samedi, 24 avril 2010
L'histoire des légumes
Les premiers hommes du Paléolithique vivaient de chasse et de cueillette, les seuls fruits et légumes consommés étaient des espèces sauvages, des baies, des salades ou épinards primitifs.
Puis durant le Néolithique, on apprit à conserver certaines plantes comestibles d'une saison sur l'autre grâce à leurs graines Les plantes, sélectionnées pour leurs qualités étaient replantées et donnaient ainsi des plantes améliorées. Ensuite, le greffage a permis de créer des variétés plus résistantes ou plus nourrissantes. Bien plus tard, les variétés hybrides, issues de croisements entre des individus de lignées différentes, apparurent. L'agriculture a commencé 7000 av. J-C., dans le croissant fertile, vaste région allant de la Mésopotamie à l'Egypte. Les potagers du pharaon Chéops, étaient riches de fruits et légumes variés : melons, radis, ail, laitues, concombres, asperges, lentilles, poireaux, prunes, dattes...
4000 av.J-C., l'arboriculture et le maraîchage apparaissent et deviennent une activité majeure des peuples de la Méditerranée. Les Romains rapportent de l'Orient et des côtes africaines, des plants de légumes et d'arbres fruitiers : le cédrat, le fenouil et la rhubarbe, l'artichaut... et exportent vers le nord la vigne, l'olivier, les salades, les choux dans le nord. La seule culture de légumes connue des peuples celtes de Gaule étaient celle de la carotte. A noter tout de même que les Gaulois étaient d'excellents céréaliers et que leurs outils de moissons étaient largement supérieurs à ceux de leurs conquérants...
Durant le Moyen-Age, les paysans mangeaient manger des légumes racines comme la carotte, le navet, le topinambour ou la betterave. Ces légumes étaient jugés impurs et réservés aux paysans car en contact avec la terre. Par ailleurs, on cultivait des choux, des courges et des poireaux. A l'époque de la Renaissance, l'influence italienne fait revenir sur les tables de France une plus grande variété de fruits et de légumes verts. Autour des grandes villes des ceintures maraîchères sont consacrées à la culture des fruits et légumes.
Les fruits et légumes frais allaient s'imposer sous le règne de Louis XIV. On mit au point des cultures sous cloches qui permettaient de faire pousser hors saison des fraises, des melons, du cresson et toutes sortes de salades, de l'oseille, des aubergines originaires de l'Inde, des concombres, des asperges, des petits pois...
La pomme de terre, la tomate, le maïs et le cacao, cultivés dans la Cordillère des Andes par les tribus Incas, ont été introduits en Europe par les Espagnols. Parmentier, pharmacien militaire, rédigea un Traité sur la culture et l'usage de la pomme de terre, pour faire accepter ce nouveau légume. Plus tard, le gouvernement révolutionnaire adopta la pomme de terre pour sauver le peuple de la disette. Les Marseillais, montés à Paris pendant la Révolution, firent apprécier la tomate aux consommateurs parisiens. Les fruits et légumes frais, à partir du XIXe siècle, vont entrer dans les menus quotidiens des peuples d'Europe, mais jusqu'au milieu du XXe siècle, la base de l'alimentation reste la viande, le pain, la pomme de terre, le chou, la carotte... La connaissance des vertus des fruits et légumes frais va se diffuser partout dès les années 50.
A mesure que le niveau de vie s'élève, la qualité de la nourriture consommée s'équilibre : moins de viande et de pain, plus d'aliments riches en fibres et en vitamines. Aujourd'hui, les fruits et légumes frais ont conquis le monde entier. La variété des fruits et légumes actuels n'empêche pas la redécouverte de légumes oubliés comme le pâtisson, la roquette, le mesclun, le pourpier, le topinambour, le rutabaga, le panais, le pissenlit, l'ortie, les fleurs comestibles...
Pour en savoir plus, on peut consulter le site fraichattitude.fr
05:58 Publié dans légumes et fruits | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : agriculture, maraîchage, maraicher, légumes, légumes oubliés, histoire, fruits, alimentation
jeudi, 08 avril 2010
Amflora, une pomme de terre OGM
Depuis un mois, la Commission européenne a autorisé la culture, à des fins industrielles, de la variété de pomme de terre génétiquement modifiée EH92-5271, baptisée Amflora, produite par le groupe allemand BASF, ainsi que l’utilisation des produits dérivés de l’amidon de cette variété OGM pour nourrir les animaux. Par ailleurs elle a autorisé l’utilisation de trois produits contenant du maïs génétiquement modifié de Monsato dans l’élaboration de produits destinés à l’alimentation humaine et animale (MON863, NK603 et MON810), indiquant que ces produits « ont reçu un avis favorable de la part de l’EFSA », l’agence européenne de sécurité des aliments.
