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samedi, 19 novembre 2011

ITER : lettre ouverte d'un collectif de physiciens

Ce qui suit a été extrait de la lettre rédigée par un collectif de physiciens des plasmas, les 30 pages sont télechargeables en cliquant ici
Le principe de base du fonctionnement d’un générateur à fusion, dont l’expérience ITER ne représenterait que la première étape, est basé sur deux réactions nucléaires dont la résultante est : Deuterium + Lithium donne 2 Helium + énergie. Il y a 35 grammes de deutérium et 0,17 grammes de lithium dans chaque mètre cube d’eau de mer. Eu égard à la production d’énergie attendue, le coût de production de ces deux « combustibles » est quasi négligeable. Il est donc exact de parler « d’énergie illimitée ».

La température au centre du soleil, qui tire son énergie de la fusion, est de 20 millions de degrés. Cette fusion ayant été réalisée (pendant une seconde) dans le tokamak anglais JET, utiliser l’expression : l’image d’un « soleil en éprouvette » n’est pas fausse.

Les pressions supplémentaires :
- La crainte de voir les réserves en hydrocarbures s’épuiser.
- Le souhait pour de nombreux pays de jouir d’une autonomie énergétique
- L’idée que les gaz à effet de serre, issus de la combustion des hydrocarbures pourraient provoquer un réchauffement climatique.

Une expérience à 15 milliards d’euros : comportant de nombreux points très problématiques et critiquables. On peut commencer par dire que cette entreprise n’a jamais fait l’objet d’un débat au sein de la communauté scientifique internationale.

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1) Si la construction d’ITER est entreprise, c’est sans disposer de données fiables sur la tenue de sa « première paroi ».
2) Pierre-Gilles De Gennes affirmait : Connaissant assez bien les métaux supraconducteurs, je sais qu’ils sont extraordinairement fragiles. Alors, croire que des bobinages supraconducteurs servant à confiner le plasma, soumis à des flux de neutrons rapides comparables à une bombe H, auront la capacité de résister pendant toute la durée de vie d’un tel réacteur (dix à vingt ans), me paraît fou.
3) les documents, liés à l’enquête publique, traitant des éléments environnementaux abondent, mais les autres documents restent opaques vis à vis d’éléments essentiels comme la couverture tritigène, sans laquelle un réacteur à fusion ne saurait fonctionner.
4) La production d’énergie par fusion, au fil d’un bourrage de crâne sans précédent, est présentée comme l’unique chance de l’humanité de pouvoir satisfaire ses besoins en énergie. C’est totalement faux. Il existe d’autres solutions, nombreuses, variées, à condition que certains pays du monde abandonnent leur obsession d’autarcie énergétique. Cette politique devrait être gérée à l’échelle internationale, impliquerait des Grands Travaux, générateurs d’emplois directement productifs, susceptibles d’attirer massivement des capitaux.


jeudi, 17 novembre 2011

Des traces d'iode 131 dans l'air

Selon l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, IRSN, des rejets d'iode radioactif ont été détectés dans l'air en France en provenance d'un pays étranger inconnu.

L'IRSN a été alerté la semaine dernière par son "réseau scientifique" sur des traces d'iode 131 dans l'air de plusieurs pays d'Europe centrale. Il a à son tour lancé une vague d'analyses, dont les premiers résultats montrent de très faibles niveaux de concentration d'iode radioactif dans la moitié nord de la France.

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L'IRSN assure que cette présence "tout à fait inhabituelle" est "sans aucun risque pour la santé des populations" car ne dépassant pas quelques microBécquerels par mètre cube..

Les installations de Fukushima sont hors de cause. L'iode 131 a une durée de vie très courte, sa radioactivité diminue de moitié tous les huit jours, et l'événement est "trop ancien et trop lointain".

Si la centrale nucléaire responsable de cet incident ne se signale pas, il faudrait alors que tous les pays ayant observé cet épisode de contamination publient leurs résultats pour les mettreen commun et retracerainsi le parcours des masses d'air polluées.

