Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 01 février 2009

Ratatouille, la passion de la cuisine

Ratatouille, la fabuleuse histoire du premier rat de goût. Remy, un petit rat se prend de passion pour la grande cuisine, des moments inoubliables d'humour. Remy a un véritable don pour cuisiner, marier les saveurs, découvrir de nouveaux aromes.

Rémy est prêt à tout pour vivre sa passion... notamment venir s'installer avec sa famille sous les cuisines d'un des plus grands restaurants parisiens : celui de Auguste Gusteau, la star des fourneaux. Malgré le danger et les pièges, la tentation est grande de s'aventurer dans cet univers interdit. Rémy va former une bien curieuse équipe avec Linguini, le jeune commis, qui découvrira par hasard ses fabuleux talents. Ecartelé entre son rêve et sa condition, Remy va découvrir le vrai sens de l'aventure, de l'amitié, de la famille... et comprendre qu'il doit trouver le courage d'aller au bout de sa passion...

Réalisateur et producteur :Brad Bird Histoire originale : Jan Pinkava, Jim Capobianco, Brad Bird
Avec les voix de : Camille, Jean-Pierre Marielle, Thierry Ragueneau, Pierre-François Martin-Laval, Guillaume Lebon et la participation exceptionnelle de Guy Savoy et Cyril Lignac.

Pour le plaisir voir ou revoir 7 minutes de l’univers déjanté de Ratatouille avec une introduction du réalisateur Brad Bird.

dimanche, 14 décembre 2008

" La Meilleure façon de cuisiner "

LA MEILLEURE FACON DE CUISINER : une série documentaire de Gaël Leiblang en 4 épisodes. Diffusion les 15 et 22 décembre à 20h50 sur France3

Ils ont entre 14 et 17 ans et, de la gastronomie française, ils ne connaissent rien ou pas grand-chose, certains ne sont même jamais allés dans un restaurant. Ces adolescents ont pourtant fait le choix d’intégrer un lycée hôtelier pour préparer un BEP, le diplôme de base dans le domaine de l’hôtellerie et de la restauration.
Des entretiens de motivation jusqu’au stage de fin d’année, une caméra a été installée pendant un an, au sein du lycée professionnel René Auffray, situé à Clichy-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine (92), pour suivre ces élèves en première année de BEP.


50 % de filles, 50 % de garçons, mais 100 % de jeunes de la banlieue. Tous les élèves du lycée viennent du « 92 ». Pas du côté de Neuilly-sur-Seine, mais plutôt des quartiers de Gennevilliers, Asnières, Nanterre ou Clichy. Oublier les habitudes de la cité, apprendre la discipline et la hiérarchie, cette première année de formation est la plus riche en découvertes : reconnaître un fromage, goûter de nouveaux aliments, dresser une assiette, servir un plat, mettre un tablier... Pour tous, c’est le choc des cultures ! Les familles des élèves apparaissent aussi comme un contrechamp indispensable.

mardi, 14 octobre 2008

L'éducation du jeune consommateur

Pour sa dix-neuvième édition, la semaine du goût se déroule du 13 au 19 octobre.
Cette année, les 5 valeurs de la semaine du goût sont :

semaine-gout02.png1- développer l'éducation et l'apprentissage du consommateur, notamment du jeune consommateur,
2- s'attacher à proposer goût et saveurs pour le plus grand nombre de consommateurs sous toutes les formes de consommations alimentaires,
3- produire et élaborer des aliments sûrs,
4- offrir une information transparente et pédagogique auprès du grand public sur l'origine des aliments concernés, de leurs modes de production et de leur qualité,
5- promouvoir des comportements alimentaires s'inscrivant dans le cadre d'un mode de vie équilibré.

semaine-gout-2008-2.gifJe suis intervenu hier après-midi auprès des enfants du centre de loisirs Saint Exupéry de Bessancourt pour échanger avec eux sur la provenance de notre alimentation quotidienne, les enjeux du développement durable et l’agriculture raisonnée ou biologique. Ils se sont montrés attentifs et curieux. Notre entretien s’est poursuivi avec une dégustation du pain BIO aux raisins, de miel du Vexin et de jus de pommes pétillant des vergers d’Auvers sur Oise. La semaine du goût est un moment privilégié pour informer les jeunes consommateurs.

lundi, 06 octobre 2008

La semaine du goût 2008

semaine-gout-2008-2.gifPour sa dix-neuvième édition, la semaine du goût se déroulera du 13 au 19 octobre.

C’est la semaine gourmande de l’année. Mais comment apprécie-t-on les différentes saveurs des aliments et plats cuisinés ?

