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jeudi, 22 janvier 2015

La chute du prix du pétrole

Les prix du pétrole sont tombés en dessous de 50 dollars. Les producteurs de pétrole de schiste comme les États-Unis et le Canada connaissent une crise inédite. Le 4 janvier, l'entreprise américaine de pétrole de schiste WBH Energy s'est déclarée en faillite. Depuis 2010, les dettes des entreprises américaines dans le secteur de l'énergie ont augmenté de 55%. La révolution des hydrocarbures de schiste en Amérique du Nord fait à la fois face aux prix faibles du pétrole et aux coups spéculatifs des investisseurs. Confrontées à l'assèchement des liquidités et à la baisse des prix pétroliers, les petites entreprises de pétrole de schiste vont faire faillite ou être fusionnées. Le secteur du pétrole et du gaz de schiste continuera à exister, mais à condition de diminuer ses coûts d'exploitation pour concurrencer les producteurs à faible coût de l'OPEP.

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Les prix du pétrole chutent car l'offre est excédentaire. Mais les producteurs de pétrole ne vont pas diminuer le nombre de barils produits, et les prix vont continuer à baisser. Au moment où les prix du pétrole ont chuté en dessous de 50 dollars US, l'OPEP a tenu une réunion pour trouver un consensus visant à ne pas limiter la production. Les coûts d'extraction des pays de l'OPEP demeurent en moyenne à environ 40 dollars US, tandis que les coûts d'extraction du pétrole de schiste sont au moins de 60 dollars US. Même si les prix du pétrole passent au-dessus de 40 dollars US, c'est encore rentable pour les pays de l'OPEP et les entreprises de pétrole de schiste risqueront d'être mises hors du marché.


Source : notre-planete.info

mardi, 09 décembre 2014

Engagement politique ou argumentaire marketing ?

Avec une densité de 5249 habitants au kilomètre carré, Vancouver, capitale de la Colombie-Britannique, est la ville la plus densément peuplée du Canada. Vancouver est donc devenue un véritable laboratoire urbain de la question environnementale, inspirée par l'esprit du "Pacifique Nord Ouest". Dans les années 1960, à contre-courant de l'idéologie de la voiture reine, des centaines d'habitants protestent contre le projet d'autoroute qui doit traverser la ville. Ils obtiennent gain de cause.

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Vancouver, berceau du militantisme écologique, a lancé le pari de devenir la cité la plus verte du monde en 2020. Berceau du "green building mouvement" qui milite pour une architecture écologique, Vancouver avait déjà pris un peu d'avance sur ses homologues canadiennes. En mars 2006, sur l'île Grandville, était inauguré le premier bâtiment durable du pays, The Light House Sustainable Building Centre. Aujourd'hui, les trois axes du projet sont l'occupation de l'espace et l'urbanisme, les transports et la protection climatique. Concrètement, les initiatives peuvent parfois ressembler à des gadgets, comme la plantation d'arbres fruitiers dans les parcs et jardins publics. Ou être innovantes et bluffantes, comme le recyclage de la chaleur des égouts pour chauffer une bonne partie du nouveau quartier dit "durable" de Southeast False Creek. Véritable engagement politique ou argumentaire marketing ?

Source : lexpress.fr

mercredi, 29 octobre 2014

L’inlandsis du Groenland fond

Que réserve l’avenir à ce sujet ? Pour le savoir, l’océanographe Alan Condron de l’université de Massachusetts Amherst a modélisé ce qui s’est passé dans l’Atlantique nord lorsque l’inlandsis laurentidien a libéré des quantités importantes d’icebergs et d’eau douce froide, voici 21.000 ans. Les chercheurs ont analysé des images haute résolution des fonds marins bordant la côte est des États-Unis du cap Hatteras, une avancée de terre insulaire située dans l’état de Caroline du Nord, jusqu’en Floride. Ils ont identifié environ 400 marques d’affouillement dans les sédiments qui ont été formées par des icebergs dérivant dans l’atlantique nord au moment où elle était plus basse d’environ 100 km, lors de la dernière glaciation. La profondeur de certain de ces affouillements indique que les icebergs qui les ont laissés avaient une hauteur de 300 m, ce qui est comparable avec ceux que l’on retrouve au large du Groenland de nos jours.

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Il y a 21.000 ans, la Terre était en train de se réchauffer, d’immenses lacs d’eau de fonte glaciaire se formaient en Amérique du Nord. Des barrages de glace cédaient périodiquement injectant de grandes quantités d’eau douce et de glace dans l’Atlantique au niveau de la baie d’Hudson et du golfe du Saint-Laurent, au Canada. Les calculs conduits par l’océanographe Alan Condron montrent que les icebergs résultant de ce phénomène obliquaient rapidement sur la droite pour se diriger en direction des tropiques. Parcourant 5.000 km en moins de quatre mois, certains d’entre eux finissaient par rejoindre les eaux des Bahamas.

