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mercredi, 02 octobre 2013

3 arbres plantés pour chaque arbre coupé

L'entreprise Pocheco qui propose des enveloppes écologiques, s'engage à replanter trois arbres pour chaque arbre coupé. L'objectif du procédé de fabrication est de réduire l'impact environnemental, réduire la pénibilité des postes et augmenter la productivité. Ces enveloppes utilisent aussi des colles sans solvants, des encres à base d'eau. Les "écoveloppes" Oxymore sont non blanchies, plus fines et issues de déchets de scieries. La fenêtre est en papier transparent, ces enveloppes sont donc totalement recyclables.

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L'analyse du cycle de vie de ces enveloppes a permis de réduire de 30% l'emprunte écologique. Les "Ecoveloppes" Palimpseste sont recyclables jusqu'à sept fois et utilisent également des fenêtres en papier transparent.


Source : pocheco.com

lundi, 22 juillet 2013

Les peupliers OGM ont été dévitalisés

En 2007, l’Inra avaient obtenu l’autorisation de procéder à un essai scientifique utilisant des peupliers génétiquement modifiés. Cet essai, mené sur une parcelle expérimentale du Loiret, visait l’acquisition de connaissances d’intérêt général. L’Institut avait demandé le renouvellement, pour une période supplémentaire de 5 ans. Eu égard aux délais d’instruction de la demande de renouvellement de l’essai, aux engagements souscrits en 2007 dans le cadre de l’autorisation initiale, aux contraintes climatiques particulières du printemps 2013 et à leur influence sur l’expérimentation, et en l’absence de l’autorisation attendue, l’INRA a dû décider le vendredi 12 juillet de dévitaliser définitivement les peupliers génétiquement modifiés. Cette décision a été mise en œuvre le samedi 13 juillet matin.

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Malgré tout, fort de cette expérience et conscient, selon l'Institut, des enjeux scientifiques relatifs à la formation et aux usages du bois comme aux impacts environnementaux des OGM, l'INRA entend faire des propositions pour approfondir et compléter les premiers résultats acquis grâce au premier essai et pour maintenir des compétences et une expertise nationales publiques fondées sur des connaissances scientifiques robustes. Dans cette perspective, l’INRA sera prêt à proposer de nouveaux essais au champ.

Source : presse.inra.fr

jeudi, 11 juillet 2013

Les conifères, espèces les plus anciennes de la planète

Les conifères sont les espèces les plus grandes et les plus anciennes de la planète. Le Bristlecone Pine peut vivre jusqu’à 5000 ans et le Coast Redwood peut atteindre jusqu’à 110 mètres de hauteur.

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L’UICN, l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature, a indiqué dans un rapport que 34% des conifères étaient menacés d’extinction, contre 30% dans la dernière évaluation réalisée en 1998.
Le Monterey Pine de Californie, le pin le plus planté au monde et reconnu comme une source de pulpe importante, a été changé de catégorie passant de la catégorie des espèces « moins préoccupantes » à la catégorie des espèces « menacées » du fait des menaces exercées par une propagation de maladies fongiques.

Source : actualites-news-environnement.com



samedi, 06 juillet 2013

Au quotidien, le bois est partout dans la maison.

Au quotidien, le bois est partout dans la maison. Les produits issus du bois sont des ressources naturelles et renouvelables si la forêt d'où provient le bois est gérée de manière responsable. Aussi, pour lutter contre la déforestation néfaste pour la nature et les hommes, des labels de certification favorisent aujourd'hui la protection de l'environnement et la gestion responsable des forêts dans le monde.


Pour s'informer sur l'importance d'une attitude responsable vis-à-vis des produits bois et papier et sur l'impact positif que cela engendre sur les forêts, voici le magazine vidéo « Sous l'arbre, le mag info de nos forêts »

jeudi, 04 juillet 2013

Architecture verte à Milan

Stefano Boeri, architecte italien, a eu l’idée de redonner un air plus respirable à Milan en proposant un projet spectaculaire pour l’année 2014 : créer deux tours forêts. Ce projet consiste donc à créer deux gratte-ciel presque intégralement recouverts de plantes et d’arbres. Un éco-habitat dont la particularité sera un important manteau végétal composé d’environ 900 arbres, 11 000 plantes/fleurs et 5000 arbustes. Le projet « Bosco Vertical » (Forêt verticale) sera donc composé de deux tours hautes de 80 et 112 mètres aménagées de terrasses sur chacun des appartements.

