dimanche, 28 février 2010
La tache sur un toit brûlant
De plus en plus de collectivités françaises font appel à la thermographie infrarouge aérienne pour repérer les déperditions de chaleur des maisons et des bâtiments publics. Un outil qui révèle les défauts d’isolation et permet de sensibiliser les habitants aux économies d’énergie. Réalisation : Jean-Pierre Courbatze et Laurianne Geffroy Production : Cité des sciences et de l’industrie 2009
La tache sur un toit brûlant
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06:22 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : energie, economie energie, thermographie, isolation, déperditions, bâtiment
samedi, 27 février 2010
Les semis de début mars
L’Organisation des Nations unies a proclamé 2010, Année internationale de la biodiversité pour alerter l’opinion publique sur l’état et les conséquences du déclin de la biodiversité dans le monde. Face aux menaces qui pèsent sur elle (urbanisation croissante, pratiques agricoles, déforestation, pollutions...), la conservation de la diversité biologique est devenue une préoccupation mondiale.
La Ferme de Sainte Marthe, qui vient d'être labellisée "2010, Année Internationale de la Biodiversité", peut nous aider, en cultivant dans nos jardins des graines de variétés anciennes et bio, à préserver la biodiversité, à garnir notre table, à apporter pour notre alimentation les bienfaits de produits naturels et sains, à découvrir ou redécouvrir des goûts originaux et non standardisés.
Dès les premiers jours de mars, si on dispose d’un châssis ou d’un petit tunnel bien exposé, on peut commencer les semis pour obtenir des primeurs si agréables à la sortie de l'hiver : petits pois, jeunes carottes, petits oignons blancs et laitues qui nous changeront un peu de la rusticité des légumes d’hiver.
Pour plus de renseignements on peut consulter le site de la Ferme de Sainte Marthe.
06:37 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jardiner bio, jardinage, semis, semences, biodiversité, bio, légumes, primeurs
vendredi, 26 février 2010
Gâteau de pommes à la noix de coco
Il faut prévoir 6 pommes, 1 verre de noix de coco râpée, 1 verre de raisins secs, 3 cuillères à soupe de gelée de pommes, 1 bouteille de jus de pomme, 1 pâte brisée, 2 sachets de sucre vanillé.
Faire gonfler les raisins dans du jus de pommes. Eplucher les pommes, les mettre à cuire durant 15mn, à feu doux, avec 2 cuillères à soupe d'eau. Ecraser grossièrement les pommes à la fourchette, ajouter le sucre vanillé, la noix de coco râpée et les raisins secs.
Bien mélanger et étaler cette préparation dans un plat à tarte beurré. Recouvrir avec la pâte brisée et mettre au four (th6) durant 30mn.
Pour le service, présenter le gâteau de pommes à la noix de coco, nappé de gelée de pommes, accompagné de jus de pommes.
05:53 Publié dans recette | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pommes, noix de coco, gelée de pommes, gâteau
jeudi, 25 février 2010
Le déclin régulier des colonies d'abeilles depuis 1965
Une équipe de scientifiques a constaté une diminution du nombre de colonies d'abeilles en Europe centrale ces dernières années, et un déclin du nombre d'apiculteurs en Europe depuis 1985.
Les résultats de l'étude, inscrite dans le projet ALARM (Assessing large-scale environmental risks with tested methods ), sont importants car ils portent sur la majorité de l'Europe plutôt que sur des pays seuls. Les abeilles domestiques ne sont pas les seules à souffrir de cette situation, qui concerne également les abeilles sauvages. Les résultats montrent que la crise va se répercuter sur la pollinisation, et donc sur les cultures arables.
L'étude montre que l'Europe de l'Ouest et l'Europe centrale présentent un déclin régulier des colonies d'abeilles depuis 1965. Il en va de même pour la République tchèque, la Norvège, la Slovaquie et la Suède, depuis 1985. Point positif, l'Europe du Sud a enregistré une augmentation du nombre de colonies entre 1965 et 2005, notamment en Grèce, en Italie et au Portugal.