Depuis 2007, l'autorisation avait été suspendue car l'OGM contient des gènes de résistance à deux antibiotiques : la néomycine et la kanamycine, utilisés en thérapie humaine contre les infections aigües. Le risque d’accroître la résistance aux antibiotiques par l’alimentation du bétail n’était pas exclue. Selon le commissaire européen chargé de la santé et de la consommation les cinq OGM autorisés ont été examinés avec la plus grande attention, de sorte que les préoccupations exprimées au sujet de la présence d’un gène marqueur de résistance aux antibiotiques ont été pleinement prises en compte et qu'une proposition de loi visant à laisser aux États membres plus de latitude pour décider de cultiver ou non des OGM sera présentée cet été. BASF a fait savoir que la pomme de terre Amflora n’était pas destinée à la France dans l’immédiat, mais seulement aux pays européens prêts à l’utiliser (la Suède, les Pays-Bas, la République Tchèque et l’Allemagne).
BASF informe que l'OGM ne franchit pas la barrière des espèces car il n’y a pas de gène d’animal dans la plante manipulée. Ce qui est louable par rapport aux OGM de maïs existants. D’autre part, les pommes de terre se reproduisent pratiquement toujours par les tubercules, et les reproductions par le pollen de leurs fleurs sont jugées négligeables, ce qui permet à BASF d'assurer qu’il ne doit pas se produire de problèmes de cohabitation, avec le bio, les champs conventionnels non-OGM, voire les jardins familiaux. Par contre, le risque de contamination par les OGM est dû aux tubercules non récoltés et enfouis dans le sol.
La patate BASF pose question au Salon de l'agriculture
envoyé par Nouvelobs. - L'info video en direct.
L'intérêt industriel de cette variété de pomme de terre OGM résulte dans son amidon composé quasi-exclusivement d'amylopectine qui permet une extraction optimisée de ce composant pour l'industrie du papier, du textile et des adhésifs, alors que les variétés conventionnelles imposent une séparation coûteuse de l'autre forme d'amidon, l'amylose. C'est un marché potentiel de plus de 100 millions d'euros par an.
Pour en savoir plus, on peut consulter le site developpementdurablelejournal.com, le site de l'entreprise BASF basf.fr ainsi que wikipedia
05:28 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ogm, pommes de terre, alimentation, bio, agriculture, amidon, santé
samedi, 27 mars 2010
Stévia, le nouveau sucre ?
Le pouvoir sucrant de la Stevia rebaudiana est connu des Indiens guaranis d'Amérique du Sud depuis des siècles.
Voici un reportage de Radio-Canada sur la plante Stévia qui remplace le sucre naturellement et qui possède des propriétés curatives. On commence à l'autoriser aux USA. Ça viendra sûrement au Canada et ailleurs par la suite. D'ailleurs Coca Cola et Pepsi projetent d'utiliser cette plante d'ici peu pour éviter les problèmes dûs à l'aspartame.
La France vient d'autoriser pour deux ans un extrait de cette plante, le rébaudioside A qui peut être intégré dans les boissons et les desserts. En 2008, un comité d'experts internationaux s'est prononcé en faveur des glycosides de stéviol et l'Afssa vient de suivre cette recommandation. Cet extrait a un pouvoir sucrant environ 300 fois supérieur à celui du sucre blanc sans apporter une seule catégorie. Une restriction est cependant préconisée, ne pas chauffer le rébaudioside A à plus de 100°C.
Stevia le nouveau sucre
envoyé par theuniquebob
06:05 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : stevia, sucre, alimentation, plante, santé, amérique du sud
samedi, 13 mars 2010
Contrôler l'équilibre acide-base de son organisme
Contrôler l'équilibre acide-base de son organisme
Quand l'acidité augmente, le corps est plus sensible aux infections, aux douleurs diffuses et la sensation de fatigue est plus importante. Naturellement le PH des cellules du sang du corps humain est de 7,4. C'est à dire légèrement alcalin puisque ce PH dépasse 7 qui est le PH neutre, intermédiaire entre le PH d'un milieu alcalin ou basique (>7) et le PH d'un milieu acide (<7). Parmi les aliments acides, on compte les viandes, poissons, oeufs, le sucre raffiné, les boissons excitantes, l'alcool, les légumineuses, les produits laitiers et les céréales. Le stress quotidien et le manque d'exercice sont aussi responsables d’une acidification de l’organisme, liée au taux d’une hormone : le cortisol.