Les 5 sens sont en éveil mais l’odorat et le goût sont bien sûr les deux sens les plus mobilisés. La flaveur correspond à l'ensemble des sensations gustatives et olfactives.

La vue permet de reconnaître la forme, l'état, l'aspect, les couleurs qui induisent parfois des saveurs.
Le toucher permet à la fois de qualifier un aliment avant et après l'avoir porté à la bouche, d'en appréhender la texture et la consistance.
L'ouïe intervient dans l'appréciation et le plaisir pris à consommer un aliment.
L'odorat est une sensation perçue soit directement par le nez, soit par voie rétro-nasale (voie empruntées par les odeurs qui, provenant de la cavité buccale ,rejoignent les récepteurs olfactifs par une communication située dans l'arrière bouche).

semaine-gout-5sens.png

Le goût est une sensation gustative perçue dans la cavité buccale. Il permet de percevoir les 4 saveurs à l'aide de la langue : l'acide, l'amer, le salé, le sucré. Ce sont les papilles qui détectent les saveurs des aliments.

Le goût se construit au cours de l'enfance puis tout au long de sa vie, avec le plaisir de découvrir de nouvelles saveurs ou de retrouver des goûts un moment oubliés. Les goûts ont tendance à se standardiser, les aliments sont plus fades, les plats sont trop souvent accompagnés de sauces et trop salés.

Un des objectifs d’O’Papilles est de proposer des aliments plus parfumés, plus sains, de grande fraîcheur et des recettes qui les mettent simplement en valeur.

semaine-gout-5sens-panier.jpg

Servir une salade d'accompagnement composée d'ingrédients plus inhabituels tels que quartiers de pommes ou d'oranges ajoutent une saveur acidulée en même temps qu'une pointe de couleur plus vive. Ajouter des herbes aromatiques, tels que ciboulette et persil, réhaussent une salade un peu terne. Un assaisonnement ajouté en garniture ou simplement présenté à la table suffit à modifier profondément les saveurs. Certaines associations surprennent agréablement nos papilles, on peut par exemple essayer le mélange tomates, oignons et raisins secs. N'oublions pas les nombreuses variétés de pain BIO qui rassis et grillés accompagnent délicieusement les plats de l'entrée au fromage. On peut aussi apporter un soin particulier au choix de la vaisselle de présentation des plats dont l'association des couleurs et des formes invite à la dégustation. La curiosité et l'envie de nouveauté permettent d'enrichir la cuisine au quotidien et de surprendre les papilles de nos proches et amis. Chaque semaine, en fonction de la saison, de la pluie et du soleil, des récoltes, j'ai le plaisir de vous proposer des paniers différents avec des légumes BIO et parfois inattendus.

Bonne semaine gourmande, damien.

mardi, 05 août 2008

La tomate ananas "Solanum lycopersicum"

La tomate ananas est une tomate mi-hâtive de plein été. Elle contient très peu de graines, elle est ferme, dense, juteuse, sucrée, très parfumée et d’une saveur incomparable.

tomates-ananas01.jpg
tomates-ananas02.jpg

Elle est relativement grosse de 250 à 400 g. en moyenne, mais peut atteindre 1 kg. La chair ressemble à une tranche d’ananas, d'où son nom. Elle est excellente en salade, mais on peut aussi la cuisiner car sa chair reste ferme à la cuisson. Elle est idéale pour les intestins fragiles car elle très peu acide. Un peu chère, de 3 à 4€ le kg, elle a un goût inimitable.

tomates-ananas03.jpg
tomates-ananas04.jpg


La tomate ananas a un feuillage de pomme de terre. Sur les marchés, est apparue une variété à feuillage régulier baptisée du même nom dont les fruits sont plus côtelés. Cette nouvelle variété risque de faire disparaître des potagers la vraie tomate ananas. Les passionnés de tomates anciennes sont inquiets et tentent de préserver sa semence.

samedi, 19 juillet 2008

Les grains de café

Il existe trois espèces de caféiers. Le coffea liberica cultivé en Afrique occidentale dont les fèves nécessitent une torréfaction poussée avant d'être mélangées. Le coffea arabica qui poussait à l'état sauvage en Ethiopie, se cultive maintenant en altitude dans tous les pays producteurs de café. Ses fèves sont pauvres en caféine. Le coffea canephora, donnant le café robusta, est adapté à la culture en basse altitude principalement à Madagascar et en Afrique occidentale. Ses fèves ont une forte teneur en caféine. D'un arôme plus neutre, elles sont souvent mélangées avec d'autres fèves. Les plants de caféier ont besoin de pluie, de soleil et d'au moins deux heures d'ombre par jour. Les climats propices à la culture du café favorisent également la prolifération des herbes, nécessitant un désherbage régulier.

