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mardi, 30 juillet 2013

Après la canadienne des premiers congés payés

Après la canadienne des premiers congés payés démocratisée par la marque Trigano, de nouvelles formes sont arrivées durant les décennies suivantes : le chapiteau, avec chambre (s) et auvent, la caravane, l'igloo, et plus récemment, la 2'' Quechua.

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Dans les années 70, les campeurs des premiers congés payés ont fait place aux vacanciers des trente glorieuses qui rêvent de Biscarosse, Argelès-sur-Mer ou Salou, d'Espagne. Aujourd'hui, ils sont remplacés par les camping-car. Les caravaniers étaient l'objet de moqueries. Car ils ont beau conduire des DS, des 504 ou des Renault 30, ils lambinent sur les nationales, et il faut attendre la trois-voies pour les dépasser. Mais le caravanier s'en moquait, il détennait le privilège de faire rouler sa résidence secondaire. A l'image de Jacky Pic, interprété par Claude Brasseur dans les films « Camping », qui tient à retrouver chaque été son emplacement numéro 17, les propriétaires de caravanes sont fidèles, une fois qu'ils ont trouvé leur place de rêve. Mais la caravane leur ouvre aussi de nouveaux horizons : les Pyrénées pendant le Tour de France ou la Bretagne.

Source : ladepeche.fr

lundi, 29 juillet 2013

Tous les plaisirs de la haute montagne

La Cerdagne, située dans les Pyrénées-Orientales, offre tous les plaisirs de la haute montagne, ballades en forêts, randonnées de tout niveau, sources d'eau chaude, paysage grandiose. Géologiquement la Cerdagne est un plateau formé par une faille comblée entre deux montagnes. La Cerdagne commence au col de la Perche, ce qui place Mont-Louis en Haut-Conflent.

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En observant la Cerdagne vue du ciel, aucun motif naturel ne justifie la frontière entre la France et l'Espagne. Seul point naturel, la colline centrale Cerda, légèrement surélevé par rapport au plateau, sur laquelle on a bâti au XIVe siècle une nouvelle ville : le puig Cerda (Puigcerda). Cette colline a pu justifier la séparation en 1659 au traité des Pyrénées. La Cerdagne est longtemps restée isolée. La vallée de la Têt était difficile à franchir, les habitants ont donc vécus en autarcie. C'est le petit train jaune, au début du siècle, qui l'a désenclavée.

Pour découvrir la Cerdagne, on peut consulter le site pyreneescatalanes.free.fr

des photos sur cerdagne.free.fr

dimanche, 28 juillet 2013

La Sardane, danse méditerranéenne

L'origine de la sardane est inconnue. C'est une danse ronde, caractéristique des danses des peuples méditerranéens. On trouve nombre de témoignages de ces danses ou les danseurs se donnent la main, croisent les pieds tout en formant une ronde, dans les histoires des étrusques, des Ibères et autres peuples anciens.

samedi, 27 juillet 2013

L'atmosphère de Mars totalement détruite

Un an après son atterrissage sur la planète rouge, le robot Curitosity a déjà parcouru un kilomètre. Ses instruments d'analyse embarqués ont déjà envoyé leurs premières mesures. Elles concernent notamment l'identification des gaz présents dans l'air martien, parmi lesquels figurent l'argon, l'azote, l'oxygène, le monoxyde de carbone et le dioxyde de carbone.

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Les équipes de chercheurs estiment que l'atmosphère de la planète rouge a été totalement détruite il y a quatre milliards d'années. Les scientifiques pensent que les différents ratios de deux formes d'argon, actuellement présents sur Mars et sur la Terre, suggèrent qu'un événement de grande ampleur a affecté leur présence, de violentes éruptions volcaniques ou une collision avec une énorme objet spatial, probablement au moins de la taille de Pluton. Mars aurait donc développé une atmosphère riche en oxygène plus d'un milliard d'années avant la Terre, selon une étude publiée le mois dernier. Des rochers, récupérés par le robot Spirit à la surface du cratère Gusev, contiennent cinq fois plus de nickel que les météorites martiennes découvertes sur la Terre. Cela révèle que la surface des pierres, vieilles d'au moins 3,7 milliards d'années, se sont formés dans un environnement riche en oxygène. Or, ce n'est pas le cas des météorites dont l'âge varie entre 180 millions et 1,4 milliards d'années.


