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lundi, 24 septembre 2012

Rabotage d'une nationale pour rénover d'autres routes

Il y a quelques années, une route nationale a été construite à Aubiet, commune des environs de Auch dans le Gers. A l'époque prévue pour un trafic de 11 000 véhicules quotidiens, les concepteurs misent sur une épaisseur de bitume d'une trentaine de centimètres. Mais depuis une déviation a été construite, et depuis seuls 1500 véhicules y circulent chaque jour.

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Dans le cadre d'une opération de rénovation de routes alentours, les élus locaux et l'entreprise de travaux publics concernée ont choisi de prélever les matériaux nécessaires au terrassement sur cette voie nationale. Au programme, rabotage de 12 centimètres de la couche de bitume devenue inutile et réduction de la largeur de la chaussée d'un mètre, soit une récolte de 7800 tonnes de matières premières qui représentent l'équivalent de 300 semi-remorques. Bilan des économies réalisées sur l'impact environnemental de l'opération : 7400 tonnes de granulat, 400 tonnes de bitume et 150 tonnes d'émissions de CO2.


Source : Journal La dépêche

mardi, 28 septembre 2010

La faculté d'autoriser ou non la culture des OGM

A Bruxelles, les ministres européens de l'Agriculture discutent d'une proposition de la Commission : laisser aux 27 États membres la faculté d'autoriser ou non la culture des OGM sur leur territoire. La France veut une position commune de l'Europe sur cette culture et refuse la renationalisation de ce dossier.

 

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Le Gers, département le plus en vue dans l'opposition aux OGM espère que la France tiendra bon sur cette position pour éviter un dérèglement des marchés. Comment les états non OGM pourraient-ils continuer à les refuser si tous les pays riverains les acceptent ? Le Conseil général du Gers s'apprête à déposer un recours devant la Cour de justice de l'Union européenne pour obtenir l'annulation de l'autorisation de la commercialisation de six nouvelles variétés de maïs OGM, autorisation délivrée par la Commission de Bruxelles le 28 juillet dernier. Les Gersois ont jusqu'au 24 octobre pour ce faire. Ils comptent entraîner d'autres collectivités avec eux. La Région Poitou-Charentes est intéressée par cette démarche, comme la Wallonie et peut-être le Conseil général des Landes.

 

Pour en savoir plus, on peut lire l'article de SudOuest