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mardi, 18 mai 2010

Faire évoluer les pratiques

Mobilisée en faveur de la planète depuis plus de dix ans, la filière Banane de Guadeloupe et Martinique fait évoluer ses pratiques pour mieux préserver l’air, l’eau et la terre, pour économiser les énergies, gérer ses déchets et développer la biodiversité dans ses plantations. Ces efforts ont déjà permis une réduction de 70% des pesticides utilisés depuis plus de dix ans.

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Le Plan Banane Durable prévoit une plateforme de Systèmes de culture innovants pour le développement et le maintien de la biodiversité dans les bananeraies des Antilles et une plateforme de sélection pour le développement de nouvelles variétés résistantes à la cercosporiose et aux autres maladies. Le succès du Plan Banane Durable s'appuie sur la mobilisation des planteurs, ouvriers, services techniques, services qualité et la collaboration de partenaires comme le Cemagref (Institut de recherche en sciences et technologie pour l'environnement).

Pour en savoir plus on peut consulter le site consoglobe.com

vendredi, 30 avril 2010

La Journée mondiale des oiseaux migrateurs

La Journée mondiale des oiseaux migrateurs aura lieu les 8 et 9 mai 2010

Peut-on imaginer un monde sans oiseaux migrateurs, cigognes, oies, grues, canards, pingouins, goélands et sternes ?

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Les oiseaux migrateurs font partie de la diversité biologique de la planète et sont souvent utilisés comme indicateurs pour la santé biologique des écosystèmes.

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Cette année, le thème de la Journée mondiale des oiseaux migrateurs est : « Sauvons les oiseaux migrateurs menacés, chaque espèce compte » Ce thème est étroitement lié à l’Année Internationale de la Biodiversité (AIB) en 2010 et sera centré sur les espèces d’oiseaux migrateurs qui sont globalement menacées.

La campagne mondiale 2010 aura lieu les 8 et 9 mai 2010 sous la forme d’observations d’oiseaux, de programmes éducatifs, d'expositions d'art ou d'événements publics. Elle est organisée par l’Accord sur la conservation des oiseaux d’eau migrateurs d’Afrique-Eurasie (AEWA) et la Convention sur les espèces migratrices (CMS). Ces deux traités internationaux basés à Bonn se consacrent à la conservation de la vie sauvage et sont administrés par le Programme des Nations unies pour l’Environnement (PNUE).

Pour en savoir plus amples, on peut consulter le site officiel worldmigratorybirdday.org

jeudi, 29 avril 2010

Une eruption solaire exceptionnelle

Le 30 mars, une gigantesque protubérance de gaz chaud a éclaté à la surface du Soleil et a libéré des milliards de particules électriquement chargées à travers le système solaire.

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Cet événement a été photographié par le satellite SDO (Solar Dynamics Observatory) lancé par la NASA ce 11 février 2010. Le satellite SDO poursuit sa mission jusqu'en 2015 pour étudier les variations de l'activité du Soleil et leur influence sur la Terre.



Cette éruption est une des plus spectaculaires des 20 dernières années. Le flux de particules libérées est entré quelques jours plus tard en interaction avec le champ magnétique terrestre et a engendré de superbes aurores polaires.
Pour en savoir plus, consulter le site du CNES

mardi, 30 mars 2010

Une aventure au service de la connaissance du climat

Une aventure humaine et technologique au service de la connaissance et de la préservation du climat

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Jean-Louis Etienne : " La Traversée du pôle Nord en Ballon n’a encore jamais été réalisée. Ce sera le dernier acte de la trilogie de mes expéditions au pôle Nord en solitaire. Après avoir atteint le pôle en tirant mon traîneau pendant 63 jours en 1986, dérivé quatre mois sur la banquise à bord du Polar Observer en 2002, je prépare ce vol pour avril 2010.

generali-artic2.pngLe ballon est une rozière, un ballon mixte hélium / air chaud, du même type que le Breitling Orbiter autour du monde de Bertrand Piccard et Brian Jones. La nacelle est spécialement construite pour cette traversée polaire.

