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dimanche, 21 juin 2015

A Rock Star Bucks A Coffee Shop

Neil Young + Promise Of The Real - A Rock Star Bucks A Coffee Shop (Official Music Video)

If you don't like a rock star bucks a coffee shop
Well you better change your station cause that ain't all that we got
Yeah, I want a cup of coffee but I don't want a GMO
I like to start my day off without helping Monsanto

Monsanto, let our farmers grow
What they wanna grow



From the fields of Nebraska to the banks of the Ohio
Farmers won't be free to grow what they wanna grow
If corporate control takes over the American farm
With fascist politicians and chemical giants walking arm in arm

Monsanto, let our farmers grow
What they wanna grow

When the people of Vermont voted to label our food with GMOs
So they could find out what was in what the farmer grows
Monsanto and Starbucks grew the grocery manufacturer mice [?] It sued the state of Vermont to overturn the people's will

Monsanto — and Starbucks — others want to know
What they feed their children

Monsanto, let our farmers grow
What they wanna grow

05:46 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson, usa, musique, monsanto

vendredi, 19 juin 2015

The Monsanto Years

Le songwriter canadien Neil Young continue, à 69 ans, son combat musical. Il sort à la fin du mois son 36ème album "The Monsanto Years" enregistré avec Promise of the Real, le groupe de Lukas et Micah Nelson (fils du chanteur de country Willie Nelson). Point d'orgue de son long combat contre le géant de l'industrie agro-alimentaire et ses produits (dont les OGM), l'album est un recueil contestataire de neuf titres dont "Wolf Moon".

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Tracklisting de "The Monsanto Years" :
01 A New Day for Love
02 Wolf Moon
03 People Want to Hear About Love
04 Big Box
05 A Rock Star Bucks a Coffee Shop
06 Workin' Man
07 Rules of Change
08 Monsanto Years
09 If I Don't Know
Source : fipradio.fr

mercredi, 25 mars 2015

Alternatives aux pesticides

La Semaine pour les alternatives aux pesticides, qui a lieu chaque année entre les 20 et 30 mars en France et dans le monde, fête ces 10 ans. A l’heure où les aides aux agriculteurs engagés dans le bio sont menacées il est plus que jamais utile de rappeler l’importance de ce modèle agricole dans tous les services environnementaux, sanitaires et économique qu’il rend.

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La Semaine pour les alternatives aux pesticides rassemble en 2015 une cinquantaine de partenaires en France et à l’étranger (Belgique, Autriche, Hongrie, Espagne, Portugal, Argentine, Costa-Rica, Cameroun, Sénégal…). Les étapes des engagements sur l'utilisation des pesticides : la Loi Labbé (2014) interdisant les pesticides pour les particuliers et dans les zones non agricoles, la création de l'association de professionnels victimes des pesticides – Phyto-Victimes (2011), le lancement de l’Appel des médecins (2012) alertant sur les dangers sanitaires des pesticides, le Plan Ecophyto (2008).


Pour connaitre le Tour de France des alternatives aux pesticides, on peut consulter le site semaine-sans-pesticides.fr

lundi, 16 février 2015

Des insectes peuvent-ils tirer profit d'OGM ?

Les insectes peuvent-ils tirer profit de plantes génétiquement modifiées insecticides ? Cette question est issue d’un article scientifique publié en 2014 dans la revue Bulletin of Entomological Research par des chercheurs brésiliens et Monsanto. Ces chercheurs montrent que le maïs MON87701*MON89788 génétiquement modifié pour produire une protéine insecticide favorise le développement d'un lépidoptère non cible, leSpodoptera eridania.

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Les auteurs ont noté que cette chenille se développait davantage quand elle se trouvait en contact avec ce maïs GM Bt. Les auteurs expliquent simplement que ce phénomène n’est pas lié à « la présence de la toxine [Bt] » mais « indirectement aux modifications non souhaitées des caractéristiques de la plante causées par l’insertion du transgène ou des étapes d’amélioration végétale après transformation ». Ce qu’affirment, depuis de nombreuses années, les scientifiques sceptiques vis-à-vis de la transgenèse qui considèrent que l’insertion d’un transgène peut produire des effets connexes non désirés.


