vendredi, 06 avril 2012
Le bateau de Brassens
Georges Brassens a passé son enfance et son adolescence à nager dans les environs de Sète, sa ville natale. Il y retourne en 1953 et se fait construire un bateau en bois, baptisé « le Gyss » (acronyme de divers prénoms) sur lequel il navigue quotidiennement, seul ou avec des copains. Lors de ce premier retour à Sète en 1953, qui marque le début d’une longue série d’étés passés en famille et entre amis, Brassens est désormais célèbre et à bord du Gyss, il peut échapper aux admirateurs et aux journalistes.
Georges Brassens emporte toujours avec lui une caméra pour filmer ses proches et se filmer lui-même. Ces dizaines d’heures d’enregistrement ont été remises à Rémi Sautet. A travers ces images, on peut approcher la bande de copains qui sera l'inspiration d'une des plus belles chansons de Georges Brassens :
Non, ce n'était pas le radeau
De la Méduse, ce bateau
Qu'on se le dise au fond des ports
Dise au fond des ports
Il naviguait en pèr' peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s'app'lait les Copains d'abord
Les Copains d'abord
Le Gyss a été remis en l’état, prêt à naviguer de nouveau. Dans ce reportage se mêlent les témoignages des nouveaux copains du Gyss et les images personnelles filmées par Brassens.
Pour en savoir plus, on peut consulter le site de l'émission thalassa.france3.fr
06:02 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : brassens, chanson, méditerranée, mer, reportage, france 3, thalassa
dimanche, 17 janvier 2010
A la rencontre des habitants de notre planète
Prochain diffusion : samedi 23 janvier 2010 à 12h37 sur France 5
Antoine de Maximy voyage autour du monde à la rencontre de ses habitants. Armé de deux caméras, il s'invite à dormir chez eux de manière impromptue pour apprendre à mieux connaître leur culture.
Après la France, samedi prochain, la destination du reportage de 'J'irai dormir chez vous" est l'Australie.
A Sydney, le quartier des affaires n'est pas propice au bavardage et les gens ne sont pas très curieux de connaître Antoine. Celui-ci gagne Bondi Beach, un quartier branché où il rencontre de jeunes Australiens. Mais après une sortie en boîte de nuit, il n'a toujours pas reçu d'invitation... Echaudé par cette série d'échecs, il s'envole pour Coober Pedy, une ville minière dans laquelle la plupart des habitants vit sous terre, dans des maisons troglodytes appelées 'dugouts'. Des adolescents accueillent avec bonne humeur cet étranger insolite. Désoeuvrés, ils prennent leur indépendance dès 16 ans. Antoine se rend ensuite au village d'Iga Warta pour mieux connaître les aborigènes du hameau de Nepabunna. Mais qui dit terre dit tribu et, sur place, il a bien du mal à franchir des portes. A la fin de son voyage, Antoine n'aura vu aucun kangourou.
Be Noot - Antoine de Maximy
envoyé par Be-Noot. - Les grands événements de la vie de famille en vidéo.
05:52 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : reportage, france 5, planète, film, voyage, australie
dimanche, 22 novembre 2009
Le clip de la bande à Clouman tourné chez le voisin agriculteur
Musiciens.biz est venu retrouver la bande à Clouman, chez le voisin agriculteur, pour le tournage de leur clip "Dingo", extrait du deuxième album de Clouman "Noir et blanc".
Voici le reportage réalisé dans un cadre très rustique, à l'ancienne qui sent le bon foin et le swing...
Pour moins d'1 euro, on peut télécharger la chanson dans la-boutique-musicale-de-Clouman
05:56 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson, agriculture, écologie, humour, clip, reportage
samedi, 17 octobre 2009
O'Papilles présent dans le journal Soir3 du vendredi 16 octobre
O'Papilles présent dans le journal Soir3 National du vendredi 16 octobre 2009
Le reportage est consultable en ligne durant toute la semaine à l'adresse jt.france3.fr/soir3/ à partir de la 6ième minute du début du JT.
Présentateur: Francis Letellier
L'agriculture bio reste marginale mais de plus en plus de consommateurs sont demandeurs de produits naturels. Localement, des circuits de distribution se mettent en place comme nous le montre cet exemple dans le Val d'Oise, le reportage de Laetitia Fernandez et Julien Gaspararutto.