Si on ingère trop d'aliments acides, l'organisme doit compenser cet excès d'acidité pour maintenir le PH du sang à 7,4 en utilisant ses réserves en bases, par exemple le calcium des os. Ce rétablissement du PH réclame beaucoup d'énergie à l'organisme, ce qui le fatigue et le fragilise. Il est donc conseillé de limiter sa consommation d'aliments acides et d'aider l'organisme dans le maintien du PH du sang à 7,4 en privilégiant les aliments alcalins comme les légumes verts, les légumes secs, les fruits mûrs, les bananes...
Un repas composé d'un steak, de pâtes avec du parmesan, d'un peu de fromage et d'un dessert sucré, est très acidifiant. Alors que les épinards qui ont un PRAL élevé (indice qui mesure le potentiel acide ou base de chaque aliment) permettent d'équilibrer un repas. Des associations d'aliments comme un féculent (riz ou purée) avec un yaourt sucré en dessert sont très fortement déconseillées si on veut rétablir l'équilibre acide-base de son organisme. Pour favoriser cet équilibre, il est conseillé de diminuer l'apport d'aliments acides ou acidifiants, d'augmenter l'apport d'aliments alcalins, de manger lentement, consciemment, dans le calme et en mâchant bien les aliments, de se promener en la forêt ou en montagne, de pratiquer des activités sportives douces...
05:59 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : organisme, santé, alimentation, cellules, légumes, légumineuses, calcium, fruits
mercredi, 10 mars 2010
L'alpiste faux-roseau peut servir de biocarburant
Une équipe de chercheurs de l'Université de Teesside, au Royaume-Uni, a découvert que l'alpiste faux-roseau (Phalaris arundinacea) peut servir de biocarburant pour les centrales électriques à biomasse et être cultivé sur des sites industriels abandonnés.
L'alpiste faux-roseau est une graminée vivace très présente en Europe, Amérique du Nord, Afrique du Nord et Asie. Lorsque l'herbe atteint sa maturité, ce qui prend deux années, elle est fauchée et mise en balles avant d'être transformée en briquettes et granulés. La combustion de cette plante n'a pas d'impact sur l'environnement car son bilan carbone est neutre. En effet, les cultures brûlées à des fins de production de carburant entrent dans la catégorie des «énergies renouvelables». Leur combustion libère du gaz carbonique (CO2) dans l'atmosphère, mais il en a été extrait lors de la croissance des cultures. Le bilan carbone de ces biocarburants est donc neutre, étant donné qu'ils n'ont aucun impact sur les taux de CO2 dans l'atmosphère.
De plus, les travaux suggèrent que la culture de l'alpiste améliore la qualité des sols et la biodiversité des sites où elle est pratiquée, sans occuper de surfaces agricoles destinées à l'alimentation.
Pour en savoir plus on peut consulter l'article de notre-planete.info
06:10 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alpiste, biodiversité, alimentation, biocarburants, énergies renouvelables, co2, agriculture
mercredi, 17 février 2010
Les régimes alimentaires et les recettes d'O'Papilles
Les régimes alimentaires des Crétois, des Japonais de l'île d'Okinawa, des Equatoriens de la vallée de Vilcabamba, des Pakistanais de la vallée de Hunza et les habitants du Caucase en Russie ont des points communs qu'il est intéressant d'identifier. Tous ces régimes sont à base de fruits et légumes (aubergines, courgettes, concombre, choux, épinards, haricots, betterave, tomate, ail, oignon, figue, melon, pastèques, potiron, noix, maïs et lentilles).
Mais surtout tous ces régimes comportent peu de sucres rapides et essentiellement des sucres assimilables lentement comme les protéines végétales. Selon les régions, les associations, si importantes pour un bon équilibre alimentaire, sont différentes : maïs et quinoa, lentilles et riz, riz et pâtes, pain et légumes secs, sarrasin et millet. On remarque que tous les plats sont très relevés. Les épices et fines herbes jouent un rôle important que l'on a parfois négligé dans notre alimentation quotidienne en augmentant par exemple la quantité de sel.
Les recettes d'O'Papilles tiennent compte de ces principes culinaires en mettant en valeur les légumes des paniers distribués. Cette semaine la fiche de 5 recettes propose par exemple la recette du pâté végétal aux panais et carottes qui vient d'être publiée. Elle associe légumes (panais et carottes), farine T110, oeufs, lait et 5 épices (cumin, gingembre, cannelle, muscade et poivre).
Bonne recette,
damien.
06:19 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : opapilles, régime, régime crétois, alimentation, protéines végétales, épices, fines herbes, omega-3
dimanche, 14 février 2010
Quelle agriculture pour nourrir la planète ?
Avec Michel Griffon, président du conseil scientifique du Fonds français pour l'environnement mondial, directeur général adjoint de l’ANR, et John Thomson, directeur de recherche au Cirad. Débat en 3 parties accessibles dans MENU / chapitres. Réalisation : Sylvie Allonneau Production : Cité des sciences et de l'industrie 2009
Quelle agriculture pour nourrir la planète ?
envoyé par universcienceTV. - Regardez plus de vidéos de science.
