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mardi, 30 mars 2010

Une aventure au service de la connaissance du climat

Une aventure humaine et technologique au service de la connaissance et de la préservation du climat

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Jean-Louis Etienne : " La Traversée du pôle Nord en Ballon n’a encore jamais été réalisée. Ce sera le dernier acte de la trilogie de mes expéditions au pôle Nord en solitaire. Après avoir atteint le pôle en tirant mon traîneau pendant 63 jours en 1986, dérivé quatre mois sur la banquise à bord du Polar Observer en 2002, je prépare ce vol pour avril 2010.

generali-artic2.pngLe ballon est une rozière, un ballon mixte hélium / air chaud, du même type que le Breitling Orbiter autour du monde de Bertrand Piccard et Brian Jones. La nacelle est spécialement construite pour cette traversée polaire.

Deux mesures en continu seront effectuées : le CO2 atmosphérique pour le Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement - CEA-CNRS, et le champ magnétique terrestre pour l’Institut de Physique du Globe de Paris-LETI-CEA.

Par cette aventure audacieuse, digne des romans de Jules Verne, je souhaite attirer l’attention du monde sur la régression de la banquise et ses conséquences sur la vie des peuples autochtones, la biodiversité arctique et le chaos climatique à l’échelle planétaire qu’engendrerait sa disparition. La banquise est le meilleur indice de performance des mesures que l’humanité doit engager contre le réchauffement climatique.
"

Pour en savoir plus, on peut consulter le site de Jean-Louis Etienne

samedi, 09 janvier 2010

Pourquoi le réchauffement de la planète s’accélère-t-il ?

Pourquoi le réchauffement de la planète s’accélère-t-il ? Pourquoi les activités humaines perturbent-elles le climat ? Comment réduire les émissions de gaz à effet de serre ? Quels sont les impacts actuels et futurs des changements climatiques ? Comment l’Homme pourra-t-il s’y adapter ?
Etes-vous prêt à entamer un voyage au cœur des changements climatiques et du développement durable?

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Promenez vous à la montagne, à la campagne, en ville ou au bord de mer ! A partir des éléments du paysage (maisons, voitures, champs, centrales électriques, forêts, glacier, etc.), accédez à plus de 300 documents vidéos : interviews, animations, graphiques, cartes et diapos photos.

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Jouez avec Clim’Way® et créez votre plan climat ! Saurez-vous aider la communauté à atteindre les objectifs fixés ! 50 ans seront-ils suffisants pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, diminuer les consommations d’énergie et adapter Clim’Way® à de nouvelles conditions climatiques ?

Pour mieux connaître ce jeu et charger une partie on peut consulter le site climcity.cap-sciences.net

 

vendredi, 13 novembre 2009

Après nous le déluge...

Ce soir, vendredi 13 novembre, sur France 3, une émission spéciale de Thalassa depuis Copenhague au Danemark : Après nous le déluge...

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C’est une certitude, le réchauffement de la planète est en marche et le niveau de la mer va monter d’un mètre au minimum d’ici 2100. Les émissions de gaz à effet de serre doivent impérativement baisser de moitié d’ici 2050. La Commission Européenne a déjà fixé des objectifs pour 2012 : les « 3 fois 20 ». Soit 20% d’économie d’énergie, 20% d’énergie renouvelable dans la consommation et 20% de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Tels sont les enjeux de la conférence des Nations Unies sur le climat qui se tiendra à Copenhague en décembre prochain. Pour l’humanité, c’est une occasion historique de se mesurer à un vrai  défi et de le résoudre de manière décisive, si l’on veut éviter que le changement climatique ne tourne au chaos climatique.

Parmi tous les reportages :

apres-nous-ledeluge-02.jpgLa France en panne, un reportage d’Isabelle Billet, Yvon Bodin et Olivier Bonnet.
Pour récupérer l’énergie de la houle, des courants, de la température, des vents marins, nombreux sont les ingénieurs et chercheurs qui planchent sur les hydroliennes, éoliennes, « houloliennes », « courantoliennes »…
Mais, à l’heure actuelle, rien n’est en place. Pourquoi tant de lenteur, pourquoi ce manque d’investisseurs ?

apres-nous-ledeluge-01.jpgCO2, l'ennemi public n°1, un reportage de Stéphan Poulle , Nicolas Koutsikas, Nicolas Vrignon, Ch. Auxémery et O. Bonnet.
Les océans abritent de gigantesques pompes à carbone capables de capturer le CO2 présent dans l’atmosphère pour le stocker au fond des mers. Pompe physique, pompe biologique, nous découvrons ces incroyables machines sous-marines qui jouent un rôle écologique majeur en absorbant près du tiers de nos émissions de CO2. En cas de saturation, cette belle mécanique pourrait un jour se gripper sous les effets du réchauffement de la planète et mettre en péril le fragile équilibre de notre machine climatique.


