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vendredi, 06 avril 2012

Le bateau de Brassens

Ce soir sur Thalassa, on peut voir un reportage de Rémi Sautet intitulé : Le Bateau de Brassens.

Georges Brassens a passé son enfance et son adolescence à nager dans les environs de Sète, sa ville natale. Il y retourne en 1953 et se fait construire un bateau en bois, baptisé « le Gyss » (acronyme de divers prénoms) sur lequel il navigue quotidiennement, seul ou avec des copains. Lors de ce premier retour à Sète en 1953, qui marque le début d’une longue série d’étés passés en famille et entre amis, Brassens est désormais célèbre et à bord du Gyss, il peut échapper aux admirateurs et aux journalistes. 
Georges Brassens emporte toujours avec lui une caméra pour filmer ses proches et se filmer lui-même. Ces dizaines d’heures d’enregistrement ont été remises à Rémi Sautet. A travers ces images, on peut approcher la bande de copains qui sera l'inspiration d'une des plus belles chansons de Georges Brassens :

Non, ce n'était pas le radeau
De la Méduse, ce bateau
Qu'on se le dise au fond des ports
Dise au fond des ports
Il naviguait en pèr' peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s'app'lait les Copains d'abord
Les Copains d'abord

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Le Gyss a été remis en l’état, prêt à naviguer de nouveau. Dans ce reportage se mêlent les témoignages des nouveaux copains du Gyss et les images personnelles filmées par Brassens.

Pour en savoir plus, on peut consulter le site de l'émission thalassa.france3.fr

jeudi, 29 mars 2012

Gardiens des Iles

Hier soir sur France 3, dans le cadre de l'émission "Des racines et des ailes, on a pu assister à la diffusion du reportage "Gardiens des îles" du Journaliste Jacques Plaisant et JRI Damien Augerolles. (Production : Tournez s’il vous plaît).

L'île d'Aix, ancrée dans les courants des Pertuis à quelques kilomètres de la côte, est la dernière île non reliée au continent par un pont.

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Après le départ des derniers touristes qui ont regagné le continent, la vie des îliens reprend son cours. Bruno Toison, responsable du Conservatoire du littoral, aux côtés des habitants, se mobilise jour après jour pour sauvegarder les côtes soumises à la pression de milliers de visiteurs.

Pour mieux connaître l'île d'Aix, on peut lire Guide « Partir sur l’île d’Aix » de Christophe Pincemaille aux Editions : Geste, 2011 et «  Petite histoire de l’île d’Aix à travers le temps »
d'Elie Garnier aux Editions : PyréMonde, 2008.

vendredi, 25 novembre 2011

L'avenir du huitième continent

L'Ile de Madagascar, que l'on appelle aussi le huitième continent, s'est décrochée du continent africain il y a 200 millions d'années. Suite à cet isolement elle possède une biodiversité unique, 80% des espèces recensées sont endémiques. Mais depuis un siècle, la nature malgache se dégrade et ces 7900 espèces, qui n'existent nulle par ailleurs, sont en danger.

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Madagascar est devenu l'un des pays les plus pauvres de la planète et les pratiques agricoles ancestrales accentuent l'érosion. Pour survivre, les agriculteurs poursuivent la déforestation de la forêt primaire et pratiquent la culture sur brulis mettant en péril de nomlbreuses ressources naturelles comme les baobabs.

Pour en savoir plus, on peut regarder ce vendredi 25 novembre, sur France 3, l'émission "Faut pas rêver" consacrée à Madagascar.

jeudi, 27 octobre 2011

La pierre de Bordeaux

Une équipe de France 3 Aquitaine a rencontré la géologue Michèle Caro, dans la carrière de Frontenac, la dernière de l'Entre-deux-Mers encore en activité. selon la géologue, cet endroit est le dernier encore en activité dans l'Entre-deux-Mer. On appelle ça la pierre de Bordeaux, mais le véritable nom de cette roche, c'est le calcaire à astéries, que l'on trouve entre la Garonne et la Dordogne. Il y a quelques millions d'années, l'océan recouvrait les terres, ce qui explique la richesse du sous-sol. A partir du XVIe siècle, de nombreuses carrières ont exploité cette pierre si caractéristique, et dont l'histoire est intimement liée à celle de Bordeaux. Aujourd'hui, elles ont presque toutes fermé. On s'en sert encore pour des rénovations, mais la quantité produite est infime. Par contre, tout le Bordeaux historique a été bâti avec cette pierre.

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Une promenade dans les quartiers bordelais, de Nansouty à la Bastide, permet de se rendre compte de l'omniprésence du calcaire à astéries. À partir de la fin du XIXe siècle, on lui a préféré la pierre des Charentes, moins coûteuse à extraire. Cette période marque le déclin des carrières de l'Entre-deux-Mer. Avec l'association Cap-Terre, Michèle Caro participe cependant à l'effort de vulgarisation des sciences telles que la géologie auprès du grand public. Elle a rédigé une publication intitulée « Promenade géologique à Bordeaux », qui permet de retracer l'histoire de la ville à travers l'histoire de ses pierres. L'émission de France 3 Aquitaine sera diffusée en novembre 2011.

