mercredi, 18 janvier 2012
La tour eiffel recouverte de plantes
La tour Eiffel s’apprête-t-elle a être recouverte de plantes ? Un projet initié par le cabinet Ginger et révélé par Le Figaro qui consiste à installer sur la tour Eiffel 600.000 plantes qui devraient rester en place pour 4 ans, pose et pousse comprises. Un manteau vert implanté dans des poches à substrat, elles-même reliées à des filets de chanvre, qui eux sont accrochés à la structure métallique de la fameuse tour. Dans ce mélange de filet, de substrat et de plantes devraient être insérés des tubes en caoutchouc pour arroser le tout ainsi que les LED qui illuminent déjà la tour Eiffel.
La tour Eiffel deviendrait l’arbre le plus grand du monde, qui absorberait du CO2 et émettrait de l’Oxygène : un poumon vert au coeur de Paris.
05:53 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : végétalisation, plantes, ville, paris, urbanisme, co2
dimanche, 08 janvier 2012
Une plante sauvage qui nuit à la santé dès le printemps
L'ambroisie à feuille d'armoise (Ambrosia artemisiifolia) est originaire d'Amérique du Nord. Elle est apparue en France en 1863, vraisemblablement introduite par un lot de semences fourragères. C'est à la faveur des grands travaux d'aménagement du territoire, depuis les années 50, qu'elle est partie à la conquête des zones où le climat lui était favorable.
Sus à l'ambroisie! (Lyon) par telelyonmetropole
Un site pour connaître les risques algergiques région par région ambroisie.info
19:51 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : plantes invasives, plantes, santé, environnement
lundi, 15 août 2011
C'est la bonne époque pour...
C'est la bonne époque pour bouturer son géranium. C'est la technique la plus simple à réaliser pour multiplier ses géraniums de manière économique. L'époque la plus favorable commence à partir du mois d’août et s’étale jusqu’à la fin du mois de septembre.
On coupe avec un couteau bien affuté, et non un sécateur, l’une des plus belles tiges sans fleur ayant poussé cette année. Couper à environ 10 cm de l’extrémité en sectionnant juste en dessous d’un noeud. On supprime les feuilles du bas et on plante cette tige dans un pot rempli de terreau et de sable. On place ses boutures à l’extérieur et à l’ombre. On arrose régulièrement mais sans excès. Pendant l’hiver, on conserve ses boutures dans un endroit sec, frais, aéré et surtout hors gel avant de les mettre en pleine terre dès le printemps.
Pour en savoir plus, on peut consulter le site jardiner-malin.fr
05:47 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jardiner, jardin, bouturage, geranium, plantes
dimanche, 14 août 2011
Tailler sa lavande en août
Au mois d'août, on taille sa lavande. Avec un sécateur ou une cisaille à haie, on coupe toutes les tiges florales le plus près possible de leur base. Puis, on rabat les branches à moitié pour provoquer de nouveaux départs, et un épaississement de la touffe. Ensuite, on soigne la finition en donnant au buisson une forme arrondie. Les vieux pieds de lavande sont bien souvent dégarnis à leur base. On peut les rajeunir en supprimant près du sol les branches les plus anciennes, et en favorisant la ramification d'autres tiges en les taillant au-dessus d'un départ de jeunes pousses.
Pour d'autres conseils, on peut consulter le site gerbeaud.com
05:38 Publié dans Les bons gestes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jardin, jardiner, lavande, plantes
jeudi, 21 juillet 2011
Un matelas laineux pour isoler
Les isolants à base végétale contiennent jusqu’à 25% de polyester pour lier les fibres végétales. En l’absence de ce liant, il ne serait pas possible d’obtenir un matelas laineux.