06:05 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : agriculture, biodiversité, planète, ogm, alimentation, sciences, écologie, agronomie
jeudi, 11 février 2010
le bon produit ne se résume plus au produit moins cher
L’intérêt croissant des consommateurs pour la qualité environnementale et sociale des produits est régulièrement démontré par les enquêtes d’opinion. De plus en plus de consommateurs intègrent des critères liés au développement durable dans leurs décisions d’achat : le bon produit ne se résume plus au produit moins cher mais devient celui qui est plus respectueux de l’environnement ou de l’homme. Pratiquement, cette démarche suppose de pouvoir identifier les produits plus responsables ; c’est à dire de disposer d’une information fiable et compréhensible permettant d’établir la qualité environnementale ou sociale supérieure du produit. Aujourd’hui, une telle information est loin d’être généralisée.
L’étiquetage environnemental et social des produits est de fait un des chantiers du Grenelle de l’environnement. La loi « Grenelle 1 » (n° 2009-967 du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en oeuvre du Grenelle de l’environnement) pose le principe que « les consommateurs doivent pouvoir disposer d’une information environnementale sincère, objective et complète portant sur les caractéristiques globales du couple produit/emballage » (article 54). Ce dispositif aboutira à terme (objectif affiché : 1er janvier 2011) à la mise en place d’un étiquetage environnemental obligatoire par catégories de produits.
L’Indice Carbone devra indiquer la quantité de gaz à effet de serre émise par un produit lors des 5 étapes clés de son cycle de vie, la production de ses composants, sa fabrication, son transport, son emballage, sa distribution jusqu’au domicile du consommateur. Il sera exprimé en gramme équivalent CO2 pour 100g de produit fini.
Pour en savoir plus, on peut consulter le site abcvert.fr
06:05 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alimentation, environnement, consommateurs, consommer autrement, étiquetage, label
vendredi, 05 février 2010
Pour une politique alimentaire durable
La Grande Bretagne publie ses principes officiels pour une politique alimentaire durable.
L’alimentation représente environ 18% des émissions de gaz à effet de serre en Angleterre, les propositions sont de réduire la consommation de viande et de produits laitiers, de réduire la consommation d’aliments et boissons industriels à valeur nutritionnelle faible, trop gras et sucrés, et enfin de réduire les déchets alimentaires, réduire la taille des portions et à réduire la pollution liée au transport des denrées alimentaires.
Parmi les autres recommandations du rapport, on note l’augmentation de la consommation de fruits et légumes de saison non-cultivés sous serre, la consommation de poissons non menacés, la préférence à des produits respectueux de la planète comme les produits bio, le remplacement de l’eau en bouteille par l’eau du robinet, la préférence aux achats de proximité la vigilance sur les huiles de palme et de soja utilisées comme ingrédients.
Pour en savoir plus, on peut consulter le site mescoursespourlaplanete.com
06:16 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alimentation, gaz à effets de serre, consommation, légumes biologiques, développement durable
vendredi, 08 janvier 2010
Les dahls sont un constituant important de l'alimentation
Le dahl (aussi écrit dhal, dahl ou daal) est une recette de légumineuses courante dans les foyers indiens et pakistanais. C'est le plus souvent un savant mélange d’épices et de lentilles facile à préparer, qui regorge de saveur et s’accompagne parfaitement de pain ou de riz. Les lentilles ou les pois cassés n’ont pas besoin de tremper, ce qui fait que cette recette se prépare suffisamment rapidement pour convenir aux repas diététiques du soir et laisse une part d'improvisation à partir de certaines bases : cumin, moutarde, gingembre, ail, oignon, échalote, curcuma, curry, coriandre, lentilles, pois cassés. Chaque type de légumineuse laisse son empreinte propre en présence des épices.
Les dahls sont un constituant important de l'alimentation végétarienne et végétalienne. Comme produit dérivé des légumineuses, ils apportent des nutriments en quantité et qualité, notamment du fer, par ailleurs souvent obtenus à travers la consommation de produits d'origine animale. En outre, la combinaison de légumineuses et céréales est reconnue comme la source de protéines la plus importante pour les végétariens.
Un bon repas végétarien, classique et équilibré, est constitué par une portion de dahl, une portion de riz, une portion de légumes cuits et une portion de légumes en crudités, par exemple de la salade.