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L’architecture verte est accompagnée d'éoliennes et de capteurs solaires sur le toit des deux immeubles afin de couvrir une bonne partie des dépenses énergétiques. La végétation, quant à elle, sera entièrement arrosée grâce à l’eau de pluie récoltée puis filtrée. De plus, ces deux tours seront écologiques à longueur de temps car l’été, les balcons garnis de plantes filtreront la pollution de l’air en créant de l’ombre et l’hiver, le soleil réchauffera les logements.

Pour en savoir plus sur ce projet, on peut consulter le site : infoimmo.fr

mercredi, 19 décembre 2012

Sauvons les grands arbres

Les arbres les plus vieux ont un rôle écologique majeur. Leurs cavités peuvent servir de nids ou d’abris, pour parfois plus de 30 % des oiseaux et animaux de l’écosystème. Par leur taille, ils stockent d’énormes quantités de carbone et recyclent les éléments nutritifs du sol grâce auxquels prospère un grand nombre d’espèces. Ces arbres fournissent une abondance de nourriture pour beaucoup d’animaux sous forme de feuillage, de fleurs ou de fruits. Même dans les paysages agricoles, les vieux grands arbres peuvent restaurer la végétation.

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Le chêne de Tronjoly, à Bulat-Pestivien en France, âgé d'environ 1700 ans © Michel Lefranq, Wikipédia


Dans un rapport publié dans Science, des scientifiques signalent une alarmante accélération du taux de mortalité des grands arbres de 100 à 300 ans au cours du siècle dernier. Selon David Lindenmayer, premier auteur du rapport, ce déclin a été observé dans les forêts suédoises et confirmé par une étude de 30 ans sur les Eucalyptus d'Australie. Les vieux arbres disparaissent en masse dans les feux de forêt mais le taux de mortalité reste 10 fois plus important que la normale, les années sans feux. Ces observations s’étendent au monde entier. Ce déclin est dû aux défrichage, pratiques agricoles, feux de forêt, exploitation forestière, utilisation du bois, attaques d'insectes, changements climatiques.

Un appel est lancé par la communauté scientifique, il y a urgence dans le monde entier à sauver les grands arbres. Il faut enquêter pour évaluer l'ampleur de la perte des grands arbres, et identifier les domaines où ils ont une meilleure chance de survie.

Source : futura-sciences.com

mercredi, 21 novembre 2012

La confusion dangereuse entre les espèces de champignons

Depuis juillet, 55 cas d’intoxications dues aux champignons ont été répertoriés en Aquitaine par l’institut de veille sanitaire. Un chiffre qui place l’Aquitaine au 6e rang au niveau national.  Le pic de l’épidémie a eu lieu entre le 8 et le 28 octobre au moment où les conditions météorologiques étaient favorables à la pousse des champignons. La principale cause d’intoxication est la confusion entre les espèces de champignons.

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A titre d’exemple, l'Agaric des bois (Agaricus silvicola) présente pour les débutants de vrais risques de confusion avec les amanites mortelles (source : wikipedia.org).

La première recommandation est donc de ne pas ramasser les champignons qu’on ne connaît pas et de se renseigner auprès des pharmaciens en cas de doute. La cueillette à proximité de sites pollués,zones industrielles, décharges ou autres, est aussi à proscrire. Il faut consommer les champignons en quantité raisonnable et jamais crus. Selon l'Agence régionale de Santé, les symptômes d’intoxications apparaissent dans les douze heures, il peut s’agir de diarrhées, de vertiges, de tremblements, de troubles de la vue . La surveillance menée par l’institut et le centre antipoison, entamée en juillet, se poursuit jusqu’en décembre car un autre pic reste possible. « En 2011, deux pics épidémiques avaient été enregistrés : en juillet et en novembre. Ce qui avait porté le nombre d’intoxications à 161 », rappelle Patrick Rolland, coordonnateur scientifique de la Cire Aquitaine.

Source : article d'Elsa Provenzano sur 20minutes.fr

samedi, 08 septembre 2012

La déforestation réduit les précipitations de 20%

La déforestation massive avait déjà son lot de fléaux connus, mais pour la première fois une estimation chiffrée de ses effets sur les précipitations a été donnée par l'équipe de Dominick Spracklen et publiée dans Nature. Les pluies devraient être réduites de 21% lors de la saison sèche de 2050 en Amazonie.

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Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont utilisé un satellite de la NASA dans le but de surveiller les précipitations et la végétation. Une fois les données insérées dans un modèle de prédiction, il a ainsi été conclu que l'air qui circule assez longtemps au dessus d'une forêt est capable de générer deux fois plus de précipitations que s'il passait au dessus d'une région à la végétation plus rase. Un surplus d'humidité qui provient de l'évapotranspiration des feuilles.