Pour en savoir plus, on peut relire l'article publié dans Sud-Ouest

mercredi, 05 mai 2010

Nous avons besoin de la mer

La mer a aussi besoin de nous

Ce mercredi soir, à 20h35 sur France 3, diffusion du troisième épisode de Vu du Ciel consacré au patrimoine marin mondial : sa diversité, ses richesses et les menaces qui pèsent sur lui.

Ressource essentielle à la vie de nombreuses populations tout autour du globe, la mer est pourtant soumise à la surpêche. L'aquaculture peut-être une solution. Déjà la moitié du poisson consommé aujourd'hui provient de ce mode de production. Actuellement dans le monde, c'est une des activités commerciales qui connaît le développement le plus important. Mais elle n'est pas écologiquement irréprochable car ces poissons sont nourris avec de la farine de poissons sauvages peu appréciés par les consommateurs.

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La mer est aussi soumise aux espèces envahissantes. Le « crabe de Staline », une araignée de mer géante, espèce du Pacifique Nord, a été introduit en mer de Barents par les russes au temps de l'Union Soviétique. Depuis il ne cesse de se développer au détriment des autres espèces indigènes car il ne connaît pas de prédateur dans son nouveau milieu. Il descend le long des fjords vers nos côtes. Seules les eaux chaudes du détroit de Gibraltar pourront stopper sa progression.

vendredi, 13 novembre 2009

Après nous le déluge...

Ce soir, vendredi 13 novembre, sur France 3, une émission spéciale de Thalassa depuis Copenhague au Danemark : Après nous le déluge...

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C’est une certitude, le réchauffement de la planète est en marche et le niveau de la mer va monter d’un mètre au minimum d’ici 2100. Les émissions de gaz à effet de serre doivent impérativement baisser de moitié d’ici 2050. La Commission Européenne a déjà fixé des objectifs pour 2012 : les « 3 fois 20 ». Soit 20% d’économie d’énergie, 20% d’énergie renouvelable dans la consommation et 20% de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Tels sont les enjeux de la conférence des Nations Unies sur le climat qui se tiendra à Copenhague en décembre prochain. Pour l’humanité, c’est une occasion historique de se mesurer à un vrai  défi et de le résoudre de manière décisive, si l’on veut éviter que le changement climatique ne tourne au chaos climatique.

Parmi tous les reportages :

apres-nous-ledeluge-02.jpgLa France en panne, un reportage d’Isabelle Billet, Yvon Bodin et Olivier Bonnet.
Pour récupérer l’énergie de la houle, des courants, de la température, des vents marins, nombreux sont les ingénieurs et chercheurs qui planchent sur les hydroliennes, éoliennes, « houloliennes », « courantoliennes »…
Mais, à l’heure actuelle, rien n’est en place. Pourquoi tant de lenteur, pourquoi ce manque d’investisseurs ?

apres-nous-ledeluge-01.jpgCO2, l'ennemi public n°1, un reportage de Stéphan Poulle , Nicolas Koutsikas, Nicolas Vrignon, Ch. Auxémery et O. Bonnet.
Les océans abritent de gigantesques pompes à carbone capables de capturer le CO2 présent dans l’atmosphère pour le stocker au fond des mers. Pompe physique, pompe biologique, nous découvrons ces incroyables machines sous-marines qui jouent un rôle écologique majeur en absorbant près du tiers de nos émissions de CO2. En cas de saturation, cette belle mécanique pourrait un jour se gripper sous les effets du réchauffement de la planète et mettre en péril le fragile équilibre de notre machine climatique.


Pour en savoir plus on peut consulter le site de l'émission thalassa.france3.fr

mardi, 20 octobre 2009

Un quart de la nourriture est jetée avant d'avoir été consommée

Le documentaire de Thierry Machado “Vu du ciel, toujours plus!” est diffusé à partir de ce mercredi 21 octobre sur France 3 à 20h35.

