vendredi, 07 mars 2014
Une nouvelle étude du professeur Séralini
Avant mise sur le marché, seuls les effets de la substance active sont évalués et non ceux des produits commercialisés auxquels ont été ajoutés des adjuvants. Gilles-Eric Séralini a déclaré à l'AFP : nous avons étendu les travaux que nous avons faits avec le Roundup et montré que les produits tels qu'ils étaient vendus aux jardiniers, aux agriculteurs, étaient de 2 à 1000 fois plus toxiques que les principes actifs qui sont les seuls à être testés in vivo à moyen et long terme.
Source : rtbf.be
05:34 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : insecticides, herbicide, fongicide, roundup, monsanto, sciences, santé, cellules, jardinier, agriculture
mercredi, 05 mars 2014
Où sont les habitants de Fukushima ?
Minamisoma ne ressemble plus à la ville fantôme du début de la crise. Les écoles, les hôpitaux et les restaurants ont rouvert. Et la partie de la ville située à plus de 20 kilomètres de la centrale s’est couverte de 2800 préfabriqués qui accueillent les résidents qui habitaient à l’intérieur du rayon des 20 kilomètres. Hirono, située à moins de 30 km de la centrale, ne compte que 1331 personnes selon l’étude menée par la mairie, quatre fois moins qu’avant l’accident. Comment assurer le suivi médical de la population si on ne sait pas où elle se trouve ?
Pour en savoir plus, on peut consulter l'enquête menée sur le site sciencesetavenir.fr
05:30 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : japon, nucléaire, énergies, santé, environnement, population
mardi, 25 février 2014
Les progrès ne profitent qu'à une infime minorité
Selon le directeur général du Fonds, Babatunde Osotimehin, les progrès ne profitent qu'à une infime minorité : «le rapport met en lumière les inégalités persistantes et la discrimination qui menacent de ralentir le développement». Ainsi, plus de la moitié des revenus supplémentaires générés entre 1988 et 2008 est allée aux 5% de la population mondiale les plus riches et rien aux 10% les plus pauvres. «Notre plus grand défi réside dans le fait que nos progrès (..) sont de plus en plus inégalement répartis, ce qui menace le développement, l'environnement et notre avenir commun», souligne le rapport. «Les inégalités croissantes sont perturbatrices et très préjudiciables pour le développement durable». En revanche, ajoute-t-il, «des recherches suggèrent que des femmes mieux éduquées et des familles en bonne santé ont un effet positif sur la croissance du PNB».
Source : affaires.lapresse.ca
05:35 Publié dans actu & écologie, Opapilles.com | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : population, sciences sociales, progrès, onu, éducation, santé
jeudi, 06 février 2014
Les conflits d'intérêts faussent les études
18 études est un nombre limité mais elles confirment les résultats des travaux antérieurs. Comment expliquer cette différence d'appréciation entre les études financées par les industriels et les autres ? La différence peut s'expliquer par une différence d'interprétation des données, malgré tout, les conflits d'intérêts doivent être mis en évidence pour tenir compte des conclusions de ces différentes études.
Source : NouvelObs 2228
05:30 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alimentation, population, santé, sciences, industrie, consommation
jeudi, 23 janvier 2014
Imposer aux vignerons le passage d’un insecticide
Envisager la gestion sanitaire d’une maladie uniquement par l’objectif d’éradication de l’insecte et donc des traitements systématiques n’est pas en accord avec notre conception du vivant et est illusoire. Ces traitements systématiques, qui n’ont d’effets que ponctuels et à court terme, vont réduire à néant le résultat de nombreuses années de travail pour mettre en place un écosystème équilibré favorisant l’autorégulation des maladies et du parasitisme.
Source : generations-futures.fr
06:00 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : insecticides, vigne, viticulture, environnement, vin bio, santé, insectes
lundi, 13 janvier 2014
Le vélo en ville néfaste pour la santé ?
L'ORAMIP, observatoire de la qualité de l’air, établit un classement tous polluants confondus, du plus pollué au moins pollué : voiture, bus, vélo, métro, marche à pied. Faire du vélo c’est 20 à 30 fois plus de bienfaits pour sa santé que de risques et plus de deux ans d’espérance de vie gagnée. Par contre, quand il y a un pic de pollution, il vaut mieux éviter de faire des efforts violents qui impliquent une hyperventilation.