Du point de vue de l’impact environnemental, il convient pour tous les produits isolants d’origine végétale, animale, minérale ou organique, d’analyser l’ensemble du cycle de vie depuis les semences, collecte ou extraction des matières premières, jusqu’à la fin de vie du produit dans le bâtiment. Sinon on pourrait avoir un écart de 1 à 3 sur les différents indicateurs environnementaux majeurs. Comme tous les produits de la construction, les isolants, quelles que soient leur famille et leur nature, doivent faire l’objet de Fiches de Déclarations Environnementales et Sanitaires (FDE&S) conformes à la norme NF P 01-010. Ces fiches sont consultables sur la base de données publique www.inies.fr
La laine de chanvre (chènevotte, partie fibreuse de la plante) est un matériau issu de fibres naturelles. Après défibrage mécanique, les fibres sont conditionnées sous forme de nappes, auxquelles est ajouté un liant à base de fibres de polyester (entre 10 et 25 %) afin de constituer un matelas de fibreux souple et d’assurer la cohésion de ce matelas. Composée suivant sa fabrication de 40 à 80% de fibres de chanvre, elle peut recevoir des additifs comme le coton ou le jute pour compléter sa composition. Les panneaux semi rigides assurent également une isolation phonique efficace. La structure cellulaire de ce matériau naturel, ouverte à la diffusion de vapeur d’eau, lui confère une propriété de régulation hygrométrique des pièces. La laine de chanvre absorbe l’excès d’humidité et la restitue ultérieurement, quand l’atmosphère intérieure est plus sèche. Le climat intérieur des pièces et leur taux d’humidité relative sont optimisés.
Pour en savoir plus, on peut consulter les sites toutsurlisolation.com et isolation-ecologique.com
06:03 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : isolation, écologie, plantes, énergies, bâtiment
samedi, 07 mai 2011
Les bienfaits du jardin sur la santé
La Molène organise le dimanche 8 mai de 8 heures à 18 heures au parc Lecoq de Biganos sa traditionnelle Fête des Jardins, sur le thème : Les bienfaits du jardin sur la santé.
Parmi les exposants, une vingtaine d’horticulteurs aux productions très diversifiées : légumes et aromatiques, plantes à massifs, rosiers, bulbes, plantes méditerranéennes, graminées, et arbustes variés et de nombreux troqueurs pour échanger des plantes originales.
Mais aussi, un marché de produits naturels, pain bio, galettes et pâtés végétaux, huîtres, vins bio, miels, plantes médicinales, conserves d’oies et canards du Périgord ainsi qu’une coopérative de produits fermiers des Landes avec du porc gascon, des légumes, du fromage fermier…
Ainsi que 4 conférences, à 11h, utilisation des huiles essentielles, à 11h45, propriétés et utilisations du Lombricompost, à 14h30, les bienfaits du jardin sur les personnes hospitalisées et une expérience d’un jardin à but thérapeutique, enfin, à 15h30, une façon de jardiner en contact avec la Nature pour une dynamique de vie au jardinage.
05:37 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jardin, jardiner bio, plantes, alimentation, santé
lundi, 02 mai 2011
La formation des dunes
La dune est la partie visible d'un vaste volume de sable non consolidé qui est constitué de l'avant plage sous-marine et de la plage proprement dite. Le vent soulève le sable des plages et l'entraîne sur de grandes distances. Le sable se dépose sur les premiers obstacles rencontrés. Le dépôt se stabilise et forme une dune lorsqu'il est piégé par des plantes. Avec le temps, la végétation se diversifie dans les parties abritées du vent. Des zones humides occupent les dépressions en arrière des cordons de dunes. Leur caractère souvent saumâtre est dû à une remontée de sel.
La décomposition des débris laissés par la mer en haut des plages, appelés les laisses de mer, fournit l'azote nécessaire à la croissance des plantes qui sont à la limite plage-dune. Ces plantes forment le premier obstacle au vent. La dune s'élève parce que le vent remonte le sable le long de la pente. Le sommet de la dune est occupé par des plantes dont les racines piègent le sable. Toutefois le sable est peu compact et le vent l'entraînera de nouveau si la couverture végétale est insuffisante. Lorsque la végétation naturelle est détruite par l'homme, la stabilisation est obtenue en introduisant l'oyat, une graminée très résistante à l'ensablement et en installant les ganivelles, les clôtures brise-vent.
05:46 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mer, océan, plage, dune, écologie, environnement, plantes
vendredi, 08 avril 2011
La forêt pharmacie
L'association Exode tropical, portée par Marie-Anne Bertin et Sylvain Lefebvre, publie de nombreux articles sur la forêt tropicale. Voici l'artcicle sur la forêt pharmacie dans la province de Napo en Equateur. Coincé entre le Pérou et la Colombie, L'Equateur est un véritable hotspot de biodiversité qui a mille et une raisons d’attirer les baroudeurs chevronnés. Il suffit juste de citer la forêt amazonienne, la cordillère des Andes ou les îles Galapagos pour voir pétiller les yeux des naturalistes, photographes, alpinistes, plongeurs ou marins. Couvert de légendes et rendu célèbre au monde entier par l’expédition de Charles Darwin, L’Equateur offre aux voyageurs une splendide palette de paysages et l’opportunité de vivre des expériences inoubliables dans des communautés isolées du monde moderne.
