« Accès universel à des services énergétiques modernes | Page d'accueil | Et laisse la rivière répondre »
samedi, 29 juin 2013
Défenseur de la biodynamie
Le label bio exige trois années de conversion pour être délivré, à la condition de n’utiliser ni engrais chimiques, ni pesticides, ni OGM. Depuis cette année, une dose minimale de sulfites est requise lors de la vinification selon la nouvelle réglementation de la Commission européenne. Pour les adeptes de la culture biodynamique, il ne faut pas utiliser de sulfites du tout.
Pour Nicolas Joly, défenseur de la biodynamie, il s’agit de penser autrement et d’agir de même afin que l’agriculture redevienne un art en symbiose avec les phénomènes, l’art de savoir comprendre et utiliser à bon escient les forces qui donnent vie à la terre. Les principes biodynamiques sont controversés. Pour certains, il s’agit de lubies pour lunatiques rétros, pour d’autres, d’une quête de liberté où l’on peut « s’affranchir du carcan de l’industrie chimique » et pour d’autres encore, c’est un sujet d’interrogations et une voie possible vers un changement radical, peut-être coûteux à court terme, mais économique à moyen terme. On estime que 10 % de la viticulture bio se pratique ainsi, soit 0,7 % de la pratique globale. À Bordeaux, de plus en plus de Grands crus traitent leurs hectares en biodynamie, ouvertement ou pas, entièrement ou partiellement, à titre d’expérience. La Lagune (haut-médoc), Smith Haut Lafitte (graves), Palmer (margaux) et Pontet-Canet (pauillac) par exemple.
Source : l' article de Satish Chibandaram publié sur journaljunkpage
Pour Nicolas Joly, défenseur de la biodynamie, il s’agit de penser autrement et d’agir de même afin que l’agriculture redevienne un art en symbiose avec les phénomènes, l’art de savoir comprendre et utiliser à bon escient les forces qui donnent vie à la terre. Les principes biodynamiques sont controversés. Pour certains, il s’agit de lubies pour lunatiques rétros, pour d’autres, d’une quête de liberté où l’on peut « s’affranchir du carcan de l’industrie chimique » et pour d’autres encore, c’est un sujet d’interrogations et une voie possible vers un changement radical, peut-être coûteux à court terme, mais économique à moyen terme. On estime que 10 % de la viticulture bio se pratique ainsi, soit 0,7 % de la pratique globale. À Bordeaux, de plus en plus de Grands crus traitent leurs hectares en biodynamie, ouvertement ou pas, entièrement ou partiellement, à titre d’expérience. La Lagune (haut-médoc), Smith Haut Lafitte (graves), Palmer (margaux) et Pontet-Canet (pauillac) par exemple.
Source : l' article de Satish Chibandaram publié sur journaljunkpage
05:51 Publié dans actu & écologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : biodynamie, bio, vigne, viticulture, bordeaux
Les commentaires sont fermés.