dimanche, 27 juillet 2014
L'équateur, ligne imaginaire
Un touriste russe s'est rendu en Equateur a assisté à une expérience amusante. Un homme vide de l'eau dans un lavabo sur l'équateur (ligne imaginaire), l'eau s'écoule directement sans tourner. Ensuite il se déplace au sud et refait la même expérience, l'eau s'écoule en créant un tourbillon qui tourne dans le sens des aiguilles d'une montre. Il se déplace ensuite vers le nord de la ligne et l'eau s'écoule cette fois-ci dans le sens contraire des aiguilles.
Dans quel sens tourne l'eau en Equateur ? - Zapping
Contrairement à une croyance populaire, la force de Coriolis due à la rotation du globe terrestre est trop faible pour avoir le temps d'influer sur le sens de rotation de l'écoulement de l'eau dans un lavabo qui se vide. Comme l'ont montré Arsher Shapiro et Lloyd Trefethen, pour percevoir une telle influence, il est nécessaire d'observer une masse d'eau stabilisée dans un très grand bassin circulaire, d'un diamètre de l'ordre d'au moins plusieurs dizaines de kilomètres pour un effet en centimètres. Dans le siphon d'un lavabo, le sens de rotation de l'eau est dû à la géométrie du lavabo et aux microcourants d'eau créés lors de son remplissage, ou lors d'une agitation de l'eau. Il est donc possible de fausser le résultat en donnant une impulsion à l'eau, comme on peut le voir sur cette vidéo, où l'expérience est proposée aux touristes sur l'équateur terrestre.
05:57 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour, expériences, sciences, equateur, vidéos, eau
vendredi, 25 juillet 2014
Au niveau des océans, + 0,64°C
C'est au niveau des océans que l'augmentation des températures a été la plus notable : + 0,64°C par rapport à la moyenne du 20e siècle, située à 16,4°C. C'est le mois de juin le plus chaud depuis 1880 pour les océans. Comme en mai, des zones éparpillées à travers tous les principaux bassins océaniques ont également connu des records de chaleur.
Source : notre-planete.info
10:03 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : juin, ete, températures, océans, météo, changements climatiques
mercredi, 23 juillet 2014
Geocaching dans les PO
Bienvenue pour cette sortie à dos d'âne (cambre d'Ase), fabuleux cirque que tout vacancier en Cerdagne a au moins une fois croisé du regard en se disant : ouh là..., c'est beau, mais c'est haut... L'occasion de découvrir (ou de refaire) la boucle qui, partant du Pla del Cambra d'Ase, vous fera voyager tout en hauteur entre la vallée de Planès et celle d'Eyne. 5 caches à ravir, dont une en bonus. La clé de l'énigme se trouve quelque part en cours de route, dans une ou deux boites plastique qui n'attendent que vous. Attention au dénivelé !
Le meilleur parcours consiste à le faire dans le sens horaire (soit de gauche à droite), à partir du wpt indiqué comme "départ" sur la page de la cache n° 1. Compter en moyenne 6h00-7h00 pour boucler l'affaire si vous vous êtes garés au Pla del Cambre. Si vous vous êtes stationnés au premier parking, rajouter une bonne heure en tout.
Source : geocaching.com
05:49 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : geocaching, tourisme, randonnée pédestre, pyrénées orientales, marche nordique, marche, montagne, cerdagne, haut-conflent, voyage
mardi, 22 juillet 2014
Interdire les sacs plastiques
L'amendement rappelle que la consommation de sacs plastiques distribués dans les grandes surfaces en France est passée de 10,5 milliards à 700 millions en 2002 à 2011. Mais pointe qu'encore "près de 5 milliards de sacs de caisse en matière plastique à usage unique et plus de 12 milliards de sacs dits 'fruits et légumes' sont encore distribués dans les commerces" chaque année. Ces derniers n'avaient jamais fait l'objet de mesures spécifiques pour réduire leur consommation.
En savoir plus sur expansion.lexpress.fr
05:54 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : recyclage, pollution, déchets, environnement, biodiversité, plastique, consommation, consommer autrement
lundi, 21 juillet 2014
S’en sortir avec des solutions technologiques ?
