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lundi, 22 juin 2015

La guinguette ou la buvette

Bruno Podalydès, réalisateur de “Comme un avion” est l'invité de Télérama :
Votre cinéma est très personnel, mais votre goût de la culture populaire semble vous protéger de tout égotisme…
… Et puis il y a la guinguette, une trace de La Belle Equipe, de Duvivier, avec cette idée de mettre en partage l'argent gagné et de créer un projet commun, en évitant le pittoresque rétro. Pour moi, c'est un enjeu de combat contemporain, la guinguette ou la buvette. Je suis pour qu'on les réhabilite, pas au nom de je ne sais quel patrimoine, mais simplement parce qu'on a été coupé de nos rives et que c'est agréable de boire un petit coup au bord de l'eau.


vendredi, 04 juillet 2014

Pommes de terre sur gazon

Culture de pommes de terre sur gazon. Démonstration, sans aucun travail du sol. Une excellente façon de transformer un gazon en lieu productif et préparer la mise en culture d'autres légumes pour les années suivantes sans effort. Ou simplement ressemer de l'herbe après.

dimanche, 11 mai 2014

Les nouveaux chemins de la connaissance

L'émission de philosophie de France Culture, les nouveaux chemins de la connaissance, diffusée du lundi au vendredi de 10h à 11h, est en tête de liste des émissions podcastées.


Les nouveaux chemins de la connaissance par franceculture
Pour réécouter les dernières émissions, se connecter sur franceculture.fr

vendredi, 07 juin 2013

Adopter l’agriculture de conservation

Le labourage des sols, la culture sur brûlis sont des techniques très répandues notamment dans les pays du sud, or ces techniques renouvelées aboutissent à un appauvrissement du sol, à l’érosion des sols elle-même entraînant des glissements de terrain, une modification du paysage, une mauvaise filtration de l’eau et un non stockage du CO2 dans le sol.


Approche de l'agriculture de conservation par robinletellier
Suite à de fortes érosions des plaines aux Etats Unis et de la région de Parana au Brésil, différentes techniques ont été mises au point pour lutter contre l’appauvrissement et l’érosion du sol. Il en découle les 3 grands principes de l’agriculture de conservation : un moindre travail du sol, c'est-à-dire pas de labourage, pas de brûlis, la diversification des cultures par rotation, certaines plantes peuvent être bénéfiques à d’autres, une couverture permanente du sol. en disposant de la paille entre les semis. Ceci permet de diminuer l’évaporation de l’eau, stocker plus de CO2, lutter contre les mauvaises herbes et apporter des nutriments au sol.

Selon Theodor FRIEDRICH de la FAO, l’agriculture de conservation représente actuellement 117 millions d’hectares dans le Monde et augmente chaque année de 6 millions d’hectares essentiellement en Amérique, en Australie et plus récemment en Asie. L’érosion hydrique au Brésil, le problème de sécheresse en Australie et au Kazakhstan, l’érosion éolienne dans les prairies du Canada et les coûts de production ont été à l’origine de l’adoption de l’Agriculture de conservation. Plus récemment, les problèmes environnementaux causés par l’agriculture traditionnelle ont amené les principaux pays notamment en Asie à adopter l’agriculture de conservation.

Source : actions-biodiversite.org

mardi, 29 janvier 2013

Un chef en démocratie ?

La quatrième de Couverture du livre de Jean-Claude Monod auteur du livre : Qu'est-ce qu'un chef en démocratie ?

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La mystique du chef a participé des pires constructions idéologiques du XXe siècle, et la démocratie reste aujourd'hui la forme de pouvoir qui doit s'approcher autant que possible d'un gouvernement du peuple par lui-même. Elle semble pourtant, dans les faits, indissociable de modes de délégation et de représentation, et surtout d'une certaine incarnation temporaire de l'autorité et d'un pôle de décision personnelle. Mieux, la tendance contemporaine à la dépossession des peuples de la capacité de décider de leur sort, au profit d'un pouvoir toujours accru des puissances économiques, donne une actualité nouvelle aux inquiétudes de Max Weber sur l'avènement d'une «démocratie acéphale», peu apte à faire valoir les intérêts des dominés. Mais dans les conditions médiatiques de sélection des leaders politiques que nous connaissons, peut-on penser qu'un renforcement de la démocratie passe par l'apparition de personnalités charismatiques, capables de rompre avec les logiques impersonnelles de la bureaucratie et des marchés ?

On peut écouter et débattre avec Jean-Claude Monod, ce soir à 18h à la Librairie Mollat de Bordeaux, en partenariat avec la Société de Philosophie de >Bordeaux

Pour en savoir plus, on peut consulter le site de franceculture.fr

dimanche, 14 octobre 2012

Un endroit pour se retrouver

Le Pérou n'est pas seulement l'endroit parfait pour se perdre ; c'est également l'endroit idéal pour se retrouver. Au Pérou vous n'apprendrez pas uniquement à connaître ses forêts amazoniennes,ses plages et ses montagnes, ses habitants et sa culture. On apprend aussi à se connaître soi-même. Un apprentissage qu'on ne souhaite jamais oublié.

samedi, 29 octobre 2011

Il était une fois demain

Il était une fois demain, exposition jusqu'au dimanche 18 décembre 2011 aux Abattoirs de Bordeaux. Les utopies urbaines qui prennent racines avec les artistes d'Arc en rêve centre d'architecture et Stealth unlimited.