Pour en savoir plus, on peut consulter le site maxisciences.com

vendredi, 26 juillet 2013

Le taux de fonte global s’accélère

En 2012, la banquise arctique atteignait son taux de fonte record, et 97 % de la couche de surface de la calotte groenlandaise présentait de l’eau de fonte. De nombreuses études ont mis en évidence une accélération de l’écoulement glaciaire aux endroits où la langue des glaciers se jette dans l’eau.

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Le glacier Sermeq Kujalleq est le glacier du Groenland qui fond le plus rapidement. Son front a reculé de 26 km entre 1851 et 1951, et il se déplace aujourd’hui à une vitesse de 40 m par jour. L’eau de fonte modifie les propriétés physiques de glace. Pour caractériser plus précisément cette relation, l’équipe du Cooperative Institute for Research in Environmental Sciences a développé un nouveau modèle de climat, qui se focalise sur les interactions entre l’eau de fonte et l’influence de la glace. Le nouveau modèle montre que deux processus sont principalement mis en jeu. D’une part, l’eau de fonte réchauffe le lit de la calotte glaciaire et favorise la formation d’une couche d’eau à l’interface continent-glace. Cette couche agit alors comme un lubrifiant et favorise le glissement du glacier. D’autre part, la glace de la calotte est réchauffée par l’eau et devient moins visqueuse et la couche de glace se déplace alors plus facilement. En considérant ce facteur de fonte interne, il est probable que le taux de fonte global s’accélère au fil du temps.

Source : futura-sciences.com

jeudi, 25 juillet 2013

L’agro-écologie ne fait pas baisser les rendements

Comment favoriser la présence d’espèces auxiliaires qui peuvent aider à contrôler les adventices ou les parasites ? Quelles cultures associer pour valoriser les ressources naturelles ? Comment intégrer au mieux élevage et production végétale sur une exploitation ? Quel est l’impact sur les pollinisateurs de la présence de prairies ? Ces questions sont au cœur de la démarche de certains paysans pionniers de l’agro-écologie, tel Pierre Rabhi. Selon le directeur scientifique Environnement de l’Inra, des gens ont été innovants et ont apporté de la réflexion. On doit maintenant disposer d'innovations accessibles à tous, afin d’avoir un effet d'entraînement sur les multiples systèmes de production.

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Lors de la remise du rapport sur l’agro-écologie le 11 juin dernier au ministre de l'agriculture, l'ancienne présidente directrice générale de l’Inra a relevé que l’agro-écologie ne fait pas baisser les rendements mais prend plus de temps. Un important colloque organisé par l’Inra sur l’agro-écologie, le premier du genre, est programmé en octobre 2013.

Source : inra.fr

mercredi, 24 juillet 2013

L'agroécologie en 12 points

Un travail du sol qui ne bouleverse pas sa structure, son ordonnancement vital entre surface et profondeur, entre terre arable, siège de micro-organismes aérobies, et terre profonde et souvent argileuse, siège de micro-organismes anaérobies.
Une fertilisation organique fondée sur les engrais verts et le compostage.
Une gestion plus efficace des éléments nutritifs en recyclant la biomasse et en ajoutant régulièrement des résidus agricoles.
Des traitements phytosanitaires aussi naturels que possible et utilisant des produits qui se dégradent sans dommage pour le milieu naturel.
Le choix judicieux des variétés les mieux adaptées aux divers territoires avec la mise en valeur des espèces traditionnelles locales.
L’augmentation de la couverture avec du fumier et des engrais verts.

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L’économie et l’usage optimum de l’eau. L’irrigation peut être accessible lorsqu’on a compris l’équilibre entre terre et eau
Le recours à l’énergie la plus équilibrée, d’origine mécanique ou animale selon les besoins mais avec le souci d’éviter tout gaspillage ou suréquipement couteux.
Des travaux anti-érosifs de surface pour tirer parti au maximum des eaux pluviales.
La constitution de haies vives pour protéger les sols des vents.
Le reboisement des surfaces disponibles et dénudées avec diversité d’espèces.
La réhabilitation des savoir-faire traditionnels conforme à une gestion écologique économique du milieu.

Source : agrisud.org

mardi, 23 juillet 2013

La transpiration attire le moustique

Le moustique femelle aime la chaleur entre 15 et 30 degrés Celsius associée à un bon taux d'humidité. Le moustique est aussi spécialement attiré par certaines odeurs : sueur, odeur de la peau, acides aminés, stéroïdes, urine. Toute une panoplie d'odeurs propres à chacun qui font de chacun une cible potentielle ou pas. Les moustiques préfèreraient les personnes qui présentent moins de composants sucrés et fruités, les "cétones", dans leur sueur.