12:50 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dahl, alimentation, recette, légumineuse, lentilles, pois cassés, végétarien, épices
mardi, 29 décembre 2009
Celle qui plante des arbres
Voici un extrait de l'interview de Wangari Maathai publiée sur le site lepoint.fr
Le film « Nous resterons sur Terre » permet de se rendre compte que les activités des hommes, qu'ils soient dans des pays riches ou dans des nations moins développées, contribuent à dégrader l'environnement de manière dramatique. Chaque individu, où qu'il vive sur la planète, est responsable d'elle. Chacun de ses habitants contribue à détruire l'environnement. Et chacun peut donc décider d'agir pour la préserver.
Le film dresse un tableau sans équivoque : il n'y a qu'à voir comment on se comporte, comment on se nourrit, comment on produit, comment on consomme les ressources de la planète. C'est la course à la démesure. C'est aux gens de décider s'ils veulent soutenir un tel rythme. Mais en en assumant les conséquences ! En étant honnête, on voit très clairement qu'une telle pollution et un tel gaspillage des ressources sont insupportables. Nos ressources sont limitées. Il n'y a pas d'alternative. Seul le développement durable peut nous sortir de cette impasse. Ce choix doit être fait par les individus, par les entreprises et par les gouvernements. Tout le monde a un rôle à jouer.
Il faut s'éduquer pour être persuadé qu'en effet la planète est menacée. Nombreux sont ceux qui pensent encore qu'il y a assez de ressources dans le monde, qu'il n'y a pas de raison de s'inquiéter. Voilà pourquoi des films comme celui-ci sont extrêmement importants. Beaucoup de gens travaillent dans le monde entier pour tenter de faire passer le message, mais je suis étonnée de voir avec quelle lenteur il se diffuse !
La deuxième chose à faire, c'est de faire des choix. Vous pouvez décider de ne pas manger d'aliments venus de l'autre bout du monde et de soutenir les productions locales : ce choix-là, toutes les maîtresses de maison peuvent le faire. Les enfants peuvent aussi agir : quand ils se brossent les dents, ils peuvent économiser l'eau. Quand ils sont à l'école, ils peuvent écrire des deux côtés de la feuille.
Pour leur part, les populations les plus pauvres sont souvent responsables de la déforestation, car elles sont très dépendantes du bois. Elles détruisent les forêts, les terres agricoles et la biodiversité. Elles génèrent de l'érosion. Bien sûr, il s'agit pour elles de survie. Mais elles détruisent tout de même l'environnement. Elles doivent pourtant comprendre qu'elles sont toujours très dépendantes des matières premières, de leurs terrains pour l'agriculture, des forêts pour le bois de chauffe, des rivières pour l'irrigation de leurs cultures... Et que si elles n'y prennent garde, elles en subiront directement les conséquences. C'est pour cela que j'ai lancé des campagnes comme celle du «milliard d'arbres », pour que ces populations réalisent qu'elles peuvent participer, même en faisant un tout petit quelque chose. Les Africains sont aux avant-postes de la protection de la planète, et ils ne doivent pas attendre que les gouvernements ou les agences d'aide internationale interviennent. Planter un arbre ne nécessite ni argent ni technologie avancée. Certaines actions essentielles et durables peuvent être menées sans grands moyens.
06:01 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : écologie, environnement, arbres, déforestation, alimentation, biodiversité, planète, wangari
lundi, 21 décembre 2009
La brosse à légumes est un outil du savoir manger sain
La brosse à légumes est un outil de base du savoir manger sain.
Plusieurs éléments peuvent contaminer les légumes : des moisissures, des pesticides, des insecticides, des bactéries, de la terre. D'où la nécessité que l'on ressent de les éplucher. Cependant, en les épluchant, on perd les éléments nutritifs et les vitamines contenus dans les épluchures.
Une autre méthode existe. Tout d'abord, il faut toujours laver les légumes pour les débarrasser de la terre et de toute trace de salissure mais aussi pour diminuer le plus possible la quantité de pesticides et d'insecticides si ce ne sont pas des légumes Bio, Ensuite on les frotte avec une brosse à légumes. C'est l'outil adapté pour préserver la qualité nutritive des fruits et légumes tout en les nettoyant en profondeur. On utilise de préférence une brosse avec 2 duretés de fibres car toutes les peaux des fruits et légumes ne réclament pas un même traitement.
06:08 Publié dans Les bons gestes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : légumes, pesticides, insecticides, vitamines, alimentation
lundi, 14 décembre 2009
Un cadeau utile et savoureux pour Noël
Noël est tout proche et on réfléchit à une idée cadeau originale, utile et qui fera plaisir à coup sûr. Auparavant, le jour de Noël, on offrait des oranges, des chocolats, on préparait un bon repas...