Pour en savoir plus on peut consulter le site de l'émission thalassa.france3.fr

dimanche, 08 novembre 2009

On ne négocie pas avec le climat, on agit.

Cette semaine, une inquiétude a plané à Barcelone sur le succès d’un accord mondial sur le climat avant janvier 2010. Il y a encore quelques mois, le Sommet de Copenhague, qui se tiendra du 7 au 18 décembre, s’annonçait comme un moment historique. Nombre d’experts craignent aujourd’hui que les discussions ne débouchent sur un compromis peu ambitieux.

L’ultimatum climatique est une campagne s’intégrant dans la mobilisation internationale pour obtenir à Copenhague 2009 un accord à la hauteur des enjeux climatiques.

Monsieur le Président,

Au mois de décembre de cette année se tiendra à Copenhague le Sommet de l’ONU sur le climat. Confrontés au péril climatique, les dirigeants du monde entier devront parvenir à surmonter leurs divergences d’intérêts de court terme pour se rassembler autour d’un projet politique mondial fondé sur un constat scientifique objectif et ainsi donner une suite au protocole de Kyoto qui soit à la hauteur des enjeux que nous allons devoir tous ensemble affronter dans les décennies à venir. Le résultat de cette conférence dessinera l’avenir climatique de l’humanité. Or comme le rappelait il y a un an le secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-Moon, « nous sommes au bord d’une catastrophe si nous n’agissons pas ».

Acteurs reconnus de la protection de l’environnement, des droits humains et de la solidarité internationale, conscients des responsabilités qui sont les nôtres, nous avons décidé pour la première fois de parler d’une seule voix pour vous exprimer publiquement notre préoccupation et vous appeler à agir avec ambition et détermination lors de la Conférence de Copenhague. Au regard de l’ultimatum climatique auquel l’humanité est confrontée aujourd’hui, Monsieur le Président, vous aurez rendez-vous avec l’Histoire en décembre 2009.

Le réchauffement du système climatique est sans équivoque. L’activité humaine en est la cause. Ses impacts se font déjà ressentir en différents points du globe, notamment par la multiplication des catastrophes climatiques. Si nous n’agissons pas maintenant, ils seront sans aucun doute encore plus dévastateurs. C’est le constat sans appel de 2 500 scientifiques du monde entier qui ont reçu collectivement le Prix Nobel de la Paix en 2007 pour leurs travaux sur le phénomène des changements climatiques. Depuis, de nouveaux éléments scientifiques montrent, chaque jour, que le climat se dérègle au-delà des prévisions les plus pessimistes, avec des conséquences bien plus précoces que prévues et d’ores et déjà visibles.

S’il est encore difficile d’évaluer avec précision l’amplitude des impacts, le danger est en revanche déjà certain. Ecosystèmes ravagés, variabilité climatique extrême, hausse du niveau des océans… : les premières victimes de ces catastrophes en chaîne sont les populations déjà vulnérables en Afrique subsaharienne, en Asie centrale, du Sud Est ou dans de nombreux pays insulaires. La sécurité alimentaire, l’accès à l’eau ou à la terre sont gravement menacés et des centaines de millions de personnes risquent d’être poussées à l’exode, grossissant les rangs de ceux que l’on nomme les « réfugiés climatiques ». Dans un monde de crises, nous craignons que la guerre, l’autoritarisme, les inégalités, la misère  et la souffrance humaine prennent encore un peu plus le pas sur la paix, la dignité humaine et la démocratie.

L’urgence climatique nous commande donc d’agir à la hauteur des périls qui sont devant nous. Nous maîtrisons déjà la plupart des technologies nécessaires pour relever le défi d’un mode de développement qui intégrerait à sa juste mesure l’impératif climatique. De plus, cette rupture avec un modèle de développement hérité d’un passé révolu recèle des opportunités d’économies, d’emplois et d’innovations considérables. Encore faut-il que nous prenions la décision politique de le faire.