Deux mesures en continu seront effectuées : le CO2 atmosphérique pour le Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement - CEA-CNRS, et le champ magnétique terrestre pour l’Institut de Physique du Globe de Paris-LETI-CEA.

Par cette aventure audacieuse, digne des romans de Jules Verne, je souhaite attirer l’attention du monde sur la régression de la banquise et ses conséquences sur la vie des peuples autochtones, la biodiversité arctique et le chaos climatique à l’échelle planétaire qu’engendrerait sa disparition. La banquise est le meilleur indice de performance des mesures que l’humanité doit engager contre le réchauffement climatique.
"

Pour en savoir plus, on peut consulter le site de Jean-Louis Etienne

jeudi, 25 mars 2010

L’émergence d’une nouvelle économie

Le développement durable est, selon la définition proposée en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement dans le Rapport Brundtland : un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs.

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L'objectif du développement durable est de concilier les trois aspects économique, social, et environnemental des activités humaines. Il doit permettre l’émergence d’une nouvelle économie viable plus respectueuse des hommes et de la planète. L’émergence de problèmes tels que l’utilisation intensive des ressources naturelles, la population mondiale estimée à 9 milliards en 2050, les dérèglements climatiques majeurs, justifient une nouvelle façon d’aborder la consommation en tant que consom’acteur.

Dès à présent, des alternatives existent qui vont dans le sens de cette nouvelle économie qui constitue un véritable progrès : consommer mieux.

Le salon Planète Durable® est le lieu de rencontre des 3 fondamentaux du développement durable : environnement, social et économique.

Dates : du jeudi 25 au dimanche 28 mars 2010
Lieu : Hall 7-1 - Paris Porte de Versailles
Heures d’ouverture : 10h à 19h

Pour découvrir le programme on peu consulter le site planete-durable.com


Quelles perspectives en 2010 en matière d'environnement ?
envoyé par IRIS-FRANCE. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

dimanche, 21 mars 2010

La biodiversité qui fait rêver

Yves Paccalet est naturaliste et philosophe.

La biodiversité qui le fait rêver, c’est celle qu’il a connue lorsqu’il était enfant : les fleurs au bord des chemins, les papillons, les grenouilles de la mare et le vol des libellules. À ses yeux, cette biodiversité de tous les jours est aussi importante que les baleines, les tigres et les éléphants.

Il nous parle de l’Homme comme un embryon de la planète Terre qui est en train de détruire sa mère.

Si l’on fait changer les conditions de vie dans l’océan, le plancton marin va disparaître et ne jouera plus son rôle d’épurateur de l’atmosphère. De même pour les insectes butineurs, qui assurent 80% de la fécondation des fleurs produisant les fruits et les légumes. Si l’Homme fait disparaître les abeilles, il se met en danger lui-même.


Yves Paccalet parle de biodiversité
envoyé par Nicolas-Hulot. - L'info internationale vidéo.

vendredi, 19 mars 2010

Des producteurs respectueux de l'environnement

Salon Vivre Autrement

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vivre-autrement-2.png400 exposants et producteurs respectueux de la nature et des hommes, pour découvrir des produits écologiques et sains dans tous les domaines du quotidien : la gastronomie et les vins, la beauté et la mode, la santé et la forme, la maison et le jardin, le tourisme… Des produits durables pour bâtir la planète des éco-citoyens.

Des ateliers-conférences pour mieux comprendre l’environnement et les méthodes naturelles de santé.

Vendredi 19 mars
11h30 (Atelier 2)
Alimentation séchée : une recette ancestrale et future. Philippe BOURGOIS, Olivier MÜGLER, Nadia MARCHAND
14h30 (Atelier 3) Comment choisir la meilleure eau selon votre terrain. Philippe BLANCHEMAISON
15h30 (Atelier 2) La propolis et la prévention de la grippe. Patrice PERCIE DU SERT
17h30 (Atelier 3) Vivre centenaire en forme : graines germées, jus crus de légumes et d'herbe de blé. Kit DAVIDSON