La plupart des scientifiques suppose que l'évolution sociale et économique est responsable du déclin constaté, l'élevage d'abeilles n'étant plus le passe-temps qu'il était. Le travail manuel a laissé la place aux machines, et l'élévation du niveau de vie des populations rurales a mis les produits à base de sucre à la portée de toutes les bourses.
En dépit de ces résultats, il est nécessaire de conduire d'autres études. " Avec le peu de preuves dont nous disposons, il n'est pas possible de déterminer la cause réelle du déclin des abeilles en Europe ni de fournir une réponse complète sur les tendances concernant les colonies et les apiculteurs ", explique le co-auteur de l'étude, le Dr Josef Settele du Centre Helmholtz de recherche sur l'environnement (UFZ) en Allemagne. " Il faut donc clairement normaliser les méthodes d'évaluation, surtout en ce qui concerne le nombre de colonies, et de manière urgente. De telles méthodes fiables et harmonisées seront la base évidente de toute étude visant à comprendre et limiter le déclin des colonies d'abeilles. "
Source planete-info
06:12 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : abeilles, apiculture, environnement, écologie, sciences, europe
mercredi, 24 février 2010
Soupe de panais, pommes de terre et poireaux
Soupe de panais, pommes de terre et poireaux
Il faut prévoir 1kg de pommes de terre, 500g de poireaux, 500g de panais, 2 oignons, 2 feuilles de laurier, 2 clous de girofle, 2 cuillères à soupe d'huile de tournesol, sel et poivre.
Faire revenir les oignons émincés dans l'huile de tournesol, ajouter les poireaux coupés en morceaux de 2 à 3cm et poursuivre la cuisson à feu assez vif durant 10mn. Ajouter les panais coupés en bâtonnets et les pommes de terre en dés assez gros, bien mélanger et poursuivre la cuisson durant 10mn.
Ajouter 1,5L d'eau, les feuilles de laurier, les clous de girofle, sel et poivre, couvrir et faire cuire à feu moyen durant 30mn. Vérifier l'assaisonnement, réduire le feu et maintenir au chaud durant 15mn.
Servir cette soupe de panais, pommes de terre et poireaux bien chaude.
05:50 Publié dans recette | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : panais, pommes de terre, poireaux, soupe
mardi, 23 février 2010
La biodiversité en ville
La biodiversité en ville
Le terme "biodiversité" vient de la contraction de l'expression anglaise "biological diversity", c'est à dire "diversité biologique".
La biodiversité c'est la "variabilité des organismes vivants de toute origine y compris, entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie : cela comprend la diversité au sein des espèces et entre espèces ainsi que celle des écosystèmes." (article 2 de la Convention sur la diversité biologique, adoptée le 22 mai 1992 et ouverte à la signature des Etats lors de la Conférence de Rio le 5 juin 1992, entrée en vigueur le 29 décembre 1993)
Les espaces urbains minéralisés et stériles détruisent presque toute vie végétale et empêchent la libre circulation des espèces. C'est pourquoi, l'aménagement de la ville doit être entièrement revu pour qu'il intègre la nature sans compromettre les corridors biologiques indispensables à la survie de certaines espèces.
C'est un véritable défi, trop peu considéré, car la ville a généralement tout supprimé : terres agricoles, vergers, ruisseaux, prairies, forêts... et donc les terriers, nids, habitats...
De plus des plantes exotiques sont implantées pour adorner les jardins et les rares espaces verts, ce qui nuit à la biodiversité locale car la plupart des espèces introduites sont des invasives.
Enfin, les axes de transport et de communication fragmentent les espaces en coupant les forêts, les plaines, ce qui se traduit par l'incapacité pour certaines espèces de se reproduire et de chasser. La multiplication des axes routiers est, à ce titre, une véritable catastrophe.
Actuellement, la perte de biodiversité et les changements dans l'environnement qui y sont liés sont plus rapides qu'à aucune période de l'histoire de l'humanité. De nombreuses populations animales et végétales sont en déclin, que ce soit en termes de nombre d'individus, d'étendue géographique, ou les deux. La disparition d'espèces fait partie du cours naturel de l'histoire de la Terre. Cependant, l'activité humaine a accéléré le rythme d'extinction, qui est au moins 100 fois supérieur au rythme naturel d'extinction, un rythme qui ne cesse d'augmenter, certains parlent de 1000 fois.