Source : maxisciences.com

samedi, 28 juillet 2012

La garrigue des Pyrénées Orientales

Les Pyrénées-Orientales sont principalement constituées de forêts de chênes et de garrigue. Si les chênes, comme tous les feuillus, sont résistants, la garrigue, constituée de buissons et d'arbustes, l’est beaucoup moins. Cette végétation se trouve sur un sol calcaire, donc sec et qui facilite la propagation d'un incendie. de plus, les pentes du Massif des Albères dans les Pyrénées-Orientales sont des accélérateurs de feu. En effet un feu né à la base d’une pente va la gravir à toute vitesse. Le haut de la flamme brûle plus intensément donc le feu va toujours brûler vers le haut. 

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Des pompiers tentent de maîtriser le feu vers le TGV Barcelone-Perpignan, près de Llers (Catalogne), le 23 juillet 2012. © REUTERS

Enfin, en été, la puissance d'un vent sec comme la Tramontagne attise le feu et risque de le faire repartir en projettant des bouts de végétaux enflammés, qui vont tomber plus loin sur les cimes des arbres. On appelle ce phénomène les "sautes de feu".

Source : quoi.info

lundi, 02 juillet 2012

Un écocide, destruction d'un écosystème

Un écocide est un acte de destruction d'un écosystème, notamment par l'exploitation excessive de celui-ci. Par exemple, l'assèchement de la mer d'Aral est due aux prélèvements excessifs par l'homme de l'eau des fleuves qui la constitue. Ce néologisme est construit à partir des mots écosystème et génocide car il symbolise la destruction systématique et totale d'un écosystème, à la nuance près que cette destruction n'est pas forcément voulue.

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Les premiers peuples de l'île de Pâques avaient réussi à construire des centaines de statues, les célèbres et mystérieuses Moai. Une des hypothèses concernant le transport de ces colossales statues est que les habitants durent exploiter les importantes ressources en arbres dont ils disposaient. Dès l'an 1600, l'île avait perdu la majeure partie de sa végétation et ses habitants plongèrent peu à peu dans le cannibalisme et l'esclavage. Le syndrome de l'île de Pâques a été examiné par J. F. Richards. Le modèle veut montrer qu'il existe un rapport à risque entre une civilisation et son environnement qu'elle exploite jusqu'à l'extinction. Par cette fiction, Richard montre que certaines cultures humaines annoncent les choix futurs que l'Humanité aura à élaborer concernant la déstabilisation de son environnement écologique, et dévoile par là le rapport contigu de l'Homme et de son économie avec celui-ci. Richard rejoint de ce fait toute l'écologie née avec James Lovelock et son hypothèse Gaïa. Pour prévenir ce genre de scénario, Richard préconise le RTQM c'est-à-dire le « réseau de traitement des questions mondiales ».

Source : wikipédia

lundi, 23 avril 2012

Quatre centimètres de poils urticants

Quatre centimètres de poils hirsutes et horriblement urticants, la chenille processionnaire cheminent en processions de 20 mètres et plus. Mésanges et huppes fasciées, dont le long bec courbé est agile à déterrer les chrysalides, sont les seuls oiseaux qui protègent les humains de Thaumetopoea pityocampa, qui opère sur les arbres qu'elle colonise et dont elle se nourrit.

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Le département d'entomologie forestière d'Hervé Jactel, à Bordeaux, rattaché à l'Institut national de recherche agronomique recommande d'opposer de nouveaux pièges à la chenille processionnaire en « plantant des haies de feuillus entre les pins, [pour dresser de la sorte] un écran physique entre les arbres hôtes et non-hôtes ». Des essais sont également pratiqués avec la constitution de « barrières chimiques », du répulsif épandu pour éloigner les insectes, poursuit Hervé Jactel. L'Inra développe aussi une méthode de « piégeage sexuel » aux phéromones : en synthétisant l'odeur émise par les femelles, on attire les mâles sur des pièges.

dimanche, 22 avril 2012

Les services rendus des forêts

Près de 1,6 milliard de personnes dépendent des forêts pour leur subsistance, elles produisent des biens dont certains ont une valeur marchande comme le bois, des produits pharmaceutiques et bien d’autres encore.

Elles rendent des services essentiels : régulent le climat, les pluies, évitent les effets dévastateurs des tsunamis sur les côtes, procurent de l’eau potable, constituent un véritable stock de carbone… Et maintiennent les sols fragiles de régions qui subissent de fortes pluies.