Pour en savoir plus, on peut lire l'article publié par le journal Le Monde

lundi, 07 novembre 2011

Vivre avec ses émotions

Les émotions, on les vit parfois sans les comprendre. dans le cadre de l'exposition "Petites et grandes émotions" à CAP Sciences Bordeaux, les spécialistes du cerveau et de la psychologie s’associent pour offrir une redécouverte des émotions. Du cerveau aux manifestations du corps, ils explorent tous les comportements.

Les émotions nous aident à nous adapter au quotidien. Elles sont le meilleur des outils pour communiquer avec les autres et ont une grande influence sur notre perception du monde, notre mémoire, nos prises de décision et nos jugements. Nous sommes nos émotions.

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Voici l'invitation de cette exposition :

Décodez vos émotions, apprenez à les respecter. Venez réfléchir à trouver l’équilibre, à se connaître et à s’aimer, à comprendre et à accepter les autres également, à ne pas se laisser envahir par des sentiments destructeurs, à ne pas faire semblant et souffrir en silence, mais s’autoriser à être soi avec justesse.

Pour en savoir plus, on peut se connecter sur le site de l'exposition expos.cap-sciences.net/petitesetgrandesemotions/

mercredi, 02 novembre 2011

Gloria, premier réseau mondial de télescopes en ligne

Jusqu'à présent toute personne qui désirait admirer le ciel dans un télescope devait l'acheter et apprendre à s'en servir. On pouvait également participer à des observations collectives sous les étoiles. Cependant on peut avoir aussi envie d'observer des objets célestes visibles depuis l'autre hémisphère.

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Dès l'an prochain la situation devrait s'améliorer avec la naissance du premier réseau mondial de télescopes robotisés en ligne. Connu sous le nom de Gloria (pour GLObal Robotic telescopes Intelligent Array for e-Science), ce projet européen prévoit de connecter sur trois ans 17 télescopes automatiques répartis sur la planète.

Depuis son ordinateur, on pourra contrôler ces télescopes à sa guise et on aura accès à un certain nombre de bases de données astronomiques.  Le temps de télescope attribué à chaque internaute sera calculé en fonction de la qualité de son projet astronomique, selon l'appréciation donnée par les autres membres du réseau.

On peut s'informer sur le site futura-sciences.com

vendredi, 28 octobre 2011

Les savanturiers de la mer

Du 28 au 30 octobre 2011, au port de Lorient, à bord de la Thalassa" Quand l'aventure et la science se rencontrent"

L'aventure est synonyme de découverte, d'imprévus, de rêve. Ceratins scientifiques partent bien loin des laboratoires. La recherche commence par un travail de terrain, qui peut avoir lieu dans des conditions extrêmes. Pendant que les uns sont dans le grand Nord pour ausculter la banquise, d'autres plongent à des profondeurs extrêmes, d'autres encore naviguent sur tous les océans pour les étudier et témoigner de ce qu'ils observent en véritables sentinelles nomades.

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La Thalassa, amarrée au port de Lorient, est un ancien navire océanographique de l'Ifremer, l'Institut Français de Recherche et d'Exploitation de la Mer, qui a parcouru les mers du globe durant 36 années pour étudier les mystères et les richesses des océans. On peut le visiter pour découvrir le navire et la vie du bord de ces marins et scientifiques qui contribuent à l'amélioration des techniques de pêche et à une meilleure connaissance de la ressource.
 
Pour en savoir plus, on peut consulter le site la-thalassa.fr

mardi, 18 octobre 2011

Du caoutchouc à base de pissenlits

Le caoutchouc naturel provient en grande partie de l’Hevea brasiliensis, un arbre présent en Asie du Sud-Est qui est de plus en plus infecté par un champignon. Pourtant, la production de ce matériau est devenu essentiel dans notre société. Afin de pouvoir continuer à récolter la précieuse substance, une équipe de scientifiques de l’Institut Fraunhofer de biologie moléculaire et d’écologie appliquée d’Aix-la-Chapelle travaille actuellement à l’obtention de caoutchouc naturel à partir de pissenlits.