L'extinction actuelle, provoquée par les activités humaines, est comparable à une crise biologique majeure puisque d'ici à 2050, on considère que 25 à 50 % des espèces auront disparu. Les sociétés humaines sont à la fois la cause et seront les victimes de cette sixième extinction de masse de l'histoire de notre planète.
Pour en savoir plus, lire les articles du site notre-planete.info
06:13 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : biodiversité, ville, écologie, planète, écosystème, plantes invasives
lundi, 22 février 2010
Blanquette de carottes, panais et pommes de terre
Blanquette de carottes, panais et pommes de terre
Il faut prévoir 4 carottes de variétés différentes, 4 pommes de terre de variétés différentes, 2 panais, 2 oignons, 1 citron, des champignons, 10cl de fromage blanc, 1 oeuf, 1 cube de bouillon de légumes Bio, 1 feuille de laurier, 1 clou de girofle, 2 pincées de noix de muscade, de la farine T110, 1 verre de vin blanc, 2 cuillères à soupe d'huile de tournesol, 600g de veau, sel et poivre.
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Faire revenir les oignons émincés dans l'huile de tournesol, ajouter les carottes et les panais coupés en rondelles, les champigons et faire cuire à feu assez vif durant 5mn. Ajouter les morceaux de veau et les faire légèrement dorer. Saupoudrer de farine et bien mélanger. Ajouter le cube de bouillon de légumes dilué dans 0,5L d'eau, le verre de vin blanc, la feuille de laurier, le clou de girofle, sel et poivre.
Couvrir et laisser mijoter à feu doux durant 1h. Ajouter les pommes de terre et poursuivre la cuisson durant 30mn. Dans un bol, préparer la sauce avec le fromage blanc, le jaune d'oeuf, la noix de muscade râpée, le jus de citron, sel et poivre. Ajouter cette sauce, bien mélanger et poursuivre la cuisson durant 5mn, juste le temps que tous les parfums se mêlent. Vérifier l'assaisonnement.
Servir cette blanquette de carottes, panais et pommes de terre bien chaude.
05:47 Publié dans recette | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : carottes, carottes yellowstone, pommes de terre, panais, champignons, farine t110, blanquette
dimanche, 21 février 2010
Quand les oies nous éclairent
Dans le Périgord, une ferme d’élevage d’oies (environ 6000 bêtes) expérimente la production de biogaz à partir des excréments. Une partie de la production d’énergie est ensuite revendue à EDF... Réalisation : Audrey Mikaelian Production : Cité des sciences et de l’industrie 2009
Quand les oies nous éclairent
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06:18 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : energie, énergies renouvelables, pollution, sciences, gaz à effets de serre
samedi, 20 février 2010
Agenda 21, une feuille de route du développement durable
Un Agenda 21 est une feuille de route regroupant les objectifs de développement durable d’un territoire. Il permet aux élus, services et habitants d’avoir connaissance des actions en cours et à venir et de les planifier.
La notion de développement durable est née le 27 avril 1987 avec le rapport Brundtland. Celui-ci préconisait un autre modèle de développement où l’écologique ne s’oppose plus à l’économie, où le social s’allie à l’environnement.
Le développement durable cherche à agir simultanément sur trois axes : l’environnement, le social et l’économie.
Cependant, un Agenda 21 est plus qu’un programme d’actions, il est avant tout une démarche qui repose sur quatre éléments concrets :
- la participation (chacun à son échelle doit participer pour aider à modifier les comportements),
- la transversalité (le développement durable impose de dépasser les classements habituels par secteur),
- l’évolution constante du programme d’actions (le programme n’est jamais figé),
- l’évaluation partagée (la parole des habitants, élus, services municipaux permet de vérifier que les objectifs ont été atteints).
