lundi, 13 janvier 2014
Le vélo en ville néfaste pour la santé ?
Dans une étude récente, une chercheuse de l’université de Dublin révèle que se déplacer à vélo dans les villes embouteillées est très néfaste pour la santé, en raison de l’effort qui surexpose les cyclistes aux particules fines et aux gaz d’échappement. Selon Philippe Goirand, délégué à l’écomobilité sur Toulouse, cette étude est biaisée car elle ne compare que les piétons et les cyclistes, alors que de nombreuses autres études indiquent que ceux qui absorbent le plus de particules fines, ce sont les automobilistes à cause de l’accumulation de ces polluants dus au diesel dans l’habitacle des voitures.
L'ORAMIP, observatoire de la qualité de l’air, établit un classement tous polluants confondus, du plus pollué au moins pollué : voiture, bus, vélo, métro, marche à pied. Faire du vélo c’est 20 à 30 fois plus de bienfaits pour sa santé que de risques et plus de deux ans d’espérance de vie gagnée. Par contre, quand il y a un pic de pollution, il vaut mieux éviter de faire des efforts violents qui impliquent une hyperventilation.
Source : ladepeche.fr
L'ORAMIP, observatoire de la qualité de l’air, établit un classement tous polluants confondus, du plus pollué au moins pollué : voiture, bus, vélo, métro, marche à pied. Faire du vélo c’est 20 à 30 fois plus de bienfaits pour sa santé que de risques et plus de deux ans d’espérance de vie gagnée. Par contre, quand il y a un pic de pollution, il vaut mieux éviter de faire des efforts violents qui impliquent une hyperventilation.
Source : ladepeche.fr
mardi, 15 octobre 2013
Les futurs téléphériques urbains
Le futur téléphérique urbain de Toulouse devrait traverser la ville de l'Université à l'Oncopôle en 2017. Un cabinet d'architecte londonien a été choisi pour construire l'"Aérotram". Il partira de l'Oncopôle, puis enjambera la Garonne en direction du CHU de Rangueil et terminera son parcours à l'université Paul Sabatier. Au long des 2,6 kilomètres parcourus en 10 minutes de temps, c'est un grand ensemble du pôle scientifique de Toulouse qui sera relié. La municipalité prévoit 7000 passagers par jour.
Les villes de Londres, Barcelone, Rio, New-York, Portland, Alger, Constantine sont déjà équipées de cabines suspendues. Des dizaines de métropoles dans le monde rêvent de la voie aérienne pour transporter des usagers. Economique et écologique, attractif pour les touristes, mode de transport sûr, le téléphérique séduit les élus pour franchir les petits reliefs, les fleuves et surtout éviter les embouteillages. En France, celui de Grenoble compte parmi les premiers téléphériques construits dans une grande agglomération. D'autres projets sont en cours : le Sophicâble, une future liaison téléphérique reliant la salle omnisport, à la Cité du Savoir Sophia Antipolis dans les Alpes-Maritimes, l’installation d’un téléphérique sur l'île de Mayotte pour assurer la liaison entre l’aéroport mahorais de Pamandzi et Mamoudzou, Brest projette de construire un téléphérique entre le bas de Siam et les ateliers, Créteil, Bordeaux, Marseille... y réfléchissent.
Source : midi-pyrenees.france3.fr
Les villes de Londres, Barcelone, Rio, New-York, Portland, Alger, Constantine sont déjà équipées de cabines suspendues. Des dizaines de métropoles dans le monde rêvent de la voie aérienne pour transporter des usagers. Economique et écologique, attractif pour les touristes, mode de transport sûr, le téléphérique séduit les élus pour franchir les petits reliefs, les fleuves et surtout éviter les embouteillages. En France, celui de Grenoble compte parmi les premiers téléphériques construits dans une grande agglomération. D'autres projets sont en cours : le Sophicâble, une future liaison téléphérique reliant la salle omnisport, à la Cité du Savoir Sophia Antipolis dans les Alpes-Maritimes, l’installation d’un téléphérique sur l'île de Mayotte pour assurer la liaison entre l’aéroport mahorais de Pamandzi et Mamoudzou, Brest projette de construire un téléphérique entre le bas de Siam et les ateliers, Créteil, Bordeaux, Marseille... y réfléchissent.
Source : midi-pyrenees.france3.fr
05:36 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : transport, ville, architecture, urbanisme, toulouse, bordeaux, pollution, voiture
samedi, 13 juillet 2013
Toulouse, troisième ville où il fait bon pédaler
Avec ses 678 emplacements, la vélostation toulousaine de la gare de Matabiau est l’une des plus importantes de France. Étape clé dans le développement des modes de transports doux lancé en 2008 par la Région Midi-Pyrénées, elle s’adresse en priorité aux usagers des trains et autocars régionaux : 600 places sur 678 leur sont réservées .L’accès à la station, entièrement sécurisé, se fait grâce à un badge depuis les quais ou depuis l’extérieur de la gare. Un guichet est ouvert huit heures par jour. Des casiers, une station de gonflage, une carte des pistes cyclables et dix emplacements pour les vélos électriques sont également à la disposition des usagers.
Selon une étude réalisée en mai par Terra Eco, Toulouse serait la troisième ville de France où il fait bon pédaler, derrière Strasbourg et Bordeaux. Selon le conseiller délégué aux pistes cyclables à la mairie de Toulouse, la part des cyclistes augmente. et le nombre d’abonnés VélôToulouse a doublé en moins de deux ans, passant de 10 000 à 20 000.
Source : sudouest.fr
Selon une étude réalisée en mai par Terra Eco, Toulouse serait la troisième ville de France où il fait bon pédaler, derrière Strasbourg et Bordeaux. Selon le conseiller délégué aux pistes cyclables à la mairie de Toulouse, la part des cyclistes augmente. et le nombre d’abonnés VélôToulouse a doublé en moins de deux ans, passant de 10 000 à 20 000.
Source : sudouest.fr
05:41 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : transport, vélo, toulouse, bordeaux, ville, urbanisme