Tout d’abord, il faut impérativement parvenir à stopper la croissance des émissions mondiales de gaz à effet de serre d’ici à 2015 avant de les faire décroître. C’est la seule voie pour limiter le réchauffement des températures bien en-dessous de 2°C, seuil au-delà duquel la capacité à s’adapter de nos sociétés et des écosystèmes est menacée. Pour ce faire, Les pays industrialisés, dont la France, doivent s’engager collectivement à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre d’au moins 40% d’ici à 2020 par rapport à 1990.

Mais cela ne sera pas suffisant. Les pays en développement doivent, eux aussi, mettre en place les politiques industrielles, énergétiques et agricoles qui limiteront la croissance de leurs émissions avant de les réduire, sans compromettre leur légitime aspiration au développement économique et social. L’accord de Copenhague devra permettre à ces pays d’évoluer vers des modèles sobres en carbone. Il devra aussi leur permettre de s’adapter aux conséquences inévitables du changement climatique.

Pour nombre d’entre eux, en particulier les plus vulnérables, ces actions ne pourront se faire sans le soutien financier et technique des pays industrialisés. Les besoins d’ici à 2020 sont évalués à plus de 100 milliards d’euros par an. C’est moins de 10% des dépenses militaires mondiales.

Responsables de la majorité des émissions de gaz à effet de serre aujourd’hui dans l’atmosphère, munis de capacités d’action plus fortes, les pays industrialisés portent la responsabilité morale, légale et économique de mener le combat contre le dérèglement du climat. Monsieur le Président, vous vous devez de prendre la tête de ce combat qui est sans aucun doute l’enjeu de ce siècle. Notre avenir commun dépendra dans deux cents jours des choix politiques qui seront faits.


Serge Orru, WWF-France
Pascal Husting, Greenpeace France
François Danel, Action contre la Faim
Olivier Braunsteffer, Care France
Souhayr Belhassen, FIDH
Nicolas Hulot, Fondation Nicolas Hulot
Anne Bringault, Les amis de la terre
Michel Bruguière, Médecins du Monde
Luc Lamprière, Oxfam France Agir Ici
Sandrine Mathy, Réseau Action Climat
Michel Roy, Secours Catholique

Pour en savoir plus, on peut consulter le site copenhague-2009.com

06:05 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : climat, copenhague

mardi, 06 octobre 2009

On peut manger sain pour soi et pour la planète

On peut manger sain pour soi et pour la planète.
manger-sain.jpgDes études scientifiques font le lien entre la santé alimentaire et la sauvegarde de l'environnement. En 2006 et 2007, des chercheurs ont montré que limiter sa consommation de viande était le moyen le plus simple pour les habitants des pays riches de limiter nombre de maladies, pollution des sols et des eaux et même émissions de gaz à effet de serre. D'autres études ciblent le fait que les poissons prédateurs surpêchés comme le thon rouge sont ceux qui accumulent le plus de polluants. En juin, un rapport de l'Inserm a établi que l'exposition aux pesticides, source de pollution des sols et de l'eau, double quasiment le risque de contracter la maladie de Parkinson pour les agriculteurs.
Manger des fruits et légumes bio ne serait donc pas seulement bon pour la planète et pour le consommateur mais aussi pour le travailleur agricole. La filière agroalimentaire fait l'objet de rapports scientifiques réguliers, à la fois pour les antibiotiques dont elle abuse dans l'élevage, les graisses qu'elle emploie dans ses plats cuisinés et la pollution qu'elle génère. La restauration collective publique devrait intégrer 20% de denrées bio d'ici à 2012. Des campus «locavores» comme celui de Toronto, au Canada, qui ne sert que des produits locaux, existent déjà. De son côté, la Mairie de Paris réfléchit à instaurer une journée hebdomadaire sans viande, sur le modèle de la ville de Gand, en Belgique. Lancé le 13 mai, le Donderdag Veggiedag fait suite à une conférence, non pas de militants de la cause animale, mais de Rajendra Pachauri, le président du Giec, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat.

Pour en savoir plus on peut lire le numéro du magazine Sciences et Avenir de ce mois d'octobre 2009 et consulter le site sciencesetavenirmensuel.nouvelobs.com

lundi, 14 septembre 2009

la Planète, comment ça marche ?