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Le réalisateur Thierry Machado lève le voile sur les produits achetés par les hommes et se penche sur les circuits de fabrication de notre société. Il explique comment un quart de la nourriture produite est jetée avant même d'avoir été consommée. Yann Arthus-Bertrand se rend, entre autre, au Japon où, comme dans nombre de pays riches, on consomme sans compter. Pour faire face à une consommation de viande de plus en plus importante, les vaches sont parquées dans des fermes à étage et nourries avec du foin importé des Etats Unis ou du soja cultivé au Brésil sur les surfaces déboisées de l'Amazonie.
Les images prises du ciel sont magnifiques, elles permettent de découvrir des paysages incroyables. Mais ces reportages sont surtout l'occasion pour Yann Arthus-Bertrand de dresser un état des lieux de la planète et de dénoncer les comportements humains, à l'origine de dégradations environnementales et climatiques trop souvent irrémédiables. Les trésors naturels de la Terre ne sont pas inépuisables. En 30 ans, 30 % des ressources vivantes de la planète ont disparu.

samedi, 17 octobre 2009

O'Papilles présent dans le journal Soir3 du vendredi 16 octobre

O'Papilles présent dans le journal Soir3 National du vendredi 16 octobre 2009

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Le reportage est consultable en ligne durant toute la semaine à l'adresse jt.france3.fr/soir3/ à partir de la 6ième minute du début du JT.

 

Présentateur: Francis Letellier

L'agriculture bio reste marginale mais de plus en plus de consommateurs sont demandeurs de produits naturels. Localement, des circuits de distribution se mettent en place comme nous le montre cet exemple dans le Val d'Oise, le reportage de Laetitia Fernandez et Julien Gaspararutto.

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Commentaire de Laetitia Fernandez

Le défi est original, deux fois par semaine, Damien arpente les routes du val d'Oise au volant de sa fourgonnette frigorifique, des rêves de nourriture saine plein la tête. Ce matin, il récupère une quinzaine de paniers chez un maraîcher bio. Au menu, blettes, laitues, betteraves et brocolis tout juste sortis de terre. Le rythme est soutenu, Damien est seul et ses clients l'attendent.

 

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Avec sa petite entreprise, joliment nommée O'Papilles, il s'est fixé une règle d'or :

Damien : Avoir des produits locaux, c'est à dire des produits du Val d'Oise, pour les Valdoisiens. Ils ont été cueillis la veille pour certains ou le jour même. En terme de fraîcheur et de qualité, on est vraiment au maximum. Les gens ont le sentiment de manger un peu les produits de leur potager.

 

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La formule est séduisante, pas d'engagement à long terme, le contenu varie chaque semaine et les paniers gourmands sont livrés sur le lieu de travail ou à domicile. Toutes les commandes se font par internet et les clients s'acquittent d'une somme allant de 14 à 25 euros.

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Madame Gourand, une cliente : Pour nous il faut des produits locaux et bio pour éviter justement les transports, ces camions interminables qui polluent les autoroutes... Plus ils sont frais, plus c'est incomparable, ça change tout.

 

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Les distances dans le Val d'Oise sont importantes et l'entreprise n'est pas encore rentable mais l'appétit croissant des consommateurs pour le bio produit localement pourrait bien faire des émules.

 

La Solidaire du chocolat

La Solidaire du chocolat
1ère transat solidaire à la voile
Départ le 18 octobre à 17h pour 5000 miles de Saint Nazaire à Yucatan au Mexique.

Dans la Solidaire du chocolat, chaque équipage porte les couleurs d'une association impliquée dans le social, la solidarité ou le développement durable. Ainsi chaque duo de navigateurs est le représentant d'un Projet Solidaire du Chocolat.

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Pour s'inscrire et participer à la transat virtuelle sur le net, il faut se connecter sur regate-virtuelle.france3.fr

Dans les conditons météo réelles (les modèles météo sont mis à jour 2 fois par jour), créer son bateau (le nom de son bateau sera  le pseudo demandé lors de l’inscription), choisir ses voiles pour dans la compétition.
Avec plus de 500 000 joueurs, Virtual Regatta est la plus grande communauté de régatiers virtuels.

 

vendredi, 04 septembre 2009

Tara sur les océans pour étudier les écosystèmes

Pour la rentrée, Thalassa propose une expédition de 10 mois, entre Lorient et Madagascar, à bord du voilier Tara. Avec Jean Louis Etienne, cette goélette en aluminium a déjà navigué de la péninsule Antarctique au Spitzberg. Ce bateau est engagé dans une nouvelle expédition océanique qui va durer trois ans. L'objectif est d'établir une carte mondiale des écosystèmes planctoniques et de mieux comprendre comment les océans, deuxième producteur d'oxygène après les forêts, réagissent au changement climatique et aux pollutions.

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Durant 10 mois, nous pourrons partager le quotidien des scientifiques embarqués sur ce voilier en consultant le site de Thalassa et en regardant bien sûr les reportages de l'émission du vendredi soir sur France 3. Voici les différentes escales prévues après le départ de Lorient : Lisbonne, Tanger, Alger, Barcelone, Nice, Naples, Lavalette, Tripoli, Dubrovnik, Athènes, Larnaca, Beyrouth, Alexandrie, Hurghada, Djedda, Massawa, Djibouti, Mascat, Abu Dhabi, Karachi, Mumbai, Goa, Male, La Réunion, Antsiranana, Mayotte et Tuléar au sud de Madagascar le 18 juin 2010.

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Ensuite Tara poursuivra son périple sans Thalassa.