De tout temps, la technologie est venue à la rescousse des problèmes que l’humanité s’était elle-même créés. Face à la déplétion des ressources, aux changements climatiques, aux pollutions des sols, des nappes phréatiques et de l’air… seules l’innovation et les hautes technologiques apporteraient leur lot de réponses. C’est faux, assure l’ingénieur Philippe Bihouix dans l’Age des low-tech (Seuil), un ouvrage célébrant les basses technologies. L’ère de l’ingénieur thaumaturge est révolue.
Vous prétendez que les technologies ne portent plus les solutions qu’elles promettent. Pourquoi ?
Il faut désormais admettre qu’on ne va pas s’en sortir avec des solutions technologiques, loin de là. Il ne s’agit pas de consommer comme on veut, de jeter la canette de soda dans la bonne poubelle et de laisser les ingénieurs se charger du reste. Ces technologies sont imparfaites. On dit qu’avec l’économie circulaire on va pouvoir tout recycler à l’infini. En réalité, c’est faux : on ne gratte pas la peinture au cuivre et à l’étain des carcasses de bateaux qui sont démantelés au Bangladesh ou en Inde.
Par exemple, 95% du titane extrait est utilisé comme colorant blanc universel. On le retrouve partout, dans les matières plastiques, les dentifrices, les crèmes solaires, les peintures… on ne peut pas le récupérer. Même chose pour une partie du chrome, du cobalt, du zinc, de l’antimoine. Et même sans ces utilisations dispersives, le recyclage entraîne souvent une dégradation de l’usage. Difficile de refaire des bouteilles en plastique à partir de bouteilles recyclées, un pare-brise avec du verre coloré, ou un acier noble à base de ferrailles mélangées.
06:05 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : technologies, sciences, changements climatiques, écologie, consommer, plastique, recyclage, économie, economie circulaire
dimanche, 20 juillet 2014
Cible privilégiée pour les moustiques
Une personne sur cinq serait la cible privilégiée pour les moustiques. Selon le magazine Business Insider, ce n'est pas à cause du sang mais de la peau. Celle-ci rassemblerait plus d'un milliard de bactéries. Chez certaines personnes, il existe des combinaisons de bactéries qui attirent particulièrement les moustiques ce qui explique qu'elles se fassent piquer plus souvent.
Piqûre de moustique - Buzz
Les moustiques seraient par ailleurs friands de dioxyde de carbone. Or, plus une personne est grande, plus elle dégage du dioxyde de carbone, ce qui explique pourquoi les adultes se font piquer plus que les enfants. Enfin, si vous êtes sportif, attention ! Les moustiques sont attirés par la chaleur que dégage le corps.
Source : medisite.fr
05:40 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : moustique, santé, co2, sport, bactéries, vidéo, médecine
samedi, 19 juillet 2014
Des rives
Aucune zone littorale n’échappe désormais à la planification humaine. Présente de manière évidente dans les zones industrielles et les stations balnéaires protégées par les digues, elle l’est jusque dans la délimitation et la gestion des zones naturelles préservées. De fait, depuis un demi-siècle, le littoral subit un afflux de population, d’activités et d’échanges sans précédent. Ce phénomène de littoralisation a transformé les espaces côtiers en « espaces partagés », situés au centre d’intérêts et d’enjeux très variés.
Suivre la côte de manière systématique, marcher sac au dos entre terre et mer, dormir sur place et fixer les lumières de l’aube au crépuscule, s’immerger, observer… permet de dresser un état des lieux photographique de cette frontière qui n’a souvent plus de naturelle que le nom. Le choix de la marche me permet de constater à hauteur d’homme, de prendre le temps de m’impliquer dans le paysage, d’aller à la rencontre des personnes qui l’occupent, et d’essayer de comprendre comment les infrastructures présentes sur ce territoire répondent (ou non…) au tissus social qui le maille. En promenant un regard qui ne soit ni complaisant ni agressif, je tente ainsi de faire prendre conscience au spectateur de ses propres responsabilités dans les évolutions du paysage…
Réalisé en 2004-2005 sur les côtes méditerranéennes, puis de 2006 à 2011 de la frontière Belge à l'ile de Noirmoutier, ce travail se poursuit actuellement (lorsque de fructueuses recherches partenariales le permettent...), et proposera à terme un constat exhaustif et personnel de l’intégralité du littoral français et des activités qu’il abrite (notamment sous la forme d’une base de donnée regroupant l’ensemble des prises de vue).