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La solution pour ne pas se faire piquer ? Etre un homme propre avec une peau sèche et froide, qui ne transpire pas et dormir avec sa compagne au corps brûlant et la peau moite qui attirera plus probablement le moustique.

Source : pourquois.com

lundi, 22 juillet 2013

Les peupliers OGM ont été dévitalisés

En 2007, l’Inra avaient obtenu l’autorisation de procéder à un essai scientifique utilisant des peupliers génétiquement modifiés. Cet essai, mené sur une parcelle expérimentale du Loiret, visait l’acquisition de connaissances d’intérêt général. L’Institut avait demandé le renouvellement, pour une période supplémentaire de 5 ans. Eu égard aux délais d’instruction de la demande de renouvellement de l’essai, aux engagements souscrits en 2007 dans le cadre de l’autorisation initiale, aux contraintes climatiques particulières du printemps 2013 et à leur influence sur l’expérimentation, et en l’absence de l’autorisation attendue, l’INRA a dû décider le vendredi 12 juillet de dévitaliser définitivement les peupliers génétiquement modifiés. Cette décision a été mise en œuvre le samedi 13 juillet matin.

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Malgré tout, fort de cette expérience et conscient, selon l'Institut, des enjeux scientifiques relatifs à la formation et aux usages du bois comme aux impacts environnementaux des OGM, l'INRA entend faire des propositions pour approfondir et compléter les premiers résultats acquis grâce au premier essai et pour maintenir des compétences et une expertise nationales publiques fondées sur des connaissances scientifiques robustes. Dans cette perspective, l’INRA sera prêt à proposer de nouveaux essais au champ.

Source : presse.inra.fr

dimanche, 21 juillet 2013

Choeur des esclaves, hymne à la liberté

À l'époque où Verdi compose son Nabucco, l'Italie est sous domination autrichienne. Va, pensiero, le choeur des esclaves hébreux, est aussitôt compris comme un hymne à la liberté.

Va, pensiero, sull'ali dorate ;

Va, ti posa sui clivi, sui colli,

Ove olezzano tepide e molli

L'aure dolci del suolo natal !

Del Giordano le rive saluta,

Di Sionne le torri atterrate...

Oh mia patria sì bella e perduta !



Verdi - Nabucco - Choeur des esclaves. par desalpages

05:39 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson, vidéos, ilalie

samedi, 20 juillet 2013

Le requin pèlerin observé sur les côtes

Chaque année, des centaines de requins pèlerins sont observés sur les côtes françaises, mais depuis quelques semaines, les observations se multiplient. Pouvant atteindre 12 mètres pour un poids d'environ 5 tonnes, de couleur gris-brun avec de longues fentes branchiales de chaque côté de la tête, ce requin impressionnant est pourtant inoffensif puisqu'il se nourrit de petits poissons, d'œufs de poisson et de zooplancton. Il a été longtemps pêché pour sa chair, son foie, sa peau et, en Asie, pour ses ailerons. Le requin pèlerin est facile à capturer car il nage à la surface avec une grande lenteur.

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En Europe, la pêche est devenue marginale et demeure essentiellement norvégienne. Mais ces grands poissons sont régulièrement victimes de pêche accidentelle et même de collisions avec des grands navires. C'est pourquoi, le requin pèlerin figure dans la liste rouge des espèces menacées de l'UICN dans la catégorie « espèce vulnérable ». De plus, le requin pèlerin est inscrit sur la liste de la Convention pour la protection du milieu marin de l'Atlantique du Nord-Est (OSPAR) des espèces menacées ou en déclin. Le requin pèlerin est un requin pélagique qui peut parcourir de grandes distances. Il se reproduit dans les eaux tempérées et boréales, il est donc normal qu'il soit observé près des côtes françaises.

Pour en savoir plus, on peut lire l'article publié sur le site notre-planete.info

vendredi, 19 juillet 2013

7-11 ans, l’âge de la curiosité à toutes épreuves

7-11 ans, c’est l’âge de la curiosité à toutes épreuves et des vocations précoces. À l’école, on apprend uniquement ce qui est connu, sans parler de ce qui ne l’est pas. La collection " Sur les épaules des savants", on propose de dévoiler les limites de la connaissance pour que les enfants puissent constater que tout est ouvert, qu’ils ont une place à prendre et qu’ils pourront contribuer à faire avancer la science. Ceux qui ont envie de devenir plus tard scientifiques, mais aussi tous ceux qui sont simplement curieux, seront rassurés de savoir qu’on ne sait pas tout… tout en apprenant ce qu’on sait déjà.