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Les scientifiques sont parvenus à identifier l’enzyme responsable de la polymérisation rapide du caoutchouc de pissenlit. En désactivant cette enzyme, ils ont obtenu des plantes génétiquement modifiées capables de produire jusqu’à quatre à cinq fois plus de caoutchouc qu’avec des pissenlits russes classiques. Selon ces scientifiques, en cultivant ces plantes à grande échelle, il serait possible de produire de 500 à 1.000 kilogrammes de latex par hectare et par période de végétation.

Pour produire ce caoutchouc, on utilisera les mauvaises herbes ou des OGM ?

Pour en savoir plus, onb peut lire l'article publié sur le site science.gouv.fr

dimanche, 16 octobre 2011

Faites de la science

Ce dimanche 16 octobre est le dernier jour de la Fête de la science 2011.

Accueil à CAP Sciences, quai de bacalan à Bordeaux

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Chimie Show 2011 par InfoSciences-Aquitaine

lundi, 26 septembre 2011

Plus rapide que la lumière

En 1905, Albert Einstein énonçait la théorie de la relativité restreinte, expliquant que rien ne pouvait dépasser la vitesse de la lumière dans le vide, 299 792 458 m/s.

Mais aujourd’hui, au terme de trois années de mesures et d’analyses, l’expérience internationale OPERA fait état d’un résultat surprenant : les neutrinos, particules élémentaires dotées d’une faible masse peuvent dépasser la vitesse de la lumière.

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Après un parcours de 730 km, les neutrinos franchissent la ligne d’arrivée avec une petite, mais significative, avance. Les chercheurs estiment que sur le même parcours, dans le vide, la lumière arriverait quelques 60 nanosecondes derrière les neutrinos, soit 20 mètres de retard sur les 730km.

“Nous avons mis un dispositif entre le CERN et le Gran Sasso en Italie nous permettant de mesurer la distance entre les deux sites à 20 centimètres près. La précision de la synchronisation se déroule à la nanoseconde. Si ces mesures présentent de faibles incertitudes, nous sommes confiants envers les statistiques des résultats”, explique Dario Autiero, chercheur du CNRS à l‘institut de la physique nucléaire de Lyon.

Des résultats inattendus et inexplicables, affirme Antonio Ereditato, porte parole de l’expérience OPERA. Car rien ne permet d’expliquer pourquoi les 15 000 neutrinos observés sont en excès de vitesse. Jusqu’ici la vitesse de la lumière a toujours été considérée comme une limite infranchissable. Et pourtant, la récente découverte ouvre de nouvelles perspectives théoriques.

Pour en savoir plus, on peut consulter le site nationalgeographic.fr

dimanche, 18 septembre 2011

Fouilles archéologiques préalables

En amont du projet de requalification de la place Saint-Michel, des fouilles archéologiques se sont déroulées pour mieux connaître l'histoire de ce quartier historique de Bordeaux.


Top départ pour les fouilles archéologiques dans... par webtv_fabienrobert

Parmi toutes les découvertes, les archéologues ont déterré les vestiges d'une habitation privée, dont la construction remonterait au XVe siècle.

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Le doublage de certains murs indique qu'elle a subi des reprises. Le tout est comblé de gravats de démolition. Cet ensemble a été abandonné lors de la restructuration du quartier à la fin du XIXe siècle.

jeudi, 15 septembre 2011

La tête au carré

C'est la sixième saison de l'émission "La tête au carré" diffusée chaque jour de la semaine, à 14h sur France Inter. Éclectisme, vulgarisation et pédagogie, sciences dures du vivant ou humaines : Mathieu Vidard, le présentateur de l'émission, s’intéresse à toutes les observations et les expérimentations du monde par le biais des sciences. Cette saison, en plus des habituels rendez-vous, une fois par trimestre Mathieu Vidard, en partenariat avec le Collège de France et l’Académie des sciences, explore les grands enjeux scientifiques des années à venir.

Le thème de l'émission de ce jeudi 15 septembre est "Faire la pluie et le beau temps".