Selon Jean-Christophe Poulet, maire de Bessancourt dans le val d'oise
« Un Agenda 21 à l’échelle de la planète serait nécessaire pour inscrire l’ensemble des pays dans la lutte contre le réchauffement, pour la solidarité avec les pays du Sud et pour repenser, voire refonder, nos modes de développement, tant nous ne pouvons plus vivre dans l’hyper-consumérisme... »
Pour en savoir plus sur l'Agenda 21 de Bessancourt on peut consulter le site ville-bessancourt.fr
06:32 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : développement durable, bessancourt, environnement, écologie, planète
vendredi, 19 février 2010
Frites de panais, pommes de terre et radis noir
Frites de panais, pommes de terre et radis noir
Il faut prévoir 1kg de pommes de terre Charlotte, 5 panais, 1 radis noir, 1 cuillère à café d'origan, 1 cuillère à café de curcuma, de l'huile de friture, sel et poivre.
Découper chacun des trois légumes en frites. Les faire frire séparément, les disposer sur du papier absorbant, les saler et les maintenir au chaud dans le four si cela est nécessaire.
Pour revéler le goût bien particulier de chacun de ces trois légumes, parsemer les pommes de terre de poivre, les panais de curcuma et le radis noir d'origan.
Servir ces frites de pommes de terre, panais et radis noir bien chaudes et accompagnées de salade.
11:50 Publié dans recette | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : panais, pommes de terre, radis noir, frites, curcuma, origan
Cultiver le panais, ce légume oublié
Le panais pousse comme les carottes. On le sème au printemps et jusqu'en été. Il peut se conserver en terre car il ne craint pas trop le gel ou en cave dans le sable durant l'hiver.
On peut, chaque année laisser monter en graines quelques panais pour récolter les graines qui ne se conservent pas plus de 2 ans. C'est assez surprenant car certaines années les panais poussent très mal. Ils ne lèvent pas et on obtient 2 panais au mètre carré. Par contre,, il existe des années généreuses pour les panais comme 2007 ou 2009.
Il faut semer assez tôt, être généreux, surveiller ses semis de très près et les renouveler si cela est nécessaire. La levée est assez longue comme pour le persil et toutes les graines ne poussent pas. La principale difficulté est de garder le sol propre le temps de la germination et du premier stade de la croissance. Les panais peuvent être envahis par toutes les mauvaises herbes annuelles. Le panais développe une racine traçante. Il est donc difficile de pratiquer des semis sous chassis ou en caissette pour le repiquer. Le panais réclame une terre très fine voire sableuse comme la carotte. Sinon, il développe plusieurs racines qui se tressent entre elles comme une natte. L'arrosage doit être régulier et abondant. Lorsque le soleil brille, le feuillage des panais provoque une réaction de photosensibilité au niveau de la peau et occasionne l'apparition de cloques. C'est assez douloureux, il vaut mieux tenir les enfants éloignés.
05:55 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : panais, jardinage, légumes oubliés, jardiner bio, potager
jeudi, 18 février 2010
Daube aux légumes anciens
Daube aux légumes anciens
Il faut prévoir 500g de pommes de terre rouges, 3 panais, 3 carottes White Satin, 3 carottes oranges, des navets roses, 2 oignons, 4 échalotes, 2 gousses d'ail, 1 verre de vinaigre de cidre, 2 verres de vin rouge, 1 feuille de laurier, 2 clous de girofle, 2 cuillères à soupe de concentré de tomates, 4 cuillères à soupe d'huile de tournesol, 600g de boeuf, sel et poivre.
La veille, faire mariner la viande dans une marinade composée du vin rouge, du vinaigre de cidre, d'un oignon émincé, les carottes blanches coupées en rondelles,1cuillère à soupe d'huile de tournesol, la feuille de laurier, sel et poivre. Faire revenir 1 oignon, les échalotes et l'ail dans une cuillère à soupe d'huile de tournesol, ajouter le concentré de tomates et poursuivre la cuisson durant 5mn sans cesser de remuer. Faire revenir la viande égouttée dans 2 cuillères à soupe d'huile de tournesol, ajouter la marinade filtrée, les clous de girofle, couvrir et laisser cuire à feu doux durant 1h.