cafe-grains02.jpgLes fruits du caféier, appelés cerises, renferment deux graines aplaties, les fèves. Leur couleur passe du vert au rouge, puis au cramoisi quand elles mûrissent. Le date des récoltes dépend de la situation géographique des lieux de production par rapport à l'équateur. La récolte des cerises, principalement manuelle, réclame un grand nombre de cueilleuses. Les cerises flétrissent vite et les fruits doivent être ramassés rapidement dès qu'ils sont à point. Pour les arabica de qualité supérieure, on ne ramasse que les fruits rouges en réalisant des passages hebdomadaires. Après la cueillette, on extrait les fèves des cerises et une fois décortiquées, elles sont séchées au soleil. La couleur atteste de la qualité de la récolte, les meilleures fèves ont une teinte bleutée. Le meilleur café se fera avec les plus grosses fèves.

Pour développer le goût et l'arôme, les grains de café sont torréfiés après l'exportation. Lors de la torréfaction, ils sont chauffés et brassés, leur couleur et taille se modifient, ils doublent de grosseur et prennent une teinte châtain clair ou brun foncé. Plus la torréfaction est foncée moins la qualité du café est bonne. Les fèves, une fois torréfiées, perdent rapidement leur parfum naturel, aussi il est préférable d'acheter du café fraîchement torréfié et en petite quantité.

lundi, 12 mai 2008

Cuisson des légumes

545454568.jpgCuisson à la vapeur
C’est une méthode très ancienne et particulièrement recommandée. Les Chinois cuisaient avec 3 paniers de bambou superposés et aujourd’hui, on peut encore acheter de tels paniers ou utiliser des ustensiles plus modernes. La cuisson à la vapeur permet de mélanger les saveurs les plus subtiles et permet au goût des aliments de s’affirmer. Plus les légumes sont frais, meilleurs ils sont. Des temps de cuisson appropriés permettent de préserver la couleur des légumes. Pour ce mode de cuisson, disposer les légumes qui cuisent le plus rapidement sur le dessus et mettre suffisamment d’eau à bouillir sans qu'elle ne touche le premier panier.

Cuisson à l'eau ou au bouillon
Pour les légumes qui poussent hors de terre, ne pas commencer la cuisson à l'eau froide, attendre que l’eau ou le bouillon soit en ébullition avant d’y ajouter les légumes. Réduire le feu de cuisson et cuire jusqu’à une consistance croquante. On évite de cuire les légumes trop tôt avant leur consommation. Ils perdraient leur couleur et leur croquant. Le jus de cuisson peut être utilisé pour d'autres préparations.
Pour les légumes qui poussent sous terre, mettre les légumes dans l’eau froide et faire bouillir à feu modéré. Vérifier la cuisson avec la lame d'un petit couteau qui doit passer à travers le légume sans résistance. De même conserver ce jus de cuisson pour cuisiner des soupes et des sauces.

Cuisson des choux à la vapeur ou à l'eau
Le goût prononcé des différentes sortes de choux n’est pas toujours apprécié, et on l'atténue en adaptant le mode de préparation. On peut les préparer crus, en salade, cuits à l’eau ou à la vapeur. Les légumes à saveur forte doivent être cuits dans une grande quantité d’eau légèrement salée dans laquelle on peut ajouter du jus de citron. Lorsque l’eau commence à bouillir, enlever le couvercle pendant les 5 premières minutes. La vapeur d’eau qui se dégage alors entraîne les composés volatiles qui donnent le goût prononcé de ces légumes.

Les temps de cuisson des légumes
On calcule le temps de cuisson à partir du moment où l'eau est en ébullition. La fraîcheur influence la cuisson et plus un légume est frais, moins son temps de cuisson est long. Pour obtenir une cuisson homogène, on coupe les légumes en morceaux de même grosseur.

 
Temps de cuisson

Légumes

à la vapeur

à l'eau bouillante

Carottes coupées en rondelles ou julienne
8-11 min.
5-8 min
Carottes entières ou en gros morceaux
20-30 min
15-20 min

Épinards

3-5 min.
1-2 min

Bettes ou poirées

12-15 min
10-12 min
Petits pois
5-8 min.
5 min.
Brocoli
8 min.
4-5 min.
Choux de Bruxelles
8-9 min.
4-5 min.
Chou-fleur
7-9 min.
4-5 min.
Chou émincé
8-10 min.
5 min.
Haricots verts
petits : 4 min
moyens : 8-10 min.
3 min
7-9 min
Asperges entières
12 min.
2-5 min.
Asperges pointes, tiges
2-7 min
2-7 min
Navet
5-7 min.
4-5 min.