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Avec le livre de cette collection, l’Univers, ce qu’on ne sait pas encore…, on effectue avec l’astrophysicien Hubert Reeves un tour de l’Univers, de la Terre jusqu’aux galaxies lointaines, en passant par le système solaire et le Big-Bang. Un voyage dans l’espace et le temps, avec un objectif précis : montrer aux jeunes les questions auxquelles se heurtent encore les chercheurs et auxquelles eux-mêmes pourront s’atteler quand ils seront grands…

Source : editions-lepommier.fr

jeudi, 18 juillet 2013

L'énergie houlomotrice, un potentiel à exploiter

Les vents du large transmettent une bonne partie de leur énergie aux masses d’eau, ce qui génère des mouvements oscillatoires à leur surface : la houle. Ce phénomène ondulatoire est intéressant, car il peut se propager sur de longues distances avec peu de pertes d’énergie, jusqu’à arriver sur des côtes où il pourrait être exploité. Selon l’Agence internationale de l'énergie (AIE), le potentiel énergétique mondial de cette ressource serait estimé entre 8.000 et 80.000 TWh/an, soit 5 fois la demande énergétique mondiale dans le meilleur des cas.

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En France, la puissance moyenne transmise par les vagues sur la façade atlantique serait d’environ 45 kW par mètre de ligne de côte. Après quelques calculs, et selon un document de l’Ifremer, l’énergie houlomotrice disponible en Métropole s’élèverait à 417 TWh/an, une valeur proche de ce que notre pays a consommé en 2000 (450 TWh). Pour exploiter ce potentiel, le dispositif Oyster, développé par Aquamarine Power, se divise en deux parties distinctes. La première est terrestre, tandis que la seconde est immergée par 10 à 15 m de fond, à environ 500 m au large des côtes. Sous l’eau, l’Oyster se compose d’un volet mobile relié à une base fixe par des pivots. De par sa nature flottante, l’appendice se tient à la verticale, avec son extrémité qui dépasse légèrement de la surface. Il est emporté par les vagues, et se déplace donc d’avant en arrière, tout en actionnant passivement deux pistons. Leur rôle : comprimer de l’eau douce présente dans un circuit fermé. Elle est alors envoyée sur la terre ferme par des conduites, où elle alimente une centrale hydroélectrique, avant de revenir vers le volet mobile.

Pour en savoir plus sur ce dispositif, on peut consulter l'article publié sur le site futura-sciences.com

mercredi, 17 juillet 2013

Le neuromarketing pour faire consommer davantage

Dans un article publié il y a quelques semaines par PLoS ONE, deux psychologues allemands se sont demandé si l'effet "grande marque" pouvait intervenir dans l'univers de l'alimentation et influencer une dégustation. Pour le déterminer, ils ont mis au point l'expérience suivante : des volontaires, allongés dans un appareil à IRM, allaient goûter 4 sodas gazeux et les noter pendant qu'on observerait les zones de leur cerveau excitées par cette dégustation. Les testeurs visualisaient sur un écran, pendant une demi-seconde, la marque commercialisant ladite boisson : Coca-Cola, Pepsi-Cola, River Cola et T-Cola. River Cola est la marque générique d'une chaîne de supermarchés allemands, tandis que le T-Cola avait été présenté aux participants comme une boisson tout juste mise au point et pas encore sur le marché.

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Les quatre échantillons servis étaient rigoureusement identiques, un tiers de chaque : Coca, Pepsi et River Cola. Les expérimentateurs montraient avant le test quatre récipients dont le contenu était soigneusement étiqueté. Les 15 participants ont tous eu l'impression qu'il s'agissait de quatre sodas différents. Les échantillons estampillés Coca et Pepsi, les deux grandes marques, ont obtenu des notes significativement meilleures à celles des deux autres. A l'IRM, il est apparu que la dégustation de ce qui était présenté comme des marques peu ou pas connues a donné lieu à plus d'activité dans le cortex orbitofrontal, montrant que le sujet cherchait davantage à assigner une valeur au produit qu'il était en train de goûter, à décider s'il le trouvait bon ou pas, ce qui était moins le cas avec les pseudo-Coca et Pepsi. Comme si, dans le cas du River Cola et du T-Cola, la marque n'était pas un indicateur suffisant pour déterminer si la boisson plaisait ou ne plaisait pas. Pour les boissons connues, cette zone se révélait moins active, sans doute parce que, pour les avoir déjà goûtées auparavant ou en avoir vu la publicité, les sujets savaient déjà plus ou moins à quoi s'en tenir.


