ans après J.-C. Or, un boom démographique a été observé à la même époque. L’eau pourrait avoir favorisé le développement de l’agriculture et donc la mise à disposition d’une plus grande quantité de nourriture. Des villes comme Tikal, Copan et Caracol auraient alors connu leur plus forte croissance. La situation aurait changé à partir de l'an 660 avec l’installation d’une période relativement sèche qui dura 4 siècles. Certaines années furent marquées par de sévères sécheresses, ce qui aurait provoqué une chute de la productivité agricole, la fragmentation des sociétés (à partir de 760 après J.-C.) et la disparition de nombreux systèmes politiques (50 % en moins entre 775 et 800 après J.-C.). Ce dernier point s’expliquerait par la baisse de pouvoir et d’influence des grands monarques face aux problèmes rencontrés. Les inscriptions laissées sur les monuments en attestent. Enfin, 2 épisodes particulièrement secs survenus en 1020 et 1100 après J.-C. pourraient avoir définitivement causé la perte des Mayas.
Toutes ces données pourraient être utilisées afin de prévoir la réaction de nos sociétés face aux changements climatiques en cours.
Pour en savoir plus, on peut l'article complet publié sur le site futura-sciences.com
05:45 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : changements climatiques, amérique du sud, météo, sécheresse, histoire, sciences, réchauffement climatique
jeudi, 15 novembre 2012
Biomimétisme, nouveau point de vue sur le monde
La nature est un modèle : le biomimétisme est une science qui étudie les modèles de la nature, puis imite ou s’inspire de ces idées et procédés pour résoudre des problèmes humains.
La nature est un étalon : le biomimétisme utilise des critères écologiques pour déterminer si les innovations sont bonnes. Au bout de 3,8 milliards d’années d’évolutions, la nature a appris à reconnaître et à développer ce qui marche, ce qui est approprié et surtout ce qui dure.
La nature est un maître : le biomimétisme permet d'expérimenter une nouvelle façon de considérer et d’apprécier la nature. Il ouvre une ère fondée non sur ce qui peut être extrait du monde naturel, mais sur ce qu'il peut enseigner.
Source : ecoloinfo.com
05:41 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nature, énergies, sciences, écologie, biodiversité, solaire
mardi, 13 novembre 2012
Les kiwis bio développent leurs mécanismes de défense
Les kiwis bio et conventionnels présentent les mêmes valeurs en acides organiques et en sucres. Mais les kiwis bio sont plus petits, avec une peau plus épaisse. Leur concentration en polyphénols et autres antioxydants est largement supérieure à celle des kiwis conventionnels. L’étude suggère que les pesticides utilisés dans l’agriculture conventionnelle pourraient être à l’origine de la baisse de concentration en antioxydants. Non protégés par les pesticides, les kiwis bio développeraient davantage leurs mécanismes de défense, ce qui stimulerait leur production d’antioxydants. Ce phénomène, dit de stress, est parfaitement connu. Il a d’ailleurs fait l’objet de nombreuses études.
Pour en savoir plus, on peut relire l'article publié sur le site agriculture-environnement.fr en 2007.
La plante productrice des kiwis, Actinidia Chinensis, est une liane particulièrement résistante aux agresseurs. L'association Terre vivante la déclare comme "la plus biologique des cultures fruitières". Et pour cause, en France, la culture du Kiwi, ne nécessite aucun traitement phytosanitaire non seulement grâce à une protection naturelle, vraisemblablement due à la peau mais aussi grâce à la faible quantité des vergers, très dispersés. En effet, la monoculture, qui réduit la biodiversité du milieu, est propice au développement des maladies.
Pour en savoir plus sur le kiwi, on peut consulter le site eco-sapiens.com
05:37 Publié dans légumes et fruits | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bio, agriculture biologique, santé, antioxydants, sciences, biodiversité
mercredi, 07 novembre 2012
Les semblables soignent les semblables
Par exemple selon la théorie des signatures, l'intérieur comestible d'une noix, de par sa ressemblance est associé au cerveau humain. Par ailleurs, les dernières recherches médicales ont montré que la noix est riche en sérotonine, neurotransmetteur indispensable au fonctionnement de nombreuses fonctions cérébrales. Les Indiens d’Amérique du sud considérant que le saule étant très souple, en ont déduit que il devait contenir une substance qui combat l'arthrite source de " non souplesse". Effectivement, on extrait de l’écorce du saule de l'Acide salicylique, autrement dit de l'aspirine.
La théorie des signatures est à manipuler avec précaution : si la connaissance des plantes médicinales est issue d'une pratique empirique, il a peut-être fallu des siècles d'expériences aux chamanes et autres guérisseurs pour la maîtriser.
Source : wikipedia.org
vendredi, 02 novembre 2012
SOS pour les nuisibles
"Sur notre planète, les espèces vivantes sont intégrées dans des écosystèmes dont elles sont toutes dépendantes et dans lesquels elles jouent chacune un rôle spécifique nécessaire à l'équilibre global. En ce sens, les mots «animaux nuisibles», «mauvaises herbes», "espèces nuisibles" ne sont nullement justifiés.
Certaines populations locales peuvent devenir indésirables par rapport aux objectifs des êtres humains: cultures, élevages, préservation de l’habitation ... Leur sureffectif est souvent lié à des déséquilibres causés par les êtres humains, tels des bouleversements de l'habitat, de malencontreuses introductions d'espèces exotiques et l’élimination antérieure des prédateurs naturels.
Dans certains cas, une intervention peut-être justifiée à la condition qu’une étude scientifique appropriée ait désigné sans ambiguïté la réalité du problème et l’espèce qui en est responsable. De même, il importe de s’assurer que la nature de l’intervention ne va pas engendrer de nouveaux problèmes environnementaux d’envergure potentiellement beaucoup plus considérables. En ce sens, l’utilisation de poisons est particulièrement déconseillée autant pour l’impact de ces produits sur d’autres espèces que pour la pollution chimique qu’elle entraîne. Les « appâts toxiques » déposés dans les étangs pour combattre les ragondins en sont un exemple spécifique.
A nous de trouver des solutions qui nous permettent de coexister avec les espèces animales qui assurent les équilibres naturels aussi essentiels pour nous que pour tous les autres organismes vivants. Il suffit d'être plus malin que le renard en maraude pour défendre le poulailler..."
Source : humanite-biodiversite.fr
06:09 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : planète, écosystème, biodiversité, nuisibles, espèces, sciences, pollution