Cette année des études montrent que le cadeau de Noël le plus attendu des Français, c’est l’argent ou le chèque-cadeau. Il faut avouer que c'est un cadeau utile mais un peu dépersonnalisé. Les vêtements et accessoires arrivent en seconde position et les livres obtiennent 30% des suffrages. Ce sont donc les cadeaux utiles qui sont à l'honneur. Les consommateurs désirent acheter moins, mais mieux et juste pour offrir un cadeau utile et durable.
La tendance des cadeaux d’occasion se poursuit. Une part de plus en plus importante des Français offre des objets déjà utilisés dans un souci d’économies et de recyclage. Les Français sont aussi les plus nombreux à revendre leurs cadeaux sur Internet le lendemain des fêtes. Chargeurs solaires, jouets en bois, vêtements et accessoires bio, guides de voyage spécialement conçus pour le tourisme durable... sont aussi de plus en plus présents cette année dans les intentions d'achats. Peut-être l'effet Copenhague...
Mais les Français sont aussi de plus en plus nombreux à privilégier des cadeaux "bons pour la santé " ou conformes à leurs nouvelles habitudes de consommation comme une machine à pain, une yaourtière ou un coffret gourmand. Les repas restent un moment important de ces fêtes de fin d'année pour déguster quelques douceurs qu'on réserve pour ces instants conviviaux.
05:54 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : noel, gastronomie, consommateurs, repas, alimentation, bio
mardi, 20 octobre 2009
Un quart de la nourriture est jetée avant d'avoir été consommée
Le documentaire de Thierry Machado “Vu du ciel, toujours plus!” est diffusé à partir de ce mercredi 21 octobre sur France 3 à 20h35.
Le réalisateur Thierry Machado lève le voile sur les produits achetés par les hommes et se penche sur les circuits de fabrication de notre société. Il explique comment un quart de la nourriture produite est jetée avant même d'avoir été consommée. Yann Arthus-Bertrand se rend, entre autre, au Japon où, comme dans nombre de pays riches, on consomme sans compter. Pour faire face à une consommation de viande de plus en plus importante, les vaches sont parquées dans des fermes à étage et nourries avec du foin importé des Etats Unis ou du soja cultivé au Brésil sur les surfaces déboisées de l'Amazonie.
Les images prises du ciel sont magnifiques, elles permettent de découvrir des paysages incroyables. Mais ces reportages sont surtout l'occasion pour Yann Arthus-Bertrand de dresser un état des lieux de la planète et de dénoncer les comportements humains, à l'origine de dégradations environnementales et climatiques trop souvent irrémédiables. Les trésors naturels de la Terre ne sont pas inépuisables. En 30 ans, 30 % des ressources vivantes de la planète ont disparu.
11:34 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france 3, nourriture, alimentation, yann arthus bertrand, consommation, environnement, planète
samedi, 10 octobre 2009
Le festival ALIMENTERRE pour réfléchir et échanger
Du 16 octobre au 30 novembre, 3ième Festival de films ALIMENTERRE. 150 projections suivies de débats dans 70 villes à travers la France pour mettre des images et des mots sur les désordres alimentaires du monde.
Au programme, 5 thèmes et 5 documentaires pour réfléchir et échanger. Réalisateurs, agronomes, chercheurs, agriculteurs, représentants d’organisations paysannes ou d’unions de consommateurs au Sud, proposent leurs témoignages et leurs analyses, en lien avec leur expérience de terrain.
En 2009, 1 personne sur 6 souffre de la faim, essentiellement des paysans d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine. Manger est un plaisir mais surtout une nécessité vitale. Quelle alimentation souhaitons-nous et comment est-elle produite ? Comment ceux qui produisent peuvent-ils en vivre dignement au Nord comme au Sud ?
Le festival passe aussi les frontières. Au Togo, les projections du Festival de films ALIMENTERRE seront visibles au Centre culturel français et des séances en plein air sont prévues dans les quartiers populaires de Lomé et dans les villages de pêcheurs environnants. En Belgique et au Luxembourg, l'ONG SOS Faim relaie le Festival de films avec une première séance prévue le 15 octobre, veille de la Journée mondiale de l'Alimentation.
Pour en savoir plus on peut consulter le site www.cfsi.asso.fr
06:05 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : festival, alimentation, faim, manger, documentaire, togo
mardi, 06 octobre 2009
On peut manger sain pour soi et pour la planète
On peut manger sain pour soi et pour la planète.
Des études scientifiques font le lien entre la santé alimentaire et la sauvegarde de l'environnement. En 2006 et 2007, des chercheurs ont montré que limiter sa consommation de viande était le moyen le plus simple pour les habitants des pays riches de limiter nombre de maladies, pollution des sols et des eaux et même émissions de gaz à effet de serre. D'autres études ciblent le fait que les poissons prédateurs surpêchés comme le thon rouge sont ceux qui accumulent le plus de polluants. En juin, un rapport de l'Inserm a établi que l'exposition aux pesticides, source de pollution des sols et de l'eau, double quasiment le risque de contracter la maladie de Parkinson pour les agriculteurs.