On considère qu'un produit sur quatre utilisé en médecine provient des plantes tropicales.
Pour la majorité des Amérindiens, elles sont l'unique moyen de se soigner. Le manque de ressources financières pour compenser les coûts en cas de maladies (transport, hôpital, médication) a motivé cinq Indigènes Kichwa de la communauté de Campo Cocha à s'impliquer dans un projet de revalorisation des vertus médicinales des plantes. Alberto, Marco, Elena, Arturo et Gina ont suivi une formation de 80 heures, initiée par des professeurs de la fondation Jatun Sacha, afin d'apprendre comment confectionner pommades et sirops à partir d'essences végétales sauvages ou cultivées.
De plus en plus, le groupe s'investit à plein temps dans cette activité: la construction d'un local adapté et l'obtention d'une autorisation de vente au près du Ministère de la Santé sont les prochaines étapes à franchir.
Pour découvrir le diaporama, on peut consulter le site exode-tropical.com
05:26 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : foret, sante, médecine, equateur, plantes
mardi, 05 avril 2011
On peut jardiner autrement.
Contrôler les pucerons et les limaces, arracher les mauvaises herbes, sont autant de pratiques qui amènent trop souvent les jardiniers amateurs à utiliser des pesticides, potentiellement dangereux pour la nature et la santé. Chaque année, presque 5 000 tonnes de pesticides sont répandus par les 17 millions de jardiniers amateurs dans leur jardin et leur potager.
On peut jardiner autrement. Accueillir mousse, pissenlits, pâquerettes et autres mauvaises herbes, contempler les espèces floricoles qui se posent sur les plantes, surprendre celles qui pollinisent, c’est assez simple et naturel. Au lieu de combattre les parasites et les maladies une fois qu’ils menacent les cultures, on peut sélectionner des plantes en fonction de leur résistance ou leur tolérance aux parasites et maladies, associer les plantes en fonction des voisinages qui leur sont le plus favorables, varier les plantes cultivées d’une année à l’autre pour rompre le cycle de développement des parasites et limiter leur contact avec les cultures auxquelles ils s’attaquent, décaler la date de semis pour que la culture soit à un stade moins sensible de son développement lorsque les parasites attaquent, ne pas trop serrer les plantations et tailler régulièrement les haies et les arbustes pour faire pénétrer la lumière afin d’éviter la stagnation d’eau après la pluie et le développement des maladies, couvrir le sol pour éviter le développement des mauvaises herbes, utiliser du compost pour améliorer la fertilité du sol et renforcer la résistance des cultures en nourrissant les plantes, créer des espaces favorisant la biodiversité et la présence de certains insectes ou animaux ennemis des ravageurs...
06:04 Publié dans Les bons gestes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : jardin, jardinage, jardiner bio, pesticides, plantes, limaces, compost, biodiversité
mercredi, 26 janvier 2011
Des êtres vivants ne peuvent vivre isolément
Des êtres vivants ne peuvent vivre isolément. Les plantes et les animaux ont besoin d'énergie et des matériaux constituant leur environnement pour subsister. L'existence de chaque espèce conditionne les autres. C'est en 1886 que pour la première fois le biologiste allemand Ernst Haeckel utilise le terme "oecologie" (suivant sa propre graphie) pour définir l'étude des êtres vivants, leur environnement et leurs relations. Dans son ouvrage Morphologie générale des organismes, Ernst Haeckel désignait l'écologie en ces termes : (...) la science des relations des organismes avec le monde environnant, c'est-à-dire, dans un sens large, la science des conditions d'existence.
Après avoir rendu visite à Charles darwin, Ernst Haeckel contribua par ses écrits à la diffusion de la théorie de l'évolution. C’est lui qui imagina la création d’arbres des organismes afin de montrer de façon pédagogique des exemples de l’évolution. Le concept d'écologie a été introduit en France par les géographes de l'école des Annales de Géographie. Le terme "écologie" semble avoir été utilisé pour la première fois en français vers 1874. Mais ce concept se développa beaucoup plus dans les pays anglo-saxons.
