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vendredi, 21 mars 2014
Printemps... des poêtes, le 16ième
Par les grillages de l’attente
Je laisse l’espoir à la mer
Egrener ses ombres mouvantes
Mon regard lèche la torsade
Du fer forgé envoluté
La brise arrondit sa chamade
Poète Rassemble le monde
Brode la dentelle des marées
Et calligraphie sur leur onde
L’annonciation démiurgique
Qui vibre au chant désespéré
Jailli de ta lèvre magique
Tisse et fais renaître le songe
Où être heureux nous voudra dire
Que nous chasserons le mensonge
Malgré la honte et les carnages
Le cœur léger sous la nuée
Nous survivrons en tes mirages
Qui offrent leur parfum de menthe
Sous la volute enamourée
Face à la mer qui invente
Poème de Jamel Eddine Bencheikh
Je laisse l’espoir à la mer
Egrener ses ombres mouvantes
Mon regard lèche la torsade
Du fer forgé envoluté
La brise arrondit sa chamade
Poète Rassemble le monde
Brode la dentelle des marées
Et calligraphie sur leur onde
L’annonciation démiurgique
Qui vibre au chant désespéré
Jailli de ta lèvre magique
Tisse et fais renaître le songe
Où être heureux nous voudra dire
Que nous chasserons le mensonge
Malgré la honte et les carnages
Le cœur léger sous la nuée
Nous survivrons en tes mirages
Qui offrent leur parfum de menthe
Sous la volute enamourée
Face à la mer qui invente
Poème de Jamel Eddine Bencheikh
05:46 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, poème, livre, printemps, mer, marées, espoir, littérature, écrivain
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