Source : ladepeche.fr
vendredi, 20 décembre 2013
Difficile de se souvenir d'un objet photographié
Linda Henkel, l'une des auteurs des travaux et spécialiste en psychologie à l'université de Fairfield dans le Connecticut (USA), a convié 28 étudiants à visiter le musée d'art de l'université. Ils avaient pour consigne de photographier 15 oeuvres au hasard et d'en observer 15 autres. Le lendemain, ces étudiants ont dû se soumettre à des tests de mémoire (questionnaires sur les oeuvres, épreuve d'identification des photographies...). Les résultats prouvent que la mémoire a plus de difficultés à se remémorer un objet photographié. Le spectateur se sert alors de la technologie comme d'une béquille, pour se souvenir à sa place d'une expérience vécue. Ce phénomène, appelé "effet de dépréciation", pourrait en revanche être évité si seul un détail de l'objet est photographié.
Source : sante.planet.fr
07:23 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : santé, mémoire, cerveau, photos, photographie, sciences humaines, musée
jeudi, 12 décembre 2013
Il fait beau et froid
Les chauffages et les cheminées, qui tournent à plein régime, favorisent la concentration des particules fines polluantes dans l'air. Il n'y a pas de vent, ni de pluie, donc les masses d'air stagnent, et les particules ne se dispersent pas. Si on ne ressent aucune gêne, il n'y a pas de raison de s'inquiéter. Mais les personnes qui font de l'asthme, ou qui sont déjà allergiques peuvent être embêtées. "Je vois beaucoup de gens gênés, qui ont les yeux qui grattent, le nez qui coule, du mal à respirer" explique par exemple le docteur Jean-Charles Farouz, allergologue à Bordeaux.
Le conseil principal est très simple : éviter de sortir de chez soi autant que possible. Si on a par exemple prévu de faire son jogging sur les quais de la Garonne, c'est mieux de le reporter. Mais pour l'instant, il n'y a pas de restrictions coercitives, comme des limitations de vitesse, que pourrait décider la Préfecture.
mercredi, 04 décembre 2013
Gilles-Eric Séralini a fait bouger les lignes
L’étude de Gilles-Eric Séralini a obligé les médias et surtout les Agences de sécurité sanitaires à recenser les études menées au plan international : 0 étude sur la santé humaine, 12 études seulement au-delà de 90 jours sur des animaux, 12 études portant sur plusieurs générations de cobayes, 3 études à long terme sur des animaux, 0 suivi vétérinaire des animaux nourris aux OGM. En France, l’Anses, l’agence nationale responsable de la sécurité alimentaire, a démoli techniquement l’étude de Séralini avec des arguments puissants mais lui a reconnu une "originalité" et a recommandé "de nouvelles recherches sur les effets à long terme des OGM", dans la lignée de celle de l’équipe de Caen. L’EFSA, autorité sanitaire européenne de sécurité des aliments, qui était très opposée à des études à vie entière, a finalement publié des directives pour pouvoir mener une telle étude. La France a publié un appel à création de consortium pour mener une étude complémentaire à deux ans également.
Source : sciencesetavenir.nouvelobs.com
lundi, 02 décembre 2013
L'espérance de vie dépasse 80 ans
La Suisse, le Japon et l’Italie arrivent en tête et affichent une espérance de vie supérieure à 82,5 ans. La France est classée sixième avec un chiffre de 82,2 ans. Le Mexique et la Turquie sont les pays de l’OCDE où l’espérance de vie est la plus faible, bien qu’elle ait également augmenté ces dernières années. Aux États-Unis, elle s’est allongée de façon beaucoup plus modeste par rapport à la plupart des autres pays de l’OCDE. Les spécialistes avancent différentes explications pour expliquer ce phénomène : un système d’assurances mal adapté aux besoins, une augmentation importante de l’obésité et de fortes disparités économiques au sein de la population.