Samedi 20 mars
11h30 (Atelier 3) Est-il encore possible de sauver les océans ? Paul WATSON et Lamya ESSEMLALI
12h30 (Atelier 3) Toilettes sèches et phyto-épuration : Pourquoi pas chez moi ? Vincent et Yvain BROCHOT
13h30 (Atelier 1) Un exemple de protéines : les purées de fruits secs oléagineux. Genevieve HERVÉ
16h30 (Atelier 2) Les secrets de l'eau. Pierre-Alexandre NICOLAS

Dimanche 21 mars
11h30 (Atelier 3)
La biodiversité planétaire et les nécro-carburants. Jocelyn MOULIN
12h30 (Atelier 2) Comment mieux se nourrir, en mangeant moins ? Marie-Hélène BÉGON, Philippe BOURGOIS, Nadia MARCHAND
13h30 (Atelier 3) Les oméga et votre devenir santé. Ludmilla DE BARDO
14h30 (Atelier 2) Commerce équitable et environnement. Sébastien WOLF
16h30 (Atelier 1) L'Energie des arbres. Patrice BOUCHARDON
17h30 (Atelier 3) Compostage ou lombri-compostage : Quelle méthode choisir ? Jean-Jacques FASQUEL et Grégory PRYBYS

Lundi 22 mars
11h30
(Atelier 1) La guérilla jardinière. Richard REYNOLDS
13h30 (Atelier 2) Tout sur la fève de cacao. Laurence ALEMANNO
14h30 (Atelier 2) Pollutions électromagnétiques au XXIème siècle. Pierre NICOLAS
15h30 (Atelier 3) Traitements des pollutions telluriques et électromagnétiques.

jeudi, 18 mars 2010

Vingt et une énergies renouvelables insolites

Les limites des énergies fossiles sont bientôt atteintes, qu’il s’agisse de la ressource ou de la capacité de l’atmosphère à absorber leurs émissions de CO2. Certaines des énergies renouvelables, comme les biocarburants, ont aussi montré leurs limites. Les énergies renouvelables doivent connaître une baisse rapide des coûts, conduire à une bonne adéquation spatiale et temporelle de la production et de la consommation d’énergie, favoriser la recherche de synergies entre domaines voisins, inverser le plus rapidement possible le flux de CO2.

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Que ce soit dans les secteurs de l’électricité, du logement, de la gestion du cycle de l’eau ou des transports, ou encore en matière de régulation économique, Denis Bonnelle et Renaud de Richter proposent vingt et une énergies renouvelables insolites. Certaines sont déjà connues des spécialistes, d’autres sont plus originales ou présentées sous un angle inédit, mais toutes sont tangentes en termes de faisabilité.

Denis Bonnelle est un ancien professeur de physique en lycée technique et en classe de mathématiques spéciales. Renaud de Richter est un ancien chercheur de l'industrie pharmaceutique.

dimanche, 14 mars 2010

Une agriculture autonome et durable

Dédé Pochon, le défenseur d'une agriculture autonome et durable, explique comment les coopératives poussent leurs adhérents à adopter et à acheter des produits d'agriculture intensive...Une motivation purement économique (rentabilité de la Coop) et non agronomique, aux conséquences lourdes : éleveurs endettés et suréquipés, environnement et animaux dégradés...


Fabuleux maïs ! Extrait du film HERBE
envoyé par biodiversites. - Regardez des animaux droles en vidéo.

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"Depuis quelques années, les documentaires sur l'écologie ou le monde paysan se multiplient. Signe que la planète tourne de moins en moins rond et/ou que les cinéastes, enfin, s'en inquiètent. A mi-chemin entre l'alar misme de We feed the world et l'humanisme de Depardon (sa trilogie Profils paysans), "Herbe" est un documentaire en forme de road-movie sur les éleveurs laitiers bretons, où l'on apprend que, contrairement à l'idée reçue, les vaches ne mangent presque plus d'herbe ! Selon l'absurde modèle productiviste imposé dans les années 1970, au lieu de brouter des pâturages gratuitement, 90 % de nos vaches sont nourries au maïs et au soja brésilien génétiquement modifié, ce qui a pour conséquence de ruiner leurs propriétaires (en engrais, machines, semences, pesticides...), de les rendre dépendants des subventions de Bruxelles, et surtout de polluer nos rivières par l'azote et autres produits chimiques. Partisans de la minoritaire filière herbagère, à la fois plus durable et plus rentable, les auteurs font passer leur message sans manichéisme et sans illusions."

