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dimanche, 26 février 2012

Il faut laisser le temps au temps

Il faut laisser le temps au temps
Et nos amours auraient quinze ans
Et nos pères seraient nos enfants Lennon serait encore vivant
Il faut laisser le temps au temps
Et elle m'aurait aimé sûrement
Quand nous étions deux étudiants
Deux oiseaux sur le fil du vent
Il faut laisser le temps parler librement
Il faut laisser les heures couler doucement
Il faut laisser nos coeurs chanter différent
Il faut laisser le temps au temps ...

Il faut laisser le temps parler librement
Il faut laisser les heures couler doucement
Il faut laisser nos coeurs chanter différent
Il faut laisser le temps au temps
Il faut laisser passer les nuits, les jours, les années
Il faut laisser danser nos vies, nos rêves, nos idées
Il faut laisser tomber la pluie, les matins d'été  ...

06:12 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson, vidéos, clip, enfants

dimanche, 19 février 2012

... font du ski

Come On My Love : générique du film " Les Bronzés Font Du Ski "

Just because of you
Juste à cause de toi
I'm beging on you
Je te supplie
You know it's for you
Tu sais c'est pour toi
I'm feeling for you
J'ai des sentiments pour toi
Good morning my love
Bonjour mon amour
I'm always say
Je le dis toujours
You come laughing in my life
Tu viens rire dans ma vie
Night and day my love is for you
Nuit et jour mon amour est pour toi
I love you, I'm beeing a fool by you
Je t'aime, je suis fou de toi

17:19 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ski, chanson, musique, film, vidéo

dimanche, 12 février 2012

Et ces deux enfants au soleil

J'aimais ton rire, j'aimais ta voix qui racontait nos différences.
Moustache rapportée de Cuba, de Santiago, quelle importance ?
J'aimais tout ce qui était toi quand tu bousculais nos consciences.
Jean Tanenbaum ou Jean Ferrat, tes mots déchiraient nos silences.
Et je m'imaginais Créteil quand tu me fredonnais "Ma Môme"
Et ces deux enfants au soleil, Garcia Lorca en son royaume.
Moi, j'écoutais "Nuit Et Brouillard", enfermé dans mon innocence.
Je comprendrai beaucoup plus tard, nul ne guérit de son enfance.

Jean de France, tu chantais pour les gens de France
De la Bretagne à la Provence avec la fierté, l'insolence
De dire ce qu'on ne disait pas, ah.
Jean de France, humain jusqu'à la transparence
De ce regard qui fait confiance pour le secret des confidences
Quand tu croisais les yeux d'Elsa, ah.

dimanche, 05 février 2012

Le monde autour est sourd

Pendant qu'on se promène
L'enfant pour cinq francs la semaine
Vient broder des survêts
Pour l'homme blanc qui golfe en voiturette
Sale temps sur la planète
Oh le drôle, le drôle de temps
Porter secours c'est défendu
Le monde autour est sourd, bien entendu

Chercheur contre nature
Truqueur, sur l'honneur qui jure
Faut pas que ça vous inquiète
J'ai bien connu l'animal mort dans votre assiette
Sale temps sur la planète
Oh le drôle, le drôle de temps
Porter secours c'est défendu
Le monde autour est sourd, bien entendu

Pendant qu'on se promène
L'enfant pour cinq francs la semaine
Chercheur contre nature
Bien caché derrière sa devanture
Tricheur à la tribune
Et nous, tous les applaudir
Comme la lune
Comme la lune...

Paroles et Musique: Francis Cabrel

dimanche, 01 janvier 2012

Petit pays, Terra pobre chei di amor

"Petit Pays" de Césaria Evora

Sodade sodade Oi tonte sodade Sodade sem fim Espaiote nesse munde fora Sô rotcha e mar Terra pobre chei di amor Tem morna tem coladera Terra pobre chei di amor Tem batuco tem funaná
Petit pays je t'aime beaucoup Petit petit je l'aime beaucoup


Lire la suite: greatsong.net

dimanche, 18 décembre 2011

ma p'tite chanson

Qu’est ce qu’elle a,
Mais qu’est ce qu’elle a donc
Ma p’tite chanson?


07:30 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bourvil, chanson, vidéo

dimanche, 04 décembre 2011

Volare, oh oh,

Penso che un sogno così (Je pense qu'un rêve comme ça)
Non ritorni mai più, (Ne reviendra plus jamais,)
Mi dipingevo le mani (Je me peignais les mains)
E la faccia di blu, (Et le visage en bleu,)
Poi d'improvviso venivo (Puis soudain j'étais)
Dal vento rapito, (Enlevé par le vent,)
E incominciavo a volare (Et je commencais à voler)
Nel cielo infinito. (Dans le ciel infini.)