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Les habitants sont les maîtres d’usage de la cité. Ils déploient des formes d’organisation collective qui inventent la ville au quotidien, et tissent de nouvelles solidarités.
Une fresque inspirée par les textes de Bruce Bégout et réalisée par des dessinateurs de bandes-dessinées, des graphistes et des artistes donne une vision utopique de la ville de Bordeaux. Un regard particulier qui place le visiteur en 2030, date à laquelle la cité dépassera le million d'habitants.
 
Le site des Abattoirs accueille cette exposition, en regard de la Halle Debat-Ponsan, remarquable témoignage architectural de l’Entre-deux-guerres.

Exposition ouverte de 11h00 à 18h00, fermé les lundis et jours fériés, quai de Paludate, 33800 Bordeaux
 

jeudi, 05 mai 2011

Les tours de jardinage en étages

Les tours de jardinage en étages peuvent être une réponse aux problèmes de gestion et de préservation des terres arables et de l’eau. Elles apportent une solution au manque de terres agricoles et utilisent l’énergie solaire. Selon leur créateur, Jean Claude Rey, les tours de jardinage en étages ont pour principal objectif de rendre les populations locales des pays émergents, autonomes dans la production et la préservation de leur nourriture en optimisant les ressources en eau.

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Les toits récupèrent l’eau de pluie, protègent les cultures des intempéries ou des brûlures du soleil, les bacs surélevés préservent les cultures des prédateurs, des pollutions du lessivage des sols et placent les cultures à hauteur d’homme pour un travail debout. De plus, les tours permettraient de générer des emplois et valoriser les économies locales, par la mise en place de circuits courts de production et de vente.

Pour en savoir plus sur cette nouvette technologie, on peut consulter le site de Jean Claude Rey

dimanche, 17 avril 2011

La transmission de traditions

Et si la transmission de traditions, de style de vie et de savoir-faire n'était pas l'apanage de l'espèce humaine ? Fourmis, baleines et singes en témoignent...  Un livre de Damien Jayat " Les animaux ont-ils une culture ? "


Les animaux ont-ils une culture ? par universcienceTV

lundi, 07 février 2011

La plus ancienne fabrique de vin connue

Les archéologues ont découvert en Arménie une unité de production de vin datant de 6100 ans avant JC. En ce début du mois de janvier 2011, un pressoir rudimentaire, une cuve de conservation en argile, des tessons de poterie imprégrés de vin ainsi que des résidus de raisins pressés et des sarments de vigne atrophiés ont été mis à jour dans une caverne. C'est aujourd'hui la plus ancienne fabrique de vin connue, preuve de l'existence d'une vinification sophistiquée dès le Néolithique. Mais la culture de la vigne est venue plus tard et s'est propagée à la vitesse des caravanes marchandes, tout autour du bassin méditerranéen.

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Toutes les grandes civilisations ont pratiqué la culture de la vigne. Les plus anciens pépins de raisin cultivé ont été retrouvés à l'est de la Mer Noire et datés, au carbone 14, aux alentours de 7000 ans avant J-C. Il faudra bien sûr attendre plus de 5000 ans pour que cette culture soit confirmée par des écrits ou par des peintures murales.

Les colons grecs, installés à Marseille, furent sans doute les premiers à introduire la vigne (cépage Syrah) en Provence. Mais ce sont les Romains qui l'implantèrent massivement en Gaule du Sud.
La vinification est sommaire. Au fil du temps, les raisins sont d'abord écrasés au pied, puis au pressoir à levier, et enfin au pressoir à vis. Les vins ne se conservaient pas plus d'un an (au delà, d'ailleurs, leur prix baisse), n'avaient pas une couleur bien définie (tous les cépages, blancs ou rouges sont mélangés) et se buvaient en grande quantité, utilisés dans l'eau comme désinfectant ou mêlés à des épices et du miel pour en améliorer le goût.

Pour en savoir plus sur l'histoire de la vigne, on peut consulter les sites cuisine.tv et maxisciences.com

mercredi, 10 février 2010

L'endive au goût amer subtil qui lui donne tout son caractère

L'endive ou chicon (Cichorium endiva), famille des astéracées, comme on l'appelle dans le Nord de la France, est une plante bisannuelle, cultivée pour ses pousses blanchies obtenues par forçage et consommées comme légumes crus ou cuits.C'est par hasard, vers le milieu du XIXème, que l'endive a poussé pour la première fois. En effet, après avoir abandonné ses plants de chicorée sauvage dans une cave, un paysan belge fût tout surpris de voir que ceux-ci avaient poursuivi leur croissance pour donner un légume inédit. Séduit par le goût subtil et inédit de celui-ci, il décida rapidement de le commercialiser.