Télérama - Jérémie Couston

vendredi, 05 mars 2010

La quinzième édition des Initiatives Océanes

Faisant suite à une mobilisation sans précédent de 20 000 participants en 2009, Surfrider Foundation Europe organise cette année la quinzième édition des Initiatives Océanes, les 18, 19, 20 et 21 mars 2010. c'est un grand rassemblement éco citoyen, dédié à la protection des littoraux, lacs et rivières.

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L'objectif de cet événement européen est de sensibiliser les plus jeunes et l'ensemble de la population aux richesses de notre environnement, mais aussi aux menaces qui peuvent peser sur celui-ci, pour mieux comprendre l'impact que chacun peut avoir sur la planète.

Si, pour cette édition 2010, on peut rejoindre une opération en s'inscrivant sur le site initiativesoceanes.org . On peut aussi trouver le soutien de l'association pour monter sa propre opération de nettoyage.

mardi, 23 février 2010

La biodiversité en ville

La biodiversité en ville

Le terme "biodiversité" vient de la contraction de l'expression anglaise "biological diversity", c'est à dire "diversité biologique".
La biodiversité c'est la "variabilité des organismes vivants de toute origine y compris, entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie : cela comprend la diversité au sein des espèces et entre espèces ainsi que celle des écosystèmes." (article 2 de la Convention sur la diversité biologique, adoptée le 22 mai 1992 et ouverte à la signature des Etats lors de la Conférence de Rio le 5 juin 1992, entrée en vigueur le 29 décembre 1993)

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Les espaces urbains minéralisés et stériles détruisent presque toute vie végétale et empêchent la libre circulation des espèces. C'est pourquoi, l'aménagement de la ville doit être entièrement revu pour qu'il intègre la nature sans compromettre les corridors biologiques indispensables à la survie de certaines espèces.
C'est un véritable défi, trop peu considéré, car la ville a généralement tout supprimé : terres agricoles, vergers, ruisseaux, prairies, forêts... et donc les terriers, nids, habitats...
De plus des plantes exotiques sont implantées pour adorner les jardins et les rares espaces verts, ce qui nuit à la biodiversité locale car la plupart des espèces introduites sont des invasives.
Enfin, les axes de transport et de communication fragmentent les espaces en coupant les forêts, les plaines, ce qui se traduit par l'incapacité pour certaines espèces de se reproduire et de chasser. La multiplication des axes routiers est, à ce titre, une véritable catastrophe.

Actuellement, la perte de biodiversité et les changements dans l'environnement qui y sont liés sont plus rapides qu'à aucune période de l'histoire de l'humanité. De nombreuses populations animales et végétales sont en déclin, que ce soit en termes de nombre d'individus, d'étendue géographique, ou les deux. La disparition d'espèces fait partie du cours naturel de l'histoire de la Terre. Cependant, l'activité humaine a accéléré le rythme d'extinction, qui est au moins 100 fois supérieur au rythme naturel d'extinction, un rythme qui ne cesse d'augmenter, certains parlent de 1000 fois.

L'extinction actuelle, provoquée par les activités humaines, est comparable à une crise biologique majeure puisque d'ici à 2050, on considère que 25 à 50 % des espèces auront disparu. Les sociétés humaines sont à la fois la cause et seront les victimes de cette sixième extinction de masse de l'histoire de notre planète.

Pour en savoir plus, lire les articles du site notre-planete.info

samedi, 20 février 2010

Agenda 21, une feuille de route du développement durable

Un Agenda 21 est une feuille de route regroupant les objectifs de développement durable d’un territoire. Il permet aux élus, services et habitants d’avoir connaissance des actions en cours et à venir et de les planifier.