Pour en savoir plus, on peut lire l'article sur le site infogm.org

vendredi, 07 mars 2014

Une nouvelle étude du professeur Séralini

Une nouvelle étude, publiée dans la revue Biomed Research International est signée du professeur Séralini de l'université de Caen et du Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique (Criigen). Elle a été réalisée in vitro sur cellules humaines sur neuf des "principaux" pesticides utilisés dans le monde: trois herbicides (Roundup, Matin El, Starane 200), trois insecticides (Pirimor G, Confidor, Polysect Ultra), et trois fongicides (Maronee, Opus, Eyetak). Elle conclut que sur 9 de ces pesticides, "8 formulations sont clairement en moyenne des centaines de fois plus toxiques que leur principe actif", et pointe du doigt les adjuvants qui "sont souvent gardés confidentiels et sont déclarés comme inertes par les fabricants".

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Avant mise sur le marché, seuls les effets de la substance active sont évalués et non ceux des produits commercialisés auxquels ont été ajoutés des adjuvants. Gilles-Eric Séralini a déclaré à l'AFP : nous avons étendu les travaux que nous avons faits avec le Roundup et montré que les produits tels qu'ils étaient vendus aux jardiniers, aux agriculteurs, étaient de 2 à 1000 fois plus toxiques que les principes actifs qui sont les seuls à être testés in vivo à moyen et long terme.

Source : rtbf.be

mercredi, 04 décembre 2013

Gilles-Eric Séralini a fait bouger les lignes

L’étude du professeur Séralini, de l’université de Caen laissait supposer que des rats nourris à vie entière avec du maïs OGM développaient nombre de pathologies. Toutes les agences sanitaires françaises et internationales ont décortiqué l’étude et souligné ses faiblesses. Mais sa médiatisation a fait bouger les lignes. Quelques mois auparavant, une analyse de la littérature scientifique sur le sujet avait passé au crible 24 études de longue durée, mais non à vie entière : elle ne mettait en évidence aucun problème chez les animaux ainsi nourris. En septembre 2012, quand Gilles-Eric Séralini publie son étude, l’Europe avait lancé de son côté le programme GRACE pour vérifier notamment la pertinence des tests à 90 jours. Et donc poser la question : ces tests, répandus mais non encore obligatoires et où l’on nourrit d'OGM des animaux pendant trois mois, sont-ils des sentinelles efficaces pour apprécier le risque de toxicité ? Dans le même temps, l’Europe lançait également le programme MARLON, qui constituera le premier travail de suivi vétérinaire au monde des animaux consommant des OGM tout au long de leur vie.

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L’étude de Gilles-Eric Séralini a obligé les médias et surtout les Agences de sécurité sanitaires à recenser les études menées au plan international : 0 étude sur la santé humaine, 12 études seulement au-delà de 90 jours sur des animaux, 12 études portant sur plusieurs générations de cobayes, 3 études à long terme sur des animaux, 0 suivi vétérinaire des animaux nourris aux OGM. En France, l’Anses, l’agence nationale responsable de la sécurité alimentaire, a démoli techniquement l’étude de Séralini avec des arguments puissants mais lui a reconnu une "originalité" et a recommandé "de nouvelles recherches sur les effets à long terme des OGM", dans la lignée de celle de l’équipe de Caen. L’EFSA, autorité sanitaire européenne de sécurité des aliments, qui était très opposée à des études à vie entière, a finalement publié des directives pour pouvoir mener une telle étude. La France a publié un appel à création de consortium pour mener une étude complémentaire à deux ans également.

Source : sciencesetavenir.nouvelobs.com

mercredi, 21 août 2013

Prolongation du moratoire sur le maïs OGM MON810

Le maïs MON810 de Monsanto est le seul OGM cultivé en Europe, BASF ayant renoncé à produire dans l’Union sa pomme de terre Amflora. La France, comme d’autres pays européens (Autriche, Hongrie, Grèce, Roumanie, Bulgarie, Luxembourg), a interdit depuis 2008 la culture du MON810 sur son sol. Elle importe néanmoins des produits génétiquement modifiés pour l’alimentation animale ou l’industrie agroalimentaire.