Ajouter les carottes blanches de la marinade, les carottes oranges, les panais, les navets roses, compléter avec un peu d'eau et poursuivre la cuisson durant 30mn. Ajouter les pommes de terre et poursuivre la cuisson durant 30mn supplémentaires.
Servir cette daube aux légumes anciens bien chaude.
06:05 Publié dans recette | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : pommes de terre, panais, carottes white satin, carottes, navets, navets roses, vinaigre de cidre, daube
mercredi, 17 février 2010
Les régimes alimentaires et les recettes d'O'Papilles
Les régimes alimentaires des Crétois, des Japonais de l'île d'Okinawa, des Equatoriens de la vallée de Vilcabamba, des Pakistanais de la vallée de Hunza et les habitants du Caucase en Russie ont des points communs qu'il est intéressant d'identifier. Tous ces régimes sont à base de fruits et légumes (aubergines, courgettes, concombre, choux, épinards, haricots, betterave, tomate, ail, oignon, figue, melon, pastèques, potiron, noix, maïs et lentilles).
Mais surtout tous ces régimes comportent peu de sucres rapides et essentiellement des sucres assimilables lentement comme les protéines végétales. Selon les régions, les associations, si importantes pour un bon équilibre alimentaire, sont différentes : maïs et quinoa, lentilles et riz, riz et pâtes, pain et légumes secs, sarrasin et millet. On remarque que tous les plats sont très relevés. Les épices et fines herbes jouent un rôle important que l'on a parfois négligé dans notre alimentation quotidienne en augmentant par exemple la quantité de sel.
Les recettes d'O'Papilles tiennent compte de ces principes culinaires en mettant en valeur les légumes des paniers distribués. Cette semaine la fiche de 5 recettes propose par exemple la recette du pâté végétal aux panais et carottes qui vient d'être publiée. Elle associe légumes (panais et carottes), farine T110, oeufs, lait et 5 épices (cumin, gingembre, cannelle, muscade et poivre).
Bonne recette,
damien.
06:19 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : opapilles, régime, régime crétois, alimentation, protéines végétales, épices, fines herbes, omega-3
mardi, 16 février 2010
pâté végétal de carottes et panais et aux épices
pâté végétal de carottes et panais et aux épices
Il faut prévoir 500g de carottes, 500g de panais, 2 oeufs, 50g de farine T110, 25g de sucre, 1 verre de lait, 3 cuillères à soupe d'huile de tournesol, 1 cuillère à café de cumin, 1 cuillère à café de gingembre, 1 cuillère à café de cannelle, 1pincée de muscade, sel et poivre.
Réaliser une purée avec les carottes, les panais, 1 demi verre de lait, sel et poivre.
Préchauffer le four (th6). Dans un saladier, battre les oeufs, ajouter les épices, le restant du lait, le sucre, la farine et l'huile de tournesol.
Bien mélanger, ajouter la purée et remuer de nouveau pour obtenir une pâté onctueuse. Dans un plat à cake huilé, verser cette préparation et faire cuire au four durant 45mn. Vérifier la cuisson et remettre quelques minutes au four si cela est nécessaire.
Attendre que ce pâté végatal aux carottes et panais soit refroidi pour le servir tranché avec une salade d'endives par exemple.06:05 Publié dans recette | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : carottes, panais, farine t110, cumin, gingembre, cannelle, noix de muscade, cake
lundi, 15 février 2010
Choux de Bruxelles, échalotes et châtaignes
Choux de Bruxelles, échalotes et châtaignes
Il faut prévoir 500g de choux de Bruxelles, 8 échalotes, 1 bocal de châtaignes, 100g de lardons, 1 cuillère à soupe d'huile de tournesol, sel et poivre.
Faire revenir les lardons dans l'huile de tournesol, ajouter les choux de Bruxelles et cuire à feu assez vif durant 5mn. Ajouter les échalotes coupées en quartiers et poursuivre la cuisson à feu assez vif durant 10mn. Ajouter un demi verre d'eau, couvrir et faire cuire à feu moyen durant 15mn. Ajouter les châtaignes, sel et poivre, mélanger délicatement, couvrir et poursuivre la cuisson à feu doux durant 10mn en remuant de temps en temps.