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La notion de développement durable est née le 27 avril 1987 avec le rapport Brundtland. Celui-ci préconisait un autre modèle de développement où l’écologique ne s’oppose plus à l’économie, où le social s’allie à l’environnement.
Le développement durable cherche à agir simultanément sur trois axes : l’environnement, le social et l’économie.

devlpt-durable-bessancourt02.jpgCependant, un Agenda 21 est plus qu’un programme d’actions, il est avant tout une démarche qui repose sur quatre éléments concrets :

- la participation (chacun à son échelle doit participer pour aider à modifier les comportements),
- la transversalité (le développement durable impose de dépasser les classements habituels par secteur),
- l’évolution constante du programme d’actions (le programme n’est jamais figé),
- l’évaluation partagée (la parole des habitants, élus, services municipaux permet de vérifier que les objectifs ont été atteints).

 

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Selon Jean-Christophe Poulet, maire de Bessancourt dans le val d'oise

« Un Agenda 21 à l’échelle de la planète serait nécessaire pour inscrire l’ensemble des pays dans la lutte contre le réchauffement, pour la solidarité avec les pays du Sud et pour repenser, voire refonder, nos modes de développement, tant nous ne pouvons plus vivre dans l’hyper-consumérisme... »

Pour en savoir plus sur l'Agenda 21 de Bessancourt on peut consulter le site ville-bessancourt.fr

dimanche, 14 février 2010

Quelle agriculture pour nourrir la planète ?

Avec Michel Griffon, président du conseil scientifique du Fonds français pour l'environnement mondial, directeur général adjoint de l’ANR, et John Thomson, directeur de recherche au Cirad. Débat en 3 parties accessibles dans MENU / chapitres. Réalisation : Sylvie Allonneau Production : Cité des sciences et de l'industrie 2009


Quelle agriculture pour nourrir la planète ?
envoyé par universcienceTV. - Regardez plus de vidéos de science.

lundi, 18 janvier 2010

Le premier bilan de notre planète

biodiversite-hors-serie-lemonde.pngEn 170 pages, "Le Monde" propose le premier bilan de notre planète.

Pourquoi la croissance verte n'empêche-t-elle pas le retour du charbon ? Où en est la protection de la biodiversité ?

50 personnalités, scientifiques, économistes, militants, politiques présentent des initiatives concrètes pour bâtir un futur durable.

En cadeau, un CDROM pour présenter 50 cartes animés pour mieux comprendre le développement durable.

dimanche, 17 janvier 2010

A la rencontre des habitants de notre planète

Prochain diffusion : samedi 23 janvier 2010 à 12h37 sur France 5

Antoine de Maximy voyage autour du monde à la rencontre de ses habitants. Armé de deux caméras, il s'invite à dormir chez eux de manière impromptue pour apprendre à mieux connaître leur culture.

Après la France, samedi prochain, la destination du reportage de 'J'irai dormir chez vous" est l'Australie.
A Sydney, le quartier des affaires n'est pas propice au bavardage et les gens ne sont pas très curieux de connaître Antoine. Celui-ci gagne Bondi Beach, un quartier branché où il rencontre de jeunes Australiens. Mais après une sortie en boîte de nuit, il n'a toujours pas reçu d'invitation... Echaudé par cette série d'échecs, il s'envole pour Coober Pedy, une ville minière dans laquelle la plupart des habitants vit sous terre, dans des maisons troglodytes appelées 'dugouts'. Des adolescents accueillent avec bonne humeur cet étranger insolite. Désoeuvrés, ils prennent leur indépendance dès 16 ans. Antoine se rend ensuite au village d'Iga Warta pour mieux connaître les aborigènes du hameau de Nepabunna. Mais qui dit terre dit tribu et, sur place, il a bien du mal à franchir des portes. A la fin de son voyage, Antoine n'aura vu aucun kangourou.

 

jeudi, 31 décembre 2009

La Lettre de Tapori pour des échanges à travers le monde

Tapori, la branche "enfance" de l'association internationale ATD Quart Monde, relie les enfants de 7 à 13 ans de tous pays et de tous milieux. "Tous les mois, La Lettre de Tapori, éditée en plusieurs langues, permet à plus de 10 000 enfants à travers le monde d’échanger des nouvelles. Elle raconte la vie et les espoirs des enfants qui vivent dans la pauvreté ou qui agissent contre l’exclusion". Tapori est en contact avec près de 600 écoles en France afin d’aider enseignants et parents à travailler avec les enfants et les sensibiliser à la conscience citoyenne.