Source : futura-sciences.com

dimanche, 25 août 2013

Rencontre avec l'ours noir du Québec

Selon un proverbe amérindien, quand une aiguille de pin tombe au sol, l'aigle la voit, le cerf l'entend et l'ours la sent. L'être humain a toujours eu envers l'ours une attitude marquée de prudence et de respect, voire de vénération. Voici un film dont les images ont été prises dans différentes régions du Québec, du sud au Nord. Les ours étaient en complète liberté dans leurs environnements.

Source : claudefortin.com

Rencontre avec l'ours noir du Québec from Claude Fortin on Vimeo.

06:45 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ours, vidéos, canada, québec

jeudi, 27 juin 2013

L'eau piégée sous terre depuis 1,5 milliard d'années

A 2,4km de profondeur, dans la mine de cuivre de Timmins dans l'Ontario au Canada, des chercheurs britanniques et canadiens se sont penchés sur une réserve d'eau restée totalement isolée du monde extérieur depuis le Précambrien et découverte par des mineurs. Cette eau s'écoule très lentement, avec un débit de 2 litres par minute, dans un trou de forage.


Selon les premières analyses, cette eau est riche en gaz dissous, comme l'hydrogène et le méthane ainsi qu'en isotopes stables de gaz rares (Xénon, Krypton, Hélium, Argon, Néon). Ce qui permet aux chercheurs d'estimer l'âge de cette eau piégée sous terre à au moins 1,5 milliard d'années. Mais d'autres indices laissent penser qu'elle pourrait être vieille de près de 2,7 milliards d'années, un âge proche des roches qui la retiennent prisonnière. Ce qui suscite l'intérêt des chercheurs c'est la présence de ces gaz et isotopes qui ont le potentiel pour fournir l'énergie nécessaire à la vie pour des micro-organismes tenus à l'écart du Soleil durant des milliards d'années. C'est en partie le cas dans les sources d'eau chaude situées au fond des océans qui sont riches en vie microscopique.


Ainsi, si des bactéries sont découvertes dans l'eau de la mine de Timmins, leur étude pourrait éclairer les scientifiques sur leur évolution phylogénétique de leurs descendants jusqu'à notre époque. De plus, cette découverte devrait éclairer les scientifiques sur les limites de la vie et les conditions nécessaires à son maintien. Enfin, cette étude relance les espoirs de trouver de la vie sur d'autres planètes comme Mars où elle aurait pu se développer de manière totalement indépendante des conditions de surface. Les analyses microbiologiques devraient prendre encore un an avant de pouvoir délivrer des conclusions définitives.

Source : notre-planete.info

dimanche, 14 avril 2013

Nourrir la planète

Depuis longtemps, les populations des pays riches tiennent pour acquis ce qu'ils mettent sur leurs tables. On va au supermarché et tout est là : des aliments des quatre coins du monde. Mais cette abondance tire peut-être à sa fin. Nos ressources naturelles diminuent, alors que la demande pour les denrées alimentaires ne cesse de croître. Nous sommes 7 milliards d'humains sur terre, et nous serons 9 milliards en 2050. Comment nourrir tout ce monde ?


Nourrir la planète ou la planète peut-elle nous... par non-merci

Des experts nous disent que nous sommes à la veille d'une crise alimentaire mondiale et que l'enjeu des guerres de demain pourrait bien être l'eau et les aliments plutôt que le pétrole et le territoire. Ce documentaire de la BBC adapté par l'équipe de la Semaine verte est une rediffusion de l'émission diffusée les 5 et 6 mars 2011.

Source : radio-canada.ca

vendredi, 23 novembre 2012

Chauffage au bois, quelques gestes simples

Au Québec, le chauffage au bois résidentiel est responsable de la moitié des émissions de particules fines provenant des activités humaines. Sur le plan local, la contribution à la pollution causée par ce type de combustion peut être beaucoup plus importante. Une enquête sur l’île de Montréal par la Communauté urbaine a montré qu’en hiver, dans un quartier résidentiel, les concentrations de COV, de particules fines et de HAP étaient souvent supérieures à celles mesurées dans le centre-ville de Montréal. Sous certaines conditions météorologiques, les concentrations de contaminants dans l’air ambiant peuvent atteindre des niveaux élevés dans certains quartiers.