La Société des Trains Exposition SNCF nous invite à bord du Train de la Planète pour une exposition gratuite, pédagogique et ludique, qui va sillonner la France et stationner une journée entière, dans 23 villes, départ de la Gare de Lyon à Paris ce mardi 15 septembre pour un retour Gare du Nord le 11 octobre

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Une exposition pour appréhender les mystères du fonctionnement de notre planète avec 4 grands thèmes : le climat, l’eau, les énergies et la gestion des ressources par l’homme.

Dans la première voiture, on prend place à bord d’un vaisseau spatial offrant une vue imprenable sur la Terre et son système solaire à travers des hublots. Puis on descend au cœur de la croûte terrestre, pour enquêter sur les facteurs qui font de la Terre, une planète propice à la vie. L’exploration se poursuit sur la banquise où creuser dans la glace permet de mieux comprendre pourquoi et comment la Terre se réchauffe au fil du temps.

La seconde voiture embarque les visiteurs sur un navire de pêche, à bord duquel cartes du monde et explications témoignent des équilibres et dressent le constat. La planète est composé de 70% d'eau, pourquoi en manquons-nous ? Où est l’eau et qui en sont les vrais consommateurs ?

Dans la troisième voiture, on pénètre au cœur d’une mine pour y découvrir comment sont extraites les énergies fossiles. Où sont-elles ? Combien en reste-t-il ? Charbon, gaz, pétrole, uranium, à quoi ça sert ?

Puis, retour à la surface de la Terre où la visite prend des tournures de promenade champêtre pour une présentation des nouveaux trésors que recèle la planète : les énergies renouvelables. L’exposition se poursuit au beau milieu d’une serre de plantes tropicales pour enfin mieux comprendre la gestion de toutes ces ressources par l’Homme. Dans un climat à la fois chaud et humide, le visiteur aborde ici les thèmes de la biodiversité et de l’alimentation qui viennent s’ajouter à ceux du climat, de l’eau et des énergies. Il peut alors dresser un constat objectif sur le passé, le présent et l’avenir de la planète, ainsi que son utilisation par l’Homme. Enfin, au sortir de l’exposition, on est invité à tester ses connaissances grâce à un quiz.

Pour connaître les différentes villes étapes, on peut consulter le site traindelaplanete.com

mardi, 28 octobre 2008

SIX DEGRES, que va-t-il se passer?

La lecture du livre de Mark Lynas « SIX DEGRES, que va-t-il se passer? » est une source d'information très intéressante sur les dérèglements climatiques que l'on observera durant ce siècle.

planclimat-six_degres.jpgLes derniers travaux du GIEC, prix Nobel de la paix 2007, annoncent une augmentation moyenne de la température du globe de 1,1ºC à 6,4ºC d'ici 2100, par rapport à la période 1980-1999.
Mark Lynas, journaliste spécialiste du changement climatique, décrit en six chapîtres, degré par degré, les conséquences de ce réchauffement et l'évolution de la vie sur une planète plus chaude :
A +1ºC, les incendies dans les zones méditerranéennes, la fonte des glaciers alpins...
A +2ºC, l'affaiblissement de la mousson asiatique et les destructions massives de la biodiversité...
A + 3ºC, l'inversion du bilan Carbone des forêts tropicales (qui, de puits de carbone, deviendront des sources empirant le phénomène)... Jusqu'à +6ºC, qui pourrait bien signifier la disparition de la vie humaine sur Terre.

Pour éviter ces scénarios catastrophes il faut rapidement faire évoluer nos modes de vie et mettre en application dès maintenant des mesures très concrètes. Mark Lynas aborde ce sujet à la fin de son livre dans une synthèse intitulée «choisir notre avenir».

Pour commander ce livre dans la petite librairie d'O'Papilles, cliquer ici.

lundi, 27 octobre 2008

Le défi climatique

Les premières journées parisiennes de l'énergie et du climat se dérouleront les 29 et 30 octobre 2008 sur le parvis de l'Hôtel de Ville. L'entrée est gratuite.

planclimat-affiche.jpgDébats, expositions, conférences, ateliers, animations pour les enfants, films documentaires, pour s'informer sur les dérèglements climatiques et l'engagement de la ville de Paris dans le cadre de son Plan Climat.
La Ville de Paris a voté à l’unanimité ce Plan Climat de lutte contre les gaz à effet de serre émis par l’activité de la capitale. Il doit permettre de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 75% en 2050 par rapport à 2004, sachant que les objectifs européens sont de réduire les émissions de 20% à échéance 2020.