 

 

mardi, 29 décembre 2009

Celle qui plante des arbres

Voici un extrait de l'interview de Wangari Maathai publiée sur le site lepoint.fr

Le film « Nous resterons sur Terre » permet de se rendre compte que les activités des hommes, qu'ils soient dans des pays riches ou dans des nations moins développées, contribuent à dégrader l'environnement de manière dramatique. Chaque individu, où qu'il vive sur la planète, est responsable d'elle. Chacun de ses habitants contribue à détruire l'environnement. Et chacun peut donc décider d'agir pour la préserver.

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Le film dresse un tableau sans équivoque : il n'y a qu'à voir comment on se comporte, comment on se nourrit, comment on produit, comment on consomme les ressources de la planète. C'est la course à la démesure. C'est aux gens de décider s'ils veulent soutenir un tel rythme. Mais en en assumant les conséquences ! En étant honnête, on voit très clairement qu'une telle pollution et un tel gaspillage des ressources sont insupportables. Nos ressources sont limitées. Il n'y a pas d'alternative. Seul le développement durable peut nous sortir de cette impasse. Ce choix doit être fait par les individus, par les entreprises et par les gouvernements. Tout le monde a un rôle à jouer.

Il faut s'éduquer pour être persuadé qu'en effet la planète est menacée. Nombreux sont ceux qui pensent encore qu'il y a assez de ressources dans le monde, qu'il n'y a pas de raison de s'inquiéter. Voilà pourquoi des films comme celui-ci sont extrêmement importants. Beaucoup de gens travaillent dans le monde entier pour tenter de faire passer le message, mais je suis étonnée de voir avec quelle lenteur il se diffuse !

La deuxième chose à faire, c'est de faire des choix. Vous pouvez décider de ne pas manger d'aliments venus de l'autre bout du monde et de soutenir les productions locales : ce choix-là, toutes les maîtresses de maison peuvent le faire. Les enfants peuvent aussi agir : quand ils se brossent les dents, ils peuvent économiser l'eau. Quand ils sont à l'école, ils peuvent écrire des deux côtés de la feuille.

wangari-maathai.jpgPour leur part, les populations les plus pauvres sont souvent responsables de la déforestation, car elles sont très dépendantes du bois. Elles détruisent les forêts, les terres agricoles et la biodiversité. Elles génèrent de l'érosion. Bien sûr, il s'agit pour elles de survie. Mais elles détruisent tout de même l'environnement. Elles doivent pourtant comprendre qu'elles sont toujours très dépendantes des matières premières, de leurs terrains pour l'agriculture, des forêts pour le bois de chauffe, des rivières pour l'irrigation de leurs cultures... Et que si elles n'y prennent garde, elles en subiront directement les conséquences. C'est pour cela que j'ai lancé des campagnes comme celle du «milliard d'arbres », pour que ces populations réalisent qu'elles peuvent participer, même en faisant un tout petit quelque chose. Les Africains sont aux avant-postes de la protection de la planète, et ils ne doivent pas attendre que les gouvernements ou les agences d'aide internationale interviennent. Planter un arbre ne nécessite ni argent ni technologie avancée. Certaines actions essentielles et durables peuvent être menées sans grands moyens.

 

lundi, 28 décembre 2009

Nous resterons sur Terre

Les changements climatiques inquiètent, les espèces et les ressources s'épuisent, les villes s'étendent.
"Nous resterons sur Terre" est un film qui dresse l'état des lieux d'un monde qui vacille. Pouvons-nous inverser le cours des choses ? Le voulons-nous vraiment ?
Avec l'environnementaliste James Lovelock, le philosophe Edgar Morin et les Prix Nobel de la Paix Mikhaïl Gorbatchev et Wangari Maathai, le film laisse à chacun la liberté d'évaluer le degré d'urgence sur une seule certitude : "Nous resterons sur Terre".