Le défi est original, deux fois par semaine, Damien arpente les routes du val d'Oise au volant de sa fourgonnette frigorifique, des rêves de nourriture saine plein la tête. Ce matin, il récupère une quinzaine de paniers chez un maraîcher bio. Au menu, blettes, laitues, betteraves et brocolis tout juste sortis de terre. Le rythme est soutenu, Damien est seul et ses clients l'attendent.
Avec sa petite entreprise, joliment nommée O'Papilles, il s'est fixé une règle d'or :
Damien : Avoir des produits locaux, c'est à dire des produits du Val d'Oise, pour les Valdoisiens. Ils ont été cueillis la veille pour certains ou le jour même. En terme de fraîcheur et de qualité, on est vraiment au maximum. Les gens ont le sentiment de manger un peu les produits de leur potager.
La formule est séduisante, pas d'engagement à long terme, le contenu varie chaque semaine et les paniers gourmands sont livrés sur le lieu de travail ou à domicile. Toutes les commandes se font par internet et les clients s'acquittent d'une somme allant de 14 à 25 euros.
Madame Gourand, une cliente : Pour nous il faut des produits locaux et bio pour éviter justement les transports, ces camions interminables qui polluent les autoroutes... Plus ils sont frais, plus c'est incomparable, ça change tout.
Les distances dans le Val d'Oise sont importantes et l'entreprise n'est pas encore rentable mais l'appétit croissant des consommateurs pour le bio produit localement pourrait bien faire des émules.
08:46 Publié dans O'papilles | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : france 3, reportage, bio, locavore, val d'oise, maraicher, produits locaux, consommateurs
samedi, 26 septembre 2009
Le problème de l’eau à Malte est alarmant
Pour l’émission Report-Terre, saison 2009, sur France 5, 10 jeunes sont partis à la découverte des meilleures initiatives en matière d’écologie dans les 27 pays de l’Union Européenne. la finale a été diffusée au début de ce mois.
Pour l'équipe jaune, composée d'Anaïs et Fitzgerald, Julie Andrieu, Thomas Hugues et Marc Veyrat avaient sélectionné leur initiative intitulée Eautarcie maltaise : à Malte, frappée par la pénurie d’eau, Marco Cremona, ingénieur agronome, récupère les eaux usées des hôtels pour l’agriculture.
Pour l'équipe violette, composée d' Anne et Kandida, Jacques Séguéla et Claire Borotra avaient sélectionné leur initiative intitulée Un réseau contre les ordures : en Estonie, un génie informatique s’est servi du site Google Map pour détecter les décharges sauvages, puis a créé son propre site pour recruter plus de 40 000 volontaires afin de les nettoyer.
Pour l'équipe bleue, composée d' Grégoire et Nicolas, Yann Arthus-Bertrand avait sélectionné leur initiative intitulée Le modèle Hammarby : l’écoquartier Hammarby, en Suède, fait figure de must européen en matière d’urbanisme vert : combustion des déchets pour le chauffage des résidents, chaleur produite par les eaux usées et traitées, utilisation de biocarburants, énergie solaire dans l’habitat.
Pour l'équipe verte, composée de Philippe et Cécilia , Robert Ménard et Georges Pernoud avaient sélectionné leur initiative intitulée Des hommes au coeur vert : zoom sur la communauté Emmaüs de Pau qui subvient à ses besoins depuis plusieurs années par son activité de récupération et de recyclage.
Pour l'équipe rouge, composée de Mélanie et François , Franck Cammas et Bernard Werber avaient sélectionné leur initiative intitulée Les bateaux solaires : La Rochelle, ville verte, est à la pointe des innovations écologiques, notamment en matière de transports. Comme ces bateaux passeurs qui fonctionnent à l’énergie solaire.