Manger des fruits et légumes bio ne serait donc pas seulement bon pour la planète et pour le consommateur mais aussi pour le travailleur agricole. La filière agroalimentaire fait l'objet de rapports scientifiques réguliers, à la fois pour les antibiotiques dont elle abuse dans l'élevage, les graisses qu'elle emploie dans ses plats cuisinés et la pollution qu'elle génère. La restauration collective publique devrait intégrer 20% de denrées bio d'ici à 2012. Des campus «locavores» comme celui de Toronto, au Canada, qui ne sert que des produits locaux, existent déjà. De son côté, la Mairie de Paris réfléchit à instaurer une journée hebdomadaire sans viande, sur le modèle de la ville de Gand, en Belgique. Lancé le 13 mai, le Donderdag Veggiedag fait suite à une conférence, non pas de militants de la cause animale, mais de Rajendra Pachauri, le président du Giec, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat.
Pour en savoir plus on peut lire le numéro du magazine Sciences et Avenir de ce mois d'octobre 2009 et consulter le site sciencesetavenirmensuel.nouvelobs.com
06:10 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alimentation, santé, sciences, réchauffement climatique, bio, agriculture, agriculture biologique, climat, pesticides
lundi, 14 septembre 2009
la Planète, comment ça marche ?
La Société des Trains Exposition SNCF nous invite à bord du Train de la Planète pour une exposition gratuite, pédagogique et ludique, qui va sillonner la France et stationner une journée entière, dans 23 villes, départ de la Gare de Lyon à Paris ce mardi 15 septembre pour un retour Gare du Nord le 11 octobre
Une exposition pour appréhender les mystères du fonctionnement de notre planète avec 4 grands thèmes : le climat, l’eau, les énergies et la gestion des ressources par l’homme.
Dans la première voiture, on prend place à bord d’un vaisseau spatial offrant une vue imprenable sur la Terre et son système solaire à travers des hublots. Puis on descend au cœur de la croûte terrestre, pour enquêter sur les facteurs qui font de la Terre, une planète propice à la vie. L’exploration se poursuit sur la banquise où creuser dans la glace permet de mieux comprendre pourquoi et comment la Terre se réchauffe au fil du temps.
La seconde voiture embarque les visiteurs sur un navire de pêche, à bord duquel cartes du monde et explications témoignent des équilibres et dressent le constat. La planète est composé de 70% d'eau, pourquoi en manquons-nous ? Où est l’eau et qui en sont les vrais consommateurs ?
Dans la troisième voiture, on pénètre au cœur d’une mine pour y découvrir comment sont extraites les énergies fossiles. Où sont-elles ? Combien en reste-t-il ? Charbon, gaz, pétrole, uranium, à quoi ça sert ?
Puis, retour à la surface de la Terre où la visite prend des tournures de promenade champêtre pour une présentation des nouveaux trésors que recèle la planète : les énergies renouvelables. L’exposition se poursuit au beau milieu d’une serre de plantes tropicales pour enfin mieux comprendre la gestion de toutes ces ressources par l’Homme. Dans un climat à la fois chaud et humide, le visiteur aborde ici les thèmes de la biodiversité et de l’alimentation qui viennent s’ajouter à ceux du climat, de l’eau et des énergies. Il peut alors dresser un constat objectif sur le passé, le présent et l’avenir de la planète, ainsi que son utilisation par l’Homme. Enfin, au sortir de l’exposition, on est invité à tester ses connaissances grâce à un quiz.
Pour connaître les différentes villes étapes, on peut consulter le site traindelaplanete.com
11:04 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : planète, climat, eau, enérgies, ressources, biodiversité, alimentation
mardi, 21 juillet 2009
Découvrir l'alimentation des habitants d'Okinawa
On connaît le régime crétois à base d’huile d’olive, de poissons, de fruits et de légumes. Ce régime alimentaire de type méditerranéen diminuerait de manière significative les risques de problèmes de santé.
Le régime d’Okinawa est moins connu. L’archipel d’Okinawa est situé au sud du Japon. Ses habitants détiennent le record de longévité. Cette île fait de plus en plus parler d’elle et suscite la curiosité.
Pour découvrir l’alimentation des habitants d’Okinawa, on peut regarder l’interview de Jean-Paul Curtay, nutrithérapeute de renommée mondiale.
"A 70 ans, vous n’êtes qu’un enfant, à 80 vous êtes à peine un adolescent, et à 90, si les ancêtres vous invitent à les rejoindre au paradis, demandez leur d’attendre jusqu’à 100 ans, âge auquel vous reconsidèrerez la question"...