Source : futura-sciences.com
05:32 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : population, usa, santé, italie, france, environnement
vendredi, 15 novembre 2013
3 ans pour élever un saumon dans une ferme
Les saumons sont souvent sujets à la prolifération des poux de mer. Pour les contrer, les pisciculteurs font appel à des poissons comme la vieille commune qui sont intégrés directement dans les bassins avec les saumons d'élevage. Si la vieille commune ne suffit plus et du diflubenzuron, un pesticide, est utilisé, jamais détecté dans le saumon d’élevage norvégien au-delà des limites autorisées par les autorités norvégiennes et européennes. Des contrôles réguliers sont effectués par les départements habilités du gouvernement norvégien. Le saumon d'élevage pourrait être de meilleure qualité que le saumon sauvage, vu la pollution marine planétaire et l'absence d'autant de contrôles. Selon Vidar Ulriksen, secrétaire d'état au Ministère norvégien de la Pêche et des Affaires Côtières, la préservation du milieu naturel est essentiel : les saumons ont besoin d'un milieu de vie sain et le gouvernement tient fermement à préserver l'environnement. L'élevage de saumons n'est pas neutre sur l'environnement, comme toute activité humaine. L'alimentation non ingérée et les fèces des poissons augmentent les niveaux de nutriments dans l'eau. Cela peut favoriser la croissance d'algues qui participent à l'eutrophisation du milieu, appauvrissant notamment la flore et la faune présents sur les fonds marins.
Les poissons gras, comme le saumon, sont riches en vitamines D, en acides gras oméga-3 à longue chaine mais aussi en vitamine B12, en iode et sélénium. Pour autant, la contamination planétaire de nos milieux rend toute consommation alimentaire problématique. Ainsi, le saumon d'élevage norvégien, comme tout poisson, n'est pas exempt de Polluants Organiques Persistants (POP), de métaux lourds, de pesticides. Or, le saumon étant un poisson gras, il accumule davantage certains polluants. L'Anses recommande "de consommer du poisson deux fois par semaine en associant un poisson à forte teneur en oméga 3 et un poisson maigre." Le saumon pourrait être consommé une fois par semaine.
Pour en savoir plus, on peut lire l'article publié sur le site notre-planete.info
05:40 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poissons, saumon, saumon fumé, consommation, pêche, norvege, aquaculture, pollution, vitamine, santé
mercredi, 13 novembre 2013
L’art de naviguer dans les torrents
Juché sur l’estrade de l’amphithéâtre Bruno Etienne, Boris Cyrulnik raconte la genèse de ses travaux. Les recherches d’Emmy Werner ont pour lui une importance immense. Elles ont montré que sur une population de 700 enfants nés en 1955 à Hawaï et ayant été battus, violés, traumatisés, environ 28% d’entre eux parvenaient à se reconstruire et à fonder une famille, tandis que la grande majorité sombrait dans la dépression, la violence et la dépendance. L’opinion dominante après la guerre considérait que les jeunes ayant vécu une expérience traumatisante étaient « foutus ». C’est contre cette sentence arbitraire que Boris Cyrulnik a voulu lutter en se penchant sur la résilience. De son observation des orphelinats roumains après la chute de Ceausescu, Boris Cyrulnik a déduit que le « milieu » influait non seulement sur la psyché, mais aussi sur la physiologie de l’enfant, de façon plus importante qu’on ne le pensait jusqu’alors. Ces enfants, abandonnés par leur famille incapable de les nourrir, étaient confrontés à une « absence d’altérité », caractéristique des institutions auxquelles ils étaient livrés. Face au vide affectif et à l’indifférence du personnel, ils développaient alors des auto-activités et des stéréotypies symptomatiques d’un profond mal-être. Par la suite, les résultats des scanners ont montré que la majorité des jeunes souffraient d’atrophies cérébrales au niveau du système limbique (mémoire émotionnelle). L’évolution de l’enfant dans un milieu « non sécure », c’est à dire dans lequel il ne se sent pas entouré et aimé, peut donc entrainer un dysfonctionnement du cerveau et du corps. Outre un milieu « sécure », l’enfant a besoin de ceux que Cyrulnik appelle les « tuteurs de résilience » pour surmonter ses épreuves. Schématiquement, il existe deux types de tuteurs de résilience. Les « tuteurs explicites » sont ceux qui ont choisi d’en faire leur profession : psychologues, assistants sociaux, professeurs, éducateurs etc. Il arrive cependant que leur compassion soit vécue par l’enfant comme une agression. C’est pourquoi il existe également les « tuteurs implicites », qui sont choisis par l’enfant lui-même.