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L'homme peut-il faire la pluie et le beau temps comme il l'entend ? Les opérations de modification artificielle du temps sont de plus en plus fréquentes (on pense notamment aux importants moyens déployés par les autorités chinoises pour les Jeux Olympiques de Pékin en 2008), alors même que les preuves scientifiques de leur efficacité viennent à manquer.

L'invité de l'émission ce jeudi est Jean-Pierre Chalon, membre du Comité de direction générale de Météo-France, qui propose un bilan méthodique et scientifique de la question. Pourquoi cherche-t-on à modifier le temps ? Que sait-on faire ? Que peut-on faire ? Que risque-t-on de faire ?

mercredi, 07 septembre 2011

A l'école de la biodiversité

La main à la pâte a été lancée en 1996, à l'initiative de Georges Charpak, prix Nobel de physique 1992, Pierre Léna, Yves Quéré et de l'Académie des sciences dans le but de rénover l’enseignement des sciences et de la technologie à l’école primaire en favorisant un enseignement fondé sur une démarche d'investigation scientifique. Les enseignants soumettent à la curiosité de leurs élèves des objets et des phénomènes du monde qui les entoure, suscitant le questionnement scientifique.

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A l'école de la biodiversité est un projet thématique pour le cycle 3 destiné à sensibiliser les enseignants, enfants et parents aux enjeux du XXIe siècle liés à la biodiversité, son exploration et sa préservation.

Projet pluridisciplinaire (sciences, géographie, mathématiques, français, instruction civique, TICE…) A l'école de la biodiversité met en avant l’activité des élèves par le questionnement, l’étude documentaire, l’expérimentation, la modélisation et le débat.

Au cours du projet, ils se sensibiliseront à un nouveau mode de pensée et d'action quotidienne, dans lequel l'Homme est placé en tant que maillon des écosystèmes et citoyen de la nature.

Pour en savoir plus, on consulte le site lamap.fr

vendredi, 26 août 2011

Le champ magnétique en perte de puissance

Le champ magnétique terrestre est généré par le noyau en fusion de la terre. Ce champ magnétique, qui protège la planète depuis des millénaires, est en perte de puissance. Pourtant le soleil rejette des milliards de particules chargées et ces ondes magnétiques sont vitales car elles canalisent les vents solaires vers les pôles.

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Les différentes données recueillies par les sondes envoyées sur Mars, permettent d'affirmer qu'il y a 4 milliards d'années, cette planète ressemblait à la terre. Mais depuis qu'elle a perdu son champ magnétique, la vie a quitté cette planète pour ne laisser que des amas de roches volcaniques.

Pour en savoir plus, on peut regarder le documentaire de DUNCAN COPP diffusé sur ARTE, ce soir à 22h10 ou se connecter sur le site agoravox.tv

jeudi, 25 août 2011

Les orages de l'été

 Les orages ont habituellement lieu à la fin d'une chaude journée d'été, quand les cumulonimbus ont atteint leur développement maximal. L'été, le soleil brille plus longtemps et plus fortement en réchauffant l'air. Plus l'air est chaud, plus il monte vite et haut, rencontrant des zones de plus en plus froides qui tentent de les repousser. Ces violents courants d'air verticaux créent des frottements et une séparation des charges électriques. Les particules les plus fines, chargées d'électricité positive, se dirigent vers le sommet. Les plus lourdes chargées d'électricité négative vont vers la base. À cause des mouvements verticaux très violents et puissants, il y a déséquilibre entre les charges électriques à l'intérieur du nuage ainsi qu'à l'extérieur, entre la base négative du nuage et le sol positif. Quand les charges accumulées deviennent trop importantes, et surtout lorsqu'il y a opposition directe entre ces charges, il y a décharge électrique sous forme d'éclair et un orage éclate.

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On voit d'abord l'éclair avant d'entendre le tonnerre car la lumière voyage environ 1 million de fois plus vite que le son. En effet la vitesse du son est de 337 m/s alors que la vitesse de la lumière est de 300000 km/s. En comptant le nombre de secondes qui séparent la vision de l'éclair et le bruit du tonnerre et en divisant ce nombre par 3, on peut estimer la distance qui nous séparant de l'orage en kilomètres. Si 9 secondes séparent l'éclair du tonnerre, l'orage est situé à 3 km du lieu où l'on est.

