lundi, 07 décembre 2009
A la rencontre des premiers réfugiés climatiques

D'ici à 2050, selon l’ONU, ils seront 150 millions, chassés de chez eux par le réchauffement climatique. Parce que leurs terres auront été inondées et seront devenues inhabitables et/ou inexploitables. Parce que ces terres auront purement et simplement disparu, recouvertes par l’océan. Ou encore, à l’inverse, parce que l’eau s’en sera retirée, condamnant les sols à l’aridité totale. A l’heure où l’on parle de « réfugiés » climatiques, terme optimiste qui laisse entendre que ces populations pourraient trouver un accueil décent sous d’autres cieux, n’est-il pas plus conforme à la...