Source : planete-info.fr
06:03 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : santé, médecine, sciences humaines, éducation, enfants
jeudi, 07 novembre 2013
Augmenter ses chances de vivre vieux
Cette recherche a porté sur 4332 habitants de la capitale suédoise qui avaient 60 ans en 1997. À l’époque, on leur a demandé de décrire leurs occupations (réparer sa maison, entretenir sa voiture, cueillir des champignons, etc.), ainsi que le temps qu’ils y consacraient, afin d’évaluer les niveaux d’activité physique non liée à la pratique d’un sport. L’étude révèle que ceux qui, au début de l’enquête, avaient les vies les plus actives, indépendamment de la pratique d’un sport, se portaient mieux que les plus sédentaires : un tour de taille inférieur, moins de mauvais cholestérol ou de triglycérides pour les deux sexes, tandis que les hommes bénéficiaient en plus d’une glycémie et de niveaux d’insuline plus bas. Globalement, les risques de syndrome métabolique étaient significativement inférieurs pour les sexagénaires qui s’adonnaient le plus à leur passion. Comme toujours dans ce genre de recherche, il faut être vigilant quant à l'interprétation des résultats. Il ne s’agit ici que d’une association entre les événements, et aucunement d’un lien de cause à effet. Or, les auteurs supposent malgré tout que les deux sont directement liés, puisque de nombreuses études ont montré l’intérêt de l’activité physique pour préserver la santé, ainsi que les dangers de la sédentarité.
source : futura-sciences.com
05:56 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : santé, sciences, sciences humaines, sciences sociales, cholestérol, sport, médecine
mardi, 05 novembre 2013
Les cheminées émettent des particules fines
L’Organisation mondiale de la santé estime que l’ensemble des particules fines (inférieurs à 10 microns) en suspension dans l’air, toutes origines confondues, sont responsables de 42000 décès chaque année en France. Or, à l’intérieur des habitations elles-mêmes, les particules de dioxyde d’azote, de monoxyde de carbone ou encore de benzène dégagées par les feux de cheminé atteignent des concentrations quatre à cinq fois supérieures aux normes.
En savoir plus sur maxisciences.com
06:10 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pollution, air, atmosphère, voiture, bois, chauffage, santé
jeudi, 24 octobre 2013
Le bricoleur du dimanche en meilleure santé
Les chercheurs affirment que le fait de prendre part à une activité physique, d'une quelconque nature, est plus important que d'y passer des heures. Leurs conclusions n'ont pas révélé que ceux qui passaient plus de temps à faire du sport ou bricoler vivaient plus longtemps. Une précédente recherche montrait déjà que faire simplement 30 minutes d'exercice par jour pouvait réduire d'un cinquième l'hypertension artérielle.
Source : sante.planet.fr
05:50 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bricolage, santé, médecine, sport, sciences
mardi, 22 octobre 2013
L'huile d'olive, si bonne pour la santé
Les résultats ont montré une augmentation des niveaux de cholestérol HDL, les effets positifs sur l'indice d'athérogénicité (à savoir le rapport cholestérol total/cholestérol HDL) et une réduction linéaire des dégâts oxydatifs des acides gras avec une huile d'olive à forte teneur en polyphénols, sans entraîner de gain de poids chez les participants. Ces résultats viennent confirmer la valeur ajoutée de l'huile d'olive vierge extra par rapport à d'autres huiles pour la santé.
Source : notre-planete.info
05:42 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : huile d'olive, médecine, santé, espagne, catalogne, acides gras, cuisine, méditerranée
samedi, 19 octobre 2013
Les nanoparticules, des bombes à retardement
Le projet NANO-ECOTOXICITY fait partie des projets financés par l'UE pour essayer d'éclaircir la situation. Il s'est intéressé aux nanoparticules de métaux, constatant qu'elles s'accumulaient dans les sols et que l'on manquait de données fiables sur leur consommation par les organismes du sol et leurs effets potentiels. Coordonnée par le Dr Claus Svendsen, l'équipe a conduit des tests de toxicité pour évaluer l'effet de nanoparticules d'oxyde de zinc (ZnO) et d'argent (Ag) sur des vers de terre. Les organismes exposés aux nanoparticules d'argent lors d'études à court terme accumulent plus d'argent que face à une même concentration massique d'ions argent. Cependant, ils souffrent de moins d'effets toxiques. Cette observation contredit l'hypothèse que la concentration interne est directement reliée à la concentration chimique sur le site cible, et donc à sa toxicité. Ce que l'on ignore encore c'est si l'accumulation des nanoparticules d'argent peut devenir toxique à long terme (par exemple par dissolution et libération d'ions) dans les cellules et les tissus où elles sont stockées. Dans ce cas, les concentrations accumulées plus élevées conduiraient à une toxicité à long terme supérieure des nanoparticules par rapport aux formes ioniques. Ces nanoparticules accumulées seraient donc des « bombes à retardement » internes, importantes pour les effets et la toxicité à long terme.