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samedi, 27 juin 2009
Le retour des fèves dans l'alimentation
Les Romains consommaient de grandes quantités de fèves et elles sont restées très populaires en Europe jusqu'à la fin du Moyen Age. Moines et paysans en faisaient un élément indispensable de leur alimentation hivernale en raison de ses solides qualités nutritives. Mais suite à la découverte des Amériques, le haricot, ramené du Nouveau-Monde par les navigateurs, a progressivement supplanté les fèves dans les habitudes alimentaires des Européens. Seuls les pays méditerranéens lui sont restés fidèles.
La récolte des fèves commence en juin. On peut cueillir les gousses vertes pour consommer les grains frais mais on peut aussi laisser les plantes sécher sur pied avant de récolter les gousses, qui auront noircies, et de les entreposer pour la conservation hivernale.
La fève possède des qualités nutritives intéressantes, en raison de sa richesse en glucides, protides, fibres et vitamines, même lorsqu’elle est consommée séchée. La fève est très recommandée pour les personnes qui mangent peu de viande, car elle est particulièrement riche en protéines.
La fève fraîche peut être consommée crue, à condition de retirer la peau épaisse des grains. On les blanchit 5mn à l’eau bouillante salée, on les refroidit à l’eau glacée avant d'enlever la pellicule blanche qui recouvre les grains. On peut les manger à la "croque-au-sel", accompagnées de sel et d'un peu de beurre ou on les incorpore dans les salades de l'été.
Avant de cuisiner les fèves sèches, on les laisse tremper dans l’eau pendant douze heures avant de les faire cuire. Traditionnellement, on prépare alors les fèves en purée.
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vendredi, 01 mai 2009
Les variétés de légumes de chaque saison
La disponibilité saisonnière du légume varie en fonction des exigences climatiques de la plante, de sa localisation géographique et de la partie consommée correspondant à une étape du cycle de la vie du légume : fruit, feuille, racine, bulbe, tige, pollen, fleur ou graine.
Les légumes feuilles comme les choux, les salades, les épinards, le persil ou les poireaux
Ils se caractérisent par une production très abondante et de matière riche en eau, des cycles généralement courts, une conservation difficile, une grande richesse en nutriments variés répartis de façon équilibrée.
En milieu tropical, ils poussent facilement et peuvent être cultivés toute l’année alors qu’en France, ces légumes sont annuels et cultivés au printemps et en automne.
Les légumes racines et tiges comme les pommes de terre, les betteraves, les carottes, le céleri-rave, la rhubarbe, les asperges mais aussi les légumes bulbes comme les oignons, les échalotes, l’ail
Ils se caractérisent par une production assez abondante et de matière moyennement riche en eau, des cycles généralement longs, une assez bonne aptitude à la conservation et une grande richesse en glucides. Les légumes-racines et les légumes-tiges sont des plantes bisannuelles (plantes dont le cycle de vie dure deux ans) et sont récoltées du printemps au début de l'hiver.
Les légumes fruits comme les tomates, les haricots verts, les piments, les poivrons, les concombres, les aubergines, les melons, les courgettes
Ils se caractérisent par une production moyennement abondante de matière moyennement riche en eau, des cycles généralement assez courts (entre 2 mois pour un concombre et un an pour les aubergines), une meilleure aptitude à la conservation et au transport que les légumes feuilles, une richesse en glucides moyenne pour les fruits murs. Les légumes fruits sont voisins des légumes feuilles sur le plan des micro-nutriments. Ils sont faciles à utiliser, mais leur production est plus saisonnière que celle des légumes feuilles. Ils sont cultivés uniquement l'été.
Les légumes graines comme les pois, les lentilles, les fèves
Ce sont des plantes potagères dont les grains sont comestibles. Au potager, ils précèdent ou succèdent aux légumes-feuilles car ils sont peu gourmands en matière nutritive des sols. Ils enrichissent le sol en azote, on peut donc les associer aux courgettes, melons et potirons. Les légumes graines ont la particularité de se conserver facilement par séchage. On peut ainsi les consommer à tout moment de l’année. Ce sont les légumes qui contiennent le plus de glucides.
les légumes fleurs comme les fleurs de courgettes, les brocolis, les choux fleurs, les artichauts et les légumes pollen plus rares comme le safran.
On consomme l’inflorescence des légumes fleurs. Par exemple, l’artichaut est le bouton d’une plante potagère dérivée du chardon. Les légumes fleurs sont tous pauvres en protéines, en calories et en lipides. Ils fournissent des fibres et sont riches en eau. Ils apportent de nombreux éléments nutritifs dans des proportions variables.
09:05 Publié dans légumes et fruits | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : légumes, nutriment, alimentation, saisons, santé, jardin, jardinage