Volare ho ho (Voler ho ho)
Cantare ho ho hoho, (Chanter ho ho hoho,)
Nel blu dipinto di blu, (Dans le bleu peint en bleu,)
Felice di stare lassù, (Heureux de rester là-haut,`)

17:28 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson, italie, vidéo, poésie

dimanche, 20 novembre 2011

Les neiges du Kilimandjaro

Il n’ira pas beaucoup plus loin
La nuit viendra bientôt
Il voit là-bas dans le lointain
Les neiges du Kilimandjaro
...


Pascal Danel "Kilimanjaro" par Alpha17250

05:24 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson, vidéo, neige, montagne

dimanche, 13 novembre 2011

Les feuilles mortes se ramassent à la pelle

Oh je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis
En ce temps là, la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Tu vois je n'ai pas oublié
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du nord les emportet
Dans la nuit froide de l'oubli
Tu vois, je n'ai pas oublié
La chanson que tu me chantais



C'est une chanson, qui nous ressemble
Toi tu m'aimais, et je t'aimais
Et nous vivions tout les deux ensemble
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment
Tout doucement sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Le pas des amants désunis

C'est une chanson, qui nous ressemble
Toi tu m'aimais et je t'aimais
Et nous vivions, tous deux ensemble
Toi qui m'aimait, moi qui t'aimais
Mais la vie sépare ceux qui s'aime
Tout doucement sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Le pas des amants désunis.

05:35 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : chanson, poésie, vidéo, film

dimanche, 23 octobre 2011

Les demoiselles de Rochefort

DELPHINE et SOLANGE
Nous sommes deux soeurs jumelles
Nées sous le signe des gémeaux
Mi fa sol la mi ré, ré mi fa sol sol sol ré do
Toutes deux demoiselles
Ayant eu des amants très tôt
Mi fa sol la mi ré, ré mi fa sol sol sol ré do


Demoiselles de Rochefort - 1966 - www.medusia17... par Medusia

DELPHINE
Nous fûmes toutes deux élevées par Maman
Qui pour nous se priva, travailla vaillamment

SOLANGE
Elle voulait de nous faire des érudites
Et pour cela vendit toute sa vie des frites.

DELPHINE et SOLANGE
Nous sommes toutes deux nées de père inconnu
Cela ne se voit pas, mais quand nous sommes nues
Nous avons toutes deux au creux des reins
C'est fou...

vendredi, 21 octobre 2011

Le vent fera craquer les branches

Le vent fera craquer les branches
La brume viendra dans sa robe blanche
Y aura des feuilles partout
Couchées sur les cailloux
Octobre tiendra sa revanche
Le soleil sortira à peine
Nos corps se cacheront sous des bouts de laine

Perdue dans tes foulards
Tu croiseras le soir
Octobre endormi aux fontaines
Il y aura certainement,
Sur les tables en fer blanc
Quelques vases vides et qui traînent
Et des nuages pris aux antennes
...

...
Et sans doute on verra apparaître
Quelques dessins sur la buée des fenêtres
Vous, vous jouerez dehors
Comme les enfants du nord
Octobre restera peut-être.
Vous, vous jouerez dehors
Comme les enfants du nord
Octobre restera peut-être.

Octobre, Paroles et Musique: Francis Cabrel   1994  "Samedi soir sur la Terre"

08:01 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson, vidéo, octobre, automne

dimanche, 09 octobre 2011

Je veux du soleil

Je suis resté qu'un enfant
Qu'aurait grandi trop vite
Dans un monde en super plastique
Moi j'veux retrouver... Maman !
Qu'elle me raconte des histoires
De Jane et de Tarzan
De princesses et de cerfs-volants
J'veux du soleil dans ma mémoire.

J'veux du soleil ...

J'veux traverser des océans
Et devenir Monte-Christo
Au clair de lune
M'échapper de la citadelle
J'veux devenir roi des marécages
Me sortir de ma cage
Un Père Noël pour Cendrillon
Sans escarpin...

J'veux faire danser Maman
Au son clair des grillons
J'veux retrouver mon sourire d'enfant
Perdu dans le tourbillon
Dans le tourbillon de la vie
Qui fait que l'on oublie
Que l'on est resté des mômes
Bien au fond de nos abris..