Près de 80 pour cent des individus des pays en développement dépendent des remèdes de la médecine traditionnelle dont la moitié d’entre eux sont issus de plantes trouvées principalement dans les forêts tropicales.

Trois quarts de l’eau douce accessible provient des bassins versants des forêts ; les forêts purifient l’eau potable du deux tiers des grandes villes des pays en développement.

lundi, 16 avril 2012

Le bois, faites l'expérience

A compter du 13 avril 2012, Cap sciences à Bordeaux propose une nouvelle exposition intitulée : Le bois, faites l'expérience. Comment les découvertes scientifiques permettent de nouveaux usages du bois, pourquoi le bois est-il un matériau de l’habitat durable, en quoi l’Aquitaine joue un rôle national dans ce secteur, quel sera la place du bois demain dans les villes ?

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Un atelier est ouvert aux enfants à partir de 10 ans : L’arbre sondeur.
Le bois est-il un matériau d’avenir, créatif, innovant, design, rassembleur, écologique ? Basé sur le principe de l’analyse sensorielle, l’arbre sondeur donne l’occasion de donner une perception du bois et de se comparer à tous les autres visiteurs au travers d’une animation participative. L’arbre pousse au fur et à mesure que les visiteurs participent à l’atelier. Chaque vote permet à l’arbre de changer de forme, en fonction de sa propre représentation du bois.

Pour en savoir plus sur l'exposition, on peut se connecter sur le site cap-sciences.net

Le bois, faites l'expérience

A compter du 13 avril 2012, Cap sciences à Bordeaux propose une nouvelle exposition intitulée : Le bois, faites l'expérience. Comment les découvertes scientifiques permettent de nouveaux usages du bois, pourquoi le bois est-il un matériau de l’habitat durable, en quoi l’Aquitaine joue un rôle national dans ce secteur, quel sera la place du bois demain dans les villes ?

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Un atelier est ouvert aux enfants à partir de 10 ans : L’arbre sondeur.
Le bois est-il un matériau d’avenir, créatif, innovant, design, rassembleur, écologique ? Basé sur le principe de l’analyse sensorielle, l’arbre sondeur donne l’occasion de donner une perception du bois et de se comparer à tous les autres visiteurs au travers d’une animation participative. L’arbre pousse au fur et à mesure que les visiteurs participent à l’atelier. Chaque vote permet à l’arbre de changer de forme, en fonction de sa propre représentation du bois.

Pour en savoir plus sur l'exposition, on peut se connecter sur le site cap-sciences.net

vendredi, 24 février 2012

Il y a 3.000 ans, l’Homme pratiquait déjà la déforestation

Il y a 3.000 ans déjà, l’Homme pratiquait la déforestation en Afrique centrale. C’est ce que démontre une étude de chercheurs de l’Ifremer, publiée dans la revue Science. Selon eux, les Hommes auraient abattu des arbres de la forêt tropicale humide du centre de l’Afrique afin de pratiquer l'agriculture.

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C’est en analysant les sédiments déposés au fond de l’embouchure du fleuve Congo que Germain Bayon et ses collègues en sont venus à cette hypothèse. Ils ont réalisé des carottages et les quantités d’argile, d’aluminium et de potassium ont été analysées. L’argile est un très bon indicateur des précipitations car elle est fortement soumise au phénomène d’érosion. Quant à l’aluminium (Al) et au potassium (K), ils ont des mobilités bien différentes. En mesurant le ratio de ces deux éléments dans les carottes, il est possible d’effectuer des interprétations concernant l’érosion. Plus le ratio est grand, plus l’érosion a été importante.

Les données sédimentaires montrent que le changement climatique n'aurait pas pu à lui seul transformer la forêt en savane.

Source : futura-sciences.com/fr

samedi, 31 décembre 2011

Le chauffage au bois bien utilisé

Utilisé dans de mauvaises conditions, le bois peut émettre plus de polluants que d'autres combustibles et notamment des polluants ayant un impact sur la santé : des particules fines, du monoxyde de carbone, des composés organiques volatils (COV) et des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). Cependant, la combustion du bois n'entraîne pas d'augmentation du taux global de CO2 dans l'atmosphère lorsque les forêts dont il est issu sont correctement gérées. En effet, le dioxyde de carbone libéré dans l'air lors de sa combustion correspond à celui qu'il a absorbé durant la croissance de l'arbre. Son impact est donc quasiment neutre sur l'effet de serre.