05:54 Publié dans photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photos, photographie, littoral, plage, france, géographie, marche, randonnée pédestre
vendredi, 18 juillet 2014
AB, bénéfices pour la santé
Ces études mettent en évidence des niveaux significativement plus faibles de métaux lourds toxiques dans les cultures en AB. Le cadmium, qui est l'un des trois seuls contaminants métalliques avec le plomb et le mercure pour lesquels la Commission Européenne a institué des concentrations maximales admissibles dans les aliments, a été retrouvé à des concentrations près de 50 % (48 % de moins en moyenne) inférieures dans les cultures biologiques que dans les cultures conventionnelles. Les concentrations en azote ont également été trouvées significativement réduites dans les cultures biologiques. Les concentrations en azote total, en nitrate et en nitrite, étaient respectivement 10 %, 30 % et 87 % plus faibles dans les cultures issues de l'AB que dans celles de l'agriculture conventionnelle. Enfin, les étude ont aussi constaté que des résidus de pesticides étaient quatre fois plus susceptibles de se retrouver dans les cultures conventionnelles qu'en AB.
Source : notre-planete.info
10:26 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ab, agriculture biologique, agriculture intensive, agricul, antioxydants, santé, métaux lourds, cadmium, alimentation, alimentation biologique
jeudi, 17 juillet 2014
Les capacités de regénération de la salamandre
La salamandre tachetée, très répandue en France, est un amphibien très discret. Pourtant, sa coloration vive sur fond noir en fait un animal identifiable au premier coup d'œil. Selon Jean-Christophe De Massary, herpétologue au Service du patrimoine naturel du Muséum national d'Histoire naturelle, la salamandre a deux particularités. Sa peau est pourvue de glandes qui sécrètent un alcaloïde toxique, Rares sont donc les prédateurs qui osent la gober.
La salamandre tachetée par sciencesetavenir
Mais ce qui fascine les scientifiques, ce sont ses incroyables capacités de régénération. Qu'elle vienne à perdre une patte, sa queue ou même un œil n'est pas dramatique pour la salamandre. En quelques jours, elle est capable de refaire pousser à l'identique et sans séquelle apparente, le membre ou l'organe manquant.
Source : sciencesetavenir.fr
05:26 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : biologie, sciences, écologie, espèces menacées, biodiversité
mercredi, 16 juillet 2014
6% des requins sont dangereux
Les Hommes tuent de 40 à 100 millions des squales des océans par an pour les consommer ou pour d'autres usages, maroquinerie, cosmétique notamment. Ils sont parfois aussi maintenus en captivité, pris accidentellement dans les filets de pêche ou bien victimes d'opérations d'extermination de leur espèce. Le shark finning, pêche aux ailerons en anglais, s'intéresse à récupérer cet appendice. Il ne représente que 5 % de son corps, les 95 % restants, jugés inintéressants, étant rejetés en mer. Parfois, l'animal amputé mais encore vivant coule à pic et subit une longue agonie.
source : futura-sciences.com
08:54 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : requin, gaspillage, poisson, consommation, pêche, océans, environnement
mardi, 15 juillet 2014
L'extraordinaire foisonnement de l'évolution du vivant
Dans l'essai « De l'origine des espèces », publié en 1859, Charles Darwin émit l'hypothèse que le processus de sélection naturelle, moteur de l'évolution des espèces, conduisait graduellement à créer de nouvelles espèces. La théorie de l'évolution de Darwin n'a cessé de s'enrichir et de se complexifier au fil du temps, grâce notamment aux apports scientifiques décisifs des lois de l'hérédité, formulées par Gregor Mendel entre 1854 et 1870, puis de l'américain Thomas Morgan (prix Nobel de médecine 1933) dont les remarquables travaux confortèrent la théorie chromosomique de l'hérédité. La découverte de la structure de l'ADN, support moléculaire de l'information génétique, en 1953 fut également intégrée de manière très féconde dans la théorie de Darwin. Pour étayer sa théorie, Darwin s'était appuyé sur plusieurs exemples d'évolution dans lesquels des caractéristiques anatomiques s'étaient progressivement transformées pour donner naissance à de nouvelles espèces.