05:31 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ile d'aix, soleil, chanson, océan

dimanche, 02 octobre 2011

Mon Aix

Une chanson sur l'Ile d'Aix ... trop petite pour qu'on la change

ile d'aix,chanson

interprétée par les Binuchards, on peut consulter leur site

05:36 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ile d'aix, chanson

dimanche, 04 septembre 2011

Il pleut sur la mer et ça sert à rien

Chanson d'Allain Leprest, poète et peintre :

Il pleut sur la mer et ça sert à rien
Qu'à noyer debout le gardien du phare
Le phare, y a beau temps qu'il a plus d'gardien
Tout est électrique, il peut bien pleuvoir
Aujourd'hui dimanche
Sur la Manche

Il pleut sur la mer, c'est bien inutile
Ca mouille la pluie, c'est du temps perdu
Les mouettes s'ennuient, blotties sous les tuiles
Il tombe des cordes et l'eau s'est pendue
Aux plus hautes branches
De la Manche

Il pleut sur la mer, c'est con comme la pluie
Peut-être c'est nous qui sommes à l'envers
L'amour a des nœuds plein sa mise en plis
Ca nous fait marrer, il pleut sur la mer
Aujourd'hui dimanche
Sur la Manche.

08:21 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : chanson, pluie, vidéo, mer, été, poésie

dimanche, 31 juillet 2011

Je suis tombé pour elle...

Tu es tombée du ciel
Moi qui voyais le mal partout
Si l'amour est encore sur terre
Rien n'efface les douleurs d'hier
Sans toi je n'aurais
Jamais pleuré autant de joie pour personne
Le canon qui résonne

Ici sur pilotis
Refuge de mes amours englouties
Mon coeur d'éponge à la dérive
Les marées ne me feront revenir
Je reste avec les étoiles de mer
Les oiseaux des terres amères
Et mon coeur qui se perd


Ile aux oiseaux ( Tombé pour elle) par gigi350905

Je suis tombé pour elle
Je n'ai d'yeux que pour elle
Ma maison, ma tour Eiffel
Quand mes amours prennent l'eau
L'île aux oiseaux

Au-dessus des marées
J'ai de l'amour à perpétuité
Pour Pyla sur mer, Arguin, Ferret
La pointe aux chevaux de mer, l'été
Arcachon, Piquey et Frédéliand

Les glaces sur la jetée
Pourraient bien me manquer

dimanche, 17 juillet 2011

Le bel azur me met en rage

Georges Brassens
L'ORAGE



Parlez-moi de la pluie et non pas du beau temps,
Le beau temps me dégoûte et me fait grincer les dents,
Le bel azur me met en rage,
Car le plus grand amour qui me fut donné sur terre
Je le dois au mauvais temps, je le dois à Jupiter,
Il me tomba d'un ciel d'orage.

Par un soir de novembre, à cheval sur les toits,
Un vrai tonnerre de Brest, avec des cris de putois,
Allumait ses feux d'artifice.
Bondissant de sa couche en costume de nuit,
Ma voisine affolée vint cogner à mon huis
En réclamant mes bons offices.


Georges Brassens - Lorage par Leboc

 Son bonhomme de mari avait tant fait d'affaires,
Tant vendu ce soir-là de petits bouts de fer,
Qu'il était devenu millionnaire
Et l'avait emmenée vers des cieux toujours bleus,
Des pays imbéciles où jamais il ne pleut,
Où l'on ne sait rien du tonnerre.

Dieu fasse que ma complainte aille, tambour battant,
Lui parler de la pluie, lui parler du gros temps
Auxquels on a tenu tête ensemble,
Lui conter qu'un certain coup de foudre assassin
Dans le mille de mon coeur a laissé le dessin
D'une petite fleur qui lui ressemble.

dimanche, 28 novembre 2010

Bourvil, un blagueur toujours très gai

POISSON D'AVRIL 1954 DE GILLES GRANGIER AVEC BOURVIL

poissondavril.jpg

Emile est un brave mécano qui économise en cachette pour offrir une machine à laver à sa femme. Mais il se fait embobiner par un démarcheur qui lui vend l'équipement complet du parfait pêcheur. A peine l'a-t-il acheté qu'il regrette sa dépense, effrayé par la réaction prévisible de sa femme. Mais il compte bien essayer son matériel de pêche le plus vite possible. Bourvil et Annie Cordy, entourés de Pierre Dux et Denise Grey, auront fort à faire, face à un garde-pêche nommé...Louis de Funès.