06:02 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : écologie, darwin, évolution, théorie, écologues, environnement, plantes
jeudi, 07 octobre 2010
Adopter une Cardère des Villes
La Cardère des villes était cultivée autrefois pour les besoins de l'industrie textile. Elle était utilisée comme outil, employée à peigner les draps de laine, les feutres, les lodens. Ses crochets acérés, à la fois durs et élastiques, étaient irremplaçables pour tirer délicatement les fils de la trame, donnant à l’étoffe son aspect moelleux, ou feutré.
Mais la Cardère des villes est aussi une superbe fleur. Les papillons et bourdons sont attirés par son nectar lors de la floraison, les chardonnerets se nourissent de ses graines à la mauvaise saison. La cardère n’est pas envahissante, malgré ses piquants et son allure, ce n’est pas un chardon. C'est la plante idéale pour les bouquets séchés.
L'équipe de la revue La Hulotte, découvrant les toutes dernières graines, les a semées et multipliées pour ses lecteurs, qui aujourd'hui la cultivent dans toute la France.
On peut demander gratuitement un petit sachet de Cardères des Villes sur le site du journal lahulotte.fr
05:57 Publié dans Les bons gestes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : biodiversité, plantes, jardins, semence, fleurs
samedi, 25 septembre 2010
Le jardin des lumières, un lieu privilégié
A Bordeaux, le jardin des lumières se situe de part et d'autre du miroir d'eau de la place de la Bourse, le long des quais. Il épouse la courbe de la Garonne en forme de croissant de lune.
Ce n'est pas une zone verte ordinaire dans sa conception aussi bien que dans la diversité des plantes. Il est composé de 33000 plantes réparties sur 223 plates bandes dessinées en parallèle à la Garonne, 19000 plantes annuelles à massifs appartenant à 40 variétés différentes ainsi que 10000 vivaces et graminées représentant 116 espèces et variétés. On peut voir 40 espèces et variétés d'arbres différentes pour un total de 4000 arbustes taillés sur la longueur de l'aménagement.
Pour économiser l'eau, la technique du paillage est largement utilisée. Aujourd'hui, le jardin des lumières est devenu un lieu privilégié où les Bordelais aiment se retrouver.
Pour découvrir ce jardin, on peut consulter le site 33-bordeaux.com
05:45 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jardin, bordeaux, plantes, biodiversité, paillage
samedi, 18 septembre 2010
La collection horticole russe menacée
Nikolaï Ivanovitch Vavilov a envisagé, il y a près d’un siècle, un scénario catastrophe où l’humanité se verrait privée de la biodiversité naturelle. A la fois botaniste, agronome et généticien, Nikolaï a consacré sa vie à l’étude de la végétation et à la collection de plantes cultivées et sauvages, devenue une véritable banque, représentant le patrimoine génétique de la flore mondiale.
Aujourd’hui, la Banque de semences de l’Institut russe horticole est classée quatrième mondiale, après celles des Etats-Unis, de Chine et d’Inde. 330000 variétés de plantes cultivées et sauvages y sont conservées. L’Institut possède en outre un magnifique herbier de 260.000 spécimens, inscrit dans le patrimoine de l’Unesco. A l’Institut, chaque scientifique a la responsabilité d’une collection. Olga Radtchenko gère 370 types de prunes, sa collègue Natalia Poupkova surveille 300 sortes de groseilles à maquereaux et Olga Tikhonova est responsable de 1 000 variétés de cassis.
Mais cette collection horticole unique au monde est menacée d’être livrée aux promoteurs. Le jardin botanique est une vaste étendue en pente douce et ensoleillée, 500 hectares de bonne terre plantée d’arbres fruitiers, de baies et de fleurs à 30 kilomètres au sud de Saint-Pétersbourg, un eden de la biodiversité. L’Institut jouissait du contrôle du jardin horticole, mais dès 1995, l’Etat a récupéré les terres, les a confiées à l’Agence du logement et la mise en vente d’une parcelle de jardin est juridiquement envisageable et légale. Les pertes pour la biodiversité seraient inestimables.
Pour en savoir plus, on peut consulter le site sequovia.com
10:18 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : biodiversité, jardins, plantes, semences, variétés
mercredi, 21 juillet 2010
"Une année de foin est une année de bien"
En montagne, la senteur et la couleur des près en fleurs sont un enchantement pour tous les randonneurs. La période des foins a débuté. Au vu des pâturages, la récolte semble assez bonne cette année car il a suffisamment plu au printemps après des neiges relativement abondantes. L'herbe et les fleurs coupées embaument les chemins. La montagne reste par excellence terre d'élevage. Ce foin servira à nourrir les bêtes durant le long hiver. Il faut compter autant de tonnes de fourrage que de bêtes à nourrir. Les prés sont alors parsemés de rouleaux de foins. C'est la course pour rentrer la récolte avant les orages si fréquents en fin d'après midi.