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Le Conseil d’Etat a annulé l’interdiction de cultiver en France le maïs transgénique MON810 de la firme américaine Monsanto. L’interdiction par le gouvernement de cultiver cet OGM en France avait déjà été suspendue en 2011 par la justice pour carence de fondement juridique, avant qu’un nouveau moratoire soit instauré en mars 2012. L’Union nationale des apiculteurs français (Unaf), la Confédération paysanne, la Fédération nationale de l’agriculture biologique (Fnab) et plusieurs ONG ont appelé le gouvernement à réagir après cette décision, sachant que le ministre de l’Agriculture prône l’avènement d’une agro-écologie, résolument opposée au monopole alimentaire des firmes agroproductivistes. Le lendemain, le gouvernement a confirmé une prolongation du moratoire sur la culture du maïs transgénique MON810 de Monsanto, malgré l’annulation la veille par le Conseil d’Etat de l’interdiction de cultiver ce maïs OGM.

Siource : liberation.fr

mardi, 02 juillet 2013

Le glyphosate détecté dans 3 personnes sur 10

Les Amis de la Terre France ont détecté la présence d'un herbicide très répandu, le glyphosate, dans le corps de personnes testées. Les analyses ont révélé que, sur les 10 Français qui avaient accepté de faire analyser leurs urines, 3 étaient contaminés et présentaient des traces de glyphosate dans leurs urines. Ces résultats sont en concordance avec les tests menés dans 17 autres pays européens, qui montrent que 43,9 % de tous les échantillons contiennent des traces de ce produit chimique. Tous les volontaires qui ont donné des échantillons d’urines vivent en ville et aucun d’entre eux n’a utilisé, ni manipulé des produits à base de glyphosate dans la période précédent les tests. C’est la première fois qu’un tel test de contrôle est mené en Europe pour détecter la présence de ce désherbant dans le corps humain.

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Le glyphosate est l’herbicide le plus utilisé dans le monde. Il est employé par les agriculteurs, les collectivités locales et les jardiniers. Certaines plantes modifiées génétiquement (OGM), importées en Europe pour nourrir les animaux d’élevage, sont généreusement traitées au glyphosate. Le premier fabricant mondial de glyphosate est Monsanto qui le vend sous la marque « Roundup ». Bien qu’il soit couramment utilisé, les autorités gouvernementales ne contrôlent que rarement sa présence dans les denrées alimentaires ou dans l’eau.

Pour en savoir plus, on peut consulter le site : amisdelaterre.org

mercredi, 24 octobre 2012

Le maïs NK603 présente-t-il un risque sanitaire ?

Le Haut conseil des biotechnologies, saisi par le gouvernement pour se prononcer sur l'étude du Pr Séralini, a rejeté ce lundi 22 octobre 2012 les conclusions de son évaluation, affirmant que le maïs NK603 ne présentait pas de risque sanitaire. Mais il a également recommandé une étude indépendante et de long terme sur ce maïs pour lever le doute créé dans l'opinion publique par la médiatisation des travaux de Gilles-Eric Séralini.

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Selon le Professeur Gilles-Eric Séralini, cette décision est un progrès mais l'enjeu aujourd'hui est un enjeu de santé publique. Une étude de deux ans, ça prend quatre ans à mettre en place et à analyser. Quels seront durant ce temps les risques sanitaires encourus à cause de ce produit ? Durant ces nouvelles évaluations, doit-on interdire le maïs NK603 produit par Monsanto et sur lequel ont porté les travaux de l'équipe du Pr Séralini, menés pendant deux ans et concluant à un risque accru de tumeurs mammaires et d'atteintes hépato-rénales pour les rats nourris avec ce maïs, associé ou pas au Roundup, son herbicide complémentaire.

Source : tempsreel.nouvelobs.com

dimanche, 23 septembre 2012

Tous des cobayes ?

De 2009 à 2011, et dans le secret le plus absolu, le Professeur Gilles-Eric Séralini a mené au sein du CRIIGEN, une expérience aux conséquences insoupçonnables. Il s'agit de la plus complète et de la plus longue étude de consommation d'un OGM agricole avec le pesticide Roundup faite sur des rats de laboratoire. Les conclusions sont édifiantes.