Betteraves petites

15-30 min
12-14 min

Courgettes

5-10 min
5-7 min

 

mardi, 22 avril 2008

Redécouvrir le goût de la ciboulette

1122346627.jpgLa ciboulette est la plus fine des plantes du genre alium parmi l’oignon, l’ail et l’échalote. C'est une plante vivace qui se cultive facilement en pot sur le rebord d'une fenêtre et peut aussi rester en place plusieurs années dans un coin du jardin. Il faut la couper fréquemment pour stimuler la pousse des feuilles.
Ses feuilles fraîches ciselées et les bulbes émincés sont utilisés crus pour aromatiser les crudités et les salades. Elle parfume délicieusement les omelettes.
Ses fleurs décorent les salades ainsi que les plats en sauces et peuvent aussi se conserver au vinaigre comme les cornichons. Elles perdent alors leur belle couleur.

Source wikipédia

dimanche, 06 avril 2008

Plaisir d'un bon pain le dimanche matin

259274225.jpgL’odorat est le premier sens qui nous permet de reconnaître un bon pain. Son odeur incomparable et très complexe enchante notre nez dès que nous entrons dans la boulangerie.
La qualité du pain se reconnaît au premier coup d’œil. Sa croûte doit être d’un beau jaune bien doré, aux arêtes bien détachées. Le dessous du pain est plus terne que le dessus. La mie est bien alvéolée.
Au toucher, la croûte résiste à la pression, la mie est élastique sous le doigt et reprend sa forme dès qu’on le retire.
L’ouïe ajoute une dimension gourmande au toucher. Quand on la toque avec le doigt, la croûte est sonore. Quand on rompt le pain, elle est délicieusement craquante.
Le goût du pain varie d’un boulanger à l’autre, d’un type de pain à l’autre. Les saveurs de la croûte et de la mie doivent se compléter harmonieusement
et le pain ne doit pas être trop salé.
Le goût de la croûte provient d’une modification produite par l’action de la chaleur entre les molécules de sucres et les différents acides aminés présents à la surface du pain. Elle donne sa couleur dorée et son goût à la croûte. Le goût de la mie est moins prononcé. Il provient à la fois de la farine, des levures et de la croûte dont les molécules aromatiques migrent dans la mie.
Les 5 sens en éveil dès le matin, la journée commence agréablement.


Source: Espace pain information

vendredi, 21 mars 2008

Histoire du goût, légumes et fruits

925250340.jpgAu Moyen Age la plupart des légumes passaient pour grossiers, comme l'élément «terre» dont ils étaient issus. On ne servait guère sur les bonnes tables que des plats de céréales et de légumineuses,qui passaient pour raffinés comme l'élément «air» où ils se développaient. C'est aux XVI et XVII siècles qu'on voit se multiplier les autres légumes. C'est en particulier le cas des champignons, des asperges, des vrilles de vigne et des artichauts.
1006360129.jpg Quant aux fruits, la plupart d'entre eux n'avaient pas subi le même discrédit au Moyen Age car ils croissaient dans l'air, élément noble. Aux XVI, XVII et XVIII siècles, une multitude de vergers se créent dans les maisons de campagne de la noblesse et de la bourgeoisie. Les variétés se multiplient à tel point que certains fruits, comme les poires, deviennent disponibles presque toute l'année. Dés le XIX siècle mais surtout au XX, la création de nouvelles variétés n'empêche pas le nombre de celles qu'on trouve dans le commerce de diminuer. Le ramassage avant maturité et la conservation en chambre froide a porté un lourd préjudice à leur goût.
Un site ressource sur l'alimentation, les cultures et les comportements alimentaires

dimanche, 16 mars 2008

En cuisine, n'oublions pas le champignon

1873248882.jpgOn a commencé à cultiver le champignon de Paris dans les carrières de Paris, d'où son nom... Au début du XIXème, quand les carrières ont été interdites, la culture du champignon s'est "délocalisée" dans le Val d'Oise. C'est pratiquement le seul champignon dont on maîtrise la culture. La production annuelle avoisine les 200 000 tonnes.

A Méry sur Oise, la production a été relancée par Bruno Zamblera : « Pour commencer, nous allons produire en petite quantité, faire de la production à la demande en quelque sorte. Les champignons sont vendus directement sur place et chez quelques maraîchers de la région. Ils sont cueillis à la main chaque jour pour garantir leur fraîcheur et leur goût naturel »
C'est un
produit facile à utiliser. Cru, il se consomme en salade. Cuisiné, il rehausse le goût de sauces, entre dans la composition de nombreuses recettes relevant le plat le plus simple. Peu énergétique et pauvre en sel, il n'existe pas de contre-indications.

 

Source : lire l'article sur Vonews