Le foin de montagne, le plus parfumé de tous, est particulièrement apprécié par le bétail des plaines.
06:15 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : plantes, agriculture, montagne, fleurs
jeudi, 03 juin 2010
Un mur végétal qui purifie l'air d'une gare
La gare de Magenta proche de la gare du Nord est la première gare à disposer d'un mur végétal. Sur une surface de 70 m², sont installées 3 000 plantes de 31 espèces différentes, disposées sur une structure métallique munie de réseaux d’irrigation et d’air et de terreau. Soit 17,5 tonnes de verdure pour dépolluer l'air ambiant.
2 pompes pulsent l’air de la gare dans le mur. Les particules polluantes se fixent dans le terreau qui les filtre et les racines des plantes les décomposent. Les plantes utilisées pour cette fonction dépolluante sont : la plante araignée décompose le monoxyde de carbone, le lierre absorbe le xylène, la fougère de Boston humidifie l’air et le jasmin l’embaume.
C’est le premier mur végétal dépolluant en espace clos. Les mesures de qualité de l’air vont permettre d’évaluer son efficacité pour éventuellement renouveler l'opération dans d’autres gares.
06:05 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : murs végétaux, pollution, plantes, air
samedi, 15 mai 2010
Un tableau végétal dépolluant
Un tableau végétal, composé de plantes dépolluantes, est particulièrement efficace contre le formaldéhyde qui se cache dans les peintures, colles, papiers peints, résines et mousses d'isolation. Il absorbe jusquʼà 90% de ce produit présent dans une pièce.
Ce tableau vivant est composé de :
La dracaena compacta, en grec Drakaina signifie femelle du dragon, originaire des forêts pluviales tropicales de Colombie et du Pérou.
Le Chlorophytum, son nom en latin signifie plante verte, originaire d'Afrique du Sud, dépollue efficacement le toluène contenu dans les colles, les peintures, les vernis, les cires, le formaldéhyde contenu dans de nombreux matériaux de construction et le monoxyde de carbone, émis par les fumées de cigarettes et les mauvaises combustions.
Le spathiphyllum ou fleur de lune, originaire de Colombie, dépollue les composés volatils comme le formaldéhyde, le trichoréthylène, le xylène, le benzène, le toluène contenus dans les peintures et les encres et l'ammoniac émis par les colles et les cires.
Le hedera helix ou lierre, originaire des forêts pluviales tropicales de Colombie et du Pérou, neutralise efficacement le formaldéhyde contenu dans de nombreux matériaux de la construction et de l'aménagement, dans les colles, les mastics, les peintures, les vernis et les textiles.
Pour favoriser le développement des plantes dans les meilleures conditions, il est préférable d'accrocher le tableau végétal à un emplacement lumineux, sans exposition directe au soleil.
La proximité d'une fenêtre est indispensable pour un bon développement des végétaux.
Pour en savoir plus, on peut consulter le site consoglobe.com
06:03 Publié dans Les bons gestes | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : plantes, pollution, bâtiment, jardin
jeudi, 13 mai 2010
Les vrais parfums de Courson
Rendez-vous au domaine de Courson les vendredi 14, samedi 15 et dimanche 16 Mai 2010, les Journées des Plantes du Printemps 2010.
Peu avant 1900, dans les laboratoires des parfumeurs, une drôle de révolution va bouleverser non seulement l’histoire de la Parfumerie française,mais aussi le sens même de l’odorat. La mise au point de produits de synthèse permet d’obtenir des essences plus vraies que nature. Au cours des années 1970, les services marketing de la grande distribution en quête de renouvellement font disparaître l’odeur du savon de Marseille, de l’eau de Javel, des shampoings de berlingots, des lessives que l’on faisait bouillir sur les gazinières… Odeurs devenues trop rustres pour la finesse de nos nez en quête désormais de parfums suggestifs et recherchés, reconstitués par la magie de la chimie. Alors on vit fleurir des champs de lavande dans les adoucissants, s’exhaler des parfums de pommes vertes des flacons de shampoings, apparaître des extraits de citron pour lessiver les carrelages. Aussi, histoire de renouer avec les vrais parfums, les exposants pépiniéristes de Courson acceptent de partager leurs émotions olfactives ressenties au contact de certains de leurs végétaux, palette d’impressions ordonnée selon les univers suggestifs des aromatiques, des fruits, des fleurs.