Pour atteindre ses objectifs, la Ville de Paris prévoit par exemple dans le cadre de ce plan :
- un maximum de 50 kWh/m² shon /an en énergie primaire (consommations de chauffage, d’eau chaude, d’éclairage, de ventilation et de climatisation) pour les opérations neuves, dépassant  ainsi les normes du label français le plus exigeant (bâtiment basse consommation)
- une bonification de 20% du Coefficient d’Occupation des Sols dans le cadre du PLU pour la réalisation de bâtiments de logements très performants sur le plan énergétique ou comportant des équipements de production d’énergie renouvelable  (panneaux solaires ou photovoltaïques, pompe à chaleur…)
- l'achat de produits, équipements ou services les plus "éco responsables" (recyclés, recyclables, économes, "propres") et la gestion au mieux des stocks de fournitures et du parc d'équipements (ne pas gaspiller, "faire durer")
- l'élaboration avec les entreprises volontaires d'une charte des bonnes pratiques limitant les gaz à effet de serre de leurs activités et la création d'un prix Développement Durable qui intègre des critères concernant la lutte contre le dérèglement climatique.

Pour en savoir plus consulter le site de la ville de Paris

dimanche, 21 septembre 2008

Le dégel de la banquise

Après un an et demi de dérive sur la banquise de l'océan arctique, le bateau de l'expédition Tara est arrivé le 24 février 2008 à Lorient Les 20 "glacionautes" s’étaient laissés emprisonner par la banquise du pôle Nord. La dérive au coeur de la glace a été plus rapide que prévu. La goélette avait deux cent jours d’avance sur son programme initial, conséquence des effets du réchauffement climatique sur la région arctique.

Pour connaître les évènements prévus au sujet de l'expédition Tara

 

Cette deuxième vidéo pour mieux comprendre les conséquences du dégel de la banquise :


Relire l'article d'hier pour signer la pétition en ligne : la banquise, zone d'intérêt commun pour l'humanité

samedi, 20 septembre 2008

La banquise, zone d'intérêt commun pour l'humanité

La fonte de la banquise a déjà de graves conséquences locales sur la vie des peuples autochtones et l'écosystème polaire, notamment sur l'ours blanc, son plus emblématique représentant. Mais au-delà des conséquences locales, la disparition de la banquise au pôle Nord va nous conduire inévitablement vers une période de chaos climatique, notamment dans l'hémisphère Nord.

appel-banquise01.jpg

La sauvegarde de la banquise est un enjeu majeur pour lequel chaque citoyen à sa part de responsabilité. La banquise sera l'indice de la capacité de l'humanité à juguler les émissions de gaz à effet de serre à l'échelle mondiale. La France avait joué un rôle majeur pour le moratoire qui protège aujourd'hui l'Antarctique. Jean Louis Etienne souhaiterait que le gouvernement français, dans le cadre de la Présidence du Conseil de l'Union Européenne, adresse un signal fort à la communauté internationale,  afin de proposer à l'Assemblée générale des Nations unies, le vote d'une résolution qui classerait la banquise de l'océan Arctique, "Zone d'intérêt commun pour l'humanité".

Jean Louis Etienne nous invite à soutenir cette initiative en signant la pétition en ligne

dimanche, 18 mai 2008

La planète blanche

 Un extrait de LA PLANETE BLANCHE accompagné par Atlantis (Summer Of Love), une chanson/poème écrite par Donovan Leitch.

Ce documentaire de Thierry Ragobert et Thierry Piantanida est sorti en salle le 22 mars 2006.

 L'Arctique est un univers unique, façonné par la glace et le vent. Un univers à part, habité par une faune unique qui a su s'adapter à des conditions extrêmes, à la limite de la survie.
Grande réserve d'eau douce pour la planète et élément régulateur du climat de l'hémisphère nord, l'Arctique, monde fragile, est aujourd'hui menacé. Va-t-il disparaître alors que nous commençons à peine à en découvrir toute la richesse ?