Servir ces choux de Bruxelles aux échalotes bien chauds.
06:05 Publié dans recette | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chou, choux de bruxelles, échalotes, châtaigne
La Reinette Clochard, une pomme à couteau
La Reinette Clochard, aussi appelée tout simplement Clocharde, est une pomme de taille moyenne à la forme légèrement aplatie. Sa peau rugueuse d'un beau jaune soutenu est tacheté de petits points bruns lorsqu'elle est mûre. Sa chair ferme est juteuse et sucrée, très agréable au goût. C'est une des variétés de pommes qui se conserve le mieux, elle se consomme dès le mois de janvier, voire, jusqu’à mi-mai. Sa floraison tardive lui permet d'éviter les gelées printanières. Cette pomme à couteau se déguste crue, mais elle reste très prisée en pâtisserie pour sa résistance à la cuisson.
Présente dans le Haut-Poitou dès le XVIe siècle, la reinette clochard s’est particulièrement développée en Gâtine poitevine. En effet, ce territoire conjugue une forte pluviométrie à de faibles amplitudes thermiques, dues à son altitude peu élevée et à ses influences océaniques. Ici, comme dans le Bocage bressuirais, on plantait traditionnellement les pommiers de cette variété le long des haies encadrant les prairies naturelles. De nos jours, de vastes vergers se concentrent à l’ouest de la Gâtine, dans la région de Secondigny.
La Reinette Clochard est aussi une des variétés préférées des Croqueurs de pommes de l'Ile de France. On peut consulter la synthèse des fiches de recensement sur 10 ans de ce que possèdent les Croqueurs d'Ile de France dans leurs vergers de 1990 à 2000.
05:55 Publié dans légumes et fruits | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pommes, saveurs, poitou, croqueurs, variétés
dimanche, 14 février 2010
Quelle agriculture pour nourrir la planète ?
Avec Michel Griffon, président du conseil scientifique du Fonds français pour l'environnement mondial, directeur général adjoint de l’ANR, et John Thomson, directeur de recherche au Cirad. Débat en 3 parties accessibles dans MENU / chapitres. Réalisation : Sylvie Allonneau Production : Cité des sciences et de l'industrie 2009
Quelle agriculture pour nourrir la planète ?
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06:05 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : agriculture, biodiversité, planète, ogm, alimentation, sciences, écologie, agronomie
samedi, 13 février 2010
Les villages d'île-de-France avant la Révolution
Les campagnes parisiennes sous l’Ancien Régime
Que connaît-on de la population des villages d’Ile-de-France des XVIIe et XVIIIe siècles ? Depuis une dizaine d’années, les historiens de l’Université Paris 13 étudient, à l’aide des documents déposés aux Archives départementales, à Cergy et à Bobigny, les grands traits de la civilisation matérielle de l’époque. Pour se documenter, on peut lire le livre collectif d'enseignants de l’Université Paris 13, paru en 2009 : Histoire du grand Paris , de la Renaissance à la Révolution.
Dans ce livre on étudie la question, qui se pose depuis des siècles, des rapports entre Paris et sa région.
Avant la Révolution, l'île-de-France se compose de petits ou de gros villages, et de rares petites villes comme Pontoise et Saint-Denis. Chacun y joue son rôle : Gonesse livre le pain à Paris trois fois par semaine ; Argenteuil, le vin de sa vigne ; Montreuil, ses fruits, notamment ses pêches réputées pour leur qualité ; Montmorency, ses cerises. Villiers-le-Bel fournit la dentelle fabriquée par sa communauté protestante ; Boulogne, le linge lavé et blanchi, etc.
En fin de semaine, les Parisiens vont s'aérer dans le joli village de Villiers-le-Bel, l'un de leurs préférés, ou à Montreuil, Ecouen, mais aussi Versailles ou Chantilly. La vie y est douce, moins bruyante, plus saine qu'à Paris, gigantesque métropole très sale et polluée. Au XVIIe siècle, l'ombre de Paris s'étend sur l'Île-de-France. Pour nourrir une population qui double en un siècle, la capitale joue un rôle essentiel dans l'arbitrage de l'offre et de la demande, imposant ses exigences absolues à tous les acteurs régionaux.