En revanche, un autre endroit du cerveau "s'allumait" davantage au moment de la dégustation des marques célèbres : le striatum ventral,
une région liée à la récompense et au plaisir. Si le Coca et le Pepsi ont été perçus comme meilleurs que les autres, c'est probablement parce que le cerveau s'attendait à ce qu'ils le soient. L'anticipation du résultat grâce à l'effet "grande marque" a donc influencé le traitement de l'information gustative. Dans leur expérience sensorielle, qui est aussi une expérience cérébrale, les participants ont réellement pris plus de plaisir avec ces boissons. La grande marque semble donc arriver à ce point de domination psychologique que sa seule évocation manipule, dans le cerveau, notre perception du produit lorsqu'on le consomme. Une étude sur 15 personnes, même si elle confirme d'autres travaux, ne fait pas forcément une vérité et cela exige vérification. Mais les grandes marques prennent ces résultats au sérieux et testent les réactions de consommateurs à de nouveaux produits pour comprendre comment ils prennent une décision d'achat. Cela s'appelle le neuromarketing.

Source : passeurdesciences.blog.lemonde.fr

mardi, 16 juillet 2013

Le comportement influence-t-il la durée de vie ?

Pour répondre à cette question, des chercheurs suisses de l’université de Zurich ont utiliser des souris connues pour survivre plus longtemps que les autres. Ces rongeurs sont des souris domestiques et portent une marque génétique particulière appelée haplotype t. Les femelles hétérozygotes, c’est-à-dire celles qui ne possèdent qu’une copie de cet haplotype, ont une durée de vie 30 % plus élevée que les autres. En revanche, la présence de l’haplotype t n’influence pas la longévité des mâles.

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Au cours de cette étude, les scientifiques ont observé le comportement de 41 mâles et autant femelles. Chaque groupe était constitué de 20 souris domestiques normales et de 21 souris hétérozygotes pour l’haplotype t. Ainsi, chez les femelles, 21 souris avaient une espérance de vie allongée. Le reste des souris a été utilisé comme contrôle. Pour évaluer leur nature aventureuse, les souris ont été déposées dans une sorte de labyrinthe formé de plusieurs pièces. La tendance à s’introduire plus ou moins facilement dans chaque endroit du dédale a ainsi été estimée. D’autres expériences ont permis de déterminer l’audace, l’adaptabilité et le niveau de consommation alimentaire des souris. Les résultats montrent que les souris femelles porteuses de l’haplotype t sont moins actives, consomment moins de nourriture et sont moins hardies que les autres. Selon les auteurs, ces traits de caractère pourraient avoir différents effets positifs sur leur espérance de vie. Être plus prudentes leur permettrait de mieux échapper aux prédateurs, par exemple. De plus, en ne gaspillant pas leur énergie inutilement, elles préserveraient mieux leur organisme. Cependant pour les chercheurs, pour qu’une souris puisse trouver sa nourriture et se reproduire, il faut qu’elle possède un minimum de courage.

Source : futura-sciences.com

lundi, 15 juillet 2013

Soja et expropriations

Afin d'avoir toujours plus de surface exploitable pour leurs lucratives cultures de soja, les grands propriétaires terriens ne reculent devant rien et s'approprient le territoire des Indiens d'Amérique...

dimanche, 14 juillet 2013

L’odyssée papoue

L’odyssée papoue de Gwenlaouen Le Gouil, Régis Croizer, Amandine Stelletta et Gaël Mocaer – ARTE GEIE / Cargo Culte – France 2013


Sur les traces des grands naturalistes du 19ème siècle, une centaine de scientifiques venus du monde entier ont exploré pendant trois mois les pentes du mont Wilhelm, en Papouasie-Nouvelle Guinée, à la recherche de nouvelles espèces animales et végétales.


samedi, 13 juillet 2013

Toulouse, troisième ville où il fait bon pédaler

Avec ses 678 emplacements, la vélostation toulousaine de la gare de Matabiau est l’une des plus importantes de France. Étape clé dans le développement des modes de transports doux lancé en 2008 par la Région Midi-Pyrénées, elle s’adresse en priorité aux usagers des trains et autocars régionaux : 600 places sur 678 leur sont réservées .L’accès à la station, entièrement sécurisé, se fait grâce à un badge depuis les quais ou depuis l’extérieur de la gare. Un guichet est ouvert huit heures par jour. Des casiers, une station de gonflage, une carte des pistes cyclables et dix emplacements pour les vélos électriques sont également à la disposition des usagers.

