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mardi, 03 mars 2009

Mieux connaître le hareng

hareng01.pngLe hareng est un poisson de mer très abondant et parmi les plus pêchés dans le monde. Il est riche en vitamines B, A et D, en sélénium, en phosphore et bien entendu en oméga-3. Le hareng est une excellente source d’acide eicosapentaénoïque (AEP) et d’acide docosahexaénoïque (ADH), deux acides gras de la famille des oméga-3. Ces acides gras agissent comme précurseurs de messagers chimiques favorisant un bon fonctionnement des systèmes immunitaire, circulatoire et hormonal. Même si des quantités optimales d’acides gras oméga-3 à consommer ne sont pas établies avec certitude, les études scientifiques démontrent que l’ingestion quotidienne de 0,5 à 1,8g d’AEP et de ADH permettrait de profiter de leurs bienfaits, sachant que 100g de hareng fumé fournit 2,1g d’AEP et de ADH.
Le poisson est la principale source de mercure à laquelle nous sommes exposés. Ce métal est présent naturellement dans l’environnement, mais les rejets causés par l’industrialisation rendent la consommation de certains poissons moins sécuritaire pour la santé. Ce sont les poissons prédateurs qui présentent des taux élevés de mercure. Les autres espèces de poisson, tel le hareng, auraient des concentrations de mercure inférieures à la norme canadienne de 0,5ppm. Ils peuvent donc être consommés sans danger pour la santé.

La pêche au hareng est considérée comme l’une des plus durables d’un point de vue environnemental. La ressource est abondante et ne montre aucun signe d’épuisement. De plus, les engins utilisés pour cette pêche ne causent aucun dommage aux fonds marins et, par conséquent, aux habitats des autres espèces. Enfin, les prises accessoires semblent peu importantes, bien que des mammifères marins (dauphin, phoque) soient parfois accidentellement pris dans les filets.

 

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Les harengs marinés en salade sont la base d'un plat traditionnel de l’Europe du Nord. On les marie avec des dés de betteraves, de pommes de terre cuites et de pommes acides, des cornichons et des oignons dans le vinaigre, le tout assaisonné d’une sauce à base de yogourt et de mayonnaise. On peut aussi mélanger dés de betterave, tranches de pommes, carottes et chou râpés, harengs et sauce au yogourt assaisonnée de fines lamelles de gingembre frais et de fines herbes selon le goût de chacun.

Pour en savoir plus, on peut consulter le site passeportsante.net

jeudi, 21 août 2008

Les bains de mer

L'eau de mer et les embruns contiennent de nombreux sels minéraux (chlorures, bromures, iodures de sodium et de magnésium) et oligo-éléments qui passent dans le corps par les pores de la peau ou par inspiration. Il est bénéfique de faire des exercices de respiration profonde en suivant étroitement le rivage. L'air marin est d'autant plus riche en minéral et en plancton que le vent a plus de force et que la mer est plus agitée.

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Les bains de mer tonifient l'épiderme et provoque la vaso-dilatation. Les vagues stimulent la circulation sanguine en exerçant un drainage lymphatique naturel et le retour veineux est alors facilité. Lutter contre les vagues fait aussi travailler les muscles très efficacement.
L'eau de mer a un effet antiseptique et anti-inflammatoire sur les muqueuses nasales. Le nez se retrouve nettoyé et bien dégagé.
L'eau froide de la mer demande à l'organisme davantage de calories : un bain de mer ouvre l'appétit.