Santé Bois Energie : Réduire les émissions de... par santeboisenergie

Le chauffage au bois bien utilisé présente le double avantage de concilier durablement la création d'emplois et la protection de l'environnement. D'une part, près de 60 000 personnes vivent déjà en France de cette filière et d'autre part, la substitution des énergies fossiles par le bois contribue directement à la lutte contre le réchauffement climatique.

Pour plus d'informations sur ce sujet, on peut consulter le site notre-planete.info

lundi, 26 décembre 2011

La Grande Muraille Verte

Depuis plusieurs mois, un projet pharaonique se prépare en Afrique : une Grande Muraille Verte. L’objectif : lutter contre la progression du désert sur les terres africaines et la désertification.

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En Afrique, le désert gagne sur les zones exploitées par l’Homme. Cette désertification que connaissent les pays de la zone sahélo-saharienne peut être expliquée par un déficit pluviométrique aggravé par le déséquilibre écologique et une dégradation de la qualité des sols.

11 pays de la zone sahélo-saharienne réagissent. Ils ne veulent plus laisser le désert empiéter sur des zones qui devraient être cultivées ou verdoyantes : la diversité biologique de la zone et la sécurité alimentaire des habitants sont mis à mal. Plusieurs programmes ont déjà été mis en place à échelle nationale, régionale ou locale, sans les résultats escomptés. D’où  l’idée d’un projet international contre par l’avancée du désert.

Pour en savoir plus sur ce projet, on peut consulter le site consoglobe.com

mardi, 20 décembre 2011

La forêt du Groënland a plus de 450 000 ans

Selon une étude du Département de Botanique de Copenhague, au Moyen-Âge, même au beau milieu de l'optimum climatique médiéval, le Groënland n'était recouvert que de bosquets, situés  à l'emplacement des 50 bosquets aujourd'hui répertoriés. Et la seule "forêt" naturelle de l'île, est située dans la vallée de Qingua. Elle est composée d'arbres ayant traversés les âges comme des sorbiers du Groënland, des bouleaux et des sorbiers d'Amérique du Nord.  En 2007, une équipe menée par le glaciologue E. Willerslev avait déjà confirmé l'absence de forêts depuis 450 000 ans en analysant les spores contenues dans la glace.

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Selon l'article publié sur le site notre-planete.info, La Saga d'Erik le Rouge nous le dit clair et net : Groënland, c'est une arnaque pour faire venir des immigrés! Au temps des vikings, le groënland n'a jamais été une terre verte couverte de forêts comme son nom le laisserait penser. Et l'argument utilisé par des sceptiques du réchauffement climatique, comme quoi le groenland a déjà été une terre verte et qu'il ne faudrait pas s'inquiéter de la fonte des glaces, ne tient pas.

mercredi, 14 décembre 2011

L'arbre girafe, élu arbre de l'année par les internautes

L'arbre girafe, un chêne pédonculé de Fouesnant dans le Finistère, a été élu "arbre de l'année" par les internautes. 

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L'arbre girafe, ainsi appelé compte tenu de sa forme, a une circonférence de 2,80m et mesure 18m de haut. Ce chêne pédonculé vieux de 200 ans s'arrondit en forme d'arche et marque l'entrée dans un bois. Il a obtenu 2546 voix lors du vote par internet pour élire l'arbre de l'année, premier concours du genre en France. Derrière lui, un genévrier thurifère de Saint-Crépin dans les Hautes-Alpes, et un fromager de Martinique, havre des chauve-souris.

mardi, 29 novembre 2011

Les peuples indigènes, les meilleurs protecteurs des forêts.

Selon une nouvelle étude de la Banque mondiale, les peuples indigènes jouent un rôle décisif dans la préservation des forêts du monde, tandis que les zones de conservation qui les excluent se dégradent. Cette analyse montre que le taux de déforestation descend au niveau le plus bas dans les zones protégées où les peuples indigènes peuvent continuer de vivre.

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Dans le monde entier, des millions d'autochtones sont devenus des réfugiés de la conservation, mais la Banque mondiale observe que cette fatalité implique que 'la préservation des forêts s'accomplit aux dépens des moyens de subsistance locaux. 80% des zones protégées dans le monde sont les territoires de communautés indigènes qui y vivent depuis des millénaires. Ce n'est pas une coïncidence : les experts reconnaissent de plus en plus la corrélation entre la présence des peuples indigènes et la préservation des forêts.

Pour en savoir plus, on peut consulter le site notre-planete.info