Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 16 janvier 2015

Le réveil de Philae

Connaître précisément la position de Philae est indispensable pour déterminer quand l’endroit où il se situe sera suffisamment éclairé par le Soleil pour que les panneaux solaires de l’atterrisseur puissent le réchauffer totalement et charger sa batterie permettant le début d’un nouveau cycle d’utilisation de ses instruments.
Les équipes du Sonc au Cnes de Toulouse estiment que le réveil de Philae pourrait se produire dès le mois de janvier, mais plus probablement au printemps.

comètes,cnes,astronomie,système solaire,sciences


Photographiée par l’une des caméras de Civa, cette paroi se situe juste à côté de l’atterrisseur et lui fait de l’ombre. Elle pourrait le protéger de la surchauffe et lui permettre de survivre jusqu’à la mi-août 2015.

Source : futura-sciences.com

lundi, 24 novembre 2014

Témoin d'un PAN ?

Le GEIPAN, Groupe d’Études et d’Information sur les Phénomènes Aérospatiaux Non Identifiés (PAN) fait partie intégrante des missions du Centre National d'Études Spatiales (CNES). Le GEIPAN a pour missions : la collecte des témoignages d’observations de PAN sur le territoire français, l’analyse des témoignages pour tenter d’expliquer les phénomènes observés (enquêtes), l’archivage des témoignages, l'un des objectifs importants de cet archivage étant de permettre l'étude ultérieure éventuelle par la communauté scientifique des observations restées inexpliquées, l’information et la communication vers le public.

sciences,cnes,espace,informationion


Le GEIPAN a engagé dès 2007 la mise en ligne de l'ensemble de ses archives et met les informations qu’il rassemble à la disposition de la communauté scientifique et du grand public.

Un PAN à signaler : Qu'ai-je vu ?

samedi, 22 novembre 2014

Le projet Loon, des ballons pour connecter le monde

Le projet Loon de Google doit permettre de relier ensemble tous les habitants de la planète via Internet en utilisant un réseau de ballons relais. Le CNES, fort de son expertise en matière de ballons, s'intéresse de près à cette ambitieuse technologie.


Bicentenaire, le ballon occupe encore aujourd’hui une place unique parmi les outils modernes de la recherche scientifique. Lui seul peut évoluer durablement dans les différentes couches de l’atmosphère, régions inaccessibles aux satellites. La communauté scientifique française, européenne et internationale s'est mobilisée pour soutenir cette activité. Ce soutien constant est une reconnaissance de la qualité des moyens ballons , des équipes qui les développent et les mettent en œuvre au service des grandes questions scientifiques de notre époque.

Source : cnes.fr

mardi, 06 mai 2014

L’expédition 7ième continent

Hier, à Fort-de-France, en Martinique, un voilier a mis le cap au nord pour entrer dans la mer des Sargasses, entourée par le Gulf Stream. Pour la seconde fois, l’expédition 7e continent, dirigée par l’explorateur Patrick Deixonne, part à l’assaut de ces masses de matière plastique de toutes tailles, du gros déchet flottant aux microscopiques particules réparties au sein d’une profonde couche d’eau. En 2013, l’expédition avait exploré le « gyre » central de l’océan Pacifique, où cette accumulation prend des proportions énormes.

ExpCont7_Atlantique.jpg


L’Atlantique nord est aussi touché par cette pollution mal connue. L’équipe scientifique du bord mettra en œuvre plusieurs expériences, mises au point au Cnes, à l’Esa et à l’Icam de Toulouse. Mise à l’eau une heure par jour, une bouée plongeante mesurera la quantité de particules de plastique jusqu’à 30 m, en même temps que des paramètres physiques (température, salinité et luminosité) et biologiques (quantité de phytoplancton). Des bouées dérivantes seront larguées pour un suivi à long terme.

Source : futura-sciences.com

jeudi, 09 mai 2013

Un Soyouz russe a lancé une mini-arche de Noé

Un Soyouz russe a lancé une capsule de recherche récupérable Bion-M avec à son bord une centaine d’organismes vivants différents, ainsi que des graines de plantes. La mission, autour de la Terre, doit durer trente jours. Elle a pour objectif de mieux comprendre comment le vivant s’adapte à la microgravité et se réadapte à la gravité terrestre.

espace,sciences,cnes,planète,expériences


Quelque 80 expériences fournies par divers instituts russes, le Cnes et la Nasa seront réalisées à bord de la capsule Bion-M1. Elles aideront à comprendre les effets négatifs que provoquent les vols habités sur l’organisme humain. L’idée étant de développer des contre-mesures efficaces (mécaniques, nutritionnelles ou pharmacologiques) destinées aux futurs voyageurs spatiaux. Avant de préparer un vol spatial de longue durée, il est donc important d’envisager comment ces phénomènes pourraient être inversés.

Pour en savoir plus, on peut consulter le site futura-sciences.com

mardi, 31 janvier 2012

Ozone... Quelle évolution depuis 30 ans ?

Le temps de vie dans l’atmosphère des chlorofluorocarbones peut dépasser 100 ans. Ils sont à l'origine de la destruction de l'ozone stratosphérique. Comment le phénomène a-t-il évolué depuis 30 ans? Les réponses avec Carole Deniel, responsable des programmes en chimie de l'atmosphère au CNES.


Ozone... Quelle évolution depuis 30 ans? par CNES

Début 2011, pour la première fois dans l'histoire des relevés, un trou comparable à celui observé annuellement au dessus de l'Antarctique, s'est formé au dessus des régions boréales. Au plus fort du phénomène, la perte d'ozone a dépassé 80% à plus de 18-20 km d'altitude. D'une taille d'environ 2 millions de km², ce trou, d'une taille inégalée, s'est déplacé durant une quinzaine de jours au-dessus de l'Europe de l'Est, de la Russie et de la Mongolie, exposant parfois les populations à des niveaux élevés de rayonnements ultraviolets, selon les chercheurs.

Les scientifiques considéraient que le trou dans la couche d'ozone devait se résorber totalement dans environ cinquante ans. Cependant, un nouveau rapport d'évaluation scientifique publié en août 2006 par l'Organisation météorologique mondiale et le Programme des Nations Unies pour l'environnement, indique que "la couche d'ozone situé au-dessus des latitudes moyennes, devrait se reconstituer d'ici à 2049, soit cinq ans plus tard que ne le laissait entendre la précédente évaluation (2002). Enfin, au-dessus de l'Antarctique, la reconstitution de la couche d'ozone ne devrait pas intervenir avant 2065, c'est-à-dire 15 ans plus tard que prévu."

Pour en savoir plus, on peut lire l'article très documenté publié sur le site notre-planete.info

jeudi, 29 avril 2010

Une eruption solaire exceptionnelle

Le 30 mars, une gigantesque protubérance de gaz chaud a éclaté à la surface du Soleil et a libéré des milliards de particules électriquement chargées à travers le système solaire.

eruption-solaire-mars-2010.jpg


Cet événement a été photographié par le satellite SDO (Solar Dynamics Observatory) lancé par la NASA ce 11 février 2010. Le satellite SDO poursuit sa mission jusqu'en 2015 pour étudier les variations de l'activité du Soleil et leur influence sur la Terre.



Cette éruption est une des plus spectaculaires des 20 dernières années. Le flux de particules libérées est entré quelques jours plus tard en interaction avec le champ magnétique terrestre et a engendré de superbes aurores polaires.
Pour en savoir plus, consulter le site du CNES