Pour en savoir plus, on peut consulter le site meteo.org

mercredi, 17 août 2011

Des photos de la planète Mars inédites

Le robot américain Opportunity, qui parcourt la planète rouge depuis janvier 2004, a pris des clichés encore jamais vus du cratère Endeavour situé sur Mars, grâce à son appareil photo panoramique. 

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Opportunity a rejoint le bord du cratère Endeavour. D'un diamètre de plus de 20 kilomètres, l'exploration de ce cratère est l'occasion d'examiner l'environnement et notamment les roches sur Mars.

Pour en savoir plus, on peut consulter le site planet.fr

mercredi, 03 août 2011

S'initier au plaisir de la cuisine

L’atelier d’Arthur s’adresse aux enfants ayant entre 5 et 11 ans.

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Cet atelier a pour vocation de les intéresser à la réalisation de bons petits plats avec des recettes adaptées à leur âge et cuisinées avec de bons produits.

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Une étape pour découvrir les aliments et ensuite un tablier plus une toque sur la tête des jeunes chefs pour les initier au plaisir de la cuisine.
Aout 2011
Mardi 2 : ESCARGOTS FEUILLETES
Mercredi 3 : LES PERLES DE L'ESPACE
Samedi 6 : ASSIETTE DE FRUITS FRAIS
Dimanche 7 : MINI BROCHETTES ET PETITE SOURIS SURPRISE
Mercredi 10 : MADELEINES A BOSSE
Jeudi 11 : TUILES AU MIEL ET AUX AMANDES
Samedi 13 : LE SERPENT DES ILES
Dimanche 14 : LES PERLES DE L'ESPACE

Mardi 16 : SOUFFLES AU CHOCOLAT
Mercredi 17 : FEUILLETES AUX POMMES
Samedi 20 : MINI TARTES AUX POIRES
Dimanche 21 : FINANCIERS
Mercredi 24 : LANGUES DE CHAT
Jeudi 25 : LE  SERPENT DES ILES
Samedi 27 : TRIANGLES DE BRICK AU FROMAGE
Dimanche 28 : CHAUSSONS AUX POMMES
Mardi 30 : LES PERLES DE L'ESPACE
Mercredi 31 : MOUSSES AU CHOCOLAT

Réservation BORDEAUX Cap Sciences Hangar 20 Quai de Bacalan, Tel : 05 56 01 07 07

mercredi, 27 juillet 2011

Une installation de génération de méthane renouvelable

L'équipe Sterner du Fraunhofer Institut vient de réaliser la conversion en énergie de stock, réutilisable à volonté d'une énergie renouvelable avec une première installation de génération de méthane. Cette installation pilote est de la taille d'une caravane et fonctionne à Stuttgart pour alimenter plusieurs véhicules à partir de gaz carbonique, d'eau et d'électricité d'origine renouvelable.

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Le gaz carbonique tiré de l'atmosphère en quelques jours par cette usine miniature l'est avec autant d'efficacité qu'un champ de maïs d'un hectare pendant une saison. Ce dernier est retenu puis réduit au sens chimique du terme par de l'hydrogène obtenu par craquage de l'eau (électrolyse) et ce à partir d'énergie électrique d'origine renouvelable. Le produit final est le méthane (GNL). Ce dernier est directement consommable dans un moteur thermique de voiture ou stockable facilement à volonté pour des utilisations hivernales, par exemple. L'hydrogène intermédiaire généré pouvait être utilisé dans les piles à combustible et les véhicules électriques, mais présentait un problème de stockage et de carburation difficilement surmontables d'un point de vue économique.

Ce procédé permet donc une mobilité neutre d'un point de vue environnemental pour ce qui concerne les gaz à effet de serre et ce avec un changement minime des véhicules actuels correspondant à un passage au gpl.