Cette approche « gradualiste », postulait que les nouvelles espèces émergeaient par transformation graduelle des espèces antérieures. Darwin n'a jamais exclu la possibilité que d'autres transformations aient pu se faire selon un autre mécanisme que cette évolution progressive dans le temps. Cette perspective scientifique fut explorée au cours du XXe siècle par le paléontologue américain Stephen Jay Gould (disparu en 2002). L'évolution des espèces ne se déroulerait pas de manière progressive mais de manière ponctuelle, avec de longues périodes de stagnation entrecoupées par de brusques et courtes périodes de transformation rapide menant à la formation de nouvelles espèces. Cette théorie des « équilibres ponctués » présente l'avantage d'être en accord avec un certain nombre de faits d'observation paléontologiques qui montrent notamment que certaines espèces fossiles ont connu très peu de variations morphologiques au cours de leur existence et se sont brusquement trouvées supplantées par une nouvelle espèce. Gould, sans remettre en cause le principe de sélection naturelle et l'évolution des espèces, a eu l'immense mérite d'enrichir et de complexifier de manière considérable ce scénario darwinien en formulant son hypothèse de l'évolution par équilibre ponctué. Selon cette théorie, l'espèce se comporte comme un individu darwinien qui sera soumis à tous les éléments de la sélection naturelle, pourra supplanter d'autres espèces, en donner de nouvelles et disparaître à son tour.
La grande idée novatrice de Gould est que la sélection naturelle ne suffit pas, à elle seule, à déterminer l'ensemble des formes prises par les espèces dans le processus de l'évolution. Gould pense en effet, qu'à côté de la sélection naturelle, deux autres facteurs fondamentaux sont à l'œuvre et expliquent l'extraordinaire foisonnement de l'évolution du vivant : les gènes architectes (dits "gènes homéotiques"), qui canalisent le développement des organismes selon les mêmes grandes lignes dans la plupart des embranchements et la capacité de changement au cours du temps de la fonction adaptative. Un nouveau concept théorique très puissant a vu le jour : le concept de macroévolution qui considère que les espèces forment, à côté des individus, un niveau d'organisation spécifique qui obéit à ses propres règles de sélection et d'évolution naturelles.
Source : notre-planete.info
09:46 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : darwin, sciences, évolution, biologie, espèces, génétique, gênes
lundi, 07 juillet 2014
Sur la plage les moustiques sont rares
Il existe 3 000 espèces de moustiques dans le monde, 50 dans le Languedoc-Roussillon. Seule une dizaine pique. Les plus visibles sont l'Aedes caspius et le Culex pipiens, un moustique urbain. Les hommes de Jean-Claude Mouret, présents sur le terrain, déposent préventivement du produit bio anti-larvaire afin d'éviter des baby-boom de moustiques.
Source : midilibre.fr
06:07 Publié dans Les bons gestes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : moustique, santé, plage, mer, méditerranée, insectes, insecticides
samedi, 05 juillet 2014
Comment traiter une piqûre par épines d’oursin ?
Les piquants d’oursin peuvent très bien rester des semaines, des mois voire des années dans notre corps sans poser de problème. Certains piquants s’enkysteront mais la plupart s’extrairont spontanément par un rejet cutané qui survient au bout d’un temps très variable.
Source : blog.surf-prevention.com
05:52 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : oursin, mer, méditerranée, surf, plage, vacances, médecine, santé
vendredi, 04 juillet 2014
Pommes de terre sur gazon
Culture de pommes de terre sur gazon. Démonstration, sans aucun travail du sol. Une excellente façon de transformer un gazon en lieu productif et préparer la mise en culture d'autres légumes pour les années suivantes sans effort. Ou simplement ressemer de l'herbe après.