Pour en savoir plus, on peut consulter le site domaine-de-courson.fr
05:55 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jardin, plantes, printemps, fleurs
mardi, 27 avril 2010
Plantes, plaisirs, passions
Samedi 1er Mai et Dimanche 2 Mai 2010, PLANTES, PLAISIRS, PASSIONS investit à nouveau l'ensemble du château de La Roche-Guyon, cours hautes, cour d'honneur, cour basse, douves, orangerie, souterrains, bâtiment des communs, écuries et potager.
Quatre-vingt-dix exposants soigneusement sélectionnés pour la qualité de leurs choix et la passion qui les anime se tiennent à disposition de 10h à 21h le samedi et de 10h à 19h le dimanche. Ils proposeront des végétaux adaptées à notre environnement et de précieux conseils. Les deux journées seront ponctuées d'ateliers, visites guidées, rencontres, conférences, colloques sur la passion et le plaisir de jardiner durablement.
• Visite guidée du jardin anglais : ce parcours-plaisir du XVIIIe siècle, abandonné à la nature et habituellement fermé au public est en projet de réhabilitation. Il s'étage sur les pentes de la falaise. Sa végétation préservée et luxuriante présente une grande variété de végétaux rares et des surprises architecturales étonnantes.
• Visite guidée du potager-fruitier du Siècle des lumières. Jardin expérimental, il a été restauré à l'identique en 2004. Il est depuis trois ans repris en main par les jardiniers du château afin de redevenir exemplaire sur le plan biologique et écologique, bannissant pesticides de synthèse et engrais chimiques.
Pour en savoir plus, un site est dédié à cette opération plantesplaisirspassions.com
06:33 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : plantes, jardins, environnement, jardinage
vendredi, 23 avril 2010
Profiter des jardins du Val d'Oise
L’édition 2010 de la brochure du Conseil général « De parcs en jardins » est parue. On peut y retrouver les bonnes adresses et dates des manifestations qui proposent de multiples rendez-vous nature pour toute la saison.
Elaborée avec les communes, les associations, les professionnels du végétal et les propriétaires de jardins, cette publication recense les différents lieux de détente, de verdure et d'émotions du Val d'Oise. Elle incite à la découverte des fêtes des plantes et des nombreuses animations autour du thème du jardinage proposées dans tout le département.
« De parcs en jardins » est disponible gratuitement sur simple demande au 01 34 25 36 00 ou 01 34 25 32 08 ou en laissant ses coordonnées postales sur jardins@valdoise.fr
05:42 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jardins, val d'oise, plantes, jardinage
dimanche, 01 novembre 2009
Le ginkgo biloba ou l' arbre aux quarante écus
Le ginkgo biloba ou l' arbre aux quarante écus ou encore l'arbre aux mille écus est la seule espèce actuelle de la famille des ginkgoaceae. C’est la plus ancienne espèce d'arbre connue puisqu'il serait apparu il y a plus de 270 millions d’années, bien avant les dinosaures. Cet arbre a survécu à tous les bouleversements climatiques de notre planète.
Le nom latin ginkgo vient de l'ancienne lecture japonaise ginkyō du mot chinois. Le mot biloba de la forme caractéristique des feuilles, fendues en deux lobes. Le nom d’« arbre aux quarante écus » vient du fait que le botaniste français M. de Pétigny a acheté, en 1788, 5 plants de ginkgo à un botaniste anglais pour la somme considérable de 200 livres, soit 40 écus d’or. Le nom d’« arbre aux mille écus » est aussi expliqué par l’aspect de ses feuilles qui deviennent jaunes dorées à l’automne et forment comme un tapis d’or à ses pieds.
Le Ginkgo est un arbre de taille moyenne, pouvant atteindre 20 à 35 m. Sa durée de vie est très importante, puisque certains spécimens sont connus pour avoir plus de 2 500 ans. Le Ginkgo a de très nombreuses applications médicales découvertes depuis plusieurs millénaires. Les graines de ginkgo comparables aux pistaches sont une nourriture traditionnelle en Chine et au Japon. On trouve des Ginkgo aujourd'hui dans de nombreuses rues et parcs des grandes villes en raison de sa résistance à la pollution.
06:01 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : ginkgo, pollution, plantes, arbre