Voici la bande annonce du film sorti en salle en avril 2009:

Voici maintenant une interview de Pierre Barougier qui nous parle de son film "Nous resterons sur Terre". Une explication sur le choix de chacune des 4 personnalités James Lovelock, Edgar Morin, Mikhaïl Gorbatchev et Wangari Maathaiet, une interrogation sur ce que nous sommes et notre relation à la planète.

 

nous-resterons-sur-terre-lelivre.jpgEn attendant la sortie en DVD,
on peut acheter ou offrir le livre de Cédric Delsaux, 223 pages, des photos magnifiques, Verlhac Editions.
"Nous resterons sur Terre" est un projet multiple, un film doublé d'un essai photographique. Cédric Delsaux. photographe né en 1974, nous invite à un voyage poétique et halluciné au cœur de notre civilisation occidentale.

On peut aussi télécharger le film sur le site vodeo.tv pour 6,99 euros

lundi, 07 décembre 2009

A la rencontre des premiers réfugiés climatiques

D'ici à 2050, selon l’ONU, ils seront 150 millions, chassés de chez eux par le réchauffement climatique. Parce que leurs terres auront été inondées et seront devenues inhabitables et/ou inexploitables. Parce que ces terres auront purement et simplement disparu, recouvertes par l’océan. Ou encore, à l’inverse, parce que l’eau s’en sera retirée, condamnant les sols à l’aridité totale.

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A l’heure où l’on parle de « réfugiés » climatiques, terme optimiste qui laisse entendre que ces populations pourraient trouver un accueil décent sous d’autres cieux, n’est-il pas plus conforme à la réalité prévisible de parler d’ « exilés », partis sous la contrainte des éléments, et qui risquent – tout en perdant leur identité - de n’être les bienvenus nulle part ?

Pour mieux comprendre les conséquences envisageables du réchauffement climatique, on peut lire le livre du Collectif Argos, Jean Jouzel, Donatien Garnier Réfugiés climatique Infolio - 2007
refugies-climatiques01.jpgPendant quatre ans, le collectif Argos est allé à la rencontre des premiers "réfugiés climatiques". De l'Alaska où se pose le problème du dégel des sols arctiques, aux îles Tuvalu, Maldives et Halligen pour illustrer la montée du niveau des océans, en passant par le Tchad et la Chine gagnés par la désertification, le Bangladesh qui subit l'inondation des deltas, le Népal victime de la fonte des glaciers, enfin les Etats-Unis où les cyclones sont de plus en plus violents. Soit, au terme de ce périple : neuf escales afin d'éveiller les consciences sur l'ampleur prévisible des mouvements de population et la perte d'une pluralité ethnique et culturelle.

Pour en savoir plus on peut consulter la bibliographie mise en ligne après l'émission "Tout un Monde" diffusée sur France Culture ce dimanche 6 décembre 2009.

mercredi, 25 novembre 2009

Planter 5 arbres pour rendre son blog neutre en CO2

Les émissions de gaz à effet de serre réchauffent la planète, ce qui met en danger les hommes et les écosystèmes.
Planter des arbres contribue à la réduction du CO2, à la conservation des sols et des réserves d’eau, sert de rempart contre les avalanches, fait reculer la désertification, protège les zones côtières et stabilise les dunes de sable. La CCNUCC (Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques) estime qu’un arbre absorbe à peu près 10 kg de CO2 par an.

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D’après une étude menée par le Dr. Alexander Wissner-Gross, physicien à l’Université de Harvard, chaque visualisation d’une page Internet consomme en moyenne 0,02gde CO2. Un blog visité 15000 fois par mois produit 3,6kg de C02 par an. Une production principalement due à la consommation de courant des centres d’hébergement, qui doivent alimenter et refroidir les serveurs sur lesquels les blogs sont installés.
La société dimdom propose de rendre le blog de chacun, neutre en CO2 en plantant 5 arbres à notre place. Pour valider sa participation, il faut laisser un commentaire sur la page http://blog.dimdom.fr/plantons-1000-arbres-ensemble/ en indiquant l'adresse URL de l'article publié sur son blog comme je viens de le faire.