05:44 Publié dans légumes et fruits | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pommes de terre, culture, agriculture, sols, gazon, permaculture, jardinage
jeudi, 03 juillet 2014
23 exoplanètes potentiellement habitables
Naviguant sur le bord intérieur de la zone habitable de son système, Gliese 832c est susceptible de recevoir un flux d’énergie comparable à celui que recueille la Terre. En fonction de son atmosphère, ses températures pourraient être équivalentes à celles qui règnent dans la biosphère de la Terre. Cependant, soumise à des cycles saisonniers très variables et dans l’hypothèse où son atmosphère est plus dense (probabilité importante pour les superterres), la planète ressemblerait alors davantage à une super-Vénus. Ajoutons à cela que les naines rouges ont très mauvaise réputation car fréquemment sujettes à des sautes d’humeurs susceptibles d’affecter violemment les planètes qui les entourent. Néanmoins, avec les données qu’ils ont en leur possession pour caractériser cette planète, les chercheurs ont établi qu’il s’agit, à ce jour, de la meilleure candidate à l’habitabilité dans notre voisinage galactique.
Source : futura-sciences.com
06:04 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : astronomie, atmosphère, terre, planète, vie, biologie, espace
mercredi, 02 juillet 2014
En ai-je vraiment besoin ?
On parle souvent dans les médias et les réseaux sociaux de Boyan Slat un étudiant hollandais de 20 ans qui a présenté en octobre 2012, un concept de navire équipé de barrages flottants qui pourraient filtrer les déchets dans l'océan. Des dizaines d'ingénieurs travaillent à la réalisation d'un prototype qui laisserait passer le plancton et bloquerait les micro-plastiques. Si c'est une première réponse louable, elle reste limitée aux macro-déchets qui entrent dans les océans, avant qu'ils n'atteignent les gyres mais ce n'est pas une solution pour le plastique déjà accumulé dans les gyres actuels.
Les tendances de production, les modes d'utilisation et les changements démographiques devraient entraîner une utilisation accrue du plastique. Chaque achat doit être réfléchi : "en ai-je vraiment besoin ?", "ne pourrait-on pas me le prêter par ailleurs ?", "pourrais-je en trouver un d'occasion à très bas prix ?". Nous devons être particulièrement vigilants en ce qui concerne les déchets : les mettre aux ordures et les trier, quelque soit l'environnement dans lequel nous nous trouvons.
Source : notre-planete.info
05:47 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pollution, plastique, déchets, environnement, océans, consommation, consommer autrement, pétrole
mardi, 01 juillet 2014
De l'eau à 500 km sous la surface de la Terre
Selon le géochimiste canadien Graham Pearson de l'Université de l’Alberta à Edmonton au Canada et son équipe, qui ont étudié ce diamant au cours de ces dernières années, la quantité d’eau présente dans la zone de transition pourrait être plus importante que l’eau de tous les océans actuels réunis. Si ces quantités d’eau existent dans la zone de transition, elles sont intégrées à l’intérieur des minéraux. En analysant par diffraction aux rayons X la nature d’un fragment de minéral inclus dans ce diamant, Graham Pearson et ses collègues découvrent qu’il s’agit d’un fragment de ringwoodite, un minéral dont l’existence était prédite depuis longtemps par les scientifiques, mais qui n’avait pas réellement été mise en évidence concrètement jusqu’ici. La ringwoodite est une forme d’olivine, un minéral qui abonde dans le manteau supérieur terrestre, mais qui s’est constituée dans des conditions de pression très supérieures à celles qui président habituellement à sa formation. Les scientifiques ont découvert qu’il contenait 1% d’eau. Ils pensent que la ringwoodite est très répandue dans la zone de transition et cela suggère que cette région du manteau terrestre regorge d’eau.
Source : science-et-vie.com
05:51 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eau, terre, planète, géologie, volcans, sciences, brésil, exploration, découverte