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Depuis cette époque, les graines sont semées au printemps et les racines sont récoltées à l’automne et stockées pendant l'hiver. Au fur et à mesure des besoins, ces racines sont mises à forcer en cave obscure et elles fournissent au bout de trois semaines un bourgeon jaune pâle, formé de feuilles bien serrées. Sa couleur pâle est due à l'absence de chlorophylle.

L'endive est composée à 95 % d'eau. Elle est une source importante de potassium, excellent pour la régulation de la pression artérielle. Outre un apport en vitamines C, B1, B2 et PP, l'endive fournit également l'organisme en oligo-éléments antioxydants. Enfin, les fibres de ses feuilles favorisent le transit intestinal, surtout si le légume est mangé cuit.

L'endive a un goût amer subtil qui lui donne tout son caractère. Crue, elle entre dans la composition de nombreuses salades composées où son croquant se marie parfaitement à des noix, du fromage, des pommes, du magret fumé, ou du jambon. Mais l'endive s'apprécie aussi cuite pour sa texture fondante.

dimanche, 24 mai 2009

Découvrir des techniques de culture potagère sur les toits

Présentation d'une expérience de jardin potager sur les toits de Montréal pour permettre aux locavores de consommer des produits cultivés dans la ville.

 

dimanche, 14 décembre 2008

" La Meilleure façon de cuisiner "

LA MEILLEURE FACON DE CUISINER : une série documentaire de Gaël Leiblang en 4 épisodes. Diffusion les 15 et 22 décembre à 20h50 sur France3

Ils ont entre 14 et 17 ans et, de la gastronomie française, ils ne connaissent rien ou pas grand-chose, certains ne sont même jamais allés dans un restaurant. Ces adolescents ont pourtant fait le choix d’intégrer un lycée hôtelier pour préparer un BEP, le diplôme de base dans le domaine de l’hôtellerie et de la restauration.
Des entretiens de motivation jusqu’au stage de fin d’année, une caméra a été installée pendant un an, au sein du lycée professionnel René Auffray, situé à Clichy-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine (92), pour suivre ces élèves en première année de BEP.


50 % de filles, 50 % de garçons, mais 100 % de jeunes de la banlieue. Tous les élèves du lycée viennent du « 92 ». Pas du côté de Neuilly-sur-Seine, mais plutôt des quartiers de Gennevilliers, Asnières, Nanterre ou Clichy. Oublier les habitudes de la cité, apprendre la discipline et la hiérarchie, cette première année de formation est la plus riche en découvertes : reconnaître un fromage, goûter de nouveaux aliments, dresser une assiette, servir un plat, mettre un tablier... Pour tous, c’est le choc des cultures ! Les familles des élèves apparaissent aussi comme un contrechamp indispensable.

samedi, 19 juillet 2008

Les grains de café

Il existe trois espèces de caféiers. Le coffea liberica cultivé en Afrique occidentale dont les fèves nécessitent une torréfaction poussée avant d'être mélangées. Le coffea arabica qui poussait à l'état sauvage en Ethiopie, se cultive maintenant en altitude dans tous les pays producteurs de café. Ses fèves sont pauvres en caféine. Le coffea canephora, donnant le café robusta, est adapté à la culture en basse altitude principalement à Madagascar et en Afrique occidentale. Ses fèves ont une forte teneur en caféine. D'un arôme plus neutre, elles sont souvent mélangées avec d'autres fèves. Les plants de caféier ont besoin de pluie, de soleil et d'au moins deux heures d'ombre par jour. Les climats propices à la culture du café favorisent également la prolifération des herbes, nécessitant un désherbage régulier.

cafe-grains02.jpgLes fruits du caféier, appelés cerises, renferment deux graines aplaties, les fèves. Leur couleur passe du vert au rouge, puis au cramoisi quand elles mûrissent. Le date des récoltes dépend de la situation géographique des lieux de production par rapport à l'équateur. La récolte des cerises, principalement manuelle, réclame un grand nombre de cueilleuses. Les cerises flétrissent vite et les fruits doivent être ramassés rapidement dès qu'ils sont à point. Pour les arabica de qualité supérieure, on ne ramasse que les fruits rouges en réalisant des passages hebdomadaires. Après la cueillette, on extrait les fèves des cerises et une fois décortiquées, elles sont séchées au soleil. La couleur atteste de la qualité de la récolte, les meilleures fèves ont une teinte bleutée. Le meilleur café se fera avec les plus grosses fèves.

Pour développer le goût et l'arôme, les grains de café sont torréfiés après l'exportation. Lors de la torréfaction, ils sont chauffés et brassés, leur couleur et taille se modifient, ils doublent de grosseur et prennent une teinte châtain clair ou brun foncé. Plus la torréfaction est foncée moins la qualité du café est bonne. Les fèves, une fois torréfiées, perdent rapidement leur parfum naturel, aussi il est préférable d'acheter du café fraîchement torréfié et en petite quantité.

lundi, 03 décembre 2007

Répartition des cultures en IDF

La spécialisation dominante des exploitations
Sur le territoire de l'Ile de France Ouest, les filières occupent des superficies inégales, du fait des modes de production différents, par contre le nombre d'exploitations par filière montre l'orientation dominante des grandes cultures.
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source: Chambre Agriculture IDF