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Selon une étude réalisée en mai par Terra Eco, Toulouse serait la troisième ville de France où il fait bon pédaler, derrière Strasbourg et Bordeaux. Selon le conseiller délégué aux pistes cyclables à la mairie de Toulouse, la part des cyclistes augmente. et le nombre d’abonnés VélôToulouse a doublé en moins de deux ans, passant de 10 000 à 20 000.

Source : sudouest.fr

vendredi, 12 juillet 2013

Chaude première décennie du XXIe siècle

La première décennie du XXIe siècle a été aussi chaude que meurtrière. C'est le triste bilan que vient d'établir l'Organisation météorologique mondiale, l'agence de l'ONU chargée de l'étude du temps, du climat et de l'eau. Dans un nouveau rapport, l'OMM estime en effet que cette décennie aurait causé la mort d'environ 370000 personnes en raison de conditions climatiques extrêmes (ouragans, cyclones, inondations, sécheresse étendues et prolongées… canicules en Europe en 2003 et en Russie en 2010). Des phénomènes qui sont probablement directement à rapprocher du réchauffement climatique.

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Le rapport indique qu’à l'exception de 2008, chacune des années de la décennie 2001-2010 compte parmi les dix plus chaudes jamais enregistrées depuis le début des contrôles en 1881, le record étant détenu par 2010. La température moyenne à la surface des terres et des océans pour la décennie est estimée à 14,47°C soit 0,47°C de plus comparativement à la température normale de la période 1961-1990. La hausse moyenne a été de 0,21°C par décennie. Selon le secrétaire général de l'OMM, le climat s'est nettement réchauffé entre 1917 et 2010 et le rythme décennal d'augmentation des températures sur les périodes 1991-2000 et 2001-2010 est sans précédent. Quant au printemps froid que nous avons connu en Europe, il n'est pas en contradiction avec le réchauffement, mais sans doute une manifestation supplémentaire de ce réchauffement, car c'est la conséquence de la fonte des glaces de l'Arctique. Les températures plus froides en Europe et Amérique du Nord se sont accompagnées de températures plus élevées ailleurs sur la planète. De fait, "les concentrations croissantes de gaz à effet de serre, dont la spécificité est de piéger la chaleur, sont en train de transformer notre climat, avec les bouleversements que cela suppose pour l'environnement et les océans", a-t-il ajouté. Pour le climatologue, "les vagues de chaleur deviennent plus fréquentes et intenses sous l'effet des changements climatiques et nous devons nous y préparer". Une montée des eaux de 3 mm par an La fonte des glaces qui accompagne ce réchauffement climatique a elle entraîné une augmentation du niveau de la mer de 3 mm par an en moyenne pendant la première décennie du XXIe siècle, soit deux fois plus que celui constaté sur tout le XXe siècle (plus 1,6 mm par an). Aujourd’hui, le niveau de la mer est ainsi supérieur de 20 cm par rapport à 1880. On attend pour ce siècle une hausse comprise entre 19 et 58 cm mais il y a fort à parier que ce sera beaucoup plus, estime l’OMM.


En savoir plus: maxisciences.com

jeudi, 11 juillet 2013

Les conifères, espèces les plus anciennes de la planète

Les conifères sont les espèces les plus grandes et les plus anciennes de la planète. Le Bristlecone Pine peut vivre jusqu’à 5000 ans et le Coast Redwood peut atteindre jusqu’à 110 mètres de hauteur.

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L’UICN, l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature, a indiqué dans un rapport que 34% des conifères étaient menacés d’extinction, contre 30% dans la dernière évaluation réalisée en 1998.
Le Monterey Pine de Californie, le pin le plus planté au monde et reconnu comme une source de pulpe importante, a été changé de catégorie passant de la catégorie des espèces « moins préoccupantes » à la catégorie des espèces « menacées » du fait des menaces exercées par une propagation de maladies fongiques.

Source : actualites-news-environnement.com