BOURVIL ARAGON ET CASTILLE BOBY LAPOINTE CLIP CHANSON HUMOUR
envoyé par kirivalse. - Plus de vidéos fun.

Parlant de Bourvil,  Gilles Grangier dit : "C'était quelqu'un de blagueur, toujours très gai. Pendant le tournage du film Par la fenêtre, une voiture venait nous chercher tous les matins. Elle prenait Bourvil juste avant moi. Et celui-ci, pour m'appeler, jouait un solo de clairon dans la cour de mon immeuble. Inutile de dire que ce réveil matinal n'était pas du goût de tous. J'ai dû faire promettre à Bourvil de laisser le clairon chez lui. Le lendemain, à sept heures moins le quart du matin, il se pointait avec un accordéon!. Pour le film Poisson d'avril, Gilles Grangier se souvenait que De Funès est resté seulement quatre jours sur le film. Il était très drôle. Lui et Bourvil ont tout de suite sympathisé. C’était difficile de ne pas sympathiser avec Bourvil, qui était très agréable et avait toujours le sourire aux lèvres.

06:12 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson, humour, bourvil, film

dimanche, 19 septembre 2010

On a tous quelque chose de Bourvil

Ce soir diffusion du documentaire de P.Drapier "On a tous quelque chose de Bourvil" sur France 3 à 20h35.


Bourvil - C'était bien - Au petit Bal Perdu
envoyé par Cleoh. - Clip, interview et concert.

C'était tout just' après la guerr', Dans un p'tit bal qu'avait souffert,
Sur une piste de misèr', Y'en avait 2 à découvert.
Parmi les gravats, ils dansaient, Dans ce p'tit bal qui s'appelait,
Qui s'appelait, qui s'appelait, qui s'appelait…

Non, je ne me souviens plus du nom du bal perdu,
Ce dont je me souviens, c'est de ces amoureux qui ne regardaient rien autour d'eux,
Y'avait tant d'insouciance, dans leurs gestes émus,
Alors quell' importance, le nom du bal perdu.

Non, je ne me souviens plus du nom du bal perdu,
Ce dont je me souviens c'est qu'ils étaient heureux, les yeux au fond des yeux,
Et c'était bien, et c'était bien.

Ils buvaient dans le même verr', Toujours sans se quitter des yeux,
Ils faisaient la même prière, D'être toujours, toujours heureux,
Parmi les gravats ils souriaient, Dans ce p'tit bal qui s'appelait,
Qui s'appelait, qui s'appelait, qui s'appelait.

Et puis quand l'accordéonist', S'est arrêté, ils sont partis,
Le soir tombait dessus la pist', Sur les gravats et sur ma vie,
Il est redevenu tout trist', Le petit bal qui s'appelait,
Qui s'appelait, qui s'appelait, qui s'appelait.

Non, je ne me souviens plus du nom du bal perdu,
Ce dont je me souviens, c'est de ces amoureux qui ne regardaient rien autour d'eux,
Y'avait tant de lumière, Avec eux dans la rue,
Alors la bell' affaire, le nom du bal perdu.
Non, je ne me souviens plus du nom du bal perdu,
Ce dont je me souviens c'est qu'on était heureux,
les yeux au fond des yeux, Et c'était bien, et c'était bien.

dimanche, 13 décembre 2009

Comment imaginez-vous un avenir viable et solidaire ?

Comment imaginez-vous un avenir viable et solidaire ?

Une chanson écrite, composée et interprétée par Didier Pouvreau pour apporter une réponse bien personnelle à cette question.
Elle a été publiée sur le site de la Fondation Nicolas Hulot au mois d'octobre.

on-fera-didier-pouvreau.png

Pour écouter quelques morceaux du groupe Boomerang dont Didier Pouvreau est un des guitariste, consulter le site zicmeup.com

dimanche, 22 novembre 2009

Le clip de la bande à Clouman tourné chez le voisin agriculteur

Musiciens.biz est venu retrouver la bande à Clouman, chez le voisin agriculteur,  pour le tournage de leur clip "Dingo", extrait du deuxième album de Clouman "Noir et blanc".

clouman01.png

Voici le reportage réalisé dans un cadre très rustique, à l'ancienne qui sent le bon foin et le swing...

 

Pour moins d'1 euro, on peut télécharger la chanson dans la-boutique-musicale-de-Clouman

clouman02.png