Robert Muchembled, dans cet ouvrage collectif novateur, parle ainsi d'une véritable colonisation économique et humaine au siècle des Lumières. Attirés par les mirages parisiens, Franciliens et Provinciaux fuyant la pauvreté ou la famine viennent vivre au rythme de cette économie à plusieurs vitesses. Archives à l'appui, le livre fait revivre un monde aujourd'hui révolu et témoigne de l'engouement pour la vie aux champs en île-de-France, ainsi que de l'extraordinaire rayonnement de Paris tant par son influence sur le goût, le confort, le luxe, la sociabilité, qu'en matière de civilisation des murs.
Une conférence d’Hervé Bennezon, enseignant de l’Université Paris 13, est programmée pour aujourd'hui 13 février à 15h, à la Médiathèque Maurice Genevoix place du 11 novembre à Eaubonne. Cette conférence est gratuite mais il faut réserver au 01 39 59 96 23
Annonce de la conférence lue dans la dernière lettre d'information du "Journal de François"
06:03 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : val d'oise, ile de france, histoire, paris
vendredi, 12 février 2010
Galette de spaghettis au coulis de tomates
Galette de spaghettis au coulis de tomates
Il faut prévoir 1 bocal de 40cl de coulis de tomates, 250g de spaghettis, 1 oignon, 2 oeufs, du fromage râpé, 2 cuillères à soupe d'huile de tournesol, sel et poivre.
Faire cuire les spaghettis al dente à l'eau bouillante salée. Faire revenir l'oignon émincé dans une cuillère à soupe d'huile de tournesol, ajouter le coulis de tomates, porter à ébullition puis réduire le feu.
Poursuivre la cuisson sans cesser de remuer pour obtenir une sauce consistante. Ajouter les spaghettis égouttés, les 2 oeufs, 2 cuillères à soupe de fromage râpé et bien mélanger. Faire cuire cette préparation dans une poêle huilée en formant une galette, la retourner pour la faire dorer des deux côtés.
Servir cette galette au coulis de tomates bien chaude et accompagnée d'une salade de pourpier.
06:08 Publié dans recette | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tomates, coulis, spaghettis, pâtes, galette, pourpier
jeudi, 11 février 2010
le bon produit ne se résume plus au produit moins cher
L’intérêt croissant des consommateurs pour la qualité environnementale et sociale des produits est régulièrement démontré par les enquêtes d’opinion. De plus en plus de consommateurs intègrent des critères liés au développement durable dans leurs décisions d’achat : le bon produit ne se résume plus au produit moins cher mais devient celui qui est plus respectueux de l’environnement ou de l’homme. Pratiquement, cette démarche suppose de pouvoir identifier les produits plus responsables ; c’est à dire de disposer d’une information fiable et compréhensible permettant d’établir la qualité environnementale ou sociale supérieure du produit. Aujourd’hui, une telle information est loin d’être généralisée.
L’étiquetage environnemental et social des produits est de fait un des chantiers du Grenelle de l’environnement. La loi « Grenelle 1 » (n° 2009-967 du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en oeuvre du Grenelle de l’environnement) pose le principe que « les consommateurs doivent pouvoir disposer d’une information environnementale sincère, objective et complète portant sur les caractéristiques globales du couple produit/emballage » (article 54). Ce dispositif aboutira à terme (objectif affiché : 1er janvier 2011) à la mise en place d’un étiquetage environnemental obligatoire par catégories de produits.
L’Indice Carbone devra indiquer la quantité de gaz à effet de serre émise par un produit lors des 5 étapes clés de son cycle de vie, la production de ses composants, sa fabrication, son transport, son emballage, sa distribution jusqu’au domicile du consommateur. Il sera exprimé en gramme équivalent CO2 pour 100g de produit fini.
Pour en savoir plus, on peut consulter le site abcvert.fr
06:05 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alimentation, environnement, consommateurs, consommer autrement, étiquetage, label