Pour en savoir plus on peut lire l'article publié sur le site notre-planete.info

mardi, 26 juillet 2011

Comment évolue l’épaisseur de la banquise

Sur son orbite à une altitude d'une peu plus de 700 km qui lui assure une couverture jusqu'à une latitude jamais atteinte de 88°, le satellite CryoSat vient de passer les sept derniers mois à recueillir des mesures très précises afin d'étudier les variations dans l'épaisseur des glaces de notre planète.

Les satellites ont déjà montré que l’étendue de la banquise en Arctique est en diminution. En fait, le printemps 2011 a enregistré la troisième plus faible étendue jamais enregistrée par satellite.

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Toutefois, pour comprendre pleinement comment le changement climatique affecte les fragiles régions polaires, il est nécessaire de déterminer exactement comment évolue l’épaisseur de la banquise. CryoSat mesure la hauteur de la banquise au-dessus de la ligne de flottaison, ce que l’on appelle le « franc-bord », afin d’en déduire l’épaisseur totale. Les mesures utilisées pour générer la première carte de l’Arctique ont été collectées de janvier à février 2011, alors que la banquise approchait de son maximum annuel.

« Ces premiers résultats sont vraiment passionnants et nous commençons à voir se concrétiser le potentiel de la mission » a ajouté le Directeur de mission de CryoSat pour l’ESA, Tommaso Parrinello.

« Les prochains mois seront dédiés à compléter l’image pour avoir un meilleur aperçu de l’évolution des glaces polaires. »

Pour en savoir plus, on peut consulter le site de l'ESA

samedi, 23 juillet 2011

La terre peut-elle perdre le Nord ?

Si les boussoles avaient existé il y a 800 000 ans, leurs aiguilles auraient indiqué... le sud ! Depuis que le champ magnétique terrestre existe, il s'est inversé à de nombreuses reprises. Comment les scientifiques ont-ils fait pour découvrir le renversant passé magnétique de notre planète ? Faut-il s'attendre à ce qu' un jour, la Terre perde à nouveau le Nord ? Réponses de Jean-Pierre Valet, paléomagnéticien à l’Institut de Physique du Globe de Paris.


La Terre peut-elle perdre le Nord ? par CNRS

Pour plus d'info sur la série "Les dessous de la planète" : http://videotheque.cnrs.fr/index.php?urlaction=doc&id...

vendredi, 22 juillet 2011

Une énergie équivalente à 10 000 soleils

Le four solaire de Font-Romeu se situe à Odeillo, tout près de Font-Romeu, dans les Pyrénées-Orientales. Il s'agit de l'un des deux plus grands fours du monde fonctionnant à l'énergie solaire, avec celui de Tachkent en Ouzbékistan.

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La concentration des rayons solaires est réalisée grâce à des miroirs réfléchissants, créant une énergie équivalente à 10 000 "soleils". Cette énergie est ensuite utilisée à des fins expérimentales, afin d'observer le comportement des matériaux lorsqu'ils subissent des conditions extrêmes.

Le four solaire est l'un des sites insolités répertoriés par le site planet.fr, vous pouvez découvrir les 15 autres.

mercredi, 20 juillet 2011

Pas besoin de compétences de naturaliste pour participer

La biodiversité, c'est toute la richesse de la nature et de ce qui vit. Pour l'observer, pas besoin d'aller à l'autre bout du monde, on peut la voir à l'œuvre dans nos jardins. Et c'est pour cela que tout le monde peut s'investir dans les sciences participatives en aidant les scientifiques à acquérir une meilleure connaissance de l'état de santé de la biodiversité.

Pas besoin de compétences de naturaliste, il suffit de suivre un protocole. Les informations que les participants recueillent ont cependant une grande valeur scientifique et sont très utiles. A la fin de la collecte de données, ils sont tenus informés des résultats de la recherche, ce qui leur permet d'élargir leurs connaissances.


kiagi 15 les sciences participatives par e-graine

Pour participer on peut se connecter sur le site de l'Observatoire des Papillons des Jardins, sur celui du Programmes de Sciences Participatives de Vigie-Nature ou encore sur celui du Suivi Photographique des Insectes Pollinisateurs.