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En plus d’émettre des contaminants dans l’air extérieur, les appareils de combustion du bois peuvent modifier la qualité de l’air des habitations. Quelques gestes simples pour limiter l'exposition aux contaminants : éviter le chauffage au bois comme mode de chauffage principal, limiter l’utilisation des poêles à bois les journées où il y a du brouillard, ne pas brûler de plastiques ou de bois peinturé, utiliser un bois dur qui a séché au moins six mois, utiliser un poêle neuf certifié qui peut émettre jusqu’à 90 % moins de particules...

samedi, 02 juin 2012

Une serre sur les toits

Depuis que les hommes se sont construits des habitations, leur première préoccupation a été de se protéger des intempéries. Les toitures ont d'abord été conçues pour les abriter de la pluie. Elles devaient donc être étanches et pentues pour évacuer l'eau. Mais la situation a changé, la population a dépassé 7 milliards d'habitants, l'artificialisation des espaces naturels devient un phénomène préoccupant. En France, elle augmente de 6000 km2 par an. Les nouveaux enjeux environnementaux amènent à reconsidérer les fonctions des toitures.

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Par exemple, en les recouvrant de terre, elles peuvent devenir des espaces naturels et produire des légumes pour les habitants. Mohamed Hage a créé la ferme Lufa sur un toit d'immeuble de bureaux à Montréal. Il y a installé une serre gigantesque de 3000 m2. C'est la plus grande serre potagère du monde. Elle emploie 19 personnes et produit essentiellement des tomates, des salades et des fraises. Sa production est vendue à près de 1000 familles du voisinage sous la forme de panier hebdomadaire. Sa serre utilise moins d'énergie qu'une serre traditionnelle puisqu'elle récupère la chaleur de l'immeuble. En retour, la serre facilite l'isolation du bâtiment. La production étant locale, l'économie se fait aussi sur le transport. C'est donc un concept économiquement viable et donc reproductible.

Pour en savoir plus, on peut lire l'article publié sur le site agoravox.fr

mardi, 17 avril 2012

Un nouveau «French Paradox»

 Les Américains et les Canadiens sont bien mieux informés que les Français de la teneur en graisses des aliments, une connaissance qui ne les protège pourtant pas du surpoids, selon une étude publiée dans le British Food Journal. Sur l’ensemble des produits testés, beurre allégé ou non, lait entier, demi-écrémé ou écrémé, margarine, huiles de tournesol et d’olive, poisson et viande, ils sont 42,7% des Français à avouer ne pas connaître la teneur en matières grasses, contre seulement 4,3% des Américains et 12,5% des Canadiens. Même divergence quant à la connaissance des divers lipides: 6% des Canadiens, 9% des Américains et 17% des Français admettent ignorer s’il est conseillé de réduire son apport en acides gras saturés, en acides gras insaturés ou s’il ne faut en modifier aucun.

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Selon les auteurs, le niveau de connaissance nutritionnelle est certes meilleur en Amérique du Nord, mais il pourrait entraver une vision plus globale de l’alimentation. Voire engendrer une confusion contre-productive : pour preuve, les chiffres du surpoids et de l’obésité, qui en 2006 touchaient 41,6% des Français et 70,8% des Américains, signe pour les chercheurs d’un nouveau «French Paradox».

Pour en savoir plus, on peut lire l'article publié sur le site journaldelenvironnement.net

samedi, 17 décembre 2011

Alors on saura que l’argent ne se mange pas

Proverbe améridien :
Quand le dernier arbre aura été abattu
Quand la dernière rivière aura été empoisonnée
Quand le dernier poisson aura été péché
Alors on saura que l’argent ne se mange pas

Deux heures après être rentré de la conférence de Durban, le ministre de l'environnement du Canada a annoncé : « Kyoto, pour le Canada, est chose du passé. Nous invoquons notre droit reconnu par la loi de nous retirer officiellement de Kyoto. Kyoto ne fonctionne pas » parce qu'il « ne couvre pas les deux plus grands pays émetteurs, les États-Unis et la Chine ».

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Brandissant la menace de la perte de milliers d'emplois, le ministre, a évalué à 14 milliards de dollars les pénalités que le Canada risquait de devoir verser s'il restait partie au protocole sans atteindre ses objectifs, soit l'équivalent de 1600 $ par famille canadienne.

Un député, ancien ministre de l'Environnement a vivement réfuté cet argument : « C'est une blague totale! Un pays qui manque sa cible n'a aucune pénalité financière sous Kyoto. Il doit simplement à renégocier une cible en conséquence. C'est ce que prévoit le protocole ».

Selon un autre député, « M. Kent (ministre de l'environnement, vient d'acheter du temps pour les pollueurs du Canada, vient d'acheter du temps pour les grandes compagnies pétrolières des sables bitumineux de l'Ouest ».

Pour en savoir plus, on peut lire ou écouter radio-canada.ca

vendredi, 14 octobre 2011

L'effet papillon

Le Monarque est un papillon d'Amérique qui migre en groupe de millions d'individus sur plus de 4000 kilomètres, deux fois par an, d'août à octobre vers le Mexique puis au printemps retour vers le Canada.