Source : notre-planete.info
05:45 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nanoparticules, nanotechnologie, sciences, santé, argent, expériences, pollution, environnement, energie
vendredi, 04 octobre 2013
Se soigner par le livre
La bibliothérapie est l’utilisation du livre comme outil de soin. La lecture serait source d’apaisement des troubles anxieux, troubles de l’humeur, angoisses, épisodes dépressifs, phobies, troubles du sommeil et de renforcement du bien-être psychologique. En 1905, Marcel Proust propose un texte édifiant dans son livre Sur la lecture. Le passage décrit l’état des individus en proie à un épisode dépressif majeur ou modéré, et en quoi la lecture peut représenter un soin psychothérapeutique. Proust fait le constat que les esprits fragilisés sont dans une sorte d’inertie intérieure, s’enlisent dans un déni de soi, incapables de vouloir. Pour retrouver ce goût de la volonté, et notamment celle de guérir, l’écrivain estime que ces individus doivent trouver de l’aide dans l’impulsion d’un esprit extérieur, qui leur permettrait d’opérer une inspection intérieure nécessairement solitaire.
Pour en savoir plus sur la bibliothérapie, on peut lire l'article publié sur le site mondedulivre.hypotheses.org
05:22 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : livre, santé, sciences humaines, littérature, victor hugo, proust, angoisse, bien-être
samedi, 28 septembre 2013
Votre lit est votre meilleur ami ?
Cette étude est une nouvelle étape dans la préparation de vols habités de longue durée. l'objectif est d'étudier les conséquences de la microgravité que pourrait subir le corps des astronautes. Cela fait longtemps déjà que les scientifiques se penchent sur ces effets, en suivant notamment de près tous les astronautes qui viennent à bord de la Station spatiale internationale (ISS). Néanmoins, les conséquences pourraient être d'autant plus importantes avec des vols de plus longue durée. C'est pourquoi la NASA multiplie les études. Si rester 70 jours au lit peut en séduire certains, le protocole est moins attirant. Le lit sera légèrement incliné afin que les jambes soient un peu relevées. Selon le Dr Roni Cromwell, scientifique qui mènera la "Bed-rest study", cette inclinaison va faire remonter les fluides organiques au niveau de la partie supérieure du corps, déclenchant des conditions cardiovasculaires similaires à celles rencontrées dans l'espace. "Et en mettant quelqu'un au lit pendant une longue période, il y a également une atrophie des muscles et de la densité osseuse", explique le Dr Cormwell. Lorsqu'ils sont dans l'espace, les astronautes peuvent se propulser à travers une pièce à l'aide d'une simple poussée. Leurs muscles travaillent donc beaucoup moins et c'est là qu'apparait l'atrophie. Bien que couchés pendant 70 jours, les volontaires pourront s'adonner à des activités variées telles que lire un livre, jouer à un jeu sur leur téléphone, communiquer avec leurs proches via internet et même travailler, du moment qu'ils ne bougent pas du lit. Les scientifiques ont besoin de volontaires en bonne santé qui sont prêtes mentalement à passer 70 jours au lit.
En savoir plus : maxisciences.com
06:15 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sciences, espace, nasa, santé, expériences
jeudi, 26 septembre 2013
Les plus sportifs ont une mémoire plus performante
Une étude menée au Danemark avait aussi montré que les enfants se rendant à l’école en vélo ou à pied étaient plus concentrés que les autres. Ces études mettent en lumière le lien entre les activités physique et mentale. Elles renforcent l’idée que la pratique d’un sport est essentielle pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête.
Source : futura-sciences.com
05:44 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cerveau, mémoire, sciences humaines, santé, sport, éducation