La finale a été remportée par l'équipe jaune, composée d'Anaïs et Fitzgerald, pour leur initiative Eautarcie maltaise. L'île de MALTE est visitée par 1,3 millions de touristes chaque année, ce qui augmente de 10% la population et de 25% sa consommation en eau. Les touristes consomment en moyenne 240 litres d'eau par jour, 3 fois plus que les Maltais. Pourtant l'île de Malte est le 7ème pays le plus pauvre en eau dans le monde. Pour leur initiative, Anaïs et Fitzgerald ont rencontré Marco Cremona, ingénieur en hydraulique qui a rendu sa maison auto-suffisante en eau. Il récupère les eaux de pluie et n'utilise donc aucune eau publique (qui est à Malte de l'eau de mer désalinisée) et recycle les eaux usées pour l'utiliser là où l'on n'a pas besoin d'eau potable (chasse d'eau, arrosage, nettoyages divers). Marco Cremona a aussi mèné un projet expérimental dans le plus important hôtel de Malte, où il a prouvé qu'en quelques heures on peut transformer des eaux usées en eaux potables, sans utiliser de produit chimique mais seulement par un système de membranes. Il lui faut manitenant convaincre l'industrie hôtelière d'utiliser cette technologie, celle-ci craignant que les clients refusent une telle pratique.
Plus d’informations sur son travail dans l’hôtel dans la vidéo suivante (document en anglais) :
Selon Charles Sammut, du Département de Physique de l’Université de Malte, le problème de l’eau à Malte est alarmant à cause notamment du réchauffement global et de la baisse des précipitations qui entraîne un assèchement des rares nappes phréatiques. Marco Cremona, expert indépendant pour l'eau auprès du Comité économique et social européen, pense que la solution se trouve dans un meilleur usage des sources en eau qui sont pour l’instant négligées, à savoir l’eau des tempêtes et le traitement des eaux usées. Marco Cremona revient sur le problème récurrent du manque de ressources aquifères à Malte. Il précise que l’augmentation des tarifs de l’eau doit s’accompagner d’un contrôle de l’extraction illégale afin de ne pas aggraver une situation déjà inquiétante.
11:45 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eau, recyclage, reportage, report-terre, france 5, initiative, écologie, vidéo
dimanche, 11 janvier 2009
La fleur de vanille a froid
Bébé Lilly chante ma petite fleur de vanille a froid sur une musique entraînante. Son disque atteint la huitième place des ventes de singles dès la semaine de sa sortie. Son premier album, "Mon monde à moi", est paru en juin 2006.
Ohhh Ohhhhh Ya Ya Ya Ma petite fleur de vanille que j'ai rapportée de Manille ne fera jamais de vanille car elle a froid quand elle est loin de son pays Ma Petite Fleur | Cette petite lumière que voici elle est si triste et je le sens bien je veux faire ce qu'il faut pour qu'elle brille et encore plus pour qu'elle vive entre mes mains |
Oh mamamamamamamia Oh mamamia Oh mamamia
Oh mamamamamamamia Oh mamamia Oh mamia
Oh mamamamamamia Oh mamamia Oh mamamia
Oh mamamamamamia Oh mamamia Oh mama!
"Allez montez tous sur la scène! Ah ouaiii"
Si elle meurt ma fleur de vanille je serai triste et après-demain je cueillerai plus les fleurs de vanille pour les laisser vivre et grandir au petit matin | Ma petite fleur de vanille |
La vanille est une plante découverte au Mexique. L'abeille mexicaine qui permet la pollinisation naturelle de la fleur ne s'est pas acclimatée dans les autres pays. C'est un esclave réunionnais Edmond Albius* qui a compris comment polliniser les fleurs, à la main. Voila comment la culture de la vanille a commencé dans l'océan indien.
"Les saveurs de la vanille", un reportage d'envoyé spécial à revoir
Le goût de la vanille plait tellement que l'on en met dans tous les desserts. Seulement, cela coûte moins cher de fabriquer de la vanilline synthétique que d'utiliser de la vanille naturelle. D'où son utilisation massive dans les produits de consommation courante.
* Pour mieux connaître l'histoire d'Edmond Albius, lire l'article qui lui est consacré sur wikipedia.org
06:43 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vanille, chanson, reportage
vendredi, 15 février 2008
Réalisez un reportage multimédia sur l'environnement
Vous vous intéressez à l'environnement: problèmes de pollution, solutions innovantes, biodiversité, agriculture biologique, développement durable.
Le site d’information, Rue89, créé par d'anciens journalistes du quotidien Libération organise un concours de reportages multimédias, utilisant vidéo, diaporama ou sons en plus du texte sur le thème de l’environnement. Les vainqueurs seront sélectionnés par un jury de personnalités et par les internautes Le dépôt des candidatures est encore ouvert jusqu’au 28 février.
07:03 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : environnement, reportage, pollution, développement durable, biodiversité, agriculture biologique