Papillon Monarque par rikiai

Les papillons monarques, qui ne mesurent que 10cm et ne pèsent qu"un demi gramme, savent utiliser les vents pour traverser la moitié du continent américain en franchissant les montagnes et déserts. Mais ils sont menacés par la déforestation des forêts de Michoacán, au Mexique. Officiellement protégées, ces forêts sont elles mêmes menacées par les abattages sauvages. La survie de l'espèce est en danger.

Pour en savoir plus,on peut regarder ce soir le documentaire de Nick de Pencier "La grande migration des papillons monarques" diffusé sur ARTE à 22h30

mercredi, 02 février 2011

Une nouvelle génération de piles solaires souples

Écouter de la musique, par l'entremise d'une pile solaire souple, sera bientôt possible.

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Les scientifiques de l'Université Laval au Canada perfectionnent ces piles photovoltaïques organiques qui pourraient bientôt être assez bon marché et puissantes pour élargir considérablement le marché des piles solaires.

La Terre reçoit plus d'énergie solaire en une heure que la planète entière n'en consomme actuellement en un an. Pour l'instant toutefois, les piles photovoltaïques ne produisent qu'un millionième de l'électricité employée, et la production de cette électricité coûte 5 ou 6 fois plus cher que celle provenant des centrales hydroélectriques, nucléaires ou thermiques.


Une encre solaire produit de l'électricité
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Les panneaux de piles solaires en silicium sont encombrants et lourds, car le fragile élément qu'est le silicium doit être lié à un substrat rigide en verre ou en plastique qui le protège du bris. Les travaux du CNRC ont remédié à ces problèmes en remplaçant le silicium par un semi-conducteur polymérique peu coûteux appelé polycarbazole. La production de polycarbazole n'exige pas d'installations spéciales et on peut adapter les presses rotatives à grande vitesse d'une imprimerie pour qu'elles appliquent une mince couche de cette substance, comme s'il s'agissait d'encre, sur un support en plastique souple, comme une tente, un auvent, des vêtements, des sacs et des emballages. Grâce à la flexibilité du support, il est possible de fabriquer ces piles comme on imprime un journal. Mais leur principal avantage demeure le faible coût. Ces piles coûtent en effet beaucoup moins cher que la technologie existante.

Pour en savoir plus, on peut consulter le site du CNRC

dimanche, 25 octobre 2009

CRAC! C'est l'histoire d'une chaise berçante

CRAC! est l'histoire d'une chaise berçante et un prétexte pour raconter l'évolution rapide de la société québécoise. Dans cette jolie fable un brin nostalgique, Frédéric Back fait revivre des tranches savoureuses de la vie traditionnelle mise à l'écart par les sirènes du progrès et une urbanisation galopante. CRAC! est le bruit de l'arbre abattu pour faire la chaise, c'est encore celui que fait cette chaise quand on s'y berce, mais c'est aussi celui de la cassure dans nos vies quand les changements surviennent trop rapidement.

CRAC! est aussi un hommage de Frédéric Back au Québec, son pays d'adoption et à la culture de Ghylaine, son épouse et la mère de ses enfants. Ce film va conquérir la planète et mériter à son auteur ainsi qu'à la Société Radio-Canada un premier Oscar® en 1982.

Voici une vidéo d'un entretien de Frédéric Back pour mieux connaître cet artiste :

dimanche, 11 octobre 2009

Le conte écologique de Frédéric Back consacré au Saint Laurent

L'eau est essentielle à toute forme de vie. Comparable à la déforestation, la pollution et le manque d'eau sont une tragédie à l'échelle de la planète. Suite au succès mondial de L'Homme qui plantait des arbres qui a remporté un Oscar® et engendré la plantation de millions d'arbres, Frédéric Back décide de consacrer un film au fleuve Saint-Laurent.

"Magtogoek", tel que le nomment les Amérindiens Micmacs, prend sa source dans les Grands lacs et se jette dans l'Atlantique après sa longue traversée du Québec. Ses eaux où abondaient autrefois d'innombrables espèces animales et végétales se sont appauvries sous les coups d'une exploitation abusive et de la pollution industrielle, comme de nombreux autres fleuves à travers le monde.

Voici en vidéo un premier épisode :

 

dimanche, 04 octobre 2009

Les enfants apprennent à s'occuper d'un potager

Au Jardin botanique de Montréal, des enfants apprennent à s'occuper d'un potager et à cultiver leurs propres légumes. Encadrés par des animateurs, ils s'initient ainsi à la botanique et à la biologie en s'amusant. À la fin de l'été, la récolte est appréciée par toute la famille.