Après le terrible accident de Tchernobyl en avril 1986, l'invisible radioactivité a resurgi avec l'explosion de la centrale de Fukushima en mars 2011, causant des dégâts matériels, humains et écologiques innommables.
OGM, Nucléaire : L'Homme s'est approprié ces technologies sans faire de tests sanitaires ni environnementaux approfondis alors que la contamination irréversible du vivant est réelle. Tous des cobayes ?

TOUS COBAYES - de Jean-Paul Jaud par rikiai

vendredi, 21 septembre 2012

Danger pour les rats

La toxicité des OGM et du Roundup sur les rats ne fait plus de doute. Les graves résultats mis en évidence dans l'étude de Gilles-Eric Séralini et Joël Spiroux, sur une vie entière de rats nourris aux OGM (action perturbatrice endocrinienne, développement de tumeurs, pathologies hépatiques et rénales…) peuvent être considérés comme valablement transposables à l’homme. Et risquent d'obliger scientifiques et producteurs à réévaluer tous les OGM et tous les pesticides avec des protocoles de deux ans aussi détaillés que celui de Gilles-Eric Séralini.

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Depuis plus de dix ans, des études in-vitro ont été réalisées dans leur laboratoire. Elles sont pertinentes mais très partielles. Elles ont notamment mis en évidence un impact de xénobiotiques comme le Roundup et le Bisphénol A sur les cellules humaines du foie, du rein, du cordon ombilical, du placenta et sur les cellules embryonnaires ; ce qui a donné lieu à plusieurs publications internationales. Mais elles ne portent à chaque fois que sur une lignée cellulaire, celle du foie par exemple, sans tenir compte du contexte d’interactions avec les autres organes. Un tube à essai rempli de cellules, fussent-elles humaines, ne peut en aucun cas correspondre à la grande complexité d’un corps de mammifère. D’où l’importance de passer du tube à essai au petit mammifère, selon Joël Spiroux co-auteur de cette étude.


En France et dans les autres pays sous moratoire, les habitants sont relativement protégés. Mais les animaux de boucherie absorbent souvent plus d'OGM car ils sont nourris aux tourteaux de soja et aux farines de maïs importés du continent américain. Ces animaux ne sont pas malades car ils ne vivent pas assez longtemps. L’espérance de vie des rats de laboratoire étudiés pour l'étude est de deux ans à deux ans et demi. On sait donc qu’à 12 mois, ils ont l’équivalent d’environ 40 ans chez l’homme. L’espérance de vie des bœufs, elle, est de 15 à 20 ans. Jusque dans les années 1940, on les abattait vers 7 ans. Mais avec le développement de l’élevage industriel, on s’est mis à les abattre de plus en plus tôt : 5 ans, 3 ans, 18 mois, et même moins maintenant. On ne dispose pas d’assez de temps pour connaître l’impact de leur alimentation sur leur santé.

Pour en savoir plus, on peut lire l'article publié sur le site tempsreel.nouvelobs.com

mercredi, 11 avril 2012

Apparition de résistances de certains insectes

Des plantes transgéniques comme les maïs MON810, MON863 ou MON88017, tuent les insectes en exprimant une protéine insecticide. La mise en culture de telles plantes insecticides est l’objet de plusieurs controverses, notamment sur le risque d’apparition de résistances de certains insectes. Pour limiter ce risque, plusieurs mesures ont été prises comme l’implantation obligatoire, au sein d’un champ de plantes génétiquement modifiées insecticides, de zones dîtes « refuges », cultivées avec des plantes non GM afin de diminuer l’exposition des insectes cibles aux toxines et donc de limiter cette apparition de résistance.

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Si pendant plusieurs années, les promoteurs des PGM ont affirmé qu’aucun cas d’apparition de résistance chez des insectes cibles n’avait été observé, ce n’est plus le cas depuis la publication d’une étude réalisée par l’équipe du Pr. Gassmann en 2011. Ainsi pour 22 entomologistes américains, les plantes transgéniques insecticides pourraient être à la base d’importants problèmes agricoles. Ils tirent la sonnette d’alarme suite à l’apparition d’insectes résistants à la protéine insecticide Bt Cry3Bb1. Dans une lettre adressée au ministre de l’Environnement début mars, ils demandent à l’administration que la situation soit considérée comme urgente et que la lutte contre les parasites relève d’une approche intégrée ne reposant pas sur une une seule tactique, comme le tout transgénique.

Pour en savoir plus, on peut lire l'article publié sur le site infogm.org

mardi, 14 février 2012

L'intoxication à l'herbicide de Monsanto

En 2004, Paul François, un céréalier de Bernac en Charentes aujourd'hui âgé de 47 ans et invalide, avait reçu au visage des vapeurs de Lasso, un désherbant produit par Monsanto, en ouvrant la cuve d'un pulvérisateur. Il avait été rapidement pris de nausées puis de troubles l'obligeant à interrompre son activité pendant près d'un an. En mai 2005, un an après avoir inhalé les vapeurs, des analyses relevaient dans son organisme des traces de monochlorobenzène, un solvant présent pour moitié dans le Lasso, au côté du principe actif, l'anachlore.

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Ce lundi 13 février 2012 à Lyon, la firme américaine agrochimique Monsanto a été jugée « responsable »  de l'intoxication à l'herbicide en 2004 de Paul François, ouvrant la voie à des dommages-intérêts, ce qui constitue une première en France. En conséquence, le tribunal « condamne Monsanto à indemniser entièrement Paul François de son préjudice », précise le jugement, qui confie une expertise médicale à un médecin de l'hôpital Rothschild à Paris.

Pour en savoir plus, on peut consulter le site lafranceagricole.fr

lundi, 17 octobre 2011

Que penser d'un super brocoli ?

Enrichi par une substance réputée bonne pour la santé, bénéfique pour combattre certaines maladies, un "super brocoli" vient d'être commercialisé en Grande-Bretagne. Fruit de la recherche du Centre John Innes et de l'Institute of Food Research de Norwich, ce brocoli est à l'origine un légume sauvage découvert en 1983, possédant déjà naturellement un taux élevé de glucoraphanine. Une fois ingérée, cette substance se transforme en un composé actif contribuant à réduire les inflammations chroniques.

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Si Warwick Research Institute a pour sponsor Monsanto, que peut-on penser de la création de ce super légume ?

Pour en savoir plus, on peut consulter le site enviro2b.com

05:31 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : santé, brocoli, légume, monsanto, ogm

lundi, 12 septembre 2011

La chrysomèle friande de maîs OGM

En huit ans, la chrysomèle a développé  une résistance à la toxine contenue dans le maïs BT OGM conçu par la firme Monsanto.

La chrysomèle des racines du maïs est un insecte, de l'ordre de coléoptères, ravageur des cultures de maïs, présent dans toute la zone de culture intensive du maïs aux États-Unis et au Canada, apparu en Europe en 1992, et repéré en Île-de-France, en 2002, près des aéroports de Roissy et d'Orly. En France, les dégâts causés aux cultures sont trop faibles pour être perceptibles, pour le moment. En Suisse, les rotations et luttes obligatoires dans le Tessin permettent de maintenir un niveau de dégâts faible. Ce n'est malheureusement pas le cas dans le bassin du Danube et dans le Nord de l'Italie.

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Dans les champs des agriculteurs américains, ce coléoptère a survécu puis s'est adapté à ce maïs OGM qu'il mange désormais bien volontiers. L'efficacité de la lutte biotechnologique contre les insectes ravageurs vantée par la firme Monsanto est remise en question. Pourtant la firme n'a toujours pas modifié ses recommandations et continue ses campagnes de promotion de son maïs OGM.

vendredi, 07 mars 2008

Le monde selon Monsanto

1118232188.jpgDans le documentaire de Marie Monique Robin, diffusé sur ARTE mardi 11 mars à 21h, on apprend que le ROUNDUP, l'herbicide mis sur le marché par Monsanto en 1974, n'est pas biodégradable, ainsi que l'affirme la publicité, mais très toxique. Le professeur Bellé a découvert qu'il déclenche même la première étape qui conduit au cancer. Ne ratez pas ce documentaire en concurrence le même soir avec les experts, Maupassant ou Pékin express, sinon enregistrez le!
Pour en savoir